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n° 09811Fiche technique9452 caractères9452
Temps de lecture estimé : 6 mn
25/10/05
Résumé:  Une infirmière, pour soulager un patient auquel elle s'est attachée, vient le masser, alors que le service est endormi.
Critères:  fh médical volupté massage intermast fellation
Auteur : Arthur c  (Homme de 36 ans)      
Une infirmière consciencieuse

… Elle sentait monter des sensations fortes entre ses cuisses, comme si la vie se réveillait à cet endroit de son corps. Elle comprit que son corps lui révélait ce qu’elle n’osait s’avouer. Masser ce patient auquel elle s’était attachée lui procurait plus qu’un sentiment de devoir accompli. Au fil des minutes, elle se faisait plus douce. Après tout elle avait bien le droit de prendre un certain plaisir à son métier…


En abordant le bas du dos, elle se fit plus caressante. Il était hospitalisé depuis un mois et la relation devient vite proche quand on assiste quelqu’un dans sa guérison et qu’on partage des moments intenses ou intimes, de souffrance, et de soins. Depuis quelques minutes, ils avaient cessé de parler, ce qui donnait une atmosphère assez particulière. Un grand calme régnait après 23 heures dans l’hôpital, une partie des patients étant déjà endormis, et peu de personnel étant présent. C’est pourquoi elle avait décidé de lui proposer ce massage en voyant qu’il ne dormait toujours pas. Elle ne pensait pas que l’intimité viendrait si vite, même si elle savait bien qu’entre eux, une envie de se connaître, une séduction se tramait depuis quelques jours.


Elle perçut vite qu’elle ne le laissait pas indifférent et en fut un peu plus troublée. Son rythme cardiaque s’accéléra et elle sentit le feu lui monter aux joues. Il avait beau être tourné sur le côté, elle aperçut soudain l’extrémité du sexe de son patient qui ne pouvait réprimer un début d’érection. Elle sentit qu’elle-même commençait à mouiller.


Elle poursuivit son travail en élargissant la zone de massage. Elle avait commencé sur les reins et la colonne vertébrale, ce qui se justifie quand on reste alité plusieurs jours de suite, et maintenant elle parcourait tout le dos mais également portait ses mains sur les flancs de l’homme. Elle perçut des frissons chez son patient quand elle toucha sa hanche gauche.



De s’entendre parler comme elle l’avait fait, sur un ton si doux et avec une pointe d’hésitation dans la voix, elle sentit qu’elle commençait à trahir son trouble. Le fond de sa petite culotte fut bientôt trempé de désir. Elle sentait désormais son sexe palpiter, s’ouvrir, se réveiller, s’humidifier. Il reprit :



Il se retourna sur le dos. Le drap, descendu jusqu’aux fesses pour le massage, ne cachait pas entièrement son sexe, et elle le vit. Il lui tenait toujours le bras. Ils se regardèrent avec tendresse. Ce fut lui qui accéléra les choses, en attirant la jeune femme vers lui. Leurs bouches se trouvèrent pour un baiser passionné.


Elle commença à lui caresser le torse puis le ventre. Après de longs baisers, elle se saisit du sexe qui lui faisait tant envie. Elle effleura les couilles, le gland, enferma dans sa paume le membre dressé, puis entama une lente masturbation, faisant aller de haut en bas sa main si douce. Lui ne resta pas passif. D’une main, il lui caressait le visage, et son autre qui froissait depuis quelques instants le tissu léger de la blouse finit par faire sauter quelques boutons, facilitant le passage. Il découvrit la jeune femme en flagrant désir.


Ses doigts au creux des cuisses de l’infirmière perçurent la chaleur qui exhalait du plus intime de son corps. La soie fine de la culotte transmettait en direct les sensations : pour lui, de sa chaleur à elle, et pour elle, des attouchements dont elle était l’objet. Les doigts masculins se faisaient pressants sur l’écrin qui abritait la vulve, tiraillant le tissu, l’enfonçant légèrement entre les lèvres du sexe : elle mouillait de plus en plus et sa culotte n’offrait plus qu’un frêle rempart aux assauts du patient. Il glissa le majeur sous la soie, écarta le fond du petit slip, et put tout à loisir parcourir la fente humide à laquelle se mêlaient quelques poils de la toison de l’infirmière. Celle-ci écarta davantage les cuisses pour faciliter le passage à son amant. Elle le masturbait comme elle l’avait massé, avec douceur et fermeté, prenant ses couilles au creux de la main.


Elle prit la verge dans sa bouche sans cesser de lui caresser les testicules et de le masturber. Il la regardait, et le geste qu’elle fit pour remettre ses cheveux derrière son oreille le troubla follement : comment une femme si douce pouvait-elle cacher une amante impétueuse et avide ? Sa bouche faisait des bruits de succion, et elle avalait à intervalles réguliers sa salive qui parfois coulait sur ses mains et le long de la verge. Ces manifestations bruyantes ne semblaient pas la gêner le moins du monde, à en juger par les regards gourmands qu’elle adressait à son amant du coin de l’œil.


Pendant qu’elle le suçait, il ne voulait pas rester passif : il attira les fesses de la jeune femme vers lui, la forçant presque à lui tourner le dos, et il la plaqua contre le lit. Il remonta la courte blouse et commença à la caresser sur les reins, les cuisses, et les fesses. Sa main se faisait tour à tour violente, indiscrète, puis plus légère, achevant d’exciter sa compagne. La petite culotte, déjà passablement éprouvée par l’humidité de sa propriétaire, fut bientôt vaincue par les assauts masculins. C’était un petit slip blanc, recouvrant les fesses d’une fine dentelle qui n’avait qu’une fonction d’ornement, car elle avait un derrière si bien soutenu qu’il n’aurait eu besoin de rien.


L’homme joua un peu avec la lingerie, faisant avec les doigts le tour des élastiques, depuis les hanches jusqu’à la jointure des cuisses, en bas des fesses, là où la vulve dessine un relief rebondi. Il enfonça chaque côté de la culotte entre les fesses, appuyant du doigt sur l’anus. La jeune femme très réactive traduisait les sensations qu’elle éprouvait en serrant la verge un peu plus fort ou en la suçant avec plus d’ardeur.


Il estima bientôt qu’il lui en fallait plus : le charmant dessous qu’elle portait devint un obstacle. Il mit les deux mains sur les hanches de l’infirmière, saisit chaque élastique et fit glisser la petite culotte sur le derrière et le long des jambes de sa maîtresse. Quand la culotte fut aux genoux, il ne put aller plus bas, et ce fut elle qui s’en débarrassa avec le pied.


Le lit d’hôpital était trop haut pour qu’elle puisse y mettre un genou, mais elle fit tout pour permettre à son patient de reprendre la visite de son intimité dans les meilleures conditions. Elle écarta ses cuisses et cambra ses reins au maximum. Il reprit ses parcours indiscrets sur l’anatomie féminine. Sans la culotte, il pouvait titiller l’anus de sa partenaire, qui ne semblait pas s’en plaindre. Avec l’index, il préleva un peu de nectar au bord du vagin afin de lubrifier la tendre rondelle. Ce contact sur son entaille lui envoya une décharge dans tout le corps, et elle émit un bref gémissement de plaisir et de surprise. Il parcourut la raie des fesses, des reins jusqu’au périnée, jusqu’à effleurer les replis de sa fente. Il n’osait pas encore pénétrer du doigt l’anus offert, de peur d’aller trop loin.


Quand il atteignit enfin la vulve de la jeune femme, elle fondit, ralentissant sa fellation puis la stoppant, se contentant de garder la verge dans sa bouche, reposant sa tête en haut des cuisses de l’homme. Il introduisit son index dans les chairs brûlantes du vagin, en un mouvement lent et profond. Elle s’abandonna littéralement à cette intrusion. C’est avec toute la main qu’il la masturbait : de l’index, il explorait les replis du vagin, avec le pouce il caressait l’anus. Il tendit le majeur pour écarter les petites lèvres et atteindre le clitoris qui jusque-là avait été peu sollicité.


Toute à son plaisir, la jeune femme avait du mal à poursuivre sa fellation, elle essayait par moments de sucer, de caresser, mais une secousse de plaisir lui parcourait le ventre et les reins, la contraignant à gémir, à s’arrêter pour reprendre ses esprits. Quand l’orgasme s’empara d’elle, elle garda le sexe dans sa bouche et laissa échapper des petits gémissements plaintifs et retenus. Elle resta ainsi quelques instants, haletante et alanguie. Elle reprit d’abord son souffle… puis son ouvrage, d’une bouche plus avide que jamais, elle le sentit se raidir de tout son corps avant d’exploser. Quand il se répandit dans sa bouche, elle ne cessa pas ses caresses, et se fit un plaisir d’avaler la semence tiède.