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n° 09838Fiche technique14867 caractères14867
Temps de lecture estimé : 9 mn
30/10/05
Résumé:  Je vais un matin chez Brigitte, la mère d'un ami. Et j'ai appris des choses, beaucoup de choses.
Critères:  fh fplusag lingerie intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus
Auteur : Hefner  (Davido)      
Péché capital avec Brigitte

J’ai péché, pardonnez-moi. Je vais vous raconter pourquoi. J’ai un très bon ami que je connais depuis 15 ans qui m’appelle un matin du mois d’août et me demande de passer voir sa mère, car lui est encore en vacances. Elle vient de se séparer de son dernier compagnon et elle doit effectuer un petit déménagement. Le gros a déjà été fait, restent deux ou trois petits trucs. J’accepte sans problème, je connais bien Brigitte (sa mère) et je suis tout à fait d’accord pour lui donner un petit coup de main.


Me voilà donc parti chez elle. Il est 9h30 du matin, je sonne. Elle ouvre, un peu surprise de me voir. Visiblement, elle ne s’est pas levée depuis très longtemps. Elle arbore une nuisette en soie blanche un peu transparente laissant deviner le contour de ses seins.



Une sensation étrange m’envahit. Je m’aperçois que j’ai un début d’érection. Dans la cuisine, elle fait le café et, moi, je me surprends à mater littéralement ses fesses et à essayer d’apercevoir un bout de sein. Arrête David, il faut te contrôler !!!



Sa voix me tire de mes rêves.



Le petit déjeuner se déroule normalement, même si j’ai l’impression qu’elle fait tout pour prendre des positions qui me permettent d’apercevoir ses magnifiques seins, ou de reluquer ses jambes. Il faut que j’arrête, je suis là pour démonter des meubles. C’est ce que l’on fait deux ou trois heures durant. Tout se passe normalement, à part qu’elle a gardé sa nuisette et que, par moments, mon sexe ne se repose pas vraiment. Nous finissons de démonter les meubles, les chargeons dans ma voiture et partons vers son nouvel appartement. Elle est enfin habillée, mais très sexy, une robe d’été moulante, plutôt courte, sans soutien-gorge.


Nous arrivons donc à son nouvel appartement, nous déchargeons la voiture et commençons à remonter certains meubles. Pendant encore deux ou trois heures. Nous discutons de ma vie, de la sienne, du fait que, depuis qu’elle est de nouveau séparée, elle se sent seule, mais entrevoit de nouveaux horizons.


Et là elle me dit :



Brigitte a 51 ans, et on dirait qu’elle en a à peine 40. Elle est grande, élancée, ses fesses et ses seins n’ont pas grand-chose à envier aux nanas plus jeunes. Bref, elle a été et est toujours bandante. J’en sais quelque chose.


La fin de mon dur labeur approche, les meubles sont montés. Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé. Et m’offre une bière. Et là, l’osmose de la journée se poursuit, nous discutons comme des « amis » ou du moins en se draguant un peu. Comme deux personnes qui ne se connaissent pas très bien. Comme si elle n’était pas la mère de mon meilleur pote.


Il est 20h. Je m’apprête à partir.



Effectivement, le lit n’a pas été très bien remonté, je fixe tout cela. Et elle apparaît dans la chambre.



Elle monte sur le lit à quatre pattes et se dirige vers moi qui suis de l’autre côté du lit. La scène est sublime. Elle est donc à quatre pattes sur le lit et se dirige vers moi et elle dit :



Et ajoute devant mon hésitation :



Sa main touche mon sexe à travers mon pantalon.



Alors là, que faire ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? Et bien moi, j’ai craqué !


Je monte sur le lit, elle me saute au cou et m’embrasse goulûment. Je passe ma main sur ses seins. Elle rigole :



Je descends ma main entre ses jambes. Elle n’a pas de culotte, ni de string, juste une chatte déjà bien humide.



Elle me regarde d’un air entendu… La chaleur monte. Je lui enlève sa robe, elle est nue, sublime, bandante, quasiment parfaite. Je l’embrasse partout, dans le cou, je lui lèche le lobe de l’oreille, les seins. Mes mains se baladent partout : sur ses fesses, ses jambes, ses cuisses, ses pieds. Son sexe est épilé juste comme il faut. Quelques poils dessus, rien autour de ses lèvres.


Je titille son clitoris, sa respiration s’accélère un peu. Elle est ouverte. Un doigt, deux, puis trois entrent dans son vagin. Et ma langue s’y met aussi. Je la lèche partout, sur ses pieds, ses jambes, ses cuisses. Elle veut que je lui prenne la chatte avec ma langue, je la fais languir… Puis j’attaque enfin son clitoris, lèche son sexe doucement d’abord, goulûment ensuite. Elle respire de plus en plus fort. Je n’ai qu’une seule idée en tête, la faire jouir avec ma langue, je continue.



Je sens que sa jouissance est proche. Je lui mets deux doigts, l’effet est radical. Elle jouit d’une manière violente, me serre la tête entre ses jambes.



Elle n’est pas repue, mon sexe est dressé, elle me regarde :



Et elle attrape ma queue, la branle, caresse mes boules, mon petit trou et enfourne ma queue dans sa bouche. Là débute l’une des meilleures pipes que l’on ne m’ait jamais faite. Elle me regarde. J’ai l’impression d’avoir un aspirateur sur le sexe. Je ne tarde pas à approcher du plaisir, elle me caresse les fesses. Au moment de jouir, je la préviens, mais elle ne retire pas ma queue de sa bouche, je remarque avant d’exploser qu’elle est en train de se caresser. Je jouis dans sa bouche, elle nettoie mon sexe avec sa langue. Nous nous allongeons quelques instants, elle me regarde et continue de se caresser devant moi. Elle m’excite de nouveau… Un quart d’heure plus tard, je suis prêt pour la suite de la nuit de rêve.


Nous nous embrassons fougueusement, comme si c’était la dernière fois que nous faisions l’amour. Nos mains explorent de nouveau nos corps, son sexe est dégoulinant, le mien bien dressé de nouveau. Elle le regarde avec envie.


Elle est là devant moi, allongée, les jambes écartées et elle assène :



Moi, obéissant, je m’exécute et je la pénètre d’un coup. Un râle de surprise sort de sa bouche, puis il devient un râle de plaisir. Le va-et-vient commence doucement, puis plus rapidement, je suis en transe, elle aussi, elle me dit des cochonneries. Des mots très crus qui ne font que faire gonfler encore un peu plus mon sexe. Nous alternons les positions. Elle me chevauche, de face d’abord, en se caressant les seins, me demandant de les lui lécher. Mes mains lui malaxent les fesses, mes doigts s’aventurent près de son petit trou, le titillent un peu. Ça a l’air de lui plaire, sa respiration s’accélère. Elle est toujours sur moi, mais, cette fois-ci, elle me tourne le dos. Ma bite est en feu, sa façon de bouger est incomparable, ma queue est comme aspirée en elle.



Elle se caresse le sexe et me montre où mettre ma queue. Je la lèche un tout petit instant, puis enfourne ma queue dans son vagin détrempé. Le va-et-vient est très puissant. Elle me demande de lui donner des petites fessées, je m’exécute, que c’est excitant ! Les muscles de son sexe se rétractent, écrasent ma queue. Son vagin est de plus en plus étroit. La jouissance est proche, elle crie au moment où mon sperme sort de ma queue. Une jouissance inouïe.


Nous nous étalons sur le lit, nous parlons, hors du monde, de la réalité. Elle sort du champagne et prépare un sandwich, je l’attends dans la chambre, la nuit n’est pas terminée. Pas tout à fait encore.


Après notre petit casse-croûte et de longs baisers échangés, nos mains explorent de nouveau le corps de l’autre. Lui titiller, lui caresser, lui malaxer, lui léchouiller ses seins me fait très vite rebander. Mes mains explorent son intimité que je veux connaître dans les moindres détails, je lèche son clitoris, son petit trou, ça a l’air de lui plaire, elle m’encourage à m’occuper de ses fesses avec ma langue. Ce que je fais, j’en suis tout excité. Elle est de nouveau trempée. Sa mouille me plaît, son goût est exquis. Puis, c’est à son tour de me titiller le sexe avec sa langue, elle tourne autour, lèche mes boules, mon périnée et mon petit trou, je suis surpris d’abord puis très très excité.



Tout mon corps est en transe, tous mes sens sont exacerbés. Nous recommençons doucement à faire l’amour. Je la prends violemment, je suis trop excité, elle m’a rendu fou en touchant mon petit trou et en le doigtant. Alors que je la prends en levrette, je me mets à lui caresser l’anus. Cela lui plaît, je m’arrête pour le lécher et le doigter. Un puis deux doigts.



Je me demande si je dois ou non la sodomiser. Je ne l’ai jamais fait et c’est quelque chose que j’aimerais bien essayer. Elle me sent hésitant. Et dit :



Je continue donc de lécher son petit trou, de le doigter, puis j’approche ma queue. Je frotte son clitoris, son sexe avec, puis son trou tout tremblant et tout doucement, j’entre dans ce lieu interdit. Le bout du sexe, puis la moitié, puis presque entièrement. Un cri de douleur ou de plaisir, ou les deux, s’échappent de sa bouche. Elle bouge son bassin et je suis ses mouvements. Ses doigts caressent son clitoris, mes boules aussi par moments. Le va-et-vient est plus rapide, son cul est étroit. Mon sexe est complètement brûlant, il est tellement gonflé. Je lui mets des petites tapes sur les fesses, comme elle me l’a demandé tout à l’heure, je suis en train de réaliser l’un de mes fantasmes. Sa respiration se fait plus rapide, j’explose le premier, suivi de Brigitte, qui elle aussi est en transes. Elle attrape mon sexe et le branle gentiment pour faire sortir toute la sève, elle caresse son clitoris avec.



Et là, elle met un doigt dans mon anus, décidément elle y tient. L’effet est quasi immédiat (5-10 minutes tout de même) Je rebande. Elle sait y faire, elle m’attache les mains et dépose son sexe dégoulinant sur ma bouche, je le lèche avec avidité. Puis elle s’empale sur moi, les mouvements sont brusques, bestiaux, presque douloureux, de plus en plus rapides. Elle se titille les seins. Puis touche mes boules, mon trou. J’essaye de lui lécher sa magnifique poitrine, elle me repousse. La tension devient insoutenable. Elle le voit et enfourne son doigt dans mon petit trou. L’effet qu’elle attendait est immédiat, je jouis par plusieurs soubresauts d’une manière électrique. Elle me suit de peu.


Nous nous endormons l’un sur l’autre. Au réveil, vers 4h30 du matin, nous nous saluons par un cunni et une fellation. Là encore, la jouissance est extrême. Je voudrais rester, mais ce n’est pas possible, elle me demande de ne pas en parler…



Elle sourit, me confie que le sexe lui manquait et qu’elle a, elle aussi, beaucoup aimé notre nuit d’égarement. Je m’en vais. Mon sexe est toujours en feu. Ma tête est remplie de sexe. Je l’ai revue il y a quelques jours. Une complicité est née. Un secret commun et une jouissance partagée aussi.


Pour ceux qui s’inquiétaient : le lit ne grince plus.