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Temps de lecture estimé : 13 mn
03/11/05
Résumé:  Ma tante Claire me fait découvrir le nudisme et le sexe.
Critères:  fh vacances bain nudisme init
Auteur : Marc      

Série : Initiation avec ma jeune tante Claire

Chapitre 01
Initiation avec ma jeune tante Claire

Je m’appelle Julien. J’avais 18 ans à cette époque-là. À la fin de l’année scolaire, ma mère avait senti que j’avais besoin de changer d’air et elle m’avait proposé d’aller voir ma tante, Claire, à Perpignan. Je n’avais vu Claire que quelques fois dans ma vie, la dernière fois quand j’avais 14 ans, mais j’avais toujours été proche d’elle et on s’entendait très bien.


Claire était d’accord et je devais passer 2 semaines de vacances en juillet chez elle.


J’arrive donc en train mi-juillet. Elle vient me chercher à la gare. Elle porte une jupe courte et un décolleté mettant bien en forme sa généreuse poitrine. Ses cheveux mi-longs bouclés volent au vent. Elle me fait 4 bises et on se rend chez elle. Elle est de très bonne humeur, surtout que c’est son dernier son dernier jour de boulot avant 4 semaines de vacances.


On arrive chez elle. Elle a un beau petit F2 avec vue sur la mer. Il est 17 heures et elle me propose d’aller tout de suite à la plage. Nous traversons la petite route et nous installons sur la plage.


De nombreuses personnes profitent du début du week-end ou tout simplement des vacances. On va tout de suite dans l’eau pour nager un peu. Claire a un corps magnifique. Une poitrine généreuse, des fesses sublimes, une silhouette parfaite, et toujours un sourire au coin des lèvres.


On revient s’étendre au soleil. Claire se met sur le ventre et commence à bronzer, puis me demande si je peux lui mettre de la crème solaire. Pas de problème. Elle s’allonge alors confortablement, puis me dit préférer enlever son haut pour ne pas avoir de traces. Elle passe une main dans son dos, dégrafe son haut de maillot et le pose près d’elle.


Je la badigeonne soigneusement, imaginant ses seins sur le sable chaud. Je ne les vois pas, tout juste le départ du sein près duquel je suis assis. Elle me remercie quand j’ai fini puis continue son bronzage. Moi, je m’allonge sur le dos après m’être passé de la crème sur le torse et les jambes (pour être franc, je veux voir les nanas qui passent à côté de moi). On discute de tout et de rien, elle me demande ce que je fais, comment je vais, elle m’explique un peu sa vie.


Au bout d’un moment, je me retourne sur le ventre. Claire me propose aussitôt de me passer de la crème à son tour. J’acquiesce. Elle se lève alors libérant ses deux seins nus magnifiques de tenue et de proportions. Elle me masse doucement le dos. Je ferme les yeux en imaginant ses seins se balançant doucement au-dessus de moi. Elle fait remarquer que j’ai l’air d’apprécier, puis se réinstalle, sur le dos cette fois. Elle s’assoit d’abord pour se passer de la crème sur les bras les jambes puis les seins et le cou.


Feignant de me mettre plus à l’aise pour lui parler, je me tourne légèrement de côté en maintenant ma tête d’une main. Sous mes lunettes de soleil, mes yeux sont rivés sur ses seins magnifiques.


Claire fait comme si de rien n’était à moins que tout ceci soit vraiment tout naturel pour elle.


Mon sexe est déjà dur, témoignant de mon excitation. Le relief au niveau de son maillot de bain laisse deviner des lèvres charnues sans être trop prononcées, s’élevant comme deux petites collines sous le mince tissu.


Il commence à se faire tard. Claire propose de rentrer. Elle nous prépare un bon petit repas arrosé d’un vin du coin. Vers 23 h, elle se met au lit. Je m’installe dans le salon sur le canapé-lit. Ayant bandé pendant un long moment sur la plage, je ressens le besoin de me caresser. Je repense à Claire et à ses seins sublimes. Je l’imagine enlevant son bas du maillot. Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer en un long soupir sourd. Je m’endors aussitôt après.


Plusieurs journées se passent ainsi. Réveil, petit déjeuner, plage, ballade en ville ou dans les environs, re-plage en fin d’après-midi, soirée discute ou télé, branlette et dodo. Tous les jours avec à la plage massage de dos réciproque, seins nus, érection.


Un jour, lors de nos habituelles soirées, on en vient à parler de nudisme. Je lui dis que je trouve ça vraiment bizarre, limite choquant, que j’imagine plutôt des pervers que des gens normaux s’adonner à ce genre de truc. Là-dessus elle me rétorque qu’elle en a déjà fait et qu’elle apprécie vraiment, même si la première fois elle se sentait mal à l’aise. Suivent alors de longues discussions sur la normalité de la nudité, les tabous de notre civilisation, les fortes sensations de sentir le vent et l’eau parcourir son corps. Puis elle m’invite à essayer le lendemain :



Sans être vraiment convaincu par tout son discours, je vois dans sa proposition le gros avantage de me permettre de la voir enfin complètement nue (ainsi d’ailleurs que beaucoup d’autres femmes). Je dis oui sans trop me faire prier, commence plus tard à douter de mon comportement le lendemain sur place.


Elle semble toute ravie de m’avoir convaincu, moi, je suis ravi de ce que je vais enfin voir.


Ma masturbation du soir est à la fois plus courte et plus intense que les autres soirs.


Le lendemain matin après un bon petit déjeuner on part. La plage naturiste est à environ 15 minutes de voiture. La plage est encore relativement déserte. Quelques couples âgés se promènent nus, au loin. Claire choisit un endroit un peu caché derrière une ligne de rochers.


Elle pose son sac et enlève illico son T-shirt, sa jupe et son string dentelle, se retrouve alors nue comme un vers puis me dit :



Cela me semble une bonne idée, surtout que la froideur de l’eau aura certainement pour effet de calmer la tension qui semble vouloir déjà envahir mon bas ventre. Et puis, je ne veux surtout pas passer pour une poule mouillée. Je prends donc mon courage à deux mains et baisse mon maillot, après avoir regardé à gauche et à droite (complètement stupide sur une plage nudiste) si quelqu’un me regarde.


Claire rit et sans même me dévisager court vers la mer, m’offrant pour la première fois une vue sur ses fesses nues. Je cours aussi puis ralentis, sentant mon sexe bringuebaler maladroitement pendant la course. Claire s’étant retournée, rit en me voyant regarder ma bite. J’arrive alors dans l’eau et y rentre deux fois plus vite que d’habitude, ne voulant offrir la vue de mon corps nu trop longtemps, pas même à Claire.


Et là c’est le choc : quel plaisir de sentir l’eau se faufiler entre mes jambes, caresser mes fesses et balancer doucement mon sexe ramolli par le froid. Claire comprend à mes sourires enjoués que je ressens la même chose qu’elle la première fois.


Après une longue baignade que j’aimerais éterniser, on se décide à sortir et à se faire bronzer. Me retrouver nu dehors me fait un effet bizarre. Mon corps entier dans tous ses détails est exposé à la vue de tout le monde, et surtout de Claire.


Une bouffée pudique m’envahit subitement puis le calme et le naturel de Claire qui ne m’a même pas encore vraiment regardé me rassurent et me mettent à l’aise.


Le soleil tape fort et il faut mettre de la crème. Comme tous les jours maintenant je lui passe d’abord de la crème. Le dos.



L’érection que j’avais tant bien que mal réussi à contenir pendant le massage du dos repasse à 8 sur l’échelle de Richter quand mes mains passent et repassent sur ses fesses. Je rougis instantanément, et Claire qui croise mon regard en attrapant sa bouteille d’eau me fait :



Avant que je puisse répondre, ses yeux sont déjà pointés sur mon sexe bandé à bloc.



Je m’installe et laisse ces mains divines me caresser le corps. Je sens mon sexe percer une galerie souterraine d’au moins 4000 mètres de profondeur. Je décèle une pression différente de ses mains sur mes fesses par rapport au reste de mon dos, comme si elle était gênée ou qu’elle prenait un plaisir particulier à caresser mon cul qui, d’après ma sœur, est top mignon. Il me faut attendre un long moment et des efforts surhumains pour que ma queue se décide à reprendre une taille normale.


Je propose alors de retourner se baigner, ce que Claire accepte aussitôt. Elle prend un ballon pour jouer dans l’eau. Chaque fois qu’elle court ou plonge vers le ballon, ses seins ondulent et dansent en tournoyant. Je deviens de plus en plus accro de son corps, mais la fraîcheur de l’eau calme malgré tout mes ardeurs.


Après cette longue séance de jeu, Claire propose qu’on se promène sur la plage qui entre temps s’est remplie de gens de tous âges. On longe alors nus le bord de l’eau. Je lui demande :



Elle rit.



Elle rit.



Je me sens vraiment bien avec Claire. Elle est devenue ma confidente. Je lui dis des trucs que je n’aurais jamais dits à personne. On fait alors demi-tour afin de reprendre nos affaires et on rentre chez elle. Mon caleçon et mon short me font l’effet d une combinaison en côte de mailles.


La soirée se passe comme les autres. J’ai hâte qu’elle aille dans sa chambre pour que je puisse libérer mes couilles de leur tension insoutenable.


Claire va dans sa chambre après m’avoir souhaité bonne nuit. Sans attendre autant que d’habitude je descends mon caleçon vers mes chevilles et commence à caresser mon sexe déjà bandé. Je repousse la légère couette vers mes pieds pour être plus à l’aise.


C’est alors que Claire sort subitement de sa chambre, vraisemblablement pour aller chercher une bouteille d’eau ou je ne sais quoi d’autre. Elle voit immédiatement ma main droite posée sur mon sexe droit comme un I. Elle reste un moment sans voix avant de sourire de son sourire si doux et si apaisant.



Elle s’approche alors et s’assied au bord de mon canapé-lit. Ma main comme paralysée reste fixée sur mon sexe.



Longues secondes de réflexion de ma part. Puis je ferme les yeux et reprends mes caresses là où je les avais arrêtées.



Claire enlève alors son peignoir se dévoilant devant moi. Puis rapidement une main parcourt ses seins tandis que l’autre plonge dans son intimité déjà humide. Au bout de quelques minutes, elle s’allonge près de moi, en biais puis saisit mon sexe. Elle le caresse. J’essaie de la caresser, mais elle écarte mes bras me faisant signe de mettre mes deux mains derrière ma tête. Alors, sa bouche s’approche et elle me happe le sexe. Je sens tout de suite la chaleur de sa langue sur ma hampe. Sa langue experte danse sur ma tige pendant que ses doigts caressent et massent mes testicules. Elle alterne les courts et les longs va-et-vient, sa langue semble suivre un itinéraire du plaisir. Je sens le plaisir monter en moi. J’ai peur de lui éjaculer dans la bouche et la préviens en écartant légèrement sa tête de mon sexe. Elle se retire alors, me fait un grand sourire du genre « laisse-toi aller veux-tu » et replonge vers ma bite incandescente. L’idée de lui éjaculer dans la bouche avec son assentiment m’excite au plus haut point et me libère. Je me laisse complètement aller. Je sens des secousses secouer mon corps. Tel un volcan j’explose de bonheur en de longues saccades de sperme. Juste après mon éjaculation je la vois avaler goulûment et lécher mon sexe comme pour ne rien perdre de ce liquide précieux. Mon gland reste sensible pendant de longues secondes et les va-et-vient de sa langue maintiennent ce plaisir divin.


Une fois le grand frisson passé je cherche à la caresser pour lui procurer à mon tour du plaisir.



Je rougis alors.



Elle rit haut et fort.



Elle se met alors sur le ventre et me dit :



Je lui caresse alors doucement le dos en partant du cou et en descendant vers ses fesses. Je connais tous les replis de sa peau. Je sais même ou elle réagit d’un léger sursaut : dans les 2 creux juste au-dessus du bassin. Mes mains habiles s’attardent dans cette zone puis descendent sur ses fesses d’une douceur extrême. Claire se met alors à 4 pattes m’invitant à lui caresser les seins et le clitoris. La caresse du clitoris s’avère plutôt laborieuse. Claire s’en rend compte, se retourne, sourit, s’allonge en écartant bien les jambes et dit :



Les 5 premières minutes sont catastrophiques. Son pouce reste scotché en position basse. Je ne vois pas ce que je peux faire différemment. Puis doucement, encouragé par des pouces vacillant timidement vers la position médiane, je commence à comprendre qu’il faut chercher le lieu précis du clitoris, écarter les chairs qui l’entourent et le caresser doucement, tout ceci nécessitant un doigté de pianiste professionnel. Encore quelques minutes et le pouce vacille autour de la position moyenne avec des pics vers le haut. Sa respiration a aussi changé et tend vers le soupir. Mouiller la zone en allant chercher de l’humidité dans son vagin semble aussi augmenter son plaisir. Claire ferme maintenant les yeux et semble se diriger vers le septième ciel. Mon majeur se fait alors doux et ferme à la fois, j’augmente la vitesse et le corps de Claire est pris d’une longue série de secousses, me faisant perdre ma position sur son bouton doré.


Mes mains devenues expertes le retrouvent facilement. Claire pousse un cri de soprano et je sens sous les secousses de son corps son vagin se refermer sur mon doigt introduit au dernier moment. Son orgasme dure bien plus longtemps que les miens. Claire me fait un grand sourire et dit :