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n° 09876Fiche technique156340 caractères156340
Temps de lecture estimé : 86 mn
10/11/05
Résumé:  Qu'y a-t-il au plus profond de l'esprit de Sabine ? Autour d'elle, les comportements sont pour le moins bizarres. Est-ce elle qui a un problème... ou les autres ?
Critères:  fh ff hh 2couples grp fbi hbi couplus inconnu copains hépilé fépilée campagne douche revede voir nudisme noculotte lingerie fmast hmast massage intermast rasage facial fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio fdanus fsodo hsodo échange
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)      Envoi mini-message
Désirs refoulés

1. Errance


Dans une rue déserte de banlieue, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c’est qu’elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu’elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d’un chemisier clair, d’une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l’amène à un carrefour, elle tourne au coin, c’est une voie sans issue mais une barrière permet d’entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C’est surprenant, car plus aucune trace de la ville n’est visible. L’endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n’y a autour d’elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.


Soudain, quelqu’un l’aborde. D’où est-il venu ? Elle n’a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.



Sabine reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.



Elle prend une rue au hasard. Et c’est alors qu’elle réalise où elle est.



Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d’entrée.


Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l’impression qu’elle vient de se réveiller. C’est bien son amie Nicole, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c’est que son amie n’est vêtue que d’un t-shirt court. Celui-ci lui arrive juste au nombril, son bas-ventre est nu. Sabine, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s’empêcher de porter son regard sur le sexe de son amie. Celui-ci est nu, entièrement épilé, il n’y a pas un seul poil pour en masquer les parties les plus intimes.


Nicole l’accueille ainsi, sans la moindre gêne.



Pensive, Nicole regarde son amie.



Sabine ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses pieds et se rend alors compte qu’elle n’a plus ni jupe, ni culotte, mais qu’elle a cependant conservé son chemisier et ses bas auto-fixants. Son sexe est épilé de la même façon que son amie, c’est-à-dire intégralement.


Sans réellement comprendre ce qui s’est passé, Sabine commence à s’inquiéter tout en essayant pudiquement d’abriter son intimité derrière ses mains.



Nicole s’absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Sabine se balade à moitié nue dans le hall d’accueil, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Nicole redescend du premier étage, toujours le sexe à l’air. Elle rapporte une minijupe qu’elle donne à Sabine.



Sabine enfile la jupe tout en restant debout. Elle doit se dandiner pour la faire remonter jusqu’à sa taille. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer tout particulièrement son sexe intégralement épilé. Sabine sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d’elle, mais elle n’ose le faire de peur de la vexer. C’est pour cela qu’elle préfère rester face à Nicole pendant qu’elle se rhabille.


Après quelques ajustements, Sabine semble presque satisfaite.



Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.



Sabine s’assied sur le canapé, à côté de son amie. Ce faisant, la minijupe remonte le long de ses cuisses. Son sexe se retrouve alors largement dévoilé. Sabine ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu’elle n’a plus de sous-vêtements. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.



Nicole s’avance au bord du canapé pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d’admirer également le sexe épilé de Sabine. Elle le fait sans grande discrétion mais Sabine ne semble toujours pas s’en rendre compte.



Sabine n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d’entrée vient de s’ouvrir. C’est Denis, le mari de Nicole qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Elles ont toutes les deux les jambes légèrement entrouvertes et ont par conséquent la fente parfaitement visible, mais Denis ne semble pas y prêter attention. Il s’avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Sabine.



Il s’installe alors sur le canapé à côté de sa femme.



Machinalement, il place sa main sur la cuisse de sa femme, tout près de son sexe. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Sabine.



Pendant cette discussion, Nicole a écarté les cuisses au fur et à mesure que son mari lui caressait le sexe. Denis se penche alors vers l’entrejambe de sa femme et se met à lui lécher le sexe sous les yeux ébahis de Sabine qui se sent monstrueusement gênée. Nicole se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.



Denis quitte alors le sexe de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Sabine. Celle-ci n’arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, sa jupe est remontée, du coup son sexe imberbe est parfaitement visible, les lèvres légèrement entrouvertes laissant deviner le clitoris, rose et brillant. Arrivé à sa hauteur, Denis avance la tête en direction de ce sexe alléchant. Sabine ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l’empêcher, elle n’arrive même pas à parler. Il n’est plus qu’à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec le clitoris de la jeune femme.


Sabine pousse un cri.


Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n’était qu’un rêve !



Hagarde, elle sort de son lit, elle est vêtue d’un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau qu’elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.



De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.




2. Sursaut


Sabine se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d’un chemisier et d’une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu’il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L’homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu’il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s’il était habillé.


Lorsque Sabine arrive à sa hauteur, l’inconnu lui adresse immédiatement la parole.



Une appréhension la gagne alors qu’elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu sa jupe ? Non, c’est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu’elle ne porte plus qu’une nuisette blanche transparente en mousseline et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.



Tout en disant cela, l’inconnu commence à s’approcher d’elle, le sexe en érection. Sabine voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.



Sabine repense à l’expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine le sexe à l’air, ce n’est pas bien grave. Si Denis veut lui lécher la chatte, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.



Délivrée de l’emprise de cet inconnu, Sabine reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu’il vient de dire l’angoisse quand même un peu. Jusqu’où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c’était ça ou se faire violer par cet inconnu.



Quelques minutes plus tard, Sabine arrive devant le pavillon de Nicole. Elle est à nouveau habillée, même si elle porte la minijupe que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu’on lui ouvre.


Quand Nicole apparaît derrière la porte, Sabine est presque surprise qu’elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.



Les deux femmes vont à la salle à manger. Philippe est en effet derrière la séparation, dans la cuisine à l’américaine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu’en partie mais, ce qui surprend Sabine, c’est qu’il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle… pourquoi pas ? Les deux femmes vont s’asseoir côte à côte sur le canapé du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu’un sucrier et plusieurs pots de confiture.


Lorsque Sabine s’assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses comme la fois précédente. Du coup, son sexe se dévoile à nouveau, mais ni elle ni personne d’autre ne semble s’en rendre compte. D’ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Sabine, si elle n’a pas remarqué l’indécence de sa propre tenue, c’est qu’elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir de Nicole est en dentelle, il est légèrement transparent et l’on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu, en particulier les aréoles, bien foncées, et les tétons qui pointent légèrement.


Denis vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Sabine peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu’il ne porte pour tout vêtement qu’un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce goûter improvisé.


Nicole ne peut s’empêcher d’admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.



Sabine est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.



Denis lui répond tandis qu’il termine goulûment la sienne.



Sabine, qui ne s’attendait pas à une telle réponse, manque, sous l’effet de la surprise, de recracher ce qu’elle a dans la bouche. Elle réussit à l’éviter mais il s’en faut de peu qu’elle ne s’étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s’inquiètent pour elle.



Tandis que Denis se sert une seconde crêpe au sperme, Nicole ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer.



Nicole l’interrompt :



Et tout en disant cela, Denis termine sa seconde crêpe. Sabine se tourne alors vers son amie.



Nicole regarde la crêpe au sperme qu’elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n’a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l’avaler.


Denis s’approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.



En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l’ampleur, commence à soulever le tablier. Nicole semble épatée par l’effet que cela fait à son mari.



Sabine s’inquiète d’une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.



Il faut bien qu’elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l’inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n’est qu’une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Denis entre ses mains. La gêne l’envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Denis est en train de grossir encore plus dans sa paume. Sabine s’enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d’elle, la regarde faire avec un vif intérêt.



Sabine essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.



Pour confirmer ce qu’elle vient de dire, Sabine lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Denis est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Sabine constate alors avec surprise qu’elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu’elle est perdue dans ses pensées, Nicole pousse son amie vers l’avant.



Ce qui ne manque pas de surprendre Sabine.



Nicole soulève le tablier. Sabine a alors la confirmation de ce qu’elle pensait. Denis s’épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement tondus. Cette belle bite bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n’est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.



Comme Sabine n’esquisse pas le moindre mouvement, Nicole pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.




Sabine se réveille en sursaut.


Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.



Elle essaye de respirer un peu d’air pour se rafraîchir l’esprit, mais c’est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l’espoir de se rendormir plus sereinement.




3. Glissade


Sabine est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L’inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c’est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Sabine tandis qu’elle entame la conversation.



Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l’homme la poursuit.



Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n’est pas l’idéal pour courir. Sabine finit par trébucher au bout d’une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu’elle parvient à faire, c’est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l’inconnu s’approche d’elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.



Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.



Ce massage de l’ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l’inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s’insinuent entre les lèvres de Sabine, viennent lui exciter le clitoris puis s’introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.



Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu’il laisse échapper permet de deviner qu’il apprécie le goût du sexe de Sabine.


Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s’allonge au sol à côté de Sabine et se roule à son tour dans la boue pour s’en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu’à l’érection tandis qu’il continue de caresser la jeune femme d’une main et de se masturber de l’autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu’il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu’il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Sabine sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.


L’inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s’en va, laissant Sabine dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.


Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Nicole, cette dernière remarque immédiatement l’état dans lequel est son amie.



Les deux femmes montent au premier étage jusqu’à la salle de bains. Alors qu’elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Nicole se rend compte qu’elle a également de la boue sur elle.



Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Sabine est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l’eau chaude. Elle dirige la douchette sur son corps tout en frottant. Nicole, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu’elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.



Impression confirmée par Sabine qui peine à se nettoyer le dos.



Nicole se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s’occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu’elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l’autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Sabine se laisse faire tandis que Nicole continue de lui caresser la poitrine d’une main et que l’autre main s’approche progressivement de son sexe. N’y tenant plus, gagnée par le désir, Sabine se retourne et lui rend ses caresses. Nicole finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l’eau de la douche. Portée par son désir, Sabine se laisse aller et rend la pareille à son amie.


Soudain, Denis entre dans la pièce, juste au moment où Sabine vient d’écarter les cuisses pour que son amie puisse s’insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s’introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Sabine. À chacun de ses coups de bite, Nicole est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Denis. Nicole se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Denis maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d’entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de bite, laisse échapper des cris de jouissance. Nicole part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Sabine comprend que son amie souhaite qu’elle lui caresse les seins, ce qu’elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris de Nicole. Denis ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Sabine. Ceci fait, Nicole se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Denis sort alors de la douche, s’essuie rapidement et repart aussi vite qu’il était arrivé.


Sabine est surprise de ce comportement.



Nicole se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Denis s’étale sur les corps des deux femmes tandis qu’elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Sabine étend sur le dos de son amie le sperme qu’elle a reçu sur les doigts. Nicole, toujours excitée, s’écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Sabine, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Nicole porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C’est à ce moment là que Sabine se réveille en sursaut.



Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.



Sabine retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.




4. Initiation


Une fois de plus, Sabine est en pleine campagne. Comme d’habitude, l’inconnu est également présent, mais accompagné d’un jeune homme. Il s’adresse immédiatement à Sabine.



Sabine est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.



Le jeune homme lui répond timidement, n’osant la regarder en face.



L’inconnu reprend la conversation.



Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C’est quand il retire son slip que Sabine constate qu’il n’a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l’inconnu.



En effet, Sabine n’a plus ses vêtements. Elle ne porte plus que son soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.


Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d’une solution, mais tout ce qu’elle remarque c’est un lit qui est placé au bord du chemin. L’inconnu continue à donner des ordres.



Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Sabine se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune garçon. Elle est à peine allongée qu’il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Sabine. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Sabine s’est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.


L’inconnu continue à diriger les opérations.



Obéissante, Sabine s’avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l’effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur la bite sur toute sa longueur. L’effet est immédiat, le sexe imberbe du garçon finit de se raidir entre les lèvres de Sabine. C’est ensuite à lui de se pencher vers elle et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu’il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Sabine se retrouvant au-dessus.


Le jeune homme n’est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu’il passe à autre chose avant d’être victime d’une éjaculation précoce. L’inconnu sort de sa poche un préservatif qu’il donne à Sabine.



Ne discutant plus les ordres qu’elle reçoit, elle sort la capote de son étui et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L’inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s’adresse à son frère.



Sabine s’allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s’insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d’abord timidement, sans doute par peur d’une sortie inopinée, mais l’assurance le gagne rapidement et il augmente alors l’amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Sabine commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l’effet de ces coups de bite, mais pas longtemps… Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.



Puis il s’adresse à Sabine.



Sans plus attendre, Sabine les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant le pavillon, elle est à nouveau habillée. C’est Nicole qui lui ouvre et elle l’invite sans plus d’explications à la suivre jusqu’au salon. La stupéfaction le dispute au dégoût lorsqu’elle découvre ce qui est en train de se passer sur le canapé. Son… son mari ! est en train de sucer le mari de son amie.



Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Denis dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.



On sonne alors à la porte et Nicole s’absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fait l’amour à Sabine au beau milieu des champs.



Sabine en est surprise et le jeune homme s’en rend compte.



Sabine est outrée.



C’est alors ce dernier qui prend la parole.



Puis, se tournant vers le neveu.



Nicole se lève pour faire de la place à son amie.



Sans trop savoir ce qu’elle fait, Sabine se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au canapé. Nicole soulève la jupe de son amie, qui ne porte toujours pas de culotte.



Il lui répond nonchalamment, une bite au coin de la bouche.



Sabine n’a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans l’anus sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s’habituer qu’il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Nicole le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu’il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l’entrée de l’anus de Sabine et s’introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu’elle ressent la fait gémir malgré elle.


Denis regarde cette scène avec envie.



Philippe lève les yeux vers son ami.



Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Denis présente son sexe en érection face à l’anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d’une minute Denis peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Denis commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.


Restée seule, Nicole se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Denis a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n’arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.


Emportée par son plaisir, Sabine ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6h30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore toute excitée par son rêve pervers, elle s’introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.



Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Sabine espère bien que la journée sera plus calme.




5. Consultation


Une heure a passé, mais Sabine n’a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d’une nuisette, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s’affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l’autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa nuisette très courte ne cache rien de son sexe intégralement épilé.


Son correspondant décroche enfin, il s’agit de son amie Nicole.



Sabine lui raconte alors tous les rêves qu’elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. De temps en temps, elle se rend compte qu’elle est en train de se caresser le sexe et s’interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.


À la fin, Nicole reprend la parole



Après avoir raccroché, Sabine s’arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.


Dix heures moins cinq. Sabine sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d’une blouse blanche, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Nicole. Elle fait entrer Sabine et l’installe dans la salle d’attente.


Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre. Un homme assez grand à l’allure athlétique apparaît et invite Sabine à entrer. Ses cheveux blonds sont coupés très courts, une paire de petites lunettes fines cache ses yeux bleus. Il lui demande de se mettre à l’aise et de s’asseoir sur le canapé tandis qu’il engage la conversation en s’asseyant dans un fauteuil à côté d’elle.



Sabine recommence son récit. Le même qu’elle a raconté il y a peu de temps à son amie.


Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.



Sabine marque un temps d’arrêt, pensive.



Le ton du psy se fait alors plus grave.



Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Sabine tout en continuant à parler.



Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.



Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s’assied dans un autre fauteuil, face à Sabine.



Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer l’entrejambe de Sabine.



Sabine remonte sa jupe pour vérifier. En effet, elle ne porte pas de culotte. Son sexe lisse est maintenant entièrement dévoilé aux yeux du psy.



Il s’approche alors très près d’elle, au plus près de son intimité.



Sans se poser de question, Sabine obéit. Le psy peut maintenant voir en détail tout le sexe de la jeune femme, sa fente entrouverte lui donne un vague aperçu sur ses parties intimes. Le clitoris érigé dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.



Sans plus attendre Sabine s’introduit deux, puis trois, puis quatre doigts dans le sexe. Il ne lui faut que quelques va-et-vient pour jouir bruyamment devant le praticien.


Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.



Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n’est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s’occupe. Le chemisier de Sabine est assez ample et un bouton vient de se détacher. Les mains de l’homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine, elles passent sous le chemisier. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il défait alors deux boutons supplémentaires pour pouvoir facilement lui pétrir les seins. Sabine ne porte pas de soutien-gorge, ses seins nus pointent sous le chemisier en tissu léger, elle s’en rend compte et esquisse une plainte.



Sabine obéit malgré tout et retire les deux vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l’autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Sabine.



Le psy se tourne vers son assistante.



La jeune fille s’exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s’entrouvre, Sabine entrevoit le sexe de l’assistante. Celui-ci est épilé comme elle s’y attendait et, s’il est visible, c’est évidemment qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l’assistante n’est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un soutien-gorge à balconnet en dentelle noire qui lui laisse les seins entièrement découverts, ainsi qu’un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.


Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s’approche à nouveau de Sabine et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n’hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n’allant jamais jusqu’à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Sabine.



En guise de réponse, Sabine laisse retomber chacune de ses jambes d’un côté du divan. Cela a pour effet d’ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s’agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Sabine. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu’à introduire sa langue au plus profond de l’intimité de la jeune femme.



La jeune femme enjambe le divan et se place sur Sabine en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se gouiner. Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s’astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l’assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Sabine reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d’un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle, son regard désignant clairement sa braguette.



La jeune femme s’avance aussitôt, s’accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Sabine, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.


Sabine s’insurge alors.



Le psy s’avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage.


L’assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Sabine pour lui masser la nuque.



En effet. Sabine n’est plus nue.



Entendant cela, Sabine se met à rougir. Le psy s’en rend compte et la rassure.



Sabine commence à s’inquiéter.



Sabine, inquiète et dubitative, quitte le cabinet. Que faire ? Comment le faire ? En repassant devant le bureau de l’assistante, elle ne peut s’empêcher d’observer la tenue de la jeune femme. On distingue aisément un chemisier sous sa blouse, elle n’est donc pas aux trois-quarts nue comme dans son rêve. Cela la rassure, mais en même temps une sensation curieuse l’envahit, probablement parce qu’elle a essayé de mater les dessous d’une autre femme. Encore un de ses fantasmes ? Si maintenant ceux-ci l’envahissent également en pleine journée, cela va rapidement tourner à l’obsession. Finalement, la thérapie proposée par le psy serait peut-être bien la moins mauvaise des alternatives.




6. Confidences


Une fois sortie de chez le psy, Sabine rentre chez elle et attend le début de l’après-midi pour aller chez son amie. Bien qu’elle lui ait déjà tout raconté par téléphone, elle est impatiente d’en discuter à nouveau avec elle, d’autant plus que Nicole ne sait pas encore ce qui s’est passé chez le psy.


Il n’est que quatorze heures lorsque Sabine sonne à la porte de Nicole. Elle a l’impression de revivre un de ses rêves. Pourtant tout est normal, elle porte une jupe et un chemisier, après vérification sa culotte et son soutien-gorge sont toujours présents. Son amie ouvre la porte, elle aussi est normalement habillée, dans une tenue assez proche de la sienne. Elle n’est pas à moitié déshabillée comme dans ses rêves. Tout ceci a l’air visiblement réel, ce qui la rassure. Nicole invite alors son amie à entrer.



Les deux femmes vont donc dans la chambre de Nicole et Denis. Sabine s’assied dans un fauteuil tandis que son amie s’allonge sur le lit.

Nicole entame enfin la conversation.



Sabine commence alors le récit de sa matinée, détaillant point par point tout ce qui lui est arrivé. Une fois ceci terminé, Nicole reprend la parole, plutôt déconcertée.



Nicole se penche pour essayer de deviner ce qui se cache à l’entrejambe de son amie.



Sabine écarte les jambes, dévoilant un tanga en dentelle noire que son amie peut entr’apercevoir. Ceci fait, elle reprend.



Un silence s’installe dans la pièce. Sabine n’ose pas continuer à livrer ses pensées. Nicole s’en rend compte et décide d’aider son amie à se livrer.



Sabine a l’air déçue.



À nouveau, le silence vient envahir la pièce. Mais cette fois-ci c’est Nicole qui n’ose pas parler. Sabine reprend alors la parole.



Sabine se lève et passe les mains sous sa jupe pour en retirer son tanga. Nicole fait de même et retire à son tour une jolie culotte en dentelle blanche. Ceci fait, les deux femmes, face à face, soulèvent leurs jupes, chacune dévoilant ainsi à l’autre son intimité cachée. Le sexe totalement imberbe de Sabine ne cache absolument rien de son intimité, le haut de ses lèvres étant parfaitement visible. Pour ce qui est de Nicole, ce n’est pas la même chose, la touffe de poils bruns qui recouvre son pubis cache son sexe encore mieux qu’une culotte. Elles s’observent de longues secondes, silencieuses et immobiles. C’est finalement Nicole qui reprend la parole en premier.



Pendant que Sabine retire sa jupe, Nicole laisse retomber la sienne. Elle se penche alors, approche sa main du pubis de son amie. Elle est nerveuse, ses doigts tremblent. Va-t-elle oser ? Quelques centimètres encore à parcourir, ses doigts n’ont jamais été aussi près du sexe de son amie. Elle finit enfin par atteindre le pubis glabre de Sabine. Ses doigts commencent à le caresser, ressentant le plaisir qu’il y a à caresser une peau bien lisse. Ses doigts s’hasardent un peu plus bas et atteignent le haut des lèvres. Nicole n’ose pas aller plus loin, elle est déjà en sueur sous l’effet de l’émotion. Elle se relève et s’assied sur le lit, les jambes tremblantes, tandis que son amie, dans un état assez proche, fait de même.


Côte à côte sur le lit, les deux femmes reprennent leur souffle, cela dure de longues secondes. Nicole est la première à reprendre la parole, elle est impatiente de partager ses impressions.



Sabine porte la main à son sexe avant de lui répondre.



Nicole fait de même.



Des cris émanant du jardin parviennent jusqu’à la chambre en passant par la fenêtre entr’ouverte. Ce sont les enfants de Nicole qui appellent leur mère, elle se lève et s’adresse une dernière fois à son amie avant de quitter la chambre.



Nicole a quitté la chambre. Sabine, qui n’a pas eu le courage de remettre son slip et sa jupe, s’est allongée sur le lit. Elle s’efforce de reprendre ses esprits et de se décontracter. Ça y est, la thérapie du psy a commencé à être appliquée. Il fait beau, l’air est chaud, il est agréable de rester allongée à ne rien faire.


Quelques instants plus tard, Nicole est de retour. Sabine est plutôt surprise car son amie s’est entièrement déshabillée.



Les deux femmes ressortent de la chambre et traversent le couloir en direction de la salle de bains. Nicole, complètement nue, est suivie de Sabine qui ne porte plus que son chemisier. Nicole entre la première et se dirige vers un placard où elle prend une serviette ; elle va ensuite à un autre placard d’où elle sort un rasoir et de la mousse à raser. Elle pose le tout au bord de la baignoire et se retourne vers son amie.



Tandis que Nicole prend place à côté de la serviette, Sabine fait couler de la mousse à raser dans le creux de sa main. Elle s’approche ensuite de son amie et commence à recouvrir sa toison pubienne. Le contraste entre les poils noirs et la mousse blanche est net, mais le blanc prend progressivement le dessus. Sabine prend alors le rasoir en mains et commence son travail de débroussaillage. Les poils noirs disparaissent au fur et à mesure de l’avancement du travail. Simultanément, sa fente commence à apparaître. Sabine lui fait bien écarter les jambes pour accéder aux moindres replis, et du coup le sexe de Nicole s’entrouvre sous les yeux de Sabine qui parvient difficilement à cacher son excitation.


Par deux fois, Sabine remet de la mousse pour affiner le rasage. À la fin, il n’y a plus de contraste entre le noir et le blanc, tous les poils ont disparu, la peau est à nu. Nicole enjambe alors la baignoire et se rince l’entrejambe à l’aide de la douchette. Son sexe est devenu imberbe, plus aucun poil ne cache ses parties les plus intimes, et ce pour le plus grand plaisir de son amie qui ne peut s’empêcher de lui dévorer le sexe des yeux. Sabine prend la serviette et se charge elle-même d’essuyer son amie, une façon très intime de la caresser. Elle repose ensuite la serviette et, sans un mot d’explication, se met à caresser le pubis de son amie puis, descendant vers le sexe, elle lui parcourt la fente de haut en bas. Bien qu’elle se laisse faire, car cela est très agréable, Nicole est néanmoins surprise de ce traitement.



Ses doigts se font plus précis, elle commence même à en faire pénétrer un à l’intérieur de la fente de son amie, à la recherche de son clitoris. Toujours aussi surprise, Nicole ne peut s’empêcher d’être gagnée par le plaisir qui monte en elle.



Sabine, qui entretemps a déboutonné son chemiser, le jette négligemment sur le fauteuil. Elle se retrouve alors totalement nue car elle ne portait pas de soutien-gorge. Les deux jeunes femmes s’allongent sur le lit en se plaçant spontanément tête-bêche. De cette façon, chacune peut explorer à loisir le sexe de son amie. Les petites caresses du début se transforment rapidement en masturbation prononcée, chacune introduisant d’abord un doigt dans la chatte de sa partenaire, puis deux, puis trois. N’y tenant plus, Nicole monte sur Sabine et les deux femmes se mettent à se lécher mutuellement le sexe sans retenue. Les langues remplacent les doigts, parcourant les lèvres avec fébrilité, titillant le clitoris, s’insinuant au plus profond de l’intimité. Tout à coup, Sabine ressent une présence, elle tourne la tête, un garçon et une fille sont sur le pas de la porte, les enfants de Nicole sont en train de les observer. Surprise et honteuse, elle tressaillit, pousse un cri et ouvre les yeux. Elle est seule dans le lit, plus personne à la porte, elle porte à nouveau son chemisier, elle vient de se réveiller. Tout ceci n’était qu’un rêve. Encore un rêve !


Nicole arrive quelques instants plus tard.



Sabine regarde le pubis de son amie, il a l’air largement moins fourni que tout à l’heure.



Une fois dans la salle de bains, Nicole s’assied au bord de la baignoire. La serviette, la mousse à raser et le rasoir sont déjà sortis. Sabine a l’impression d’avoir déjà vécu cette scène.



Sabine reprend alors la bombe de mousse en main et en fait couler sur ses doigts. Elle étale ensuite la mousse sur la toison pubienne de son amie jusqu’à ce qu’elle ait recouvert tous les poils. Pendant cela, Nicole écarte les cuisses pour faciliter le travail de son amie. Ce faisant, elle lui dévoile encore plus profondément ses parties les plus intimes. Ses lèvres s’entrouvrent, dévoilant partiellement son clitoris et le reste de l’intérieur de sa fente. Troublée, Sabine se ressaisit et prend le rasoir en main pour passer à la partie la plus importante, la suppression totale des poils pubiens de son amie.


Tout en maniant le rasoir, Sabine demeure pensive.



Tout en discutant, Sabine a fini de raser le sexe de son amie. Il est dorénavant aussi lisse que le sien, aussi lisse que dans son rêve. Va-t-elle aller plus loin et continuer à faire ce qu’elle a rêvé ?



Nicole porte la main à son sexe et commence par se caresser le pubis, puis les lèvres, elle s’introduit ensuite nonchalamment un doigt devant les yeux éberlués de son amie.



Arrivée dans la chambre, Sabine retire son chemiser comme elle l’a déjà fait dans son rêve. La seule différence c’est que, cette fois-ci, elle porte un soutien-gorge qu’elle retire également. Une certaine appréhension la gagne.



Obéissant à son amie, Sabine s’allonge sur le lit. Nicole se place à côté d’elle. Les deux femmes se regardent, Sabine commence à se calmer. Nicole approche sa main du sexe de son amie et commence à le caresser. Tremblante et hésitante, Sabine fait de même. Sa main touche enfin la peau de son amie et elle se met alors à parcourir son pubis glabre. Nicole écarte les jambes pour faciliter les caresses qu’elle reçoit. Sabine fait de même, ce qui permet à son amie de laisser pénétrer le bout de ses doigts entre ses lèvres. Elle laisse Nicole enfoncer progressivement un de ses doigts plus profondément, puis un second. Tandis qu’elle est partie à la recherche du clitoris de son amie, cette dernière se décide enfin à découvrir l’intimité de sa partenaire de façon plus approfondie. Les deux femmes ont maintenant chacune deux doigts dans le sexe de l’autre.


Le temps s’écoule tranquillement. La chambre est calme, les enfants étant sortis il n’y a plus de bruits qui viennent du jardin. Les deux femmes peuvent profiter pleinement du temps présent en se masturbant mutuellement. Les mouvements se font plus rapides et plus profonds. De deux doigts, on passe à trois. La caresse du clitoris se fait plus insistante et précise. Les deux femmes ne cessent de laisser échapper des petits cris de jouissance. De leur main libre, elles se caressent le corps et les seins. La tension monte encore, les cris se font plus forts. Maintenant elles se caressent mutuellement les seins de leur main libre tout en continuant de se masturber de l’autre. Les bruits qui émanent de leurs sexes laissent deviner qu’elles sont complètement mouillées, d’ailleurs leurs mains ruissellent de leur jus intime. L’excitation est à son comble. Sabine ne pense plus qu’à son plaisir et à celui de son amie. Par moments, des flashs fugaces lui rappellent brièvement des extraits de ses rêves passés et cela l’excite encore plus.


C’est trop, elle n’en peut plus, elle ne cesse de gémir et de crier, tant la sensation de jouissance traverse son corps de part et d’autre. Un dernier cri. Violent. Rauque. Brutal. La jouissance aura été totale. Elle gémit encore tandis que Nicole jouit à son tour. Elle non plus ne ménage pas ses cris de jouissance. Intenses. Bruts. Bestiaux. Ils emplissent la pièce. Heureusement, les enfants ne sont plus dans le jardin, ils auraient tout entendu.


Epuisées, les deux femmes restent allongées sur le lit de longues minutes, la main dans la main, le temps de reprendre leurs esprits et de retrouver leur souffle. Sortant de sa léthargie, Sabine reprend la parole la première.



Alors qu’elles sont en train de se rhabiller, Nicole se tourne vers son amie.



Dans le même temps, Nicole subtilise le tanga de son amie avant qu’elle ait eu le temps de l’enfiler.



Tout en s’expliquant, Nicole raccompagne son amie jusqu’à la porte d’entrée.



Alors qu’elle est en train de réajuster son soutien-gorge, Sabine s’inquiète.



Les deux amies se séparent. Sur le trajet du retour, Sabine ne peut s’empêcher d’être perplexe. Que va-t-elle faire ? Jusqu’où cela va-t-il aller ? En tout cas, ce qui est certain, c’est que se balader dans la rue le cul à l’air, c’est très agréable. Le vent qui passe sous sa jupe lui caresse sans cesse les fesses et le sexe. Nicole avait raison, une fois de plus…




7. Discussion


Sabine est tellement excitée en arrivant chez elle, qu’elle va immédiatement dans la chambre, s’allonge sur le lit et se masturbe sans plus attendre. Il ne lui faut que quelques secondes pour jouir et elle pousse encore un grand cri rauque comme elle l’a déjà fait chez son amie. Epuisée, elle retire sa jupe et son chemisier et se rallonge, elle ne porte plus que son soutien-gorge. Quelques instant plus tard, elle retire aussi ce dernier et s’allonge à nouveau sur le lit. Cela ne dure pas longtemps, elle se relève encore une fois, reprend son chemisier sans mettre de soutien-gorge et le boutonne. Elle commence alors à se toucher les seins à travers le chemiser. C’est agréable. Ses tétons se mettent rapidement à pointer et deviennent tout durs et sensibles. Elle s’allonge et continue de se caresser les seins. L’excitation monte à nouveau. Tandis qu’elle continue de se caresser la poitrine de la main gauche, sa main droite descend vers son sexe et commence à l’explorer. Cela va vite : deux doigts, trois doigts, puis quatre, elle mouille énormément et ne cesse de gémir. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle jouit pour la troisième fois en moins d’une heure. Elle est épuisée, mais… qu’est-ce que c’est bon !


Après s’être reposée un bon quart d’heure, Sabine se lève, retire son chemiser et quitte la chambre en direction de la salle de bains. Une douche bien fraîche lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Elle ressort de la cabine de douche et prend sa serviette pour se sécher. L’envie de se caresser en même temps traverse son esprit, mais elle préfère néanmoins se retenir. Ses jouissances ont été assez intenses aujourd’hui, ce qui l’épuise un peu plus à chaque fois. Une fois bien sèche, elle quitte la salle de bains et retourne dans la chambre.


Quelle tenue va-t-elle bien pouvoir mettre ce soir ? Sabine regarde l’heure au radio-réveil. Déjà 17 heures, Philippe ne devrait plus tarder. L’armoire est grande ouverte, le choix n’est pas facile. Une jupe courte ou longue ? Ou alors une robe ? En tout cas, pas un pantalon. Quitte à ne pas porter de sous-vêtement, autant avoir le cul à l’air. Les idées se bousculent dans son esprit. Faut-il mettre des bas ou un collant ? Porter un collant sans culotte dessous, c’est assez excitant, mais on a moins les fesses à l’air. En plus, c’est beaucoup moins pratique en cas de rapport sexuel. Donc plutôt des bas. Avec un porte-jarretelles ? C’est plus excitant, mais sous un vêtement moulant c’est trop visible. Et d’ailleurs, quel vêtement choisir ? Pourquoi ne pas commencer par là ?


Donc une jupe ou une robe, mais pas trop longue. Pas trop courte non plus, à moins de vouloir montrer sa chatte chaque fois qu’elle écartera un tant soit peu les jambes. Et si l’on commençait d’abord par essayer de choisir le haut ? Un chemisier ? Pourquoi pas… Il y en a un blanc, légèrement transparent qui serait du plus bel effet, en tout cas pour ce qui est de dévoiler discrètement ses seins en liberté. C’est vrai, après tout, quitte à ne pas porter de soutif, que faire ? Cacher ses seins derrière un haut opaque et épais ? Ou au contraire laisser deviner qu’on ne porte pas de soutien-gorge en laissant deviner leur forme derrière un tissu légèrement transparent, ou bien derrière un tissu opaque mais moulant ? Sabine a le bout des seins qui pointent facilement, elle le sait, et les montrer à travers un tissu moulant ne serait pas pour lui déplaire. Elle pourrait aussi mettre un top à bretelles, elle en a plusieurs qu’elle n’hésite pas à mettre en été, quelquefois même sans soutien-gorge, pendant les vacances, loin de chez eux et du regard des voisins, la proéminence de ses tétons n’étant pas sans la gêner dans sa vie de tous les jours. Non, pas assez habillé, tant pis pour le top à bretelles.


Finalement, l’attention de Sabine finit par se concentrer sur une robe moulante en satin noir. Descendant jusqu’au-dessus des genoux, elle a l’air assez sage, mais le décolleté en V qu’elle a dans le dos la rend nettement plus sexy lorsqu’on la regarde par-derrière. Elle l’enfile. Sans soutien-gorge, ses seins pointent effrontément à travers le tissu. Quand elle bouge, ils bougent aussi sous le tissu. On ne les voit pas mais on les devine facilement. Plus elle bouge, plus les tétons durcissent et pointent. À peine se passe-t-elle les doigts sur le bout des seins qu’elle se sent déjà mouiller. Bon, le choix est fait.


Sabine redescend au rez-de-chaussée, va au salon et s’installe sur le canapé, les jambes serrées, une posture bien sage. Puis elle croise les jambes, les décroise, change de place. La constatation est terrible : quoi qu’elle fasse, où qu’elle se mette, qu’elle bouge ou pas, elle ne cesse d’être excitée. Pour l’instant, c’est agréable, mais à la longue cela pourrait finir par être pénible. Elle n’a pas le temps d’y penser plus longtemps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir, Philippe vient d’arriver. Que va-t-il penser de cette tenue ? Faut-il tout lui dire ? De toute façon, il faut bien qu’elle lui annonce qu’ils sont invités ce soir. S’il ne veut pas être surpris, il faudrait le prévenir du thème de la soirée. Pour qu’il comprenne le sens de ce thème, il vaudrait mieux tout lui expliquer depuis le début. Ce serait plus simple.


Sabine se lève alors et va à la rencontre de son mari.



Philippe prend sa femme dans ses bras et pose les mains sur son dos. Il a déjà remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui lui permet de lui parcourir le dos sans entrave. Il laisse alors descendre une de ses mains plus bas, pour lui caresser les fesses. Surprise ! Il ne ressent pas la couture de la culotte. Curieux, il descend plus bas, passe sous la robe et fait remonter sa main. Il parvient sans difficulté jusqu’au sexe abondamment mouillé de sa femme.



Philippe retire alors son pantalon et son caleçon, son sexe est déjà raide, en érection. Ne prenant pas le temps de retirer sa cravate, sa chemise et ses chaussettes, il entraîne Sabine vers la cuisine. Il lui remonte sa jupe et l’assied sur le bord de la table. Sans plus de préliminaires, il s’introduit sans aucune difficulté dans le sexe détrempé de sa femme. Philippe se met ausitôt à la pilonner tandis que Sabine ne cesse de crier très fort l’intensité de sa jouissance. Il ne tarde pas à jouir, remplissant de sperme la chatte de sa femme. Quand il se retire, la fente de Sabine est toujours aussi dégoulinante d’un mélange de sa mouille et de sperme qui s’écoule lentement sur la table. Epuisée par sa jouissance, elle ne parvient pas à bouger tandis que Philippe lui apporte quelques feuillets d’essuie-tout pour qu’elle se nettoie ainsi qu’il le fait lui-même.


Remis de leurs émotions, ils montent jusqu’à leur chambre. Tandis que Philippe range dans l’armoire les vêtements qui ne lui ont pas servi, Sabine lui raconte sa nuit, puis sa journée. Cette énumération détaillée de tous les fantasmes de sa femme ne cessent de l’épater.



Sabine s’allonge alors sur le lit tandis que son mari quitte la chambre. Qu’est-il parti faire ?


Peu de temps après, Philippe revient dans la chambre, suivi par le psy.



Il repart aussi vite qu’il était arrivé, laissant sa femme avec le psy, ce qui ne manque pas de la surprendre.



Sabine s’attend alors à ce qu’il quitte la chambre, mais il n’en est rien. Au contraire, il s’avance encore un peu plus vers elle.



Sans lui répondre, le psy retire sa chemise, puis son pantalon sous les yeux étonnés de la jeune femme. Il ne semble pas très poilu mais est par contre bien musclé. Après avoir également retiré ses chaussettes, il ne lui reste plus que son slip. Il le fait alors glisser sensuellement vers le bas. Son pubis apparaît, on y voit des poils pubiens, blonds. Sabine semble déçue. Il continue à faire descendre son slip et son sexe se dévoile. Il est gros et épilé. En fait, le psy n’a gardé qu’un carré de poils coupés court sur le pubis, tout le reste a été rasé. Son torse, ses bras, ses jambes, tout son corps est imberbe, à l’exception d’un carré intime. S’épile-il tout le corps ? Sabine ne va pas tarder à avoir la réponse à cette question incongrue qui lui a traversé l’esprit.



Alors qu’elle est en train de discuter, Sabine ne s’est pas rendu compte qu’il s’est rapproché lentement d’elle pendant la conversation. Sa robe est suffisamment relevée pour que le psy puisse voir son sexe. Il approche ses mains des cuisses de la jeune femme et commence à les masser. Sabine est surprise mais ne dit rien. Son regard est captivé par cette grosse verge qui commence à grossir. Ce matin, elle n’avait pas remarqué qu’il avait une aussi grosse bite, mais c’est vrai qu’elle était en grande partie cachée par son pantalon. C’est quand il commence à faire remonter ses mains en direction de l’entrejambe de Sabine qu’elle manifeste enfin son désaccord.



Il ne tient pas compte de ce qu’elle dit et continue son massage. Ses doigts arrivent au contact de la fente de Sabine tandis que son sexe commence à être réellement en érection, une très belle érection. Sabine ressent le contact de ces doigts étrangers qui cherchent à s’insinuer en elle à la recherche de son clitoris. C’est trop, elle ne peut pas laisser faire ça. Elle se met alors à crier.



Philippe arrive instantanément. Sabine a l’impression qu’il était caché derrière la porte, peut-être en train d’observer ce qu’elle était en train de subir. Pourquoi n’est-il pas intervenu spontanément ? Prenait-il du plaisir à les observer ?



Le psy prend la parole.



Sabine est stupéfaite d’une telle réponse.



Philippe corrige ce qu’elle vient de dire.



Et, dans la foulée, Philippe s’approche du psy. Il s’agenouille devant lui, ouvre la bouche et y laisse pénétrer le sexe en érection du praticien.


Stupéfaite, Sabine assiste alors à la fellation que son mari prodigue au psy qui est lui-même en train de la masturber. Et c’est que Philippe s’y prend bien, elle le voit faire, il pompe comme s’il l’avait toujours fait. Le psy apprécie visiblement, il ne cesse de gémir. Sur la fin, il en oublie même de masturber Sabine, à la place il préfère utiliser ses mains pour tenir la tête de Philippe, qui se laisse faire, et lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Cela ne dure guère car, dans un dernier soubresaut accompagné d’un cri rauque et puissant, le psy éjacule dans la bouche du mari de Sabine.


D’où elle est placée, elle ne remarque que le filet de sperme qui commence à couler le long de la bouche de son mari. Le jet a dû être considérable et il n’a pas pu tout avaler, à moins qu’il n’ait essayé de recracher. Le psy se retire alors de la bouche de Philippe et va vers Sabine, le sexe encore érigé et couvert de restes de sperme. Sabine recule.



Philippe essaye de la raisonner mais, la bouche pleine de sperme, sa diction n’est pas très claire. Il essaye d’en avaler le maximum pour parvenir à mieux parler.



Dégoûtée, Sabine s’exécute quand même et lèche tout le jus souillant la verge du praticien. Elle ne peut pas s’empêcher de manifester son désaccord tandis qu’elle lui suce le gland.



Philippe s’exécute et retire ses vêtements. Son sexe est intégralement rasé, ce qui surprend un peu plus Sabine.


Une fois que Philippe a fini de se mettre nu et que Sabine a terminé de nettoyer le sexe du psy, ce dernier s’approche du mari, le fait s’allonger sur le lit et se met à le sucer à son tour. Le grand athlète semble être un spécialiste de la fellation, il arrache immédiatement des cris de plaisir à Philippe. Sabine qui est allongée à côté d’eux peut profiter à loisir du spectacle. Il a l’air de se débrouiller aussi bien que ces petites putes que l’on voit dans les films pornos et cela finit par l’exciter. Machinalement, sans réellement s’en rendre compte, Sabine laisse une de ses mains s’avancer vers son sexe et elle commence à se masturber tout en regardant ces deux hommes jouer aux pédés. Elle ressent une gêne, mais aussi beaucoup de plaisir. Peut-être même que c’est la gêne qui entraîne le plaisir. C’est contradictoire, mais qu’est-ce que c’est bon… Philippe ne tarde pas à crier, de plus en plus fort, il ne crie jamais comme ça quand c’est sa femme qui le suce. Peut-être qu’elle ne sait pas s’y prendre ? Les cris de Philippe cessent soudain tandis que la bouche du psy se remplit de sperme. Son mari vient de jouir dans la bouche d’un autre homme, peu de temps après avoir lui-même fait jouir ce même homme dans sa bouche. Sabine repense à tout ça, en observant le sperme de son mari couler sur la joue du praticien. Elle jouit à son tour, laissant échapper un cri de plaisir.


Le psy ne manque pas de remarquer ce cri et ce qui en est la cause. Il se relève et s’adresse à Sabine, la bouche pleine de sperme, comme l’avait fait son mari auparavant.



Elle se penche vers Philippe et lui nettoie la bite de la même façon qu’elle l’a fait au psy peu de temps auparavant.

Une fois le sexe de son mari bien propre, elle termine d’avaler le sperme qui lui reste dans la bouche et s’allonge sur le lit, pensive.


Soudain, on lui tape sur l’épaule. Sabine sursaute. Qu’est-ce qui se passe ? C’est Philippe, toujours à côté d’elle, qui vient de la réveiller. Le psy n’est plus là. C’était bien un rêve. Un de plus.



Il lui répond tout en se levant pour faire le tour du lit.



Philippe a fait le tour du lit, Sabine peut enfin le voir de face. Il a le sexe rasé ! Elle rêve encore !



Sabine s’avance, sent le sexe de son mari, elle reconnaît l’odeur de la mousse à raser. C’est exact, il vient de se raser le sexe. Tout est trop réaliste pour être un rêve. Elle lui caresse le sexe, curieuse et ravie.



Elle se penche en avant et commence à le sucer.



Philippe se laisse faire. Son plaisir monte rapidement, accompagné de gémissements rauques. Quelques minutes plus tard, il laisse éclater son plaisir en éjaculant dans la bouche de sa femme. Ravi, Philippe se penche vers elle et l’embrasse alors qu’elle a la bouche encore pleine de sperme. Elle en est surprise.



Sabine est déjà habillée de sa robe moulante. Elle ne porte toujours rien dessous. Philippe, toujours nu, se dirige vers la commode, en sort un slip et des chaussettes et commence à s’habiller. Sa femme l’interrompt.



Il range alors le slip, ouvre l’armoire et choisit un ample pantalon de couleur claire en toile fine.



Philippe termine de s’habiller, choisissant une chemisette légère, presque transparente. On devine le contour de son corps quand il se place devant la lumière de la fenêtre. Sabine le remarque et trouve cela aussi érotique qu’une femme habillée d’une robe de tulle transparent. Encore un fantasme ?




8. Thérapie


Six… Sept… Huit… Le clocher voisin cesse d’égrener les heures. Il est donc vingt heures, Sabine et Philippe sont plutôt nerveux, ils arrivent devant la maison de leurs amis pour y passer une soirée qui risque d’être assez chaude. Leur appréhension est grande, ils ne sont pas du tout adeptes de ce type de soirée. Ce qui les rassure un peu, c’est que leurs amis ne le sont pas non plus. Ce sera une découverte pour tout le monde. Ils sont certainement tout aussi nerveux qu’eux. Sabine sonne. Les dés sont jetés.


C’est Nicole qui vient leur ouvrir. Sa tenue n’a rien à envier à celle de Sabine. Elle porte un petit haut en dentelle noire et une minijupe, noire également. Les deux femmes s’observent. Chacune semble rassurée de constater que son amie a opté pour des vêtements tout aussi osés que les siens. Philippe observe également Nicole. Il ne peut s’empêcher d’observer la poitrine de la jeune femme, visible par transparence. Cela l’excite déjà pas mal mais, quand il se rappelle qu’elle ne porte certainement pas de culotte sous sa mini, cela achève de lui faire de l’effet. En l’absence de sous-vêtement, son sexe se redresse promptement dans son pantalon, il se forme alors une bosse très visible au niveau de sa braguette.


Les deux femmes se font la bise, puis c’est au tour de Philippe d’embrasser la copine de sa femme. Nicole remarque immédiatement l’érection de Philippe, elle est tellement visible qu’on ne voit que cela. Tout en l’embrassant, elle le complimente mais sans oser y toucher.



Sabine remarque à son tour la bosse dans le pantalon de son mari.



Tous les trois vont dans la salle à manger. Denis ne tarde pas à arriver, une bouteille de vin en main. Il a opté pour une tenue assez proche de celle de Philippe. Sabine s’en rend compte.



Et d’un seul mouvement, elle montre la bosse dans le pantalon de son mari, la saisit à pleine main et entame un mouvement de masturbation qu’elle interrompt après quelques allers et retours. Il n’en faut pas plus pour qu’une bosse se forme également dans le pantalon de Denis, trahissant par là même le fait que lui non plus ne porte pas de sous-vêtement, ce que remarque Philippe.



Denis reste encore un instant à la cuisine, le temps de déboucher la bouteille qu’il vient d’apporter, et vient la poser sur le bar. Il rejoint alors ses amis qui ont pris place autour de la table du salon. Les deux femmes sont assises sur le canapé tandis que Philippe s’est vautré dans un fauteuil. Même si les deux femmes ont gardé bien sagement leurs jambes serrées, leurs tenues très courtes ne parviennent pas à masquer totalement leur intimité, dès lors que l’on est juste face à elles. Et c’est justement ce que fait Denis, il s’assied face à Sabine et se penche ostensiblement. Il arrive ainsi à entrevoir en partie le pubis épilé de la copine de sa femme, ce qu’il n’hésite pas à dire à ses amis.



Sabine ne comprend pas immédiatement.



Il se tourne alors vers Philippe, qui est placé entre lui les femmes, sur le côté de la table.



Philippe se lève et déplace son fauteuil.



Après s’être déplacé, Philippe peut à son tour bénéficier d’une vue sur l’entrejambe de l’amie de sa femme. Il peut alors remarquer qu’elle semble elle aussi épilée, ce qui confirme ce que lui a dit sa femme.


Au cours de l’apéritif, l’alcool aidant, tout le monde commence à se détendre. Les deux femmes se contrôlent moins et il est de plus en plus facile pour Philippe et Denis de mater l’entrejambe de la femme de l’autre et cela commence à les exciter. Philippe commence même à discrètement se caresser le sexe à travers son pantalon, ce qui est facilité par sa tenue. Nicole s’en rend compte et décide de réagir.



Philippe est déçu. Ça commençait à devenir intéressant. À moins qu’elle ne veuille plus de cette soirée débridée… Nicole se lève. Ce qu’elle lui glisse à l’oreille en passant le rassure.



Les quatre convives vont donc s’asseoir autour de la table ronde de la salle à manger. Le repas, léger mais néanmoins agréable, est agrémenté de bon vin dont l’alcool ne tarde pas à monter à la tête de chacun. La discussion devient de plus en plus leste. Le principal sujet est bien évidemment le sexe. Sabine et Nicole sont de vieilles copines d’enfance. À l’occasion de cette journée, d’anciens souvenirs leur remontent à l’esprit. C’est Nicole qui en parle la première.



Sabine fouille alors au fond de sa mémoire.



Les deux hommes commencent à s’intéresser vivement à la conversation, en particulier Denis.



Sa femme lui répond.



Sabine complète ce qu’a dit son amie.



Philippe a alors une idée saugrenue.



Sabine ne peut cacher sa surprise.



Sabine se lève, fait le tour de la table et s’approche de Nicole. Elle se penche, approche sa main de l’entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l’a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Nicole ne peut s’empêcher de réagir.



Sabine retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.



Philippe ne comprend plus.



Nicole reprend la conversation avec son amie.



Nicole, qui s’est rassise entre-temps, porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l’aider à se remémorer d’autres souvenirs.



Philippe est impatient.



Nicole se souvient à son tour de tout cela.



Nicole réalise qu’elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.



Philippe s’interroge.



Sabine reprend alors son récit.



Nicole confirme.



Denis s’est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Sabine terminait son récit. C’est alors que l’on entend un grand plouf suivi de quelques jurons énervés. Nicole tourne la tête en direction de la cuisine.



Il fait alors le tour du bar pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.



Nicole est consternée.



Sabine confirme.



Sabine intervient.



Philippe s’inquiète.



Philippe se lève à contrecœur tandis que Denis a déjà retiré sa chemise.



Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c’est que Philippe s’est rasé le sexe tandis que Denis a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Nicole.



Denis revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu’à ce qu’il se rasseye.


Nicole reprend alors la conversation en s’adressant à Philippe et Denis.



Son mari lui répond.



Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Sabine n’en croit rien.



C’est Philippe qui lui répond.



Ce que confirme Denis.



Sabine reprend.



Sa copine la regarde médusée.



Le repas est terminé. Nicole se tourne vers son amie.



Denis est stupéfait.



Sa femme lui répond.



Denis se lève à contrecœur et quitte la salle à manger. Nicole et Sabine le suivent. Philippe, qui se retrouve seul à table, leur emboîte le pas. C’est quand il est arrivé en haut de l’escalier que Denis réalise qu’il est suivi.



Denis, dépité, se rend à la salle de bains, suivi de sa femme et de ses amis. Il s’adresse alors à Philippe.



Une nouvelle idée germe alors dans le cerveau de Sabine.



Pendant ce temps, Denis a sorti la mousse à raser et un rasoir, puis il s’est assis au bord de la baignoire. Sa femme se permet de le conseiller.



Philippe confirme.



Du coup, Denis sort la tondeuse, la branche sur le courant et s’assied à nouveau au bord de la baignoire. Il est prêt, pour se faire raser le sexe par son ami. Philippe s’approche, prend la tondeuse en main et la met en route. Il est quand même un peu gêné, Sabine s’en rend compte.



Philippe ne sait pas trop comment s’y prendre pour prendre en main la bite de son copain. Après avoir essayé plusieurs méthodes sous les yeux amusés des deux femmes, il choisit finalement de la saisir du bout des doigts comme s’il s’agissait d’un gros insecte repoussant. De cette façon, il parvient quand même à passer maladroitement la tondeuse presque partout. Reste maintenant l’épreuve du rasoir. Il prend la bombe de mousse, la secoue et en fait couler sur le pubis de Denis sans l’étaler. Il prend alors le rasoir et commence à le passer sur la peau de son ami qui se plaint immédiatement.



Sabine sait très bien où est le problème.



Philippe, encore plus gêné, se retrouve contraint d’étaler la mousse à raser sur le pubis de son ami. Il commence alors le rasage qu’il parvient à faire assez facilement. En finale, il n’est pas mécontent de lui.



Sa femme n’est pas d’accord.



Philippe reprend la mousse à raser, mais cette fois-ci il la fait couler sur ses doigts. Il s’efforce de l’étaler le mieux possible sur les parties intimes de son ami, même s’il n’ose pas utiliser son autre main pour soulever la bite de Denis et passer dessous. Il prend alors le rasoir et continue son travail. Au début ce n’est pas bien facile, mais Philippe se détend peu à peu et commence enfin à prendre la bite de son ami dans sa main pour la soulever chaque fois que nécessaire. C’est un nouveau défi pour lui lorsqu’il doit s’occuper des bourses, car il lui faut bien tirer sur la peau pour que le rasage soit réussi. Au bout de dix minutes d’efforts intenses, Philippe est enfin parvenu à terminer le rasage du sexe de son ami. Il se relève tandis que Denis s’asperge d’eau avec la douchette pour se débarrasser des restes de mousse à raser.


Une fois que Denis s’est séché, il peut enfin découvrir cette incroyable sensation, celle que l’on a quand on se caresse le sexe après se l’être rasé.



Tandis que les deux hommes se font face et s’observent mutuellement, Philippe le confirme tout en allant plus loin.



Ce qui ne manque pas d’intéresser sa femme.



Le silence se fait tandis que Philippe commence son récit.



Sabine est impatiente.



Philippe raconte son histoire au fur et à mesure qu’il s’en souvient. C’est ainsi qu’il se rend compte qu’il aurait mieux fait de ne pas la commencer. Tant pis, maintenant autant aller jusqu’au bout.



Sabine commence à trouver de plus en plus d’intérêt au récit de son mari.



Denis a suivi ce récit avec étonnement.



Nicole réagit immédiatement.



Philippe intervient.



Sa femme se fait curieuse.



Nicole reprend la parole.



Sabine répond la première.



Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir, retirent le peu de vêtements qu’elles portent et vont s’allonger sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Sabine s’adresse alors à eux.



Son mari se refuse à comprendre.



Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu’ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se gouiner leur font également beaucoup d’effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement déjantée que ce serait dommage de ne pas s’amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux à moitié en érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l’autre, découvrant le plaisir de caresser un sexe imberbe, le sexe d’un autre homme en plus. Une minute s’est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant leurs sexes bien raides et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s’interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Denis s’approchent du lit et s’allongent dessus tête-bêche. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite n’est plus qu’à quelques centimètres de sa bouche. Denis a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l’autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.


Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Sabine et Nicole s’en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Quant à Philippe, il commence à s’inquiéter.



Sabine leur répond.



Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l’autre. Au bout de quelques minutes Sabine sent qu’elle veut passer à autre chose.



Elle s’adresse alors à Denis.



Philippe intervient alors.



Sabine acquiesce.



Nicole se contente de confirmer.



En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l’autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur le corps. Epuisé, il va l’embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu’à arriver au contact de son propre sperme qui s’est répandu sur le ventre et les seins de Sabine. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Denis. Philippe le sait, c’est pour ça qu’il l’a fait, et il en fait part à son ami.



Denis était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.



Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.



Joignant le geste à la parole, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Sabine. Denis atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.



Denis se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.



Philippe s’approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.



Sabine est ravie.



Les deux hommes se replacent alors tête-bêche, comme ils l’ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l’autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Ils s’avancent simultanément, comme ils l’ont déjà fait, chacun observant l’autre. C’est le premier pas le plus dur. Chacun s’avance encore un peu, ouvre la bouche et gobe la bite de l’autre. C’est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Tandis que les deux hommes sont occupés à se nettoyer mutuellement le sexe en avalant chacun le sperme de son ami, Nicole est en train de lécher Sabine pour la nettoyer du sperme qu’elle a sur elle. Elle descend plus bas et nettoie également la chatte de son amie, du sperme étant aussi en train de s’en écouler.


Sabine jouit à nouveau, grâce à la langue de son amie, tout en regardant les deux hommes se sucer. Sous l’effet de la succion, chacun a repris de l’ardeur dans la bouche de l’autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Elle demande alors à Nicole quelque chose de surprenant.



Nicole pince Sabine qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.



Nicole conclut alors.



Les deux hommes acquiescent de la tête. Ils ne peuvent plus parler, ils viennent de jouir à l’instant et leurs bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, ils se relèvent et terminent cette soirée en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective. Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !