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Temps de lecture estimé : 24 mn
12/11/05
Résumé:  Frederica va recevoir de Philippe une fessée-plaisir avec les conseils de Fabienne.
Critères:  fh ff ffh fbi fplusag campagne voyage fsoumise voir hdanus fouetfesse init
Auteur : Erasme_34  (Première série érotique)            Envoi mini-message

Série : Le stage

Chapitre 03 / 04
Frederica ou la fessée sentimentale

Après la succession d’événements qui viennent de se produire, j’essaie de remettre mes idées d’aplomb et de faire l’historique de la situation dans laquelle je me trouve.


J’ai vingt-cinq ans et je fais un stage de doctorat chez un sous-traitant automobile près de Sully sur Loire. Je suis logé par une cousine de ma mère, Florence, qui est une très belle femme de quarante-cinq ans. À ce jour, je n’ai tenté aucun travail d’approche pour la séduire bien qu’elle soit délaissée par son mari, très souvent absent. Pendant huit jours je me suis presque ennuyé comme un rat mort dans cette maison confortable, mais où il ne se passe rien. Et voilà que ce soir deux femmes m’ont tendu un « sympathique coup fourré » : Fabienne, âgée de cinquante-cinq ans, et Frederica, sa petite amie nordique âgée de cinquante ans.




Dès qu’elles sont entrées dans ma chambre, Fabienne prend toutes les initiatives. Après quelques préliminaires, elle déshabille d’abord Frederica, puis fait de même avec moi avant de se dévêtir en dernier lieu. Quelques instants plus tard, les deux femmes se concertent et me donnent un avant-goût particulièrement agréable de la suite des événements. Leur devoir accompli, je vais m’allonger sur mon lit, dans le plus simple appareil. Successivement Fabienne et Frederica viennent me rejoindre. Nous nous retrouvons donc tous les trois côte à côte, allongés sur le dos et nus. Fabienne est au centre. Puis, comme si nous étions dans un amphi de fac, à notre nudité près, Fabienne nous fait un cours magistral sur la fessée-plaisir en nous précisant d’entrée qu’après les cours il faudra passer aux travaux pratiques.



Le long discours sur la fessée-plaisir terminé, Fabienne bondit hors du lit pour s’asseoir sur la table située sous la lucarne. Elle se met légèrement de côté et croise ses longues jambes qu’elle balance nonchalamment d’avant en arrière. Cette position met tout particulièrement en valeur ses cuisses et sa poitrine. Cette femme est attirante et elle le sait.


Elle s’empare de la bouteille de rosé que j’avais montée et qui est encore au trois quarts pleine, puis se remplit tranquillement un verre sans nous en proposer :



Avec un petit sourire, je réponds :



Fabienne décroise ses jambes, se lève le verre à la main et se dirige vers le lit sur lequel Frederica et moi sommes toujours allongés.



Frederica boit sa gorgée en premier puis me tend le verre que je termine d’un trait :



Je tends le verre vide à Fabienne, elle le prend et au moment même où elle part, je lui donne une formidable claque sur les fesses.



Fabienne se retourne, surprise, mais souriante :



Fabienne retourne s’installer sur la table avec l’image de ma main en rouge et en relief sur sa fesse gauche.


Elle s’assied, toujours avec ses jambes croisées et pendantes, et s’adresse maintenant à Frederica :



Et moi de poursuivre :



Fabienne décroise les jambes, se redresse et déclare sur un ton inquiet, professoral, mais décalé :



Je commence maintenant à bien discerner le déroulement que nos deux compères de femmes avaient imaginé. Fabienne dirige, c’est la dominante. Frederica reçoit la fessée et se fait consoler ensuite par Fabienne, c’est la dominée. La séance se termine avec Fabienne qui fait l’amour ou autre chose avec moi, c’est encore la dominante. C’est évident que Fabienne ne veut pas que Frederica prenne trop de plaisir avec moi, elle veut se réserver le petit jeune de vingt-cinq ans, rien que le petit jeune, mais tout le petit jeune. Je dois modifier cette donne, du moins en partie : il faut donc affaiblir sa position dominante. Pour y parvenir, je ne vois qu’une seule méthode : la rendre jalouse avec la complicité volontaire ou non de Frederica.


Tout à l’heure, Frederica m’a embrassé avec beaucoup trop d’émotion pour une femme qui ne veut que séduire et jouer avec un garçon de vingt-cinq ans son cadet. Au bord de la piscine, elle a rougi quand Fabienne lui a passé la main sur les fesses devant moi. C’est une femme émotive et je dois lui faire beaucoup plus d’effet qu’elle ne l’avait imaginé, pour une raison que j’ignore encore. Cela doit d’autant plus perturber Fabienne dans son fonctionnement et c’est pour cela qu’elle a un petit air inquiet. J’ai la curieuse sensation que, si Fabienne va de plus en plus mal maîtriser sa propre situation, Frederica ne maîtrise déjà plus grand-chose, pour autant qu’elle ait déjà maîtrisé quelque chose. C’est sans doute la première fois que ce couple de femmes se livre à cette petite fantaisie : deux femmes mûres et attirantes face à un jeune garçon… pas trop moche.


Donner une fessée à une femme émotive devant une femme qu’on va rendre jalouse par tous les moyens, voilà qui va mettre beaucoup plus de piment que prévu.


Sans laisser à Fabienne le temps de réagir, je décide de prendre la direction des opérations :



Frederica s’exécute, elle est maintenant allongée sur le ventre, ses jambes bien serrées, sa tête sur la cuisse droite de Fabienne, avec ses cheveux blonds mi-longs qui descendent un peu en dessous des épaules. Dans cette position elle est vraiment belle. Fabienne est un peu plus en chair, mais beaucoup plus sexy et provocante, c’est le genre de femme qu’on a envie de violer tellement elle est aguichante.


La main droite de Frederica prend maintenant sa place entre les cuisses de Fabienne. Elle ne doit pas être bien loin de ses parties les plus sensibles. Frederica semble très détendue. Fabienne commence à masser délicatement le haut de son dos, ses épaules et le haut de ses bras.


Je commence à agir. Mes mains partent en reconnaissance sur le bas du dos de Frederica qui ne reste pas insensible, car son corps commence à être parcouru par de petits frissons. Je profite pleinement de ces instants de volupté. J’embrasse Frederica dans le dos, puis sur le haut de ses fesses qui sont toujours très blanches, mais que j’imagine déjà bien roses. Pendant ce temps je me remémore les conseils de Fabienne sur les compliments à faire à la femme fessée et je dis à voix basse à Frederica :



Si ces douces paroles « emplissent mon cœur de joie », il est évident que c’est exactement l’inverse pour Fabienne dont le visage se crispe. J’avais donc fait la bonne analyse tout à l’heure et je m’en trouve très satisfait. Frederica rentre complètement dans mon jeu. Notre Fabienne-jalouse commence à se dévoiler, et dans ce rôle il faut reconnaître qu’elle est encore plus attirante et particulièrement bandante.


Frederica respire très calmement et, de la main droite, caresse avec douceur l’entrecuisse de son amante. C’est le moment que je choisis pour donner ma première claque sur les fesses. Frederica est surprise, ses fesses se contractent.



Je commence ma fessée en alternant fesse gauche et fesse droite. Mes claques ne sont pas trop fortes, mais elles marquent bien sa belle peau blanche. De la main gauche je caresse ses cuisses, cela me permet de ressentir toutes les réactions de son corps. Fabienne se doute maintenant que la situation lui file en partie des mains, son regard est à la fois très excité et de plus en plus inquiet. Elle caresse toujours tendrement la tête et les épaules de son amante.


À la première pause, c’est-à-dire une fois la première série de dix claques terminée, Fabienne reprend la parole :



J’apprécie la réaction de Frederica. Pour ma première fessée, je me débrouille assez bien. J’annonce à Frederica que la pause est terminée. Elle ne répond pas et se laisse entièrement faire. Je commence par caresser ses fesses un peu meurtries, puis je me penche pour les embrasser, elles sont très chaudes. Le contact avec ma langue est délicieux, le corps de Frederica a l’air d’apprécier.


Je reprends la fessée. Les claques sont maintenant plus fortes et ma main gauche caresse ses cuisses avec plus de vigueur. Son corps réagit à chaque claque par une petite contraction. Nous sommes tous les trois de plus en plus excités.


Le temps passe trop vite et Frederica a reçu près de quarante claques sur les fesses qui sont d’un rose soutenu. Je donne le dernier coup de la série franchement plus fort. Frederica retient difficilement un cri de douleur :



Je caresse puis j’embrasse les parties les plus rouges de ses fesses.



Je regarde Fabienne qui n’est déjà plus avec nous. Une partie de la main de Frederica est entrée profondément dans la partie la plus chaude et la plus intime de son corps. Les caresses avec le pouce sont plus appuyées et plus rapides. Fabienne la jalouse va avoir du mal à retenir son plaisir.


J’appuie délicatement ma main gauche entre les cuisses de Frederica. Elle les écarte juste assez pour que ma main puisse prendre toute sa place. Ses cuisses sont déjà bien mouillées et ma main se glisse délicatement dans ses parties sensibles. Je fais avec beaucoup de douceurs de petits cercles autour de son puits d’amour. C’est une zone que j’aime beaucoup. Il est ouvert et très onctueux. J’ai l’impression qu’il n’attend qu’une chose, c’est qu’on le pénètre, mais c’est trop tôt, beaucoup trop tôt. Il faut savoir attendre.


Je donne maintenant la fessée avec une intensité beaucoup plus forte. Les claques sont toujours alternées, et les fesses prennent une couleur qui vire au rouge. Frederica pousse plus souvent de gros soupirs ou de petits cris de douleur. Cela m’excite au plus haut point et m’amène à fesser de plus en plus fort. Je ne respecte plus les conseils de Fabienne. Quand les claques sont beaucoup trop fortes et que Frederica les supporte mal, j’arrête la fessée pendant quelques instants en massant les zones les plus douloureuses et en faisant rouler son clitoris entre mes doigts. Son corps se contracte alors différemment et son souffle devient plus irrégulier. Quand la douleur semble avoir été effacée, je reprends la fessée.


Tout d’un coup, alors que je ne m’y attendais pas, j’entends Fabienne qui gémit, son souffle devient très irrégulier, je vois son ventre pris d’une succession de petits tremblements. J’arrête de fesser Frederica qui se redresse, s’assied à côté de Fabienne et la prend dans ses bras. Elle l’embrasse dans le cou, puis sur la bouche. J’ai l’impression à ce moment que leurs deux corps ne font plus qu’un. Son pouce s’agite de plus en plus fort sur le clitoris de Fabienne qui me regarde, perdue dans son imagination. Je me sens un peu trop spectateur et pas assez acteur.


Je mets ma main sur celle de Frederica dont le pouce est en pleine action et la glisse doucement vers la chatte de Fabienne qui est entièrement ouverte. C’est un océan de chaleur et d’onctuosité. De l’autre main je caresse le dos de Frederica. Je suis dans un monde de plaisir. Je sens la chatte de Fabienne se contracter, Frederica est toujours acharnée sur son clitoris, toute sa main se met en action, elle le roule puis elle le pince. Fabienne pousse un cri mêlé de plaisir et de douleur, sa respiration devient de plus en plus irrégulière, elle commence à râler. J’ai l’impression qu’elle ne nous voit plus. Dans un dernier sursaut, elle écrase Frederica dans ses bras. Son plaisir a l’air de venir du plus profond d’elle-même, de ses entrailles, elle ne peut le retenir, il semble presque douloureux.


Fabienne est maintenant beaucoup plus détendue. Elle reprend de l’assurance. Elle fait lever son amante pour contempler les premiers résultats de la fessée. La couleur des fesses et la chaleur qui s’en dégage ont l’air de lui convenir parfaitement.



Frederica la regarde puis me regarde, sans répondre. Elle s’allonge sur le dos et met la tête sur le haut de la cuisse de Fabienne, contre son ventre. Elle est très souriante. J’en profite pour caresser ses seins, puis je me mets à genoux pour les embrasser et mordiller les deux tétons. Elle passe alors sa main dans mes cheveux avec beaucoup de douceur et me dit :



Je vais embrasser Frederica pour la deuxième fois. Je prends sa tête dans mes mains et pose mes lèvres sur les siennes. Les cuisses de Fabienne forment un doux oreiller. C’est fou, jamais je n’ai eu autant envie d’embrasser une femme. Sa bouche est en feu, sa langue pleine de désirs. Après quelques minutes bien trop courtes, Fabienne interrompt notre ardeur.



Je ressens un nouveau sentiment de jalousie dans la voix de Fabienne. C’est vrai que depuis le début j’ai tout fait pour l’exacerber, je suis peut-être allé trop loin. Il faut que je calme un peu le jeu. Je me redresse, pose les mains sur les épaules de Fabienne puis je la regarde droit dans les yeux :



Elle pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse avec toute la force de la jalousie. Le baiser-passion terminé elle se dégage de moi et me dit :



Frederica se remet sur le ventre, repose sa tête sur la cuisse de Fabienne, mais laisse sa main droite le long de son corps. La belle femme blonde aux yeux bleus devient de plus en plus belle au fil du temps.



Les nouvelles paroles de Frederica me font boire du petit lait. Fabienne « l’instigatrice » est devenue Fabienne « la jalouse », puis Fabienne « qui subit ».



Et Fabienne d’ajouter :



Et moi de surenchérir :



Me voilà assis à côté de Frederica. Ses cuisses sont complètement offertes. Ma main gauche prend possession de son intimité qui est tout simplement inondée. Sa chatte est bien ouverte. J’y fais entrer mon pouce et place ensuite trois autres doigts autour de son clitoris. Je le fais rouler dans mes doigts, il est de belle taille et a l’air très sensible. Frederica râle de plaisir. J’ai bien peur que la fessée n’aille pas à son terme.


Ma main gauche donne du plaisir et ma main droite de la douleur. Je frappe de plus en plus fort et les fesses de Frederica deviennent maintenant rouge vif et zébrées. Je ne savais pas que je donnerais une fessée aussi forte. Mon massage intime a l’air de compenser largement la fessée. À chaque nouvelle claque Frederica se contracte un peu puis se détend, à chaque nouvelle claque les fesses de Frederica sont un peu plus marquées. C’est moi qui ne vais pas tenir bien longtemps.


Frederica allonge sa main vers moi et prend mon sexe en main. Elle commence par faire de tous petits mouvements avec deux doigts.


La fessée atteint maintenant son point culminant. Je n’hésite plus à frapper plusieurs fois de suite au même endroit. Je suis de plus en plus excité et Frederica le ressent. Je n’arrive plus à me retenir. Mon sexe est pris en étau dans sa main. Elle serre très fort, ses mouvements prennent de plus en plus d’amplitude et deviennent presque violents, elle veut me libérer avant la fin de la fessée. Ma respiration se fait beaucoup plus rapide, mon plaisir monte, je sens mon liquide chaud jaillir de mon sexe. Mon plaisir est à l’image de mes sensations, presque déchaîné. Mon calme intérieur a beaucoup de mal à revenir.


Frederica lâche mon sexe et pose sa main sur la cuisse de Fabienne qu’elle se met à serrer très fort. Son corps est parcouru par une multitude de petits soubresauts, elle gémit presque à chaque respiration. Fabienne continue de masser ses épaules et ses bras. Vient alors une première contraction plus forte que les autres, puis une deuxième. Frederica se met à bouger son ventre comme si elle faisait l’amour. J’arrête la fessée, je passe ma main droite sous son ventre pour la serrer très fort, du plus fort que je peux. Son bas-ventre devient très dur. Elle gémit une dernière fois, puis elle redevient beaucoup plus calme, elle se détend. Elle vient de jouir.


Fabienne, presque aussi essoufflée que Frederica, reprend la parole en premier :



Et Frederica rajoute à voix très basse :



Je suis dans un état d’excitation physique et intérieure comme je n’en ai jamais connu auparavant. Fabienne se lève et Frederica se retourne sur le dos. Je m’allonge à côté d’elle :



Fabienne remplit les trois verres, nous les apporte et trinque en disant :



Fabienne vide son verre à la vitesse d’une vieille pocharde et retourne vers la table où elle s’en reverse un nouveau.



Le regard de Fabienne est maintenant nettement moins jaloux, il est triste.

Frederica passe son bras sous mon cou, se met sur le côté, me regarde en souriant puis me fait une grosse bise sur la joue :



Fabienne n’est pas réellement dans son assiette, il va falloir s’occuper d’elle tout de suite après…


Le corps de Frederica est contre moi, il est brûlant. J’ai envie qu’elle prenne des initiatives :



Frederica se redresse, puis s’étire. Elle s’installe à genoux au-dessus de moi, elle écarte son sexe avec ses doigts, prend mon sexe dans sa main et le fait pénétrer dans son ventre. Je ressens une sensation de chaleur, de douceur et de calme. Le bas du ventre de Frederica aspire mon sexe, l’emprisonne puis le relâche. Je n’ai jamais ressenti une telle sensation, peut-être parce que je n’ai jamais été aussi excité. Tout le corps de cette femme est là pour me donner du plaisir. Je pars dans un rêve. Faire l’amour avec une femme que l’on désire tant est presque irréel. De mes mains je caresse ses fesses, elles sont brûlantes. Je caresse ses seins, ils sont durs et sensibles. J’en suis presque à regretter d’avoir donné de la douleur à cette femme qui ne me donne que du plaisir, mais c’est tellement agréable de fesser une femme comme elle :



Tout à coup, je ne sais pourquoi, je pense au mari de Frederica.



Frederica est couchée sur le dos. Je peux l’embrasser tout en lui faisant l’amour. Je sens mon plaisir qui monte lentement, je me retiens.



Nos deux corps sont accrochés l’un à l’autre, mes tremblements sont ceux de Frederica, nos deux souffles sont à l’unisson et, au moment où j’ai envie de la serrer au plus fort, son corps se contracte, la chaleur remplit le bas de mon ventre, mon liquide se mélange au sien dans son intimité, nous jouissons ensemble, nous sommes heureux.


Fabienne n’a pas perdu une miette du spectacle. Elle termine son verre de rosé et me fait un petit sourire à la fois triste et coquin.



Fabienne verse le reste de la bouteille dans son verre et se dirige vers le lit. Frederica lui demande alors sur un ton assez autoritaire :



Frederica en boit une gorgée.



Je bois à mon tour une gorgée :



Fabienne s’allonge entre Frederica et moi. Elle a le regard de plus en plus triste :



Je passe mon bras gauche sous la tête de Fabienne et lui dis :



Et Frederica, radieuse, d’ajouter :



J’embrasse Fabienne dans le cou et lui chuchote à l’oreille :



Je me tourne sur le côté et passe délicatement la main sur les seins de Fabienne, ils sont très fermes et les tétons assez larges commencent à devenir très sensibles. La bouche de Fabienne me demande de l’embrasser, c’est vrai qu’elle a été un peu délaissée. Regarder deux tourtereaux faire l’amour est très excitant, sauf quand on est jalouse.


J’embrasse Fabienne avec beaucoup de fougue. Sa langue reprend la direction des opérations. Elle a un tempérament tellement différent de celui de Frederica. Son corps recommence rapidement à montrer ses premiers signes d’impatience.


Frederica prend des initiatives. Elle embrasse le ventre de son amante et descend tout doucement. C’est la première fois que je vois une femme qui va donner du plaisir à une autre femme avec sa bouche. Le spectacle est plus qu’excitant, il est provocant. Frederica jette de temps en temps de petits sourires complices dans ma direction. Heureusement, dans sa position, notre Fabienne-jalouse ne peut pas les voir.


Fabienne écarte peu à peu ses jambes, puis elle les replie. La tête de Frederica se positionne entre les cuisses de Fabienne. Je peux voir sa langue fouiner sur son clitoris puis pénétrer sa chatte. Je descends ma main droite vers son bas-ventre, c’est l’endroit de toutes les sensibilités. Frederica sait prendre son temps. Elle connaît déjà bien le corps de son amante, ses réactions et ses attentes.


Le visage de Fabienne est maintenant détendu, serein. Elle a repris confiance dans sa féminité.

Je sens venir les premiers tremblements, son souffle qui s’entrecoupe de petits râles.



Ma main quitte son bas-ventre et revient sur ses seins que je serre très fort. Frederica se crispe sur ses cuisses. Elle commence à crier, son ventre bouge un peu dans tous les sens de manière désordonnée. Enfin vient une contraction beaucoup plus forte que toutes les autres, suivie d’une deuxième un peu plus courte. Sa bouche cherche la mienne, elle la trouve, elle jouit en m’embrassant trop fort, presque à me faire mal.

Frederica se redresse, me fait un sourire comblé, donne une petite tape entre les cuisses de son amie et nous dit :



Les deux femmes descendent, nues, leurs vêtements à la main. Heureusement, personne ne peut les voir. Fabienne a toujours ma main incrustée sur sa fesse et Frederica a les fesses tellement rouges qu’on dirait un slip de bain. Elle doit quand même avoir très chaud. Je reste quelques minutes après leur départ pour retaper mon lit et remettre ma chambre en ordre. J’attrape les trois verres, la bouteille vide et je ramasse mes vêtements qui jonchent le sol.

Arrivé en bas, j’allume les lumières du jardin et j’éclaire la piscine. La nuit vient de tomber.


J’arrive à la douche. Nos deux femmes scénaristes sont déjà sous l’eau, je les rejoins. Les fesses de Fabienne qui remuent à gauche et à droite sont trop tentantes. Je donne une autre grande claque sur la fesse droite, pour ne plus rompre la symétrie. Une fois de plus, c’était beaucoup trop tentant. Fabienne se retourne, mais, avant qu’elle ait pu dire un mot, je pose mes lèvres sur les siennes et nous nous embrassons avec fougue. Pendant ce temps je sens la main de Frederica qui caresse mon dos et descend sur mes fesses :



J’interromps mon baiser fougueux avec Fabienne et je réponds à Frederica.



Frederica serait-elle un peu jalouse aussi ? En tout cas, elle m’embrasse avec beaucoup de passion et je me laisse faire. Sa langue prend beaucoup d’initiative. Je sens maintenant la main de Fabienne qui s’introduit dans la raie de mes fesses. De son doigt elle caresse délicatement ma petite rondelle. La sensation est délicieuse. Son doigt me pénètre. Je suis de nouveau excité au plus haut point. Avec son autre main, elle se saisit de mon sexe, Frederica continue de m’embrasser. Je ne sais plus réellement où j’en suis. Tout mon corps est à la disposition de ces deux diablesses de femmes. Puis, tout à coup, je sens mon plaisir qui monte, je ne peux plus me retenir et tout mon liquide jaillit dans la main de Fabienne.



Notre douche se termine, nous nous essuyons à trois et nous nous rhabillons. La température est particulièrement agréable, il doit faire plus de vingt-cinq degrés. Mon esprit va enfin pouvoir se calmer.



Je retourne dans la cuisine avec les verres sales, je les lave, je prends un très grand plateau sur lequel je pose tout le nécessaire pour notre repas sans oublier une dernière bouteille de rosé.


Le temps de nous installer, de remplir nos trois verres, de manger un brin et de discuter de tout et de rien, j’entends la voiture de Florence qui rentre dans le garage. Elle revient de son exposition de peinture. Elle est radieuse et toujours aussi belle.



Je réponds nonchalamment :



Fabienne et Frederica se lèvent et m’embrassent ainsi que Florence, avant de se diriger vers leur voiture.



Florence me prend dans ses bras, me serre très fort et m’embrasse sur la joue avec beaucoup plus que de l’amitié. Je sens intimement son corps contre le mien, en particulier le bas de son ventre et ses seins, mais ce soir je ne peux rien pour elle, j’ai déjà beaucoup donné… et beaucoup reçu. Il faut que je préserve l’avenir.



À suivre…