n° 09888 | Fiche technique | 26194 caractères | 26194Temps de lecture estimé : 15 mn | 15/11/05 |
Résumé: Un jeune couple se découvre des fantasmes communs. | ||||
Critères: fh fhh hbi couplus boitenuit toilettes hdomine fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo hsodo | ||||
Auteur : Slimen |
Il arrive parfois que des soirées parfaitement convenues et à priori sans surprise prennent une tournure surprenante, déroutante et, en ce qui me concerne, enivrante, voire envoûtante… Laissez-moi ainsi vous conter ce qui fut, non pas le début d’une nouvelle ère - il ne faudrait pas exagérer – mais, en tout cas, l’une de mes expériences les plus troublantes.
Ce soir-là, nous recevions deux amis de longue date. L’un, Raphaël, un ami d’enfance avec lequel je partageais une véritable amitié et un nombre incalculable de points communs, petit, brun, d’un physique très plaisant (je le savais bien, depuis le temps), l’autre, Benoît, collègue de travail avec lequel j’avais sympathisé, d’un caractère parfois surprenant mais toujours jovial, et qui avait le grand mérite, en soirée, d’être capable de ne jamais boire sans pour autant se départir de sa bonne humeur constante, ce qui en faisait un "capitaine de soirée" de premier ordre !!!
Ainsi, Vanessa et moi préparions cette soirée somme toute tranquille sans nous douter un seul instant de la tournure qu’elle prendrait quelques heures plus tard… Vanessa, mon amour d’alors et d’aujourd’hui, ravissant petit bout de femme, généreuse jusque dans ses formes, souriante, gaie, aimante à souhait, furieuse à l’excès et dans tous ses excès, passionnée, curieuse, bref ma Vanessa pour laquelle je me damnerais et pour laquelle bon nombre se damneraient…
Cette soirée démarra donc comme n’importe quelle autre, apéritif, discussions passionnées (ah travail, quand tu nous tiens !!), les heures défilaient sans que nul ne les compte, les verres aussi (mais quand on aime, on ne compte pas…), l’atmosphère détendue et rieuse enveloppait nos esprits quelque peu embrumés.
Après avoir enfin réussi à manger, nous décidâmes donc de poursuivre notre soirée en boîte. Quelques dizaines de minutes plus tard, nous étions attablés devant une bouteille, tous trois en train de rire de choses et d’autres pendant que Vanessa se déhanchait lascivement sur la piste pour tenter, mais sans succès, d’évacuer les vapeurs d’alcool. Je connaissais Vanessa depuis quelque temps déjà et savais comme elle aimait mettre le feu sur une piste de danse. Elle ne passait déjà pas inaperçue en temps normal mais, dès que le démon de la danse s’emparait d’elle, il devenait difficile de la quitter des yeux. Elle savait comme personne se déhancher, bouger avec une grâce naturelle et… provocante, il faut bien le reconnaître, mais, habitué à ce petit jeu, je ne m’inquiétais de rien. Il est généralement beaucoup plus facile pour une jeune fille de repousser gentiment un homme trop aventurier que pour un petit ami de faire valoir son bon droit sans que cela dégénère. Aussi continuais-je à discuter avec Benoît de choses et d’autres pendant que Raphaël… dansait avec Vanessa !
Lui aussi semblait s’être laissé prendre à son jeu et se permettait de lui faire du collé serré… hot ! Je ne m’en offusquais pas le moins du monde, tout cela était bon enfant, nous étions entre nous. Benoît, lui, me racontait ses derniers déboires avec son petit ami, comment il s’était fait larguer comme une vieille chaussette. Je dois dire que j’écoutais d’une oreille distraite, car sur la piste cela devenait de plus en plus chaud, et je n’avais tout d’un coup plus la même assurance sur le caractère anodin de la danse à laquelle Vanessa et Raphaël se livraient. Il était collé contre elle, ses mains prenaient trop souvent à mon goût une place que je croyais réservée aux miennes et Vanessa ne semblait pas manifester la volonté de les chasser. Un coup d’oeil sur la bouteille me permit de constater que celle-ci était vide, je mis donc tout ce manège sur l’ébriété inhabituelle de mes amis et repris le cours de la discussion que j’avais avec Benoît. Mais, lorsque je les cherchai de nouveau sur la piste, ils avaient disparu.
Je me levai, me tordis le cou pour les trouver, mais en vain. Mû par une soudaine anxiété, je me dirigeai vers les toilettes. L’un des boxes était occupé, l’autre vide, mais aucune trace de mes compagnons. Aussi en profitai-je pour vider une vessie depuis longtemps trop pleine lorsqu’il me sembla reconnaître une voix qui m’était chère. M’assurant discrètement que ma porte était close, je tendis un peu plus l’oreille pour tenter de confirmer cette impression. Qui fut confirmée !!! C’était bien MA Vanessa qui semblait murmurer de concert avec Raphaël et je les entendais, car le mur séparant les box ne montait pas jusqu’au plafond.
En fait de murmures, il s’agissait plutôt de gémissements. Je me dressai sur la pointe des pieds pour tenter de comprendre ce qui se passait de l’autre côté de la paroi, mais c’était clair. Raphaël semblait l’embrasser et elle ne donnait aucun signe que ce fût désagréable.
Je ne savais que penser, je m’apprêtais à sortir lorsque je l’entendis dire :
Puis, une brève respiration plus tard :
Enfin pas exactement, il était en fait à genoux, et semblait goûter à un nectar bien meilleur que tous les alcools du monde… Vanessa avait remonté une jambe sur la cuvette et, ses mains posées sur sa tête, avait complètement abandonné l’idée de lui faire arrêter ce qu’il avait commencé. De ce que je connaissais de Vanessa, elle était incapable de résister à ça, elle adorait par-dessus tout sentir ma langue sur son sexe et m’incitait à poursuivre pendant d’interminables et divines minutes ce délicieux manège.
Mais là, ce n’était pas moi !! J’aurais dû être fou furieux, d’ailleurs j’aurais juré le devenir, mais au lieu de cela je sentais poindre en moi une agréable excitation devant ce spectacle. Je voyais, ou plutôt devinais ma bien-aimée se faire déguster le minou par mon meilleur ami, et j’en ressentais une jouissance extrême. En fait, j’avais tellement souvent moi-même goûté à ses lèvres, que je sentais presque de nouveau le goût de son sexe dans la bouche, j’avais l’impression de sentir à plein nez ses effluves enivrantes et je me régalais de ces pensées en entendant ma chérie prendre un plaisir non feint. Raphaël semblait fort bien s’en sortir, car les gémissements à peine murmurés quelques minutes plus tôt prenaient un tout autre volume. Elle l’encourageait désormais à continuer ce qu’il s’employait à faire et Vanessa montait rapidement vers une jouissance orgasmique. Lorsque celle-ci vint, je me rendis compte que je ne respirais presque plus, j’avais pratiquement joui avec elle et partagé son plaisir…
Je redescendis prestement de mon perchoir afin de rejoindre Benoît avant eux et le retrouvai en compagnie d’un jeune homme charmant et, semble-t-il, charmé. Vanessa vint nous rejoindre dans la foulée, alors que Raphaël se faisait attendre. Peut-être craignait-il mon regard inquisiteur.
Dans ce lieu assourdissant, il était impossible de discuter, aussi repoussai-je les questions pour plus tard, d’autant que j’étais très indécis et dérouté par ce que j’avais vu tout autant que par ma réaction.
Raphaël arriva sur ces entrefaites. Il ne semblait pas très à l’aise, mais peut-être était-ce moi qui me faisais des idées.
Après quelques verres supplémentaires, nous décidâmes de rentrer, Benoît étant pressé de rentrer (se coucher ?).
Dans la voiture, j’étais à l’arrière, Vanessa lovée dans mes bras, et ne savais toujours que penser. Mes pensées s’envolèrent lorsque je sentis les mains de ma douce s’aventurer sur moi. Elle s’approcha de moi, commença à me lécher l’oreille puis, d’une voix chaude, elle me murmura :
Ce fut comme un coup de fouet, de quoi parlait-elle ? Comment pouvait-elle savoir, si jamais c’était bien de cela qu’il s’agissait ? Incapable de dire un mot, elle poursuivit :
La garce, ainsi elle savait, et elle semblait s’en amuser !! Que pouvais?je dire, j’étais joué, elle savait et savait aussi que je n’avais rien dit, Raphaël était dans la voiture avec nous, indemne, cela ressemblait à un consentement, non ?
Dérouté, je ne savais que faire, je ne savais d’ailleurs plus rien, si ce n’est que sa main aventureuse commençait à se montrer franchement entreprenante, et que j’allais avoir du mal à cacher mon excitation lorsque nous allions arriver. Sa main avait saisi ma queue et la branlait doucement, savamment. Je n’en pouvais plus et ce fut un réel soulagement lorsque Benoît se gara enfin.
Ne sachant que faire mais certain qu’elle avait raison concernant son état avancé d’ébriété, j’approuvai ma chérie et conviai Raph de monter avec nous, car nous avions un canapé-lit des plus confortables.
Aussi nous sommes-nous retrouvés quelques minutes plus tard de nouveau affalés dans le salon, Vanessa dans le canapé, Raphaël à ses côtés et moi dans le grand fauteuil leur faisant face, tous un verre d’eau à la main. La discussion se faisait de plus en plus confuse, nos esprits tombaient dans une douce torpeur, lorsque le mien se mit à gamberger d’un coup : pourquoi Vanessa me regardait-elle ainsi ? Ses yeux semblaient me sonder et je ne savais ce qu’elle cherchait, ce qui était sans doute la raison de mon "réveil". J’eus tôt fait de comprendre.
Sans me lâcher des yeux, elle prit la main de Raphaël qui somnolait à moitié, la porta entre ses jambes, ce qui le réveilla lui aussi, et dit d’une voix qui ne permettait aucun refus :
Mon sang ne fit qu’un tour. « Qu’est-ce qui lui prend » me dis-je ? Raphaël me regarda benoîtement, sa main était prisonnière de celle de ma tourterelle qui s’en masturbait doucement, et il semblait attendre mon approbation. J’étais coi, incapable du moindre mouvement ni de la moindre parole, aussi fut-ce Vanessa qui la prit pour insister :
Docilement, Raphaël lui obéit et, timidement d’abord puis plus assuré, il fourra sa tête entre les jambes de Vanessa. Elle ne me quittait pas des yeux, je voyais peu à peu son visage laisser transparaître son plaisir alors que Raphaël lui retirait sa culotte et passait les mains derrière ses hanches afin de faire descendre son bassin et d’ouvrir un peu plus son mont sacré. Désormais débarrassé de toute pudeur, il se remit à la caresser puis vint la lécher goulûment, bruyamment.
J’étais prisonnier du regard de ma chère et tendre et, en même temps qu’elle grimaçait sous les caresses de son amant, mon excitation montait de concert. Elle ne put longtemps garder le silence et commença à laisser échapper de petits gémissements familiers, signe du plaisir indicible qui montait en elle. Sa main me fit signe et, alors même que j’aurais juré ne jamais pouvoir faire ça, je me vis me lever et m’approcher d’elle. Je bandais comme un fou et ne voyais qu’une chose, c’est qu’elle allait sans doute s’occuper de moi comme mon ami s’occupait d’elle.
C’est exactement ce qu’elle fit, sa main experte extirpa l’objet comprimé et recommença doucement ce qu’elle avait entrepris dans la voiture. Sa main coulissait le long de mon membre, alors que dans ses yeux toujours agrippés aux miens je lisais sa jouissance ainsi qu’une lueur lubrique et amusée que je ne lui avais jamais vue.
Et c’était vrai.
Sa main accéléra le mouvement, puis sa bouche la remplaça. Englouti, je sentais une douce chaleur envelopper ma queue et me sentais déjà prêt à exploser. Mais ce fut elle qui s’interrompit afin d’exprimer pleinement sa jouissance qui arrivait à son comble et qui, dans un dernier mouvement des hanches, vint s’empaler sur la langue qui lui avait prodigué ce plaisir dans un râle passionnel.
Raphaël se recula enfin, et finissant de m’ôter mes vêtements Vanessa vint s’enficher sur moi, sur le tapis.
Je ne voyais plus le canapé, j’étais obsédé et obnubilé par mon amante qui doucement montait et descendait le long de ma hampe. Ses seins bougeaient avec elle et je les caressais tendrement tandis qu’elle me chevauchait avec ardeur. Mon sexe durcissait de façon douloureuse tant mon plaisir était intense. Vanessa se releva alors pour se retourner et s’empaler de nouveau, dos à moi comme j’aimais qu’elle le fasse. J’aimais par-dessus tout voir ses fesses splendides et si joliment dessinées se soulever puis redescendre sur mon sexe, cela m’excitait plus que tout.
Ce que je ne soupçonnais pas pouvoir m’exciter à ce point, c’est ma chérie en train de pratiquer une petite gâterie à quelqu’un d’autre ! Raphaël s’était totalement déshabillé et Vanessa dévorait désormais sa queue à pleine bouche. Elle s’y employait bien, je le savais pour en avoir souvent fait les frais, elle suçait avec délectation et faisait savoir par bouche interposée qu’elle y prenait un vrai plaisir. Raph avait fermé les yeux, c’était sans doute mieux ainsi et, pendant que ma femme continuait de glisser sur mon sexe, elle branlait doucement la fort belle queue de son autre amant, lui pressait les bourses, déployait tous les artifices de la fellation comme elle savait si bien le faire.
Sentant sans doute mon orgasme poindre, elle se souleva puis recula ses fesses contre mon visage afin qu’à mon tour je lui prodigue d’agréables caresses. Elle n’avait pas pour autant pas lâché le bâton d’amour de Raph, aussi se mit-elle à goûter tour à tour nos deux vits, ses deux mains les branlant de concert avec virtuosité.
Pour ma part, je goûtais enfin à son sexe, je retrouvais enfin l’odeur parfaite, ce jus si délicieux. Mes doigts s’activaient également en elle, puis vinrent agacer son petit trou que ma langue avait auparavant reconnu. Délicatement, je lui ouvrais cet antre secret, peu à peu je forçais sans effort ce refuge dans lequel elle appréciait m’accueillir. Ses caresses se firent de plus en plus actives, sa bouche semblait avoir délaissé la tige de Raph pour ne se consacrer qu’à la mienne et ne pouvant plus me contenir, j’explosai dans sa bouche en un orgasme rarement ressenti. C’était immense, je m’abandonnai d’un coup, mes muscles se contractèrent un temps infini avant de se relâcher soudainement alors que ma queue s’épanchait sans fin dans sa bouche avide.
Elle n’en laissa rien, me laissant hébété, K.-O. par la violence de cet orgasme, et reprit son affaire sur la bite désormais tendue jusqu’à l’extrême de Raph. Reprenant mes esprits, je décidai de me "venger" de cet orgasme et repris mes efforts sur ses lèvres accueillantes. Je sentais peu à peu mes efforts porter leurs fruits, les gémissements attendus de mon amie me parvinrent enfin, et je sus que j’allais tenir ma revanche.
Je poursuivis mon but, jouant de ma langue sur son clitoris alerte, alors que mes doigts fouillaient doucement son intimité. À ma grande surprise, je sentis les mains de Vanessa saisir les miennes pour venir les poser sur ses seins. Pourquoi m’empêchait-elle donc d’utiliser mes mains ? La réponse à mon interrogation se présenta alors sous une forme turgescente désormais connue qui, sans effort, vint s’enficher au plus profond de Vanessa. Un peu stupéfait, je continuais machinalement à jouer avec son sexe alors que quelque chose ne m’appartenant pas le moins du monde allait et venait à l’intérieur. Raph semblait mettre beaucoup de douceur, ou peut-être était-ce de la retenue, tant lui aussi devait être excité. Je voyais ses couilles se balancer juste au-dessus de moi ce qui ne devait certainement pas être la raison de mon excitation : Vanessa s’était de nouveau mis en tête de me faire rendre raison et utilisait tous ses talents pour me redonner consistance, ce qu’elle parvint à faire sans le moindre mal. Ses mains expertes caressaient, pétrissaient, coulissaient sur mon membre alors que sa bouche, de manière d’abord fugace puis plus appuyée, vint les remplacer. Ses mains descendirent pour s’occuper de mon anus comme je m’étais occupé du sien quelques instants auparavant. Elle savait que j’appréciais cette pratique, mais j’étais un peu gêné qu’elle le fasse devant quelqu’un d’autre. Ce quelqu’un d’autre dont je sentais la queue sous les lèvres que je léchais afin de goûter à ce nectar qui s’en échappait sans fin.
J’en avais souvent rêvé, je devais bien l’avouer, et alors que nous étions ainsi à nous divertir si agréablement, je repensais à tous ces fantasmes cachés que je voyais se réaliser et qui me donnaient tant de plaisir. Ce fut à cet instant précis que Raph, ou plutôt sa queue, "dérapa", celle-ci vint heurter ma bouche entrouverte et, encore dans les pensées de ces fantasmes refoulés, je léchai le plus naturellement du monde ce gland énorme qui s’était présenté à moi.
Il retourna aussitôt de là où il venait et reprit ses mouvements un peu plus fort pendant que Vanessa qui avait vaincu mes résistances naturelles avait envahi mon corps de deux doigts dégourdis. Ma queue durcissait à m’en faire mal tant je bandais fort, et elle continuait sans vergogne son travail. Raph dérapa plus d’une fois, et un moment donné je happai même complètement sa queue avant de la lui rendre. Elle avait le goût du sexe de ma compagne, ce qui rendait la chose "inoffensive".
Entre-temps, Vanessa avait réussi à étendre le bras pour attraper un des préservatifs que nous gardions toujours dans un tiroir à côté du canapé et le lui tendit. Il comprit aussitôt et moi aussi … Prestement « habillé », il appuya doucement son gland contre le petit trou de mon amie, j’étais aux premières loges (!!) et le vis peu à peu disparaître dans sa grotte. Vanessa avait arrêté tout mouvement, accaparée qu’elle était à accepter ce qu’il lui présentait. Elle mit quelque temps avant de reprendre ses caresses sur ma queue. Moi je voyais ce sexe qui me semblait désormais démesuré faire sa place et la tamponner de plus en plus fort.
Les cris de Vanessa ne tardèrent pas à retentir, je goûtais d’ailleurs son plaisir, car ses doigts se faisaient eux aussi plus pressants en moi pendant que son autre main me masturbait vaillamment. Elle ne fut pas longue à jouir, la sodomie lui faisait toujours un effet immédiat et Raph se retira, ôta son préservatif et repartit de l’autre côté, sans doute pour recevoir enfin une dernière gâterie.
Et, de fait, elle se remit à alterner nos sexes dans sa bouche, tantôt l’un, tantôt l’autre. Raph m’avait déjà parlé de son endurance, j’avais pris ça plus ou moins pour de la forfanterie, mais je devais reconnaître que son instrument tenait la route !!! Moi je me sentais capable de tenir encore quelque temps, mais j’avais joui un peu plus tôt, c’est ce qui me fit croire que Vanessa délaissait le sexe de Raph pour ne s’occuper que du mien, sans doute tenait-elle à ce que nous jouissions ensemble. J’aurais dû me méfier, elle avait bien d’autres plans en tête, mais ça je ne le compris que trop tard. Ses doigts qui me branlaient l’anus se retirèrent, et c’est sans comprendre vraiment que je sentis Raph se présenter ; j’étais immobilisé par ma compagne, prisonnier de ses fantasmes, mais des miens aussi, je le reconnais.
Inquiet, j’étais focalisé sur ce qui se présentait contre mon trou encore vierge. Mais les caresses de Vanessa avaient dompté toute résistance, et sans le moindre mal je me sentis envahi par cette colonne de chair. C’était dur et souple en même temps, délicieux et surprenant, violent mais sans souffrance, en douceur, mais preuve d’une force totale. J’étais investi et tout mon corps réagissait aux coups de butoir de mon ami. J’avais en vision cette queue qui avait perforé le petit trou de mon amie juste avant, et cette vision en surimpression des allées et venues que je ressentais me transportait dans des domaines insondables d’ivresse. Je délaissai complètement le sexe de Vanessa qui d’ailleurs se déplaça, mais qui continua de recueillir la sève qui coulait de manière incontrôlable de mon sexe. Puis elle appuya sur mes genoux pour les poser au sol et vint s’empaler, toujours dos à moi, sur mon sexe.
Nous étions tous trois emboîtés, Raph me sodomisait et sodomisait Vanessa par ma queue interposée. Je ne bougeais qu’au gré de ses coups à lui. Elle s’allongea complètement sur moi, se laissant elle aussi aller au rythme que Raph nous imposait. Elle jouit de nouveau d’une jouissance que je crus sans fin, je sentais, dans ce cri qu’elle nous lança comme un remerciement, qu’elle assouvissait des fantasmes depuis longtemps élaborés.
Pas pour autant satisfaite, elle se releva et, cette fois face à moi, m’accepta de nouveau en elle après avoir repoussé Raph hors de moi, ce qui manqua me faire jouir. J’étais au bout de ma résistance, j’allais de nouveau craquer et j’en avais presque hâte, sentant bien que j’allais parvenir à un degré vertigineux d’extase.
S’activant doucement sur moi pour me faire parvenir à cette jouissance, elle reprit en bouche la queue de Raph, ses yeux grands ouverts fichés dans les miens ; voyant ce sexe disparaître si près de moi, je ne pus me retenir. Le lui ôtant des mains, je m’en saisis et le goûtai à mon tour. Cette belle queue qui nous avait procuré tant de plaisir à tous deux, je la voulais aussi pour moi, je voulais la faire jouir et me mis à la sucer comme un beau diable. Pendant qu’elle lui happait les couilles et les malaxait, j’aspirais cette énorme bite comme si ma vie en dépendait.
Très rapidement, je le sentis se contracter, je touchais presque du doigt le vide dans lequel il tombait, puis je sentis dans ma bouche exploser de jets puissants de sperme. Ne sachant que faire, je manquai m’étouffer et, dans un réflexe de survie, j’avalai aussitôt tout ce que je pus.
Délicieux… cela me semblait tout simplement délicieux, j’avais l’impression qu’il n’arrêtait pas de cracher son sperme dans ma bouche et je tentais de tout avaler avec un plaisir indicible. Vanessa me regardait, amusée, heureuse je crois de m’avoir fait dépasser mes craintes afin de découvrir ces plaisirs. Abandonnant sa position, elle vint engloutir mon sexe qui n’attendait que ça, car dans la seconde qui suivit à mon tour je jouis comme jamais, tombant dans un abîme sans fond.
Je crus ne jamais stopper cette descente, d’ailleurs je m’endormis sans même avoir refait surface, au comble du bonheur.
Je me réveillai le lendemain, Vanessa à mes côtés, mais sans aucune trace de Raph. Avais-je seulement rêvé tout cela ? Etait-ce le fruit de mon imagination ? Si tel était le cas, alors vivement le prochain rêve ! Mais Vanessa, lors de son réveil, m’ôta tout doute, son oeil coquin me remémora toute cette nuit de délices et je crus même y voir une invitation à une nouvelle tentative. Je ne m’étais pas trompé, Raph est revenu souvent, et nous avons depuis découvert d’autres plaisirs et surtout pu prendre plus d’initiatives au détriment de Vanessa qui n’a rien trouvé à y redire.
Mais tout cela, peut-être vous le raconterai-je une autre fois, si Vanessa me donne son accord comme elle me l’a donné pour ce récit, en m’encourageant de ses paroles et de ses mains à vous le faire partager…