n° 09923 | Fiche technique | 12736 caractères | 12736Temps de lecture estimé : 8 mn | 26/11/05 |
Résumé: Je voulais offrir un cadeau d'anniversaire un peu coquin à mon ami (un objet, pas une escort...) | ||||
Critères: fhh cocus nympho magasin anniversai voir exhib hmast fellation jeu uro fouetfesse | ||||
Auteur : Enzo (Je m'amuse) |
Patrice, mon vieux copain, aura cinquante ans dimanche. Je suis invité à son anniversaire ; il est comme moi passionné d’érotisme et pas mal obsédé. J’ai donc eu l’idée de lui rechercher un cadeau qui soit très coquin mais qui ne choque pas outre mesure son épouse, laquelle, sans être coincée, n’en reste pas moins une femme très réservée.
En flânant sur Internet, je tombe sur une très curieuse assiette décorée. On y voit une femme en train de s’exhiber en urinant devant un homme qui se masturbe en profitant du spectacle. Je me renseigne, l’objet en est en vente dans une libraire du Ve arrondissement.
Une assiette dans une librairie ? Bizarre, mais bon, pourquoi pas ? Elle est un peu trop osée pour l’offrir à mon ami devant son épouse, mais je pourrais toujours le faire discrètement, et puis peut-être que dans cette boutique il y a d’autres choix, sans doute un peu plus sages….
Ce jeudi, en sortant du boulot, un coup de métro et me voici devant cette librairie où règne un indescriptible fouillis dans la minuscule vitrine mal éclairée. Mais rien d’érotique ni même de coquin. Je vérifie avec la copie faite sur mon imprimante… C’est bien là. Mais c’est fermé, effectivement je n’avais pas fait attention, un petit post-it est collé sur la vitre « de retour dans vingt minutes ».
Bon j’attendrai donc, d’autant que j’ignore quand ont commencé ces vingt minutes ; je repère un petit square à cinquante mètres et je décide d’aller m’y asseoir en attendant.
Coup de fatigue, normal je me couche trop tard tous les soirs, j’ai piqué un somme, j’espère que la librairie est encore ouverte, je me précipite. Oui, c’est bon. J’entre.
Un type chauve à lunettes et pull-over gris est assis devant une table, il lit un bouquin et prend des notes :
Catastrophe !
Le bonhomme active un interphone :
Et voilà Josiane : la quarantaine, assez grande, mince, joli visage, beaucoup de classe, cheveux longs, mèches blondes, petit gilet blanc fermé assez haut, pantalon noir.
Bien sûr que je la suis ! Elle ouvre une porte et nous voici dans un réduit qui doit faire 6m² c’est-à-dire trois mètres de long sur deux de large. Les murs sont remplis de rayonnage, imaginez la place qui reste au milieu…. Elle attrape un carton à dessin.
Je regarde, le dessin est superbe, une bourgeoise en chignon entièrement nue mais parée de bijoux pisse dans la nature, une autre femme, également nue, la regarde faire, tandis qu’un homme allongé sur une serviette se masturbe en regardant la scène…
Elle me dit son prix, c’est un peu cher, j’essaie de marchander, mais la belle est dure en affaire.
Je regarde, mais rien ne me branche vraiment, jusqu’à ce que je tombe sur un superbe cliché d’une fille aux fesses rebondies qui urine dans la bouche d’un soumis.
Et c’est alors que sa main se pose sur ma braguette !
Elle se met à défaire ma fermeture éclair, elle fouille dans le slip, me caresse la verge par-dessus l’étoffe de coton, puis finit par sortir mon sexe tout raide !
Et elle me lâche !
C’était donc tout ! Je me disais aussi que c’était trop beau pour être vrai !
Je rêve ou quoi ? Il y a quoi au bout de cette proposition, un piège, un truc ?
Toujours est-il que pour l’instant je m’affaire avec elle à vider cette caisse poussiéreuse. Puis Josiane, avec une totale décontraction, retire son pantalon, me faisant découvrir le magnifique string qui se cachait en dessous, et comme elle est légèrement de côté je peux profiter de la belle cambrure de ses fesses. Elle ôte ensuite le string, dévoilant une belle petite chatte rasée en ticket de métro.
Espérant que cette incitation signifie sans doute qu’on ne se contentera peut-être pas d’une masturbation, je m’empresse de retirer mes vêtements…
Toujours est-il que cette poitrine est absolument merveilleuse, bronzée naturellement, bien galbée, les aréoles foncées, les tétons érigés.
Elle est nue comme un ver. Nous sommes tous les deux nus dans cet exigu cagibi…
Quel romantisme ! Josiane ferme les yeux, j’attends qu’elle commence à faire avant de m’astiquer. Je ne réalise pas, je suis tombé sur une nympho un peu bizarre, je ne vois pas d’autre explication. Quelques gouttelettes jaillissent maintenant de sa petite chatte, suivies immédiatement d’un jet puissant et odorant qui fait un drôle de bruit en allant mourir dans la caisse en plastique. Je me masturbe donc, voilà qui me fera un souvenir ! Et je me régale du spectacle… mais tout a une fin, même son pipi, et elle se relève avec une drôle d’expression dans la bouche. Je n’ai pas encore joui, peut-être va-t-elle me proposer autre chose ! Qui sait, une petite pipe ne serait pas de refus !
Et soudain elle gueule :
Oh, là là ! Je n’aime pas ça, je laisse tomber ma branlette inachevée, et veux récupérer mes fringues, mais horreur ! elles sont derrière Josiane qui me barre le passage, quant à la porte de séparation elle est aussi derrière Josiane…. Jérôme, le patron entre !
Je devais être à ce moment-là aussi blanc qu’un sac de plâtre…
Mais le mec ne m’écoute pas ! Il se saisit d’un martinet (d’où le sort-il celui-là ?) et menace son épouse sans faire attention à moi !
La fille se cambre, l’autre la flagelle sans ménagement en essayant d’ajuster ses coups malgré l’exiguïté du lieu.
Ses fesses commencent à se zébrer de rouge ! Je suis tombé en pleine mise en scène, j’ai eu peur, ça va mieux, je voudrais bien partir mais je ne peux pas passer… Jérôme a laissé tomber son pantalon.
Elle ne se fait pas prier et embouche le gros machin raide du libraire avec un curieux bruit de gorge, elle le suçote quelques instants puis s’occupe de moi. Je ne tarde pas à rebander comme il faut, je la préviens que je vais jouir, et me finis dans le kleenex que je n’avais pas lâché ! Elle s’occupe à nouveau de son mari. Puis se tourne, cambre ses fesses et se laisse pénétrer en criant des paroles incompréhensibles telle une possédée ! L’affaire dure bien cinq minutes, puis les deux zigotos finissent par jouir, ils se font face et s’embrassent dans un grand élan de tendresse. C’en est touchant !
Mais l’homme est déjà reparti dans la boutique principale. Josiane me passe mes fringues et se rhabille aussi.
Je me vois mal marchander après ce qui s’est passé et j’accepte, je verse des arrhes, on me fait un reçu et je quitte la boutique…
Il fait nuit, qu’est ce que je fous sur ce banc ? L’heure… il est 19 heures, la librairie doit être fermée, je vais voir, effectivement le rideau de fer a été baissé. Je reviendrai demain. J’ai fait un drôle de rêve, je m’envoyais la libraire nympho dans l’arrière-boutique… N’importe quoi…. Me voilà à faire des rêves érotiques en plein Paris dans un square ! Il va falloir que je me surveille. Bon, direction le métro, je cherche ma carte dans ma poche, je sens un bout de papier, je ne sais pas ce que c’est, je le lis :
« Avance sur commande d’une reproduction de gravure ancienne, 100 euros »
Oups !
Enzo, Novembre 2005