n° 09950 | Fiche technique | 13600 caractères | 13600Temps de lecture estimé : 8 mn | 05/12/05 |
Résumé: Une femme découvre les plaisirs de la domination avec sa nouvelle amante. | ||||
Critères: ff fffh fhhh boitenuit hsoumis fdomine fetiche chaussures massage double hsodo | ||||
Auteur : Fétichic |
Depuis cette fameuse soirée, la vie de Florence avait basculé. Elle avait découvert la domination et les nouveaux plaisirs que cela lui procurait. Solange, sa nouvelle amante, lui avait fait rencontrer des hommes ainsi que des femmes qui ne jouissent que dans la soumission. Le fait d’avoir une femme ou un homme entièrement dédié à son propre plaisir, prêt à accepter toutes ses envies, donne à Florence un sentiment de puissance jusqu’alors inconnu. Elle accompagne sa nouvelle amie dans des soirées privées dont elle n’avait jamais supposé l’existence. Des soirées toujours dédiées au fétichisme, où la plupart du temps les hommes sont réduits au rôle de soumis, uniquement là pour le plaisir des dames. Mais ce rôle leur convient certainement très bien vu l’état d’excitation dans lequel ils se trouvent.
Ce soir, Solange l’entraîne dans un nouvel endroit et lui promet de lui faire découvrir des plaisirs inconnus.
Après avoir traversé Paris, elles se garent dans une rue calme en face d’une grande demeure abritant un club privé. Solange actionne la sonnette et regarde la caméra placée au-dessus de la porte qui surveille l’entrée. Après quelques secondes, la lourde porte s’ouvre automatiquement et les deux jeunes femmes pénètrent à l’intérieur. Elles se retrouvent dans un vaste couloir servant de vestiaire où les accueille une femme très élégante.
Florence est de plus en plus impatiente de voir ce qui se passe dans ce club, et c’est avec plaisir que les deux filles se dirigent vers une grande salle où se presse déjà beaucoup de monde. La clientèle est en majorité féminine et les quelques hommes présents sont tous dans la même tenue : presque entièrement nus, uniquement vêtus d’un string en cuir et d’un collier de la même matière pourvu d’un anneau. Florence le fait remarquer à son amie.
Effectivement, Florence remarque que les couples enlacés qui se caressent et s’embrassent à pleine bouche ne sont que des couples féminins. Les hommes sont souvent à genoux aux pieds des dames ou naviguent au milieu des invités en portant des plateaux. L’ambiance qui règne dans l’établissement commence à exciter Florence, d’autant plus que Solange lui caresse tendrement les fesses à travers sa jupe en latex.
À peine sont-elles installées dans un profond canapé qu’un serviteur s’approche d’elles et s’agenouille à leurs pieds.
L’homme se penche encore plus et dépose un baiser sur les quatre pieds qui se présentent à lui.
Les deux filles portent chacune des sandales à lanières laissant les pieds nus complètement exposés, ce qui fait le bonheur de leur esclave qui d’une langue gourmande adore chaque orteil en passant d’un pied à l’autre avec un plaisir non dissimulé. C’est le genre de caresse qu’adore Florence ; la tête renversée et les yeux fermés, elle s’abandonne à cette langue qui lui diffuse des ondes de bien-être. Solange approche ses lèvres et d’une bouche gourmande embrasse son amie sans retenue. Tout en lui dévorant la langue, Solange glisse sa main sous la jupe de son amante et ses doigts ne tardent pas à trouver un sexe complètement nu et déjà détrempé. Elle entame sur le clitoris une lente masturbation qui, associée à la langue toujours aussi active de l’esclave, amène Florence aux portes de la jouissance. Solange s’en aperçoit et d’un coup de pied chasse le lécheur en même temps qu’elle retire brutalement la main.
En disant ces mots, Solange entraîne son amie au fond de la salle. Un escalier emmène les deux amantes à l’étage où s’ouvre une pièce constituée de box plus ou moins grands cachés derrière un rideau pour protéger l’intimité.
Devant le premier box, Solange tire le rideau et montre le spectacle à Florence qui reste sans voix.
Sur un lit de deux mètres sur deux se trouve une femme entièrement nue couchée sur le dos. Pour la faire jouir, pas moins de cinq personnes s’occupent d’elle. Deux filles très jolies s’occupent de sa poitrine. Elles lui lèchent les seins et en étirent les mamelons, une troisième fille couchée entre ses cuisses lui mange le clitoris tout en lui introduisant une main entière dans le vagin. Deux esclaves dans la même tenue que ceux de la salle d’en bas lui dévorent les pieds et lui sucent les orteils. Avec ce traitement, la fille enchaîne orgasme sur orgasme jusqu’à épuisement total.
Florence est subjuguée par la scène et sent le plaisir la gagner, d’autant plus que son amie, collée contre son dos, a glissé la main sous sa jupe et caresse à nouveau ses grandes lèvres gonflées.
En soulevant le rideau du box voisin, c’est un tout autre spectacle qui les attend. Un homme, couché sur le dos, bras et jambes écartés et accrochés aux quatre coins d’un lit, subit les assauts de deux splendides jeunes femmes. Comme il est complètement immobilisé, une des filles est assise sur sa bouche, ce qui oblige l’homme à lui lécher le sexe et l’anus. La deuxième, placée entre ses cuisses, le sodomise avec un godemiché de bonne taille tout en le masturbant frénétiquement. Les deux filles se rapprochent l’une de l’autre et s’embrassent goulûment. Florence se dit que, pour un esclave, c’est peut-être lui qui aura le plus de plaisir, et effectivement dans un cri étouffé l’homme éjacule à grands jets.
Dans les autres box, des scènes toutes plus excitantes les unes que les autres s’offrent à leurs yeux. Dans un troisième box, une femme plus très jeune, mais très jolie, et surtout possédant un corps magnifique, est empalée sur le sexe d’un esclave couché sous elle. Florence s’aperçoit alors que le sexe de l’homme est énorme et la pénètre violemment. Entre ses jambes grandes ouvertes, une autre fille beaucoup plus jeune, harnachée d’un gode ceinture, la sodomise tout aussi fort. La femme hurle son plaisir, mais ses partenaires ne s’arrêtent pas pour autant, lui prodiguant ainsi une suite d’orgasmes ravageurs.
Les deux filles arrivent devant une lourde porte gardée par un homme musculeux vêtu d’une combinaison en latex.
L’homme s’écarte respectueusement pour les laisser passer.
Effectivement, plusieurs clientes sont déjà installées sur des tables de massage, tandis que de superbes créatures entièrement nues, à l’exception de chaussures très sexy à talons vertigineux, déambulent entre les tables et recouvrent les corps allongés d’une incroyable quantité d’huile. Une odeur de lavande et d’arnica embaume la pièce. Après s’êtres entièrement dévêtues, Solange et Florence s’avancent vers deux tables inoccupées et s’étendent sur un matelas très doux. Deux filles s’approchent et déversent de l’huile tiède sur leurs corps.
Le corps de Florence frissonne, et très vite des mains douces et sensuelles commencent à parcourir son dos. Les doigts magiques partent du creux des reins et remontent tout doucement le long de sa colonne vertébrale. Florence se laisse gagner par un incroyable bien-être et laisse échapper des râles de plaisir. Solange regarde son amie s’abandonner aux savantes caresses et se dit qu’elle a de la chance d’avoir trouvé une partenaire de jeu aussi belle et aussi coquine. Une des masseuses demande à Florence de se retourner, et à cet instant quatre jeunes femmes s’approchent d’elle et attachent bras et jambes à chaque extrémité de la table.
Dans cette position, complètement écartelée, Florence est entièrement à la merci de ses perverses complices. Dans le même temps une des filles lui pose un masque sur le visage, la plongeant dans le noir total. Privée de la vue, elle ressent dix fois plus les sensations provoquées par les caresses. Il y a tellement de mains qui parcourent son corps que Florence imagine qu’au moins six filles doivent s’occuper d’elle. Aucun millimètre carré n’est épargné, les doigts agiles glissent avec douceur sur sa peau imbibée d’huile. Une seule zone est volontairement épargnée, elle va du haut de l’intérieur des cuisses jusqu’au sommet du mont de vénus. Aucun doigt ne s’est encore aventuré sur son sexe, comme si toutes ces filles s’étaient donné le mot. Pourtant, il est maintenant complètement ouvert, et Florence demande qu’on la fasse jouir, mais ses douces tortionnaires n’en n’ont que faire et continuent à explorer le reste de son corps en arrêtant tout mouvement dès que la jouissance approche. Sur la peau de Florence, les langues et les lèvres ont remplacé les mains avec beaucoup de prudence, car le corps incandescent est proche de l’explosion. Une langue experte lui lèche les lèvres et l’intérieur du cou, d’autres prennent possession des seins et aspirent les tétons dressés. Une autre encore investit le nombril, endroit si érogène chez Florence. Deux autres filles lui mangent carrément les pieds et dégustent les orteils, autre zone hypersensible où Florence adore qu’on s’attarde.
Ses râles de plaisir ont monté d’un cran et elle se dit qu’elle va devenir folle si on ne la fait pas jouir de suite. Si seulement ses mains étaient libres afin qu’elle puisse se masturber toute seule… Comme si l’on entendait ses prières, elle sent qu’une autre fille monte sur la table entre ses jambes écartelées et s’approche d’elle. Immédiatement, la nouvelle arrivante déverse une grande rasade d’huile sur son sexe, ce qui manque de la faire jouir tellement le contact est agréable. Tout de suite après, un souffle d’air chaud lui chatouille le clitoris, puis une langue pointue le caresse.
Florence ne le sait pas encore, mais c’est Solange qui maintenant alterne les coups de langue et les souffles chauds sur son intimité. La langue parcourt les plis de l’aine, explore l’intérieur des cuisses, puis remonte sur son bouton de plaisir qui est complètement distendu. Un bruit bien connu arrive aux oreilles de Florence et un énorme godemiché vibrant investit son sexe et rentre facilement au plus profond d’elle. En faisant aller et venir le sexe de latex, Solange continue d’aspirer le clitoris de son amie, et d’un doigt expert pénètre son anus parfaitement lubrifié. Florence hurle de plaisir, jamais elle n’avait ressenti de telles choses, et avec ces langues qui continuent de parcourir son corps et ses orifices complètement remplis, elle part dans un orgasme qui dure plusieurs minutes avant de perdre connaissance.