Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09984Fiche technique7189 caractères7189
Temps de lecture estimé : 5 mn
15/12/05
Résumé:  Quoi de pire que la pub, pour s'exciter un peu ? Rien...
Critères:  fh inconnu telnet cérébral voir fmast hmast fellation aliments
Auteur : Juju  (Jeune homme s'essayant à l'écriture...)            Envoi mini-message
L'histoire secrète de la sexualité du bifidus actif

Il est 19h30, je regarde distraitement la télé. J’ai un peu la flemme de faire la vaisselle alors je vais attendre un peu avant de préparer le dîner. Sophie ne devrait pas rentrer avant 20h et quelque, ça me laisse un peu de répit.


La télé déverse son lot habituel de débilités, des émissions plus ou moins lourdingues. Je zappe de chaînes en chaînes, cherchant désespérément à aller au « moins pire ». Résultat je me retrouve sur la 2 à regarder les pubs.


J’apprends que Télé2 coûte moins cher que ses concurrents. Puis que Neuf Telecom coûte moins cher que Télé2. Et puis finalement j’apprends qu’à bien y réfléchir, on revient toujours chez France Telecom. Tel un César moderne je décide alors de trancher : je lève ma télécommande, la pointe fièrement à bout de bras vers le poste, je place mon doigt sur le petit bouton rouge et…


Je m’arrête. Une jeune fille est apparue à l’écran. Pauvre de moi, j’allais couper et louper cette jolie brune. Elle est de dos dans un grand appartement tout blanc. Elle porte une robe très fluide, qui descend du milieu de son dos à ses mollets, des mollets fins qui laissent présager deux fines gambettes. Les reflets de sa robe pourpre semblent répondre au soyeux de ses cheveux bruns. Sa robe flotte légèrement, sa chevelure ondule langoureusement, je suis captivé.


Elle jette un regard en arrière. Oh ! à tous les coups elle m’a vu la regarder ! Elle va me prendre pour un pervers (enfin on est tous des mateurs en puissance devant la télé). Non ça va, elle fait un sourire ! Un sourire magnifique… Elle a des lèvres fines, une longue rangée de dents blanches, et son petit sourire est accompagné d’un œil malicieux, plein de promesses. Alors comme ça elle surprend un parfait inconnu dans son grand appartement tout blanc et ça la fait sourire… ça promet !


J’ai à peine eu le temps d’apercevoir ses beaux yeux verts que déjà elle attaque la montée d’un petit escalier. La montée des quelques marches exacerbe les mouvements de ses fesses, la robe semble portée successivement par la fesse gauche, puis droite, puis… la robe tombe. Ou plutôt elle glisse. Elle glisse le long de son dos, épouse la courbe de ses reins, ralentit un instant sa descente au niveau de ses fesses puis termine sa chute à terre.


Elle se retrouve toute nue en haut de ses escaliers tout blancs. Mince elle l’a fait exprès ou quoi ?! Elle avait des bretelles fines cette robe mais quand même ! C’est bien la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation : chez une parfaite inconnue, à la beauté à vous clouer par terre, et dont la robe vient s’affaler sur le sol, la laissant dans le plus simple appareil. Je suis gêné, peut-être préfère-t-elle que je détourne le regard le temps qu’elle ramasse sa robe, mais enfin je ne peux pas m’empêcher de la détailler discrètement : des épaules fines, un dos cambré comme une danseuse, et des fesses ! Des fesses charnues mais fermes, rondes, pommelées. Je n’ai qu’une envie c’est de les saisir, de les croquer, de venir blottir mon sexe contre sa raie… C’est bien simple, si elle se baisse pour ramasser sa robe je fonds sur elle pour la prendre en levrette !


Contre toute attente, elle ne se rhabille pas. Elle se retourne. Qu’elle est belle ! Elle a un visage d’ange. Elle a l’air sereine, heureuse. Moi qui étais tout gêné pour elle, il n’y avait pas de quoi ! Elle me regarde droit dans les yeux. Je bande. Elle a des seins absolument magnifiques, bien ronds, d’une taille respectable mais très fermes, très hauts. Ses tétons tout rouges tranchent avec la blancheur de sa peau. Mon regard descend le long de son ventre, parfait, sur lequel trône un petit nombril sur lequel j’aurais bien été déposer un baiser. Je cherche alors l’objet de mes convoitises, son sexe, je me demande comment elle taille son petit minou, je me demande à quoi ressemble son intimité, et surtout si je pourrai distinguer quelques reflets humides avant-coureurs de son désir…


Mais elle le cache, elle tient un petit truc juste devant son minou. Le petit rempart semble être… un pot de yaourt ! Un petit pot tout blanc avec marqué « velouté » dessus.


Je vois clair dans son petit jeu. Moi-même j’aime bien tartiner les seins de ma Sophie de confiture, avant de m’en délecter. C’est vrai que du yaourt ferait tout aussi bien l’affaire. En plus une voix susurre qu’il est allégé. Enfin bon, moi je ne suis pas au régime hein ! et je préfère quand même la confiture. Ah moins que…


Ce n’est pas sur elle qu’on va tartiner le yaourt, ce n’est pas moi qui vais la lécher. Comment n’y ai-je pas pensé tout de suite ?! Si elle est si mince c’est qu’elle ne fait ses cochonneries qu’avec des yaourts allégés ! Oh oui, j’imagine déjà la malicieuse brune m’enduire le sexe de son mets onctueux, avant de le lécher, que dis-je, de se pourlécher de mon sexe, de m’avaler goulûment. Je l’imagine, toute occupée à me sucer, plonger ses doigts dans le petit pot de yaourt, avant de se maculer le minou du coulis froid, de jouer avec, de barbouiller sa toison de crème. Le contact froid du yaourt sur son intimité la surprendrait, lui ferait relâcher ma verge de son étau buccal un court instant. Elle verserait alors le reste de son petit pot sur ses seins, laissant l’onctueux liquide couler le long de son ventre. Elle se l’étalerait alors sur le corps, se caressant les seins à pleines mains, puis se laisserait aller à se mettre un doigt dans le vagin pour me faire goûter l’onctueux mélange du yaourt et de sa cyprine. Alors je la…


Merde la pub est finie, je m’empare de la télécommande et je zappe compulsivement, la 1, une pub de voiture, la 2, une lessive, la 3, rien… Canal +, Arte, la 6,… merde… je passe sur le câble, LCI, Eurosport, pas de pub, RTL9, Téva, Ah ! Elle est là ! La brune ! J’arrive juste au moment où elle avale une grande cuillère de yaourt, les yeux fermés, sur un air plus orgasmique que gastronomique. J’ai compris son message, je sais que c’est à moi qu’elle pense. Je sais que c’est mon sexe qu’elle avale avec un tel bonheur, que c’est mon sperme qui coule le long de sa gorge lui procurant ces ondes de plaisir. Je la remercie et elle me répond d’un clin d’œil entendu avant de disparaître, remplacée par un chien au poil brillant qui fonce pour dévorer son bol de pedigree pal.


J’entends une clé dans la porte. C’est Sophie. Je range rapidement mon instrument dans mon pantalon et je camoufle la bosse du magazine télé qui traînait sur la table.



Coquine…