n° 09986 | Fiche technique | 20742 caractères | 20742Temps de lecture estimé : 13 mn | 16/12/05 |
Résumé: Rencontre avec la fille de ma patronne. | ||||
Critères: fh gros(ses) grosseins groscul lunettes travail lingerie fmast entreseins fsodo | ||||
Auteur : Alban (Homme 30 ans amoureux des femmes voluptueuses.) |
NATHALIE
Cela fait maintenant six mois que ma « relation » avec Nathalie a commencé. Je cherche depuis quelques semaines à y mettre fin tant la tournure que prennent les événements semblent m’échapper complètement. J’avais, dès le départ, placé cette relation sur le plan purement physique. Il était hors de question d’aller plus loin, et ce, pour diverses raisons.
Je ne suis pas tombé immédiatement sous le charme de Nathalie, bien au contraire. C’est une fille au physique banal, elle n’est pas de celles qui détournent le regard des hommes sur son passage. Notre rencontre a eu lieu par le biais de nos mères respectives.
Etudiant en fin de cycle, futur expert comptable, j’avais pour habitude de me faire la main chez les petits artisans de mon quartier. Sachant cela, Simone, la mère de Nathalie, avait demandé à ma mère si je pouvais l’aider à faire la comptabilité de son petit commerce de vêtements. C’est ainsi que je me suis retrouvé un été à aider Simone à mettre de l’ordre dans ses comptes.
Elle vivait avec son mari et sa fille unique dans un charmant petit pavillon de campagne. C’est une de ces maisons traditionnelles, assez joliment décorée avec une grande cheminée trônant dans une vaste salle à manger. C’est dans cette pièce qu’était installé le bureau de Simone et c’est donc là que je passais l’essentiel de mon temps lorsque je me rendais chez elle.
J’ai fait la connaissance de Nathalie lors de mon troisième ou quatrième jour chez Simone. Ce ne fut pas ce que l’on appelle à proprement parler un coup de foudre immédiat. Je pense que cela tient essentiellement à la façon de s’habiller de Nathalie. Jeans, polos amples ou chemises larges constituaient l’essentiel de sa garde-robe. Simone me parlait souvent de sa fille, elle était fière de la relation qu’elle venait d’entamer avec un jeune homme bien sous tous rapports selon elle. Quand nous avons commencé à être plus « intimes », Nathalie m’a parlé de son petit ami en des termes beaucoup moins élogieux. Il semblait peu porté sur la chose. Ils faisaient rarement l’amour et quand cela était le cas, il s’agitait quelques minutes sur elle avant de lui déverser son foutre et il finissait même par s’endormir quelques minutes après. Aucun préliminaire, pas de tendresse, elle semblait réellement insatisfaite sur le plan sexuel.
Nos premiers contacts furent anodins, polis et courtois, sans plus. Elle semblait rustre, le moindre de ses gestes était peu féminin. Elle semblait même un peu gauche dans tout ce qu’elle faisait. Elle rougissait à chaque fois que nous nous faisions la bise. Au fil des jours, elle prit de l’assurance. Alors qu’elle ne faisait que passer les premiers temps, elle commença à rester bavarder les jours suivants. J’en ai alors profité pour essayer de découvrir Nathalie du point de vue de son anatomie. Elle ne semblait pas féminine, je l’ai déjà dit. Les traits de son visage étaient pourtant fins. Elle avait des cheveux coupés court. Elle portait également des lunettes, de petites lunettes rondes qui lui donnaient un air assez coquin à y regarder de plus près.
Ses épaules fines contrastaient avec ses bras forts, on pourrait même dire potelés. Ses vêtements amples atténuaient les courbes de sa poitrine que l’on devinait néanmoins assez généreuse. Je me souviens d’un jour où elle était vêtue d’un polo de couleur rouge, on pouvait remarquer au travers l’émergence de deux gros tétons qui ne demandaient qu’à être mordillés.
Ses hanches étaient larges et son fessier tout autant. Ses cuisses étaient également charnues. Au final, elle ne paraissait pas vraiment grosse, seulement bien en chair.
Un après-midi, alors quelle ne semblait avoir rien d’autre à faire, Nathalie est venue s’asseoir dans un fauteuil du salon qui faisait face au bureau sur lequel j’avais pris l’habitude de travailler. Elle avait apparemment besoin de compagnie. Elle m’expliqua qu’elle venait de se brouiller avec son copain. Sur le coup, je n’ai pas bien compris pourquoi elle venait se confier à moi.
Rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Elle me raconta sa vie avec son copain sans que je fus demandeur de quoi que ce soit. C’est à ce moment que j’ai appris que leur relation était désespérément plate sur le plan sentimental et sexuel et qu’elle restait avec, plus pour faire plaisir à ses parents que parce qu’elle en avait réellement envie.
Sur le coup, je fus presque gêné par ce qu’elle venait de me dire. Je n’osais plus la regarder en face. Elle rougissait de honte et elle s’était enfoncée un peu plus dans son fauteuil. Je ne l’avais par remarqué mais nous étions seuls car Simone était partie, l’heure de l’ouverture de la boutique approchant. Moi qui d’habitude suis du genre plutôt entreprenant avec les filles, j’étais là comme un couillon ne sachant que faire. Après un long moment de silence, Nathalie se leva du fauteuil et s’approcha de moi. Je n’avais pas levé les yeux du travail qui m’occupait. Elle se plaça derrière moi et resta un moment immobile. Je m’étais redressé, mais je n’osais me retourner de peur de la faire fuir.
Je sentai sa respiration qui s’était accélérée. Elle s’approcha encore plus et posa un baiser sur le côté gauche de mon cou. Ses deux mains vinrent se poser en appui sur le bureau juste à côté des miennes. Cette position faisait qu’elle était maintenant collée à moi. Je sentai son abondante poitrine collée contre mes omoplates. J’ai alors posé délicatement mes mains sur chacune des siennes. Après quelques instants où nos doigts se sont entrelacés, Nathalie s’est reculée lentement, ce qui m’a permis de faire pivoter d’un demi-tour le fauteuil sur lequel je me trouvais.
Nous nous faisions maintenant face. Ses deux tétons étaient en érection sous son t-shirt pourtant assez large. De mon côté, je n’étais pas en reste. Je bandais comme un âne. Le bermuda de toile beige que je portais ce jour-là semblait ne plus pouvoir contenir bien longtemps l’objet du désir apparent de Nathalie. Ses yeux étaient maintenant complètement rivés sur mon sexe en érection. Elle semblait carrément en transe. De mon côté, j’étais surexcité à l’idée de pétrir et de sucer ses deux grosses mamelles. Une chose est sûre, j’avais très envie d’elle. Cela paraissait surréaliste, car jamais je n’aurais imaginé me retrouver dans pareille situation.
Au moment où j’avais décidé de passer à l’action, la sonnette de l’entrée retentit. Patatras. Nathalie se mit à rougir quasi instantanément comme une enfant prise en flagrant délit de vol de bonbons. Moins de deux secondes plus tard, elle avait quittée la pièce et elle se dirigea vers la porte d’entée. Cela semblait être son petit ami qui venait la chercher. Après quelques secondes d’échanges, et alors qu’il l’attendait dans le hall d’entrée, elle vint me rejoindre dans le salon. D’un pas pressé, elle se dirigea vers moi.
Elle posa son index sur ma bouche et quitta la pièce sans traîner. Moins de deux minutes après avoir eu l’occasion de passer un agréable moment en sa compagnie, je me suis retrouvé seul, comme un con, dans mon fauteuil. Je bandais encore à moitié. Je ne pouvais décemment pas rester dans cet état d’excitation. J’étais maintenant totalement seul dans la maison, et logiquement, personne ne devait rentrer avant au moins deux heures.
Je me suis levé pour aller me servir un verre d’eau à la cuisine. Je ne cessais de repenser à ce qui aurait pu se passer si personne n’était venu sonner à la porte. Je bandais à nouveau en pensant à Nathalie. Il fallait absolument que je me soulage. J’ai alors décidé de trouver sa chambre. Je voulais savoir à quoi pouvait ressembler le coin secret d’une telle nana. Sa chambre se situait au fond du couloir. Elle faisait quasiment face à la salle d’eau. Cela ressemblait à une chambre on ne peut plus banale. Lit deux places situé sous une armoire-pont au-dessus de laquelle un miroir trônait. Une petite commode en bois verni se trouvait à environ un mètre cinquante devant le pied de lit. De grands rideaux rouges tamisaient la lumière du soleil et créaient une ambiance chaude et voluptueuse à l’intérieur de la pièce.
J’ai pris soin de refermer la porte derrière moi avant de commencer l’inspection des lieux. Quels types de sous-vêtements une fille comme Nathalie pouvait-elle porter ? J’allais vite être fixé car le premier tiroir de la commode que je me suis risqué à ouvrir fut le bon. De fines culottes de dentelles cohabitaient avec de gros soutien-gorge en coton fleuri. Des sous-vêtements coquins étaient mélangés avec des culottes de coton blanc. Le simple toucher de ces dentelles m’excitait au plus haut point. Rapidement, je me suis retrouvé assis sur le bord du lit, le caleçon sur les chevilles, un soutien-gorge de grande taille dans une main et ma bite tendue à l’extrême dans l’autre. Il faut dire que Nathalie devait avoir de sacrés obus pour avoir besoin de pareil attirail. Je me suis lentement masturbé en respirant les effluves de parfum présents sur sa lingerie. Je fermais les yeux. J’imaginais Nathalie en train de me prodiguer une douce fellation. Je la sentais accroupie entre mes deux cuisses enserrant ma bite bandée entre ses deux gros seins. J’ai éjaculé de longues saccades de sperme chaud sur mon bas ventre. Heureusement que j’avais pris soin d’ôter ma chemisette. J’ai mis quelques minutes à reprendre mes esprits. La fin de journée approchait et Simone n’allait pas tarder à rentrer. J’ai quitté les lieux en prenant soin de remettre chaque chose à sa place. Néanmoins je n’ai pas pu m’empêcher de lui « emprunter » l’une de ses culottes, elle aussi d’une taille imposante étant donné son fessier.
Je n’ai eu cesse de repenser toute la soirée aux paroles de Nathalie me promettant la suite de notre entrevue le lendemain matin. Avant de m’endormir, je me suis à nouveau branlé en pensant à elle. Je m’imaginais en train de la prendre en levrette à quatre pattes sur son lit. Je voyais ses seins s’agiter au rythme des coups de butoir que je lui donnais. Je l’entendais jouir, ce qui provoqua l’accentuation de la vitesse de ma masturbation. J’ai éjaculé pour la seconde fois de la journée en fantasmant sur elle. J’avais vraiment hâte d’être au lendemain matin.
C’est d’une humeur guillerette que je me suis rendu chez Simone ce matin-là. Cela devait contraster avec les autres jours, car mon hôtesse m’en fit la remarque. Il était presque dix heures lorsque Simone me quitta comme d’habitude pour se rendre à la boutique. J’étais content de me retrouver seul, mais je n’avais encore pas vu trace de Nathalie et de sa promesse. Je fus vite rassuré. En effet, Simone avait à peine quittée la maison que Nathalie fit son apparition dans l’entrebâillement de la porte. Manifestement elle semblait réveillée depuis un moment. Elle s’approcha de moi et me salua en m’embrassant sur la joue. Pour tout dire, je bandais déjà. Ses cheveux étaient encore mouillés et le parfum qui émanait de sa peau montrait qu’elle devait sortir de la douche. Elle était vêtue d’un peignoir d’éponge bleu d’une grande douceur.
Elle se saisit de ma main et sans se retourner elle m’emmena d’un pas rapide vers le fond du couloir là où se trouvait sa chambre. Elle me fit entrer et ferma la porte à clé derrière nous. Sans lui laisser le temps de se retourner, je vins me plaquer dans son dos, lui enserrant la taille et l’embrassant dans le cou. Elle n’offrit aucune résistance. Le contact de mes mains sur la douceur de son vêtement fut incroyablement sensuel. Elle se retourna et m’embrassa à pleine bouche, entrelaçant sa langue dans la mienne. L’une de ses mains attrapa sans vergogne mon chibre déjà en érection. Elle plaça son autre main sur ma nuque m’embrassant ainsi avec encore plus de vigueur. Après plusieurs secondes, elle reprit son souffle, ce qui me permit de faire deux pas en arrière. J’étais maintenant à moins d’un mètre du bord de lit. Je me suis assis sur celui-ci, ce qui me permit de reprendre mes esprits. Nathalie n’avait pas bougé. Elle me souriait. D’un geste lent, elle desserra la ceinture de son peignoir. Elle prit soin de ne pas me dévoiler tout de suite l’entière nudité de son corps.
Elle découvrit lentement une à une ses deux épaules. Alternativement l’une des ses mains découvrait ses épaules pendant que l’autre tenait fermement l’ouverture de son vêtement. J’attendais avec impatience la suite.
J’ai ôté un à un les boutons de ma chemisette afin de me retrouver torse nu à nouveau debout. Enlever mon bermuda fut une simple formalité. À sa grande surprise, mon gland violacé dépassait du haut de mon boxer devenu trop petit.
Son regard était rivé sur mon sexe. J’ai cru un instant qu’elle allait se jeter dessus comme une morte de faim. Je me suis approché d’elle ce qui eu pour effet de la sortir de sa léthargie toute relative. Elle réajusta son peignoir sur ses deux épaules découvertes. Ses deux mains tenaient fermement chaque côté de son peignoir. Je les ai prises dans les miennes. Cela a eu pour effet d’entrouvrir son vêtement et de laisser apparaître la courbe généreuse de ses seins. J’ai lâché l’une de ses mains afin d’attraper l’un des objets de ma gourmande convoitise. Son téton s’est presque instantanément redressé sous l’effet de ma caresse. J’avais enfin la confirmation de ce que je soupçonnais. Elle avait réellement d’énormes seins. D’un blanc laiteux, ils étaient lourds et denses. Très petites, ses aréoles contrastaient avec le volume de ses tétons bandés sous l’effet de mes caresses. J’ai peu à peu augmenté le rythme de celles-ci avant de sucer et de mordiller un à un ses deux mamelons.
Ces caresses buccales ont déclenché chez Nathalie de petits râles de plaisir. Une fois qu’elle eut repris ses esprits, elle se fit beaucoup plus entreprenante. Moi qui la pensais gauche et inexpérimentée, j’allais vite changer d’avis.
En moins de trois secondes, elle avait libéré mon chibre de sa prison de coton. J’étais maintenant totalement nu face à elle. Elle me fit reculer pour m’asseoir sur le bord du lit. Sans jamais lâcher mon sexe tendu, prisonnier d’une de ses mains, elle s’accroupit entre mes deux cuisses et commença un lent mouvement de va-et-vient en prenant soin de caresser de tout son long l’objet de sa convoitise.
Nathalie était toujours vêtue de son peignoir. Pour me prouver que tout cela lui faisait de l’effet, elle ôta sa petite culotte de coton rose souillée par son intense excitation. Elle me la tendit afin que j’en hume le parfum si fort de la femme en rut.
Tout en continuant à caresser ma bite, elle avait entrepris de se masturber lentement, fouillant avec aisance au milieu de sa dense toison pubienne.
Très vite, elle passa à la vitesse supérieure en attaquant avec vigueur une fellation de premier ordre. J’avais placé mes deux mains derrière sa tête afin d’accentuer encore le plaisir de la caresse buccale qu’elle était en train de me prodiguer. L’excitation était telle que je n’allais plus pouvoir résister bien longtemps. J’ai alors desserré l’étreinte de mes mains sur sa tête et lui ai repoussé lentement la tête en arrière.
J’ai lentement glissé vers le centre du lit laissant ainsi Nathalie se relever. J’avais bien failli lui éjaculer dans la bouche. D’un signe de la main, je lui ai demandé de me rejoindre sur le lit. Toujours vêtue de son peignoir, elle m’a rejoint lentement. À quatre pattes, elle est venue poser sa tête dans le creux de mon épaule. J’ai profité de la situation pour lui pétrir vigoureusement chacune de ses deux lourdes mamelles. D’une manœuvre lente et posée, elle s’est retrouvée à califourchon, ses genoux posés de chaque côté de mon bassin. Ses deux mains se sont posées de part et d’autre de mon visage ce qui eut pour effet de faire venir frotter ces lourds obus sur mon torse. Cette sensation fut absolument divine. Elle commença de lents mouvements de va-et-vient, de bas en haut, son entrejambe velue venant alors caresser ma bite de tout son long.
Après quelques instants elle se releva. Elle se caressa les seins, faisant rouler ses tétons entre ses doigts. De mon côté, mes mains vinrent se poser sous chacune de ses outres. Mon entrejambe et mon bas-ventre étaient souillés du jus de son intense excitation. D’une main experte, elle attrapa mon chibre tendu et elle s’empala avec une aisance déconcertante. Je semblai flotter en elle, tant son con était dilaté. Nous restâmes quelques instants immobiles. J’ai posé mes mains sur ses hanches et elle a commencé à s’agiter. Ses deux seins avaient encore gonflés sous l’effet de son excitation. Elle poussait de petits cris à chaque fois que mon membre disparaissait totalement en elle.
Je tenais maintenant ses deux seins dans mes mains. Celles-ci semblaient démesurément petites à côté de ses deux mamelles laiteuses et lourdes. J’ai éjaculé bruyamment de longues giclées de sperme dans son antre bouillonnant. Nathalie continuait néanmoins à s’agiter comme pour faire monter sa jouissance. Quelques allers-retours suffirent à faire jouir Nathalie. Elle se laissa choir sur moi les yeux dans le vague, le corps en transpiration après l’effort intense qu’elle venait de réaliser.
Toujours emmitouflée dans son peignoir bleu qu’elle n’avait pas quitté pendant nos ébats, je caressais son dos et les courbes généreuses de sa croupe. Sa peau était incroyablement douce. Elle se serrait fort contre moi. Elle m’avoua dans le creux de l’oreille qu’elle avait souvent rêvé de ce moment et que faire l’amour avec moi représentait l’un des fantasmes les plus récurrents.
Nous avons refaits l’amour moins d’une heure plus tard. J’ai fait, avec Nathalie, des choses sur le plan sexuel que je n’avais jamais faites avec aucune autre femme. Elle semblait prête à toutes les expériences.
Notre première sodomie, notamment, eut lieu quelques jours plus tard sur le canapé du salon. Elle semblait un peu anxieuse, mais après avoir pris quelques précautions, cela fut carrément génial. Il ne se passe d’ailleurs plus une semaine sans que nous ne renouvelions l’expérience.
Néanmoins, et il faut dire que le physique de Nathalie s’y prête, la cravate de notaire reste, pour ma part, l’une des pratiques les plus jouissives qu’elle accomplissait. Les périodes où elle était indisposée, elle ne me refusait jamais ce petit plaisir, enserrant souvent avec vigueur ma bite entre ses deux mamelles blanchâtres. Ejaculer sur sa voluptueuse poitrine constituait un réel plaisir. Elle le savait, il n’y avait qu’à voir les regards coquins qu’elle me lançait à cette occasion.
Si sur le plan sexuel notre relation semblait plutôt harmonieuse, il n’en fut rien sur le reste. Dès les premiers jours, Nathalie avait voulu se séparer de son petit ami. Mais moi, je n’étais pas amoureux d’elle, et je ne me voyais pas faire un bout de chemin en sa compagnie. Elle devenait possessive et le moindre appel que je recevais d’une amie déclenchait chez elle des crises de quasi hystérie. Cela faisait presque six mois que cela durait. Il était malheureusement temps, dommage sur le plan sexuel, de mettre fin à ma relation avec Nathalie.