n° 09990 | Fiche technique | 21297 caractères | 21297Temps de lecture estimé : 13 mn | 19/12/05 |
Résumé: En mélangeant les genres, on est bien obligé de mélanger les personnages. Et dans ce joyeux shaker tout peut arriver, même le plus improbable : de l'ouvrier romantique au jeune homme victime de harcèlement sexuel... | ||||
Critères: fh fhhh fplusag jeunes toilettes volupté hsoumis fdomine chantage cérébral revede fellation pénétratio humour | ||||
Auteur : Juju Envoi mini-message |
Déjà 10 heures 20… Il faut que je me dépêche si je veux arriver à l’heure. Je termine de me raser et me passe un coup de peigne. Je cherche désespérément dans le miroir l’image d’un jeune… futur stagiaire dynamique, mais pour l’instant ça ressemble plutôt à un jeune qui a trop fait la fête la veille.
Faut dire que Coralie avait avancé des arguments convaincants hier soir : dans le genre fille libérée elle était prête pour l’évasion d’Alcatraz ! On avait passé la soirée au resto, et sa façon d’avaler les nems relevait sérieusement le goût de mes nouilles ! A propos de nouilles, je ne connaissais pas sa technique, qu’elle appelait si élégamment "réchauffer le spaghetti".
Merde, je m’égare là… je vous raconte ma soirée alors que je dois filer dans trois minutes… Allez hop une chemise, une cravate et je fonce.
Il faut que je me dépêche sinon Jeanne va m’attendre. On a rendez-vous à l’entrée de la halle du centre ville pour passer une série d’entretiens avec les boîtes de la région. Pour une fois que la mairie organise quelque chose, ce serait con de ne pas en profiter. En plus, il me le faut ce stage !
Ça y est, je suis arrivé. Ouh la… Jeanne aussi est arrivée ! Je sais pas si elle fait pro, mais elle fait envie… Son petit tailleur chic moule ses jolies fesses à la perfection. Elle est de dos, elle ne m’a pas vu. Je m’approche de sa belle chevelure blonde pour lui chuchoter un amical bonj…
CLAC !! Elle m’a mis une gifle !
Joignant le geste à la parole, elle pointe du doigt le chantier voisin. En effet. Une dizaine d’ouvriers sont visiblement en train de prendre du retard dans leur boulot. Sur la pointe des pieds, derrière leur palissade, ils matent sans vergogne cette pauvre Jeanne. Ils devaient déjà s’imaginer un encas spécial pour la pause déjeuner… Je vois d’ici ce qui devait se passer dans la tête de ces pauvres travailleurs…
Nous, ouvriers du chantier du centre ville, notre scénario salace :
On bossait comme des abrutis depuis ce matin 8 heures, à trimballer des planches de bois en haut d’un vieil immeuble du centre ville.
Aucun doute qu’on pouvait toujours continuer à bosser comme des cons pendant toute notre vie, c’était pas nous qu’on était prêt d’habiter dans ce genre de baraque. Ça, c’était pour les gens du monde. Nous qu’on pouvait déjà s’estimer heureux de crécher dans la proche banlieue. Remarquons bien que c’est pas plus mal, passque nous au moins on peu faire des barbecues dans le jardin. Alors que les bourgeoises qui crèchent dans ce genre d’immeuble, en ville, elles risquent pas de s’étouffer avec leurs saucisses. Ça, c’est pas leurs maris qui leur donneraient des bonnes saucisses bien juteuses comme nous qu’on en donne à nos femmes.
D’ailleurs en v’la une de petite bourgeoise qui doit pas en manger beaucoup des saucisses. Elle est plus fine que la Gertrude.
Nous on était contents, pour une fois qu’on pouvait se distraire un peu ! Depuis ce matin on voyait passer que des petites vieilles avec leur chienchien. Là, la petite blonde elle relevait le niveau : petit cul bien moulé dans un tailleur de bourgeoise, jolie paire de nichons dont on pouvait entrevoir le décolleté du haut de notre palissade, et une bonne petite bouche de suceuse comme on dit chez nous. Et puis alors, ce qu’était bien, c’est qu’elle restait plantée devant notre palissade à attendre je ne sais quoi.
Au bout d’un quart d’heure qu’on la matait, on s’est dit qu’elle devait attendre quelque chose de nous la petite : c’était quand même pas habituel qu’une jolie minette reste plantée devant nous, juste pour le plaisir de nos yeux. C’était bien aimable mais quand même… on a pas l’habitude que les cocottes elles prennent tant d’égard pour nous autres.
Et c’est notre brave Dédé qui descend de la palissade pour aller à l’encontre de la donzelle. À la vue du Dédé qui s’en va la rejoindre, la petite blonde elle bouge pas. Nous autres on se demande ce qu’il va lui dire et ce qu’elle va y répondre la petite.
Et notre Dédé à nous, il revient alors avec la petite blonde qu’a un beau cul. Nous on était contents, alors on descend de la palissade pour les accueillir.
Et alors nous voila partis avec la petite au milieu des pelleteuses. Ah c’est qu’elle avait l’air contente de le voir notre chantier :
Le Roger il allait retrousser sa manche pour montrer à la petite qu’elle avait raison vu qu’il avait des gros bras, mais à ce moment là… elle a glissé sur une flaque de boue !
Forcément, les escarpins c’est pas fait pour les chantier, ça faut pas avoir fait des études pour le savoir. Du coup la jeune fille s’était retrouvée à quatre pattes, le nez dans une marre de boue.
Notez ça lui allait bien comme position, avec les fesses en l’air. Elle était bien cambrée, comme quand on prend bobonne par derrière. Vu qu’elle avait de la boue sur tout le visage, elle y voyait pas grand-chose la pauvrette et elle tâtonnait tant bien que mal autour d’elle pour trouver une prise qui l’aiderait à se relever.
Et vu que nous autres on commençait à avoir le bâton à force de regarder ses petites fesses, c’est plutôt les bosses de nos pantalons qu’elle a trouvés comme appui. Elle touchait, elle touchait mais elle arrivait pas à se relever ! Bon quand même, au bout de cinq minutes, en bon samaritain, Roger il lui a mis son bras en travers des jambes et il l’a soulevée fermement pour nous la dépatouiller de sa marre de boue.
La petite était complètement enduite, son petit tailleur tout collé par la boue. On aurai dit les bustes qu’on voit dans les musés de la ville. Nous autres on avait pas l’habitude d’en voir des œuvres alors là, forcement, c’était émouvant. Et puis c’était vachement émouvant aussi parce que la petite œuvre elle pleurait à cause de son tailleur qu’était tout sale. Nous autres on est p’têt ouvriers du bâtiment mais quand même on a un cœur.
Alors nous voila tous partis vers la cabine avec la petite dans les bras. On était tellement émus que la blondinette soit tristounette, on avait tous à moitié le gourdin. Y avait une ambiance différente de d’habitude sur le chantier, plus personne faisait de blagues.
On a délicatement posé la petite sur la table au milieu du mess et puis on lui a délicatement enlevé son petit tailleur. Quand elle s’est retrouvée en petite culotte sur sa table on est allés essayer de laver ses vêtements à la petite, pendant que Roger il cherchait dans nos vestiaires si y avait pas un t-shirt qu’était un peu propre pour la petite. Quant on a fini on est retournés autour de la table où la petite était assise en tailleur.
Toute cette gentillesse et ces remerciements dans le mess ça faisait vraiment beaucoup d’émotion. Nous autres on avait une sacrée trique et la petite princesse elle avait les bouts des seins tout durs. En plus vu le nombre qu’on était dans cette petite baraque il faisait plutôt chaud. Ça faisait bizarre : comme quand on embrasse sa première jeune fille, on a la tête qui tourne un peu, on sait pas trop où qu’est-ce qu’on est, ni qu’est-ce qu’on pense, on est juste bien. La petite elle devait avoir la même impression que nous, vu qu’elle a dit :
Alors on s’est mis autour d’elle et on l’a tous caressée. Elle avait la peau douce, avec nos grandes mains on avait peur de l’abîmer rien que de la toucher. On l’embrassait, on la cajolait. Elle était couverte de mains la petite, et elle s’abandonnait langoureusement.
Doucement on a enlevé sa culotte, découvrant son joli minou bien taillé. Il était beau son minou… il brillait… quelques gouttes s’échappaient de temps à autres et allaient se perdre entre la raie de ses fesses. Il y avait la lumière blanche du matin qui filtrait à travers les bâches des fenêtres et qui venait faire scintiller son petit minou et ses jolis yeux.
Nous autres on était pas allés beaucoup au catéchisme mais on savait que c’était de ça qu’il parlait le curé quand il disait qu’au paradis nous ne trouverions qu’amour, beauté et béatitude. Même le Roger, qui le connaissait pourtant pas ce mot "béatitude", il a dit à la petite que la beauté qui en émanait le troublait au plus profond de son être et le tranquillisait. C’est dire.
Et puis, la petite :
Alors on a délicatement mis notre petit lot au bord de la table et chacun notre tour on l’a possédée. C’était beau. On glissait en elle comme si on avait mis le lubrifiant à tractopelle. À chaque aller et retour elle poussait un petit "ah !". Et puis, quand ça a été le tour du quatrième d’entre nous, elle a commencé à faire des "Ah !" plus fort, et quand finalement Roger l’a pénétrée elle a fermé ses yeux et elle s’est cambrée en feulant : "AaaAaah… aaaAAAHhhh… aaaaaaAAAAAAAHHHHHHHH !!!" qu’elle faisait.
Nous autres on pleurait tellement c’était beau. On était jamais allés à l’opéra mais à coup sûr ça devait être avec ce timbre de voix qu’elles chantent les dames d’opéra.
Cette bande de couillons d’ouvriers avaient l’air émus derrière leur balustrade. Je comprends qu’elle soit pas mal Jeanne… mais enfin, quand même, s’ils arrêtent de bosser à la première fille qui passe, ils sont pas près de le finir leur immeuble.
Bon, il allait pas falloir qu’on reste là à attendre trop longtemps, sinon la crise de l’immobilier allait repartir.
Et nous voilà partis au salon du stage.
A l’intérieur une trentaine de stands bien alignés. Il y a un petit peu de tout. Il va falloir me montrer convaincant pour vendre ma motivation et mes compétences à ces entreprises.
Je demande à Jeanne si elle veut qu’on aille voir un stand ensemble. Elle répond pas. Visiblement elle fait encore la gueule. Je la regarde s’éloigner vers le stand d’une boîte d’experts-comptables. C’est agréable de la regarder s’éloigner. Les filles ne mettent pas assez souvent des jupes.
Je suis curieux de savoir ce qu’elle va raconter au responsable RH. Va falloir qu’elle réponde du tac au tac. Pour ça, si ma jeune danaïde d’hier soir s’en sort pas mal, question libération de la femme, au niveau de l’emploi c’est plus dur… Pauvre Jeanne. Sous prétexte qu’elle peut potentiellement tomber enceinte le mec va l’envoyer bouler.
Ah tiens… il a quand même pris son CV. Ouais, faut dire qu’elle a d’autres atouts que son parcours.
J’imagine d’ici l’érection du DRH derrière son stand. Il doit être en train de se faire un scénario salace…
Moi, Directeur des Ressources Humaines, mon scénario salace :
J’étais à mon stand en train de m’emmerder quand une petite blonde bien faite de sa personne se pointe.
Je sais qu’il y a peu de risque qu’elle corresponde au poste, mais je vais quand même l’écouter histoire de profiter un peu de la situation.
La petite blonde se glisse alors discrètement derrière le stand et entreprend d’ouvrir ma braguette. J’annote sur son CV les compétences au fur et à mesure :
o Capacité à comprendre le besoin de l’interlocuteur : Satisfaisante
o Capacité à aller chercher l’outil nécessaire : OK
o Dextérité manuelle : Très bien
o Aptitudes orales : bilingue
o Rythme de travail : prometteur
o Capacité à finaliser les projets : Avale>
Tiens, c’est bizarre… il lui pose des questions de comptabilité. À croire qu’il mène un véritable entretien !
Elle n’a même pas entrouvert son chemisier ! Non mais c’est scandaleux ! Si les DRH commencent à ne plus avoir de préjugés à l’égard de la gent féminine, où va le monde !? Comment je vais faire moi, si les gonzesses me piquent mes stages ?!
Je suis furax. Ou plutôt j’ai l’impression d’être dans la merde. Va falloir que je me reprenne en main. Allez, on se calme, on choisit une entreprise et on montre à son DRH qu’on est l’homme de la situation ! Tiens, une agence de communication, ça me botte pas mal ça. J’attaque.
Le DRH derrière le stand est une DRH. Elle est pas top. Enfin, c’est pas mon genre quoi. La quarantaine je suppose.
C’est bien parti.
La DRH a un sourire narquois depuis cinq minutes. Moi, ça ne me fait pas marrer.
A ce moment-là, je sens un truc remonter le long de ma jambe… un escarpin de DRH !
Je reste penaud. Elle se lève et se dirige vers le fond du salon. Je me lève à mon tour et me dirige, hagard, vers les toilettes. Je croise Jeanne qui accumule les offres de stage. Et pas la moindre trace d’effort physique sur son visage.
Je pense encore à l’état de la condition de l’homme quand j’arrive dans les toilettes… Ma DRH est là, cigarette au bec. Elle me fait signe d’entrer dans une cabine.
Elle ferme le loquet. Passe une main sur mon entrejambe, me donne une capote et se retourne face au mur. Elle se cambre, les jambes légèrement écartées. Je passe mes mains le long de ses bas, des chevilles aux fesses. Au passage je remonte sa jupe dévoilant une culotte de soie sertie d’un porte-jarretelles en dentelle.
Là, je me dis que les mecs ont quand même un avantage par rapport aux nanas : il en faut peu pour qu’ils aient envie de baiser. Ma DRH un peu vieux jeu devient tout à coup une "bourgeoise lubrique" -se référer à la presse pour ouvriers du bâtiment.
J’enfile la capote, baisse la culotte de soie de quelques centimètres (un porte-jarretelles c’est quand même pas pratique pour enlever une culotte !) et pénètre dans le con de ma DRH. La quadra pousse un soupir de satisfaction. Ah, elle en voulait de la compétence ? Eh bien elle va être servie !
Je commence à pilonner le fessier qui m’est offert, faisant claquer la paire de talons hauts sur le carrelage. Je commence à me laisser aller à un verbiage adapté à la situation et lance un puissant :
Je sens alors le vagin de ma DRH se resserrer. Ah, ça doit lui plaire de s’en prendre plein le popotin… Mais à mon étonnement elle retire son vagin des assauts de mon puissant destrier et se retourne sur un :
Je vois pas bien où elle veut en venir. Je recule jusqu’à me retrouver sur les fesses, bloqué par la porte des toilettes. Elle, apparemment, elle sait où elle veut en venir. Elle me colle le visage contre sa fente, dont l’épilation, entre nous soit dit, ne répond pas à la tendance moderne… Me voilà donc à laper une DRH dans des toilettes publiques.
Ah la la… le fonctionnement de la supériorité professionnelle des hommes reste à préciser. Vingt minutes plus tard, après trois orgasmes, repue, ma DRH consent à prendre mon CV.
Dehors, je retrouve Jeanne.
Dépité, je m’éloigne.
« Joli petit cul », pense Jeanne.