n° 10007 | Fiche technique | 30760 caractères | 30760Temps de lecture estimé : 22 mn | 28/12/05 |
Résumé: Pour nous, Marie n'était plus une jeune femme, c'était une veuve. C'est à dire une vieille femme qui n'a plus d'homme. | ||||
Critères: fh fplusag telnet revede pénétratio init | ||||
Auteur : Monsieur Hyde |
Concours : Stupéfiants secrets |
Depuis mon plus jeune âge, ma famille passe toutes les vacances à Deauville, avec Marie, une amie de mes parents, et avec sa fille Cécile.
Quelques années auparavant, cette amie, était tombée enceinte alors qu’elle n’avait guère plus de dix-huit ans. Elle avait épousé aussitôt le père, un homme de vingt ans plus âgé qu’elle. Veuve un an après la naissance du bébé, elle ne s’était pas remariée.
A l’époque de Deauville, Marie était déjà assez boulotte. Elle s’habillait de couleurs sombres, ses robes, toujours amples, couvraient jambes et mollets, ses bras étaient rarement nus. Sa tenue était dépourvue de toute fantaisie et même sur la plage, son maillot une pièce était triste. Elle paraissait sans âge.
Marie, qui ne fréquentait personne, faisait quasiment partie de la famille. Jamais nous ne l’avons vue avec une amie et encore moins avec un ami.
Pour nous, les enfants, Marie n’était plus une jeune femme, c’était une veuve. C’est à dire une vieille femme qui n’a plus d’homme. Nous n’avions aucune notion de son âge réel. Pas trente ans, en tout cas… !
Pendant mes années d’enfance, l’image que j’avais d’elle n’a pas beaucoup évolué. Quelques années plus tard, à l’adolescence, alors que n’importe quel adulte l’aurait certainement regardée comme une jeune femme, je la voyais toujours comme je l’avais cataloguée tout gamin : c’est à dire comme une femme qui n’avait plus d’homme ni de désir, une veuve, sans âge. Et comme elle s’était encore un peu empâtée, sa silhouette ne m’a pas aidé à modifier mon jugement vis à vis d’elle.
Au fil des années, l’amitié entre Cécile et moi s’est transformée en amour, et, dès la fin de mes études, nous nous sommes mariés. J’ai maintenant vingt cinq ans et ma femme à peine vingt. Chaque jour, et surtout chaque nuit, je me dis que je suis le plus heureux des hommes. Ma belle-mère nous a laissé son appartement à Compiègne, au-dessus du magasin d’antiquités, et elle s’est installée dans la capitale.
J’ai bien fini par me rendre compte que Marie n’est pas si vieille que ça et que son manque total de coquetterie la dessert beaucoup. C’est une femme assez petite, maintenant très boulotte. Forte, mais pas laide. Ce qui arrête d’abord le regard, c’est sa poitrine. Agressive je dirai, car elle soutient ce qu’elle avance, ma belle-mère. Chaque fois que mon œil s’y perd, j’admire le travail du soutif et je repense à la formule du regretté Léon Zitrone : « des seins de taille suffisante pour remplir la main d’un honnête homme ». Une belle main, l’honnête homme. Le ventre est certes très rond, mais il semble encore ferme. Rien de ces tas graisseux qu’on sent prêt à dégouliner. Les jambes proportionnées au reste du corps, donc un peu trop épaisses, surtout les cuisses mais on sent, là aussi, plus de muscle que de graisse. D’ailleurs, les cuisses, on ne les voit quasiment jamais car elle porte toujours des vêtements amples et très longs. Son visage n’est pas assorti au reste du corps. Il est tout en ovale, avec des traits très fins qui lui donnent un air très gentil. Une frange de cheveux bruns descend bas sur le front. Jamais elle ne se maquille. Sa garde robe est plutôt triste, avec des couleurs sombres.
Sans doute, si elle avait apporté un peu plus d’attention à son corps et à ses vêtements, elle aurait pu être, presque sexy.
En ce dimanche de novembre, Cécile et moi venons de faire un petit câlin. Début devant la télé, une caresse sur le genou qui remonte, joue avec le string. Cinq minutes plus tard, c’est un 69 sur le tapis. Cécile coule littéralement dans ma bouche pendant que je lui masse délicatement le clito et qu’un doigt entre doucement dans son cul. J’adore le goût de sa mouille et elle le sait bien. Et de surcroît, elle connaît mon fantasme d’uro et quelquefois elle se lâche un peu. Ou beaucoup. Ou pas du tout. Le plus souvent pas du tout, mais l’incertitude rajoute au plaisir. Encore dix minutes et, après avoir eu raison de ma résistance, elle a tout avalé, ma femme. Superbe garce. J’adore. Et tout ça devant Drucker qui, comme d’hab’, trouve son invité formidable.
On passe à la salle de bain pour une petite toilette intime.
Ah, ma femme, toujours aussi étourdie ! Mais je ne peux rien lui refuser.
Dring …
Dire que je m’entends bien avec ma belle-mère serait exagéré. Mais, après des années durant lesquelles elle a couvé Cécile, je lui sais gré d’avoir eu le tact de s’éloigner de sa fille. Et depuis qu’elle habite Paris, j’avoue que je n’ai plus rien contre elle.
Les boniments d’usage. Elle me propose un café. Bonne idée. Ah, ne pas oublier l’imper.
Deux minutes et mon papier est imprimé. Je ferme mes fichiers Et un troisième par erreur. Merde, pourvu que je ne lui aie rien perdu. Non, il n’y a pas eu de demande de confirmation, donc c’était sauvegardé !
J’ai soudain l’intuition que ce qui est maintenant affiché sur l’écran, à côté d’un tableau, ce sont des codes et des mots de passe. Un coup d’œil furtif vers la cuisine, et, sans réfléchir, par pur réflexe, je copie le fichier Excel sur un document vierge pour court-circuiter une éventuelle protection et je l’enregistre sur ma clé.
Et je me trouve tout con face à ma grosse indélicatesse. Surtout, ne laisser aucune trace. La meilleure solution :
Sauvé.
Dans l’ascenseur, je suis bien embêté. Que faire du fichier volé ? Ce n’est pas joli joli ce que j’ai fait. Mais personne ne le saura jamais. Alors, je ne vais quand même pas l’effacer sans le regarder.
J’y pense plusieurs fois dans la journée et me demande ce que je vais trouver. Numéro de carte bancaire, chiffre de coffre fort. Pourquoi pas référence de compte dans une banque suisse ou off-shore ? Depuis quelques temps, je me demande si la belle-doche n’a pas beaucoup plus de fric qu’elle ne veut le dire.
Et puis dans le commerce d’antiquités, tout n’est pas toujours très clair… Ces codes peuvent conduire à une double comptabilité, à des trafics…
Et puis je pense bien sûr au gros secret.
Adrien, son mari était vieux quand, enceinte, elle l’a épousé, juste avant la naissance de Cécile. Un mec de près de cinquante ans, se marier avec une fille de dix huit ans ! Est-il bien le père de Cécile. Ma femme se pose souvent la question. « Mais oui, bien sûr, que vas-tu chercher là ? ». Jamais elle n’a pu avoir une réponse précise.
Comment la jeune Marie est-elle tombée enceinte ? Se faire engrosser à dix huit ans par un mec de quarante sept, l’épouser ensuite, ça ouvre la porte à bien des questions.
J’imagine une ado vicieuse enlevant sa petite culotte et écartant les cuisses sans trop regarder les propriétaires des bites qui lui crachent dans le ventre, peut-être ont-ils largement l’âge de son père.
Peut-être cette fille était-elle simplement très salope, avec un putain de feu au cul, peut-être cherchait-elle à prendre son pied sous les coups de bite. Et avec des vieux c’était plus facile, ils savent y faire les vieux, et surtout ils savent où aller pour être tranquilles.
Ou bien alors l’inverse, elle était surtout intéressée par le fric. J’imagine les rendez-vous en journée, l’arrivée discrète de la jeune fille dans un appartement bourgeois, elle va direct dans la chambre, ferme volets et rideaux, se fout à poil et s’allonge sur le dos, cuisses bien écartées pour que ça aille plus vite. Les hommes enlèvent cravates et costumes, les posent soigneusement sur une chaise pour éviter les faux plis, et viennent enconner l’étudiante en frottant leurs bedaines velues sur son ventre lisse. Elle supporte les étreintes en pensant à autre chose ou en regardant le plafond. Elle oubliera vite. Puis, elle lave rapidement son vagin gluant et repart au bahut retrouver ses copines, son sac lesté de quelques gros billets.
A moins qu’il n’y ait eu qu’un mec et qu’il ait su se lier avec la jeune fille de l’époque, un soir qu’elle était un peu trop pompette. Il l’entraîne sans qu’elle se rende bien compte dans sa voiture, l’embrasse en lui fourrant le doigt dans le vagin, remonte titiller le clito et fait si bien qu’il la fait jouir pour la toute première fois. Elle ne résiste pas plus quand il remplace le doigt par un beau pieu qui jute en quelques minutes, sans même qu’elle s’en aperçoive. Plus tard, il la revoit régulièrement, l’emmène déjeuner dans de bons restos, et surtout il continue à la faire jouir, intensément.
Mais des tas d’autres hypothèses sont possibles. Peut-être le mari n’était pas le père, il a juste pris le bébé pour pouvoir disposer de la mère toutes les nuits dans son lit, ce qui, vu la différence d’âge, n’était pas une mauvaise affaire.
La gamberge. Mais tout ça, c’est très vieux, c’était il y a vingt ans, à une époque où le sexe était beaucoup plus libre, où le SIDA n’existait pas. Et ce n’était pas ma belle-mère, c’était une autre femme. Pas une femme d’ailleurs, une jeune fille. Depuis beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et Marie a abandonné toute vie sexuelle.
Depuis la mort de son mari, pour elle la fesse ça n’existe plus. Depuis vingt ans ! C’est d’ailleurs aberrant. Nous en avons parlé quelques fois avec Cécile. Ma femme est sûre que sa mère ne baise plus depuis qu’elle est veuve. Ça la rend d’ailleurs toute triste, ma femme, de savoir sa mère ainsi handicapée.
Fin d’après midi, je repasse au bureau. Certain de ne pas être dérangé, je m’installe à mon micro et j’ouvre le fichier volé. J’avais vu juste. Des suites de caractères qui sont certainement des mots de passe : fermaferW/*3, chiracW/*3, etc… Costaud, les mots de passe. Mais inexploitables. Des clefs sans serrures !
Il y a aussi une adresse Internet sur laposte.com et son mot de passe.
Et un tableau avec des noms, des dates et des lettres. Une dizaine de lignes :
dugartalol@.aolcom Jean Michel, 16 février, B, 12 décembre 10 h,
Lele@leaposte.net Jean, 2 mars, A,
Momo312@wanadoo.fr Paul, 9 avril, 0, XXX
123123@wanadoo.fr Claude, 15 juin, A, 12 décembre 12 h,
feri.adrien@free.fr Adrien, 1° septembre A, 13 décembre 14 h,
Solmifa@netclub.com Benoit etc …
Tiens, les prénoms sont tous masculins.
Des histoires de cul ? Une liste d’amants ? Non, je trop connais Marie depuis trop longtemps, Alors cette longue liste, impossible que ce soit du sexe.
Le fait que les noms soient tous masculins collerait pas mal avec des magouilles. Si elle traite avec des truands sur des affaires d’antiquité, c’est sûrement avec des mecs.
La bal va sûrement me donner des infos car, au point où j’en suis, je n’hésite pas une seconde à y entrer.
Courrier reçu : vide, archives : vide, documents envoyés : vide aussi, e-mail des correspondants : rien. Prudente, belle maman. Ou alors c’est une boite en sommeil. De toute manière, rien à en tirer.
La vie secrète de ma belle-mère commence à m’obséder. Deux heures plus tard, avant de quitter mon bureau, je retourne sur sa bal. Bingo : j’y trouve un courrier tout récent. C’est une confirmation de réponse à une annonce sur net-meet. Avec un pseudo : proffesseuse.
Un site de rencontre. Incroyable. J’y vais de suite. Merde, mot de passe ?
Pas de problème, je sais où le trouver. Et voilà, je suis chez « proffesseuse » où je trouve, comme annoncé, un courrier :
De : jeanjean2
Titre : OK
Contenu : très chère Marie, je suis d’accord pour le 13. Et si content. À bientôt. Jean.
Merde, ça n’a rien d’un truc d’antiquaire. C’est un RDV avec un mec. Et sur ce site, ce n’est probablement pas pour du tricot.
Restant sur ce site, je fais un petit tour sur « Votre fiche », à la recherche d’informations :
Sexe : F
Age : 32
Taille : 1m55
Poids : 55 Kg
Situation : Célibataire
Enfants : 0
Ville : Paris 16°
Tu triches un peu, belle-maman.
Allons voir l’annonce. Et là, je reste sur les fesses :
« Jeune femme sensible, propose travaux pratiques pour tout enseigner à puceau souhaitant ne plus l’être. Majorité exigée. Travail soigné garanti »
Ma prude belle-mère, cette femme que Cécile plaignait de ne plus avoir de vie sexuelle depuis vingt ans, elle s’envoie en l’air régulièrement avec des puceaux !
C’est la stupéfaction totale. À tel point que je reste un bon moment parfaitement immobile sur mon fauteuil, le dos appuyé au dossier et les bras pendants, à regarder benoîtement l’écran.
Et d’abord, ça ne doit pas être très agréable pour une femme de dépuceler des mecs. L’inverse, je l’ai bien souvent imaginé : un jeune corps souple et beau, craintif et attentif dans mon lit, en début de soirée, le même comblé, reconnaissant et dégoulinant de mon foutre et d’un peu de sang, quelques heures après. Entre ces deux instants, les manœuvres d’approche pour apprivoiser la demoiselle, faire naître l’envie, dominer ou contourner les refus, et enfin la sensation de puissance quand, entre les cuisses, sous les poils, la fente rose et tendre s’entrouvre pour laisser passer mon pieu plus dur que jamais et le plaisir absolu quand la résistance cède et qu’enfin la pine s’enfonce tout au fond, là où rien ni personne n’était entré auparavant. Puis le con, vierge l’instant avant, rempli de grosses giclées de mon foutre, en même temps que l’ex pucelle crie sa joie ou sa souffrance.
A la réflexion, je me dis que tout ça c’est bien des idées de macho. Pourquoi une femme n’aurait-elle pas exactement les mêmes sensations lorsqu’elle s’approprie un jeune corps tout aussi souple et tout aussi beau et que, après l’avoir bien excité, l’avoir fait bander à mort, elle le guide vers sa grotte secrète, toute mouillée d’attente, puis ressent dans son ventre le membre dur qui la pénètre, qui la travaille sans bien savoir comment s’y prendre, et qui, en quelques soubresauts, la remplit de son jus.
Mais non, tout ça c’est du cinéma, ce ne sont que des gamberges. Tout est virtuel. Le site de Marie et son annonce sont certainement des mots sans rien derrière. L’amour par le net, le cyber sexe, baiser au téléphone, comme dans les pubs de sites cochons. Elle a fait ça juste pour se donner des sensations entre son clavier et son écran.
Bougrement intrigué tout de même, et, soyons franc, un peu excité, je retourne sur le fichier volé.
C’est le tableau qui m’attire.
Neuf lignes.
Des prénoms masculins, un par ligne ; OK.
Des dates en face, classées croissantes, la première ancienne de huit mois, 16 février 2005, la dernière 25 novembre, la semaine passée. Presque une par mois, rien en août.
Et si cette liste était bien celle des puceaux qu’elle s’est envoyée, avec les dates de ses exploits ? Ca pourrait coller, Marie nous a laissé son appartement en décembre. D’après le tableau, son premier contrat de dépucelage est début février. Et puis, j’y pense, Marie a passé juillet et août à Deauville, comme chaque année. Non pas tout à fait comme chaque année, d’ordinaire, elle reste encore un peu en septembre, cet été elle est rentrée le 31. Or il n’y a rien en août et la cinquième date du tableau, c’est le 1er septembre.
Ben dis donc, ce ne serait pas des fantasmes, des trucs virtuels, mais bien des réalités. J’en reste sur le cul.
Quoique… ce n’est pas parce que, depuis toujours, je vois Marie sans homme, que je ne lui ai jamais soupçonné de vie cachée, qu’elle a nécessairement abandonné toute sexualité. On ne connaît jamais exactement une personne.
Et les annonces du net permettent tout.
Mais de là à chercher des puceaux !
Dans la colonne suivante, il y a des lettres : A, B et O. Cinq A, deux B, un O. Des groupes sanguins ? Non, c’est idiot. Je ne comprends pas cette colonne.
Sur la dernière colonne, il n’y a que trois lignes remplies avec des dates. Et des heures d’ailleurs : 12 décembre 14 heures en face de Jacques, 12 décembre 16 heures pour Alain et 13 décembre 20 h pour Alexandre : C’est dans quinze jours. Ça ne peut qu’être des rendez-vous.
Quelle découverte, ma’zette !
Je reste là, assis à mon bureau, rêvant d’un ado qui sonne à la porte de l’immeuble bourge de ma belle-mère, dans le 16ème. Il a trouvé quelques jours auparavant une annonce si particulière sur le net. Particulière, mais correspondant bien à son attente de complexé absolu. Enfin le truc pour devenir normal, pour sortir de son statut honteux.
Mais pourquoi ne pas aller chez les putes ? C’est plus simple. Pas forcément plus simple, une vraie femme ça fait peur, Internet, c’est sécurisant. Sauf que, maintenant, il doit y aller. Sans doute a-t-il eu des échanges d’e-mail qui ont permis de nouer quelques liens. Permis à Marie d’essayer de connaître son futur jeune amant, permis au puceau de s’habituer, de prendre confiance et de se décider.
Il sonne. Sûrement un code de reconnaissance sur l’interphone, sinon il ne monterait pas : trop peur. La lourde porte s’ouvre, il entre furtivement, persuadé que tout me monde sait et le regarde. Ascenseur, 5ème étage, la porte en face est entrouverte. Il n’a rencontré personne. Fébrile, il pénètre dans l’appartement.
Et là, ça se passe comment ?
Peut-être que tout le scénario a été programmé. Il ferme la porte, le couloir est sombre. Il sait que la chambre est au fond à droite. Quand il y pénètre, dans la pénombre, il distingue comme prévu sa déniaiseuse sous les draps d’un grand lit. Il abandonne sans un mot ses habits et entre dans le lit. La trouille au ventre, mais il ne peut plus reculer. Dès qu’il est allongé, la femme le caresse. Elle n’a pas besoin de l’exciter, il bande déjà comme un cheval. Il sent alors que la femme a plongé sous les draps. Cette initiative le déstabilise. Il attendait des caresses, des baisers sur la bouche et c’est autre chose qui arrive. Il n’a pas le temps de connaître l’extase d’une bonne pipe car déjà la femme s’allonge sur lui et introduit elle-même la bite dans sa fente gluante. Surpris, ravi, ailleurs, il jouit rapidement, comme un gamin. À moins qu’il n’apprenne vite et, reprenant l’initiative, commence un limage de pro qui fait crier Marie.
Oui, pourquoi pas un tel scénario ?
Un peu plus tard, l’ex puceau doit bien se rendre compte que la femme qu’il a sautée n’a plus vingt ans depuis longtemps. Et aussi quelques kilos de trop.
Quoi que, peut-être que Marie est, en situation, encore très désirable. Avec un peu de gentille initiative et l’aide d’une pièce sombre, et au creux d’un lit, pourquoi pas. Car finalement, elle n’a pas même quarante ans.
Oui, mais le boutonneux n’en a peut-être pas la moitié !
Et alors, il est là pourquoi le boutonneux ? Non finalement, en y réfléchissant à peine, je ne vois pas ce qui empêcherait le jeunot d’aller au bout de son plan et de se faire déniaiser par belle-maman. Si elle réussit cette première phase, elle doit alors avoir acquis un tel prestige, et surtout lui avoir donné de telles sensations, qu’il n’a plus qu’une envie : recommencer.
Plus tard, peut-être, il retrouvera un sens critique et débandera peut-être en voyant sa maîtresse comme elle est mais, dans le feu de l’action, tous ses sens sont saturés par l’agitation dans le fourreau où il a plongé si facilement sa tige, dans ce fourreau qu’il vient de découvrir. Et par le plaisir incontrôlé d’y jeter son sperme, lui qui jusqu’à ce jour, n’avait éjaculé que dans ses doigts.
Je suis émoustillé par ma découverte et je veux absolument en savoir plus.
Je surveille la bal de belle maman. Apparemment, elle fait un nettoyage régulier, aussi je m’y connecte souvent. En vain pour le moment. Pas grave, je sais être patient.
C’est le surlendemain que je trouve la suite :
« Vous avez 1 courrier non lu »
« Très chère Marie, ton e-mail m’a enchanté. J’étais tout chose de n’avoir plus aucun contact avec toi après ce merveilleux soir de juillet. C’est avec grand plaisir que je te retrouverai. Plaisir d’autant plus grand que, depuis que tu m’as débloqué, j’ai rencontré une amie (à qui je n’ai rien dit en ce qui nous concerne) mais avec qui… Et ça me plait vachement. Samedi c’est possible, mais je préfère 19 heures, plus tôt, je suis pris.
Je t’embrasse.
Lionel
PS Et j’oubliais pour ta dernière demande, par principe, je suis contre, pour des questions de sécurité évidente ces temps ci, mais je ne peux rien te refuser. C’est OK»
Ca colle avec l’histoire que j’ai découverte.
Un petit contrôle, en juillet, le 20, j’ai bien un Lionel et le dimanche 12 décembre il y a deux rendez-vous, 10 heures et midi, mais rien après.
Tiens, sur la 4ème colonne de la ligne Lionel, il a un A. J’ai une illumination pour cette avant dernière colonne. La dernière colonne, ce sont les rendez-vous qu’elle est en train de programmer, élémentaire mon cher Watson. La troisième colonne est le score du dépucelage : A = super, B= moyen mais réussi, et O ce n’est pas la lettre, c’est le chiffre zéro qui doit correspondre aux cas où le mec est reparti aussi puceau qu’il l’était en rentrant. Et ça colle super bien car en face des deux 0, dans la colonne des rendez-vous, il y a des XXX, donc pas de suite envisagée.
Je sais maintenant que Marie se prépare un week-end d’hyper sexe, en passant d’un amant à un autre sur un rythme d’enfer. Deux, trois, peut-être même quatre par jour. Quelle santé !
Tue Dieu, moi qui croyais la connaître.
A la réflexion, je me demande si Marie n’a pas essayé de nous avertir de son changement de vie. Je me remémore une conversation entre ma femme et sa mère, juste avant notre mariage. Marie expliquait qu’elle avait vécu bien chastement depuis son veuvage mais qu’il n’était pas trop tard, que dès que sa fille serait partie, elle allait penser à se trouver des amants. Nous avons ri. Comme elle insistait en faisant état de ses trente huit ans et de son désir de rattraper le temps perdu, Cécile s’est rangé à ses arguments et lui a donné son accord pour qu’elle lui cherche un beau papa. Je me souviens même que Marie a répondu qu’elle n’avait pas besoin de l’autorisation de sa fille pour se faire barriquer et qu’elle se sentait même capable de lui trouver un petit frère. Réplique qui a déclenché un éclat de rire général.
Finalement, c’est notre mariage aura tout déclenché. Marie a respecté une obligation ou un vœu jusque là. Plutôt un vœu, je ne vois pas qui aurait pu l’obliger à ne pas baiser pendant vingt ans. Un vœu à son mari mort, à sa fille bébé, pas impossible. Pas impossible, mais con, c’est du moins mon avis. Puis, dès sa fille mariée, c’est directement dans la luxure que ma belle-mère a plongé.
Le lendemain, l’interception d’un autre message confirme toutes mes découvertes. Et c’est encore pour le samedi, à 15 heures cette fois. Quatre rendez-vous dans la journée. Ce serait de l’abatage si ce n’était la femme qui organisait tout, à l’insu des mecs qui vont la tringler.
Comment va t’elle gérer son cul. De grands bains avec une profonde toilette intime entre chaque amant ou juste s’essuyer grossièrement la vulve et laisser le jus au fond ? Je ne pense pas qu’elle puisse être assez vicieuse pour laisser sa mouille et le sperme, et les spermes, pour le suivant. Quoique, en fait de jus, avec les préservatifs, le problème n’est plus le même.
Le dimanche suivant, Cécile, sa mère et moi sommes confortablement assis dans notre séjour au fond de fauteuils moelleux, sirotant un pur malt de l’île de Jura, une merveille. Pour les paysages, la bière, la convivialité des pubs, je préfère l’Irlande à l’Ecosse. Mais pour le whisky, vive les écossais.
Je songe aux e-mails et aux rendez-vous dans deux semaines. Une question innocente, pour tester :
Cécile de rebondir :
Et ma femme de me balancer un coup de pied sous la table. Plus tard à la cuisine, je prends un savon :
Bof…
N’empêche que dans quinze jours, elle n’est pas libre.
La conversation continue sur le duel De Villier - Sarkozy.
Je regarde ma belle-mère, bottines strictes, tailleur bcbg, le visage ouvert, avenant, franc, une allure de représentante de ligue de vertu, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Mais je l’imagine dans une tenue beaucoup plus légère, porte jarretelles troués, bas noirs et rien d’autre, occupée à sucer une jeune queue avant de se la prendre profond. Je devine un couple peu assorti ; Un homme, jeune, grand, mince, entre les cuisses épaisses qu’elle lui ouvre. Mais pourquoi un jeune ? Il doit bien exister des puceaux âgés. Sans compter qu’avec sa manière de draguer, elle a du avoir des tas de réponses de mecs en chasse qui ont joué les niais dans le but de la foutre. Même avec beaucoup d’attention, ce n’est pas possible qu’elle ait pu tous les repérer et tous les virer. Et tous les puceaux n’ont pas forcément un corps divin. Conclusion, elle s’est forcément prise des gros et des mal foutus. Où est le problème ? Dans la baise, un bon coup n’implique pas nécessairement un Apollon. Que celui qui n’a jamais passé une nuit torride, puis s’est réveillé le lendemain matin dans le lit d’un boudin jette la première pierre.
Et du coup mon délire se modifie. Je vois un type obèse, avec du ventre, à la Carlos, qui s’allonge sur ma grosse belle-mère et la bloque sous sa montagne de viande. Il plante sa queue, s’agite tant qu’il peut pour lui jeter son foutre dans le ventre. J’imagine les deux masses en mouvement, les cris. Et les plaintes du sommier.
Et tout ça me fait bander.
Du calme, mon garçon, essaie de dissimuler, pense à autre chose, garde ta dignité et reviens dans la conversation.
Mais j’ai du mal à rester dans la conversation et j’abandonne à Cécile le soin d’apporter la contradiction. Malgré ma volonté, je ne peux m’empêcher de poursuivre mon film.
La Marie bien bourgeoise, assise en famille face à moi, c’est nue et dans des positions plus chaudes que je la vois. Par exemple, à quatre pattes au bord d’un lit, la tête redressée, le ventre bien rond, les fesses bien charnues, les gros seins qui pendent, un peu flasques, entre ses bras. Ses mamelles sont agitées de mouvements désordonnés lorsqu’un tout jeune homme qui a poussé sa petite queue bien raide dans le con de celle qui pourrait être sa mère, la rudoie à grands coups de rein en criant « j’ai réussi, j’ai réussi ». Le jeune mec, je l’imagine super excité après son premier succès. Entre deux coups de boutoir, il sort complètement sa queue puis l’admire quand elle rentre à nouveau dans cet endroit qu’il vient de découvrir après en avoir rêvé depuis l’adolescence. Le petit vicieux, il a vite compris et il prend autant de plaisir à sortir et à réenconner qu’à s’agiter tout au fond.
Décidément, j’ai du mal à suivre la conversation. Et je n’ose pas bouger, because ma queue bandée comme ce n’est pas correct.
J’essaie de rester dans la conversation, mais je ne peux pas enlever de mon esprit l’image d’une Marie putain. La suite de mon film. Le petit vicieux vient de réussir sa première levrette, belle position qu’il a si souvent vu dans les pornos et qui le faisait bander dur. Sa pine est rentrée génial dans le con poilu. Profond. Il sent le fond du vagin qui résiste à son gland et qui lui procure des sensations inconnues. À genoux derrière la femme, il voit juste au-dessus de sa bite l’œil rond du cul, presque sans poil, attirant comme un gouffre sans fond. Alors pourquoi ne pas poursuivre les découvertes. Parmi les mecs qui sont passés sur ma belle-mère depuis six mois, il y en bien un qui a eu l’idée d’essayer de foutre sa dépuceleuse en cul, pour voir si, plus haut, ça rentrait aussi bien.
Quelle fut la réaction de Marie, quand elle s’est rendue compte qu’elle allait se faire sodomiser ? Peut-être était-elle d’accord, elle l’a encouragé, « Vas-y petit, c’est bien meilleur quand ce n’est pas fait pour ». Ou alors elle a refusé, en criant, en s’échappant ? Ou encore elle a refusé sans trop se dérober, c’est à dire en attendant de se faire enculer, ou en espérant… À moins que, dans l’action, avec le gluant du coin et la raideur de la petite bite, elle s’en soit rendu compte trop tard, quand la bête était déjà entrée à plus de moitié, quand la femme était déjà bien avilie. Alors, arrivée à ce stade, autant poursuivre et laisser faire…
C’est moi qui ai crié.
Les deux femmes me regardent, interloquées. Je prétexte une violente et soudaine douleur dans le ventre. Et j’ai du mal à les rassurer pour d’éviter l’appel du SAMU car j’ai vraiment crié fort.
Trop fort pour un bobo. Mais pas trop fort pour ce que j’ai compris…
Ainsi le week-end de luxure du 12 décembre, ce n’est pas de la débauche sexuelle. Le 12, c’est quinze jours après ses règles, juste en période de fertilité. Le post scriptum du premier e-mail, c’est la réponse à une demande de baiser sans préservatif, pour se gaver de sperme.
Tout ça, c’est un truc diaboliquement construit par Marie, pendant près d’un an, dans le seul but de se faire engrosser dans des conditions très particulières.
Plus d’une demi-douzaine de mâles, c’est du vice pur, c’est un moyen d’augmenter les chances de réussite.
Ou c’est la certitude absolue de ne jamais pouvoir connaître le père…