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n° 10018Fiche technique21136 caractères21136
Temps de lecture estimé : 12 mn
01/01/06
Résumé:  Après une soirée arrosée, Virginie fait profiter ses deux amis de son corps. La jeunesse, c'est vivre l'instant présent!
Critères:  fhh jeunes fépilée fête exhib facial cunnilingu 69 pénétratio sandwich fdanus fsodo
Auteur : Cadelum      Envoi mini-message
Les Soirées de Virginie

Virginie alluma une cigarette et tenta de se détendre dans le siège inconfortable du TER qui la ramenait chez elle, au terme de sa semaine de cours. Lorsqu’elle releva les yeux, elle eut juste le temps de voir le passager assis devant elle détourner rapidement le regard. Elle comprit qu’il devait la regarder sommeiller depuis quelques minutes et en ressentit une certaine fierté.

Elle sourit en pensant à son succès devant la gent masculine.


Virginie n’était pas une beauté académique et acceptait volontiers le fait d’avoir cinq à six kilos superflus, mais les hommes tombaient devant elle comme des mouches. Son regard était sans doute son atout principal. Ses grands yeux noisette faisaient perdre leur sang-froid aux garçons qu’elle croisait et ses lèvres pulpeuses lui permettaient de lancer des sourires assassins. Elle usait également de la faiblesse des hommes pour sa généreuse poitrine, d’autant qu’elle ne l’entravait que rarement dans un soutien-gorge. À dix-huit ans, sa tenue naturelle suffisait. Le point critique se situait sous la ceinture. Ses deux fesses avaient largement profité de son manque d’exercice et de ses abus de Nutella, mais les formes généreuses rebutent rarement un homme décidé.


Satisfaite de son tour du propriétaire, Virginie se mit à penser à la soirée qui l’attendait. Mustapha lui avait demandé de passer chez lui, où elle retrouverait une petite dizaine de leurs amis communs. Elle savait pertinemment que l’encombrant Nicolas serait là, mais elle espérait en profiter pour lui faire comprendre une fois de plus que tout espoir était vain.


Lorsque le train ralentit, elle sortit de sa torpeur et constata que son compagnon de voyage continuait à la regarder régulièrement. Saisie par la fraîcheur, Virginie regrettait de n’avoir enfilé qu’un petit haut moulant sous son élégant gilet noir et elle constata que le froid lui durcissait les tétons qui pointaient sous la fine épaisseur de tissu. À la fois gênée et amusée par le regard gourmand du jeune homme qui lui faisait face, Virginie décida de mettre fin à la situation, non sans l’avoir d’abord remercié de la rassurer sur son charme. Elle fit mine de réajuster son haut en le tirant à la base, ce qui eut pour effet d’accentuer son décolleté déjà véritablement avantageux. Bouche bée, l’inconnu vit le tissu dévoiler ses deux seins ronds et bronzés jusqu’à la limite des tétons. Au moment où ses jolies aréoles brunes commençaient à être exposées, Virginie relâcha le tissu et lui jeta un regard offusqué qui le fit rougir et se détourner. Elle sourit en pensant à l’occupation solitaire du voyeur, dès qu’il regagnerait son lit et se dirigea d’une démarche chaloupée vers la sortie du wagon.


Virginie monta dans la voiture de Mustapha qui était passé la chercher. Ils n’échangèrent que des banalités sur le chemin et arrivèrent rapidement chez ce dernier où les attendait Manu, son colocataire. Les deux jeunes hommes étaient des séducteurs chevronnés, entretenant des amitiés féminines dans toutes les villes de la région, mais elle savait pertinemment qu’il lui suffisait de lever le petit doigt pour les faire ramper devant elle.


Installée devant la télé, elle se reposa quelques instants, dans le canapé du salon. La soirée débuta tranquillement et Virginie se sentait prête à faire front aux assauts de Nicolas. Quand celui-ci arriva, il tenta immédiatement de lui lancer un regard charmeur auquel Virginie ne répondit pas. Celui-ci ne put s’empêcher de lancer :



Lassée, elle répondit d’un ton laconique :



Sans illusion sur la teneur de leur discussion, elle lui tourna le dos et se dirigea vers de nouveaux arrivants, décidée à profiter de la petite fête, malgré la présence envahissante de Nicolas.

Prise dans l’ambiance, elle ne voyait presque plus les regards de chien battu que ce dernier lui lançait, et les verres d’alcool la désinhibait de plus en plus.


Les cinq autres garçons, dont Mustapha et Manu, se relayaient auprès d’elle pour la draguer. Elle les repoussait mollement, désireuse de ne pas totalement refroidir leurs ardeurs. Après tout, le prince charmant se trouvait peut être parmi eux. Le jeune maghrébin était le plus entreprenant et Virginie se laissait de plus en plus aller à son contact. Échauffé, il ne cachait plus ses intentions et osa, peu après minuit, caresser d’une main douce les fesses charnues de la jeune fille. Il craignit aussitôt de se prendre une claque bien sentie, mais Virginie se contenta de s’asseoir face à lui et de lui tirer la langue d’un air coquin. Mustapha cachait de plus en plus mal son excitation. Son regard parcourait sans relâche les formes généreuses de ce fantasme vivant qui lui faisait face. Changeant de place, il vint s’asseoir à côté d’elle et alla jusqu’à lui passer un bras autour du cou. Virginie ne savait encore quoi penser, mais elle laissa cette main ferme sur son épaule. Elle se sentait détendue, sans doute l’effet de l’alcool et se décida à laisser le destin jouer son rôle. Voyant qu’il était près d’une heure, elle fit part à Mustapha de son intention de dormir chez lui, personne n’étant en état de la reconduire.


Cette information fit perdre à Mustapha le contrôle de ses sens et il vit avec frayeur l’une de ses mains se glisser dans le décolleté de Virginie. Le temps se figea l’espace d’une seconde. Sa peau était douce, le sein était ferme et emplissait délicieusement sa main. Ses doigts glissèrent sur son téton. Il était véritablement brûlant et moite.


Il fallut en effet deux à trois secondes avant que Virginie ne comprenne quelle était la cause de ce contact chaud sur son sein. Sentant des doigts titiller la pointe de son mamelon, elle se leva d’un bond et voulut se montrer furieuse contre ce débordement de sollicitude de la part de son hôte. Elle se tourna vers lui, prête à le gifler, quand elle arrêta son geste. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle se lamentait sur son célibat, incapable de choisir lequel de ses soupirants elle récompenserait. Mustapha était plutôt joli garçon et il savait prendre des initiatives.


Arrêtant son accès de violence en vol, elle se contenta de réprimander délicatement son soupirant tripoteur :



Il bafouilla sa réponse :



Se jetant à l’eau, Virginie lui adressa un clin d’œil et s’éloigna d’une démarche toujours plus déhanchée.


Elle ne savait pas jusqu’où elle voulait mener ce petit jeu et préférait s’éloigner quelques instants afin de réfléchir. Elle profita de ce répit pour se rendre aux toilettes, l’endroit le plus calme qu’elle pouvait trouver. Elle dégrafa son jean, baissa son string et s’assit sur la lunette. Alors qu’elle urinait, elle constata que son string était maculé de cyprine encore chaude. La preuve était faite que les avances de Mustapha ne la laissaient véritablement pas indifférente.


Sa décision prise, elle se rhabilla rapidement. Échauffée, Virginie se donnerait ce soir à cet homme. Lorsqu’elle sortit des toilettes, elle prit soin de faire dépasser l’élastique de son string et se sachant véritablement bandante, se dirigea vers le cavalier qu’elle s’était choisi.


La pièce principale était maintenant presque vide. La plupart des personnes présentes avaient décidé de finir la nuit en boîte et il ne restait déjà plus que Manu, Mustapha… et Nicolas !


Les trois garçons avaient allumé une console et Manu et Nicolas avaient déjà en main les manettes quand Virginie se rassit. Mustapha reprit sa place à ses côtés et ils reprirent un semblant de conversation pendant la partie que disputaient les deux autres garçons. Virginie n’eut pas à s’évertuer longtemps avant que sa proie ne soit à nouveau en transe. Il avait glissé une main derrière elle et lui caressait le dos avec douceur. Virginie frissonnait de plaisir et n’eut pas un mouvement de recul lorsque cette même main pénétra dans l’échancrure de son jean et glissa le long de ses fesses.


Mustapha ne pouvait plus se retenir. La sensation de sa main contre le sein de Virginie avait été fugace, il prit donc son temps pour apprécier l’instant. Ses fesses étaient douces et délicieusement rebondies. Il sentait que des frissons parcouraient Virginie, et poussant sa chance, il glissa ses doigts dans l’élastique de son string. Son majeur se glissa le long de la raie qui séparait les deux globes jumeaux. Le contact de la peau trempée de sueur multiplia son érection, mais il ne put pousser plus loin son investigation. Il imagina immédiatement qu’elle devait activement mouiller son string et se pencha vers Virginie pour l’embrasser.


C’était la première fois que Virginie se laissait ainsi tripoter en public. Si Manu et Nicolas ne semblaient pas avoir conscience de ce qui se passait dans leur dos, il leur aurait suffi de se retourner pour la voir tout excitée. Lorsque Mustapha se pencha vers elle, elle accueillit sa langue en fermant les yeux et se laissa aller à de petits baisers pleins de fougue. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle vit que Manu les regardait goguenard, semblant féliciter son ami de la réussite de son entreprise.


Virginie fit glisser son regard vers Nicolas, qui n’avait sans doute jamais été aussi rouge. Il se leva, et lança d’une voix qu’il aurait voulue plus assurée :



Cette phrase lança le signal et chacun se prépara à dormir. Manu et Mustapha possédaient chacun leur chambre et Nicolas s’était réservé le canapé du salon. Restait à caser Virginie… ce qui refit sans difficultés ! Elle suivit Mustapha dans sa chambre et s’engouffra toute habillée dans le lit.


Elle n’avait jamais couché avec un garçon sans avoir auparavant appris à l’aimer, cependant, elle devait s’avouer qu’elle était en manque de sexe.


Mustapha se glissa sous la couette. La pièce était plongée dans une pénombre rougeâtre et Virginie ferma les yeux. Il la contempla quelques instants. Ses grands yeux fermés, son visage avait un aspect reposé qui la rendait délicieusement belle. Ses mains se posèrent autour du visage de Virginie qu’il embrassa fougueusement.


Il repoussa la couette et tout en continuant de l’embrasser, fit glisser vers le haut le petit top blanc de la jeune femme. Quand que le tissu libéra ses seins, la pesanteur les fit délicieusement retomber et leur donna un léger mouvement. Celle-ci le retira complètement et vint s’asseoir à califourchon sur lui. Elle passa ses mains sur le torse velu du jeune homme qui paraissait subjugué par la vue des ces deux seins qui se balançaient délicieusement au gré des mouvements de Virginie. Il en titilla les pointes qui étaient totalement dures et pointées vers l’avant. Sa partenaire laissa échapper un soupir de contentement et Mustapha la fit basculer sur le côté afin de lui retirer son jeans. Virginie se cabra pour lui faciliter la tâche et se découvrit à ses yeux, en string et les seins à l’air.


Il l’embrassa une nouvelle fois en passant ses mains sur ses deux fesses chaudes et rondes. Virginie avait pris son sexe en érection dans l’une de ses mains et titillait ses testicules. Il se dégagea de son caleçon et releva les jambes de Virginie comme celles d’un bébé que l’on change, pour lui retirer son string.


Allongée et offerte, il la regarda une nouvelle fois. Elle était véritablement potelée. Ses formes généreuses se découpaient dans la lumière douce de la chambre et Mustapha posa son le regard sur le sexe de Virginie. Sa chatte était entièrement épilée, ce qui rendait son jeune âge encore plus excitant. Elle vint s’accroupir au-dessus de son visage, dos à lui et se pencha en avant. Prenant son sexe en érection à deux mains, elle le décalotta avant de passer une langue gourmande sur le gland. Il frissonna de tout son être et commença à l’encourager dans cette fellation qu’elle exécutait avec beaucoup de talent. De par sa position, sa chatte humide luisait devant les yeux du jeune homme. Les cuisses écartées lui offraient une vue des lèvres entrouvertes et tout en appréciant sa pipe magistrale, il glissa un doigt le long de la fente mouillée de Virginie. Il goûta avec avidité la cyprine de la jeune femme avant de lui malaxer le clitoris.


Virginie fit de son mieux pour tendre sa croupe et profiter ainsi des caresses de Mustapha Il lui tripotait le clitoris avec délicatesse et elle devait se concentrer pour ne pas serrer les dents sur le sexe qui lui emplissait la bouche. Elle s’employait à le faire pénétrer au plus profond de sa gorge, tout en alternant les mouvements de langue. Son excitation était à son comble lorsque les mains de Mustapha quittèrent son sexe pour venir se plaquer contre ses seins qui se balançaient sous elle. Son amant les malaxait le plus doucement possible, mais la légère douleur que cela lui procurait ne faisait que chauffer toujours plus ses sens. Elle sentit que Mustapha attirait ses fesses à lui et le contact humide d’une langue sur sa vulve lui fit comprendre ses intentions. Elle tenta de prolonger ce 69, mais le plaisir provoqué par ce cunnilingus lui fit arrêter sa fellation et s’abandonnant à son plaisir, elle laissa échapper des soupirs de plus en plus longs, ponctués de petits cris perçants. Elle voulut se retenir quand elle se souvint que Nicolas était dans la pièce d’à coté, mais il était trop tard et trois secondes plus tard, c’est Manu qui se tenait dans l’embrasure de la porte.


Un instant interdite, elle ne put freiner son excitation. Ignorant cette présence, Virginie se retourna et reprit le sexe de Mustapha en bouche. En quelques coups de langue habiles, elle redonna toute son ampleur à son érection, avant de s’accroupir devant lui, en remontant les fesses le plus possible. Elle sentit très vite le contact d’un sexe chaud contre les lèvres dégoulinantes de sa chatte et Mustapha fit lentement pénétrer son gland dans ce sexe avide. Le va-et-vient commença et Virginie se mit à soupirer à chaque mouvement qui était imposé à son corps dans cette levrette déchaînée.


Elle ne pouvait s’empêcher de renforcer la violence de l’acte en écartant son cul à pleines mains, ou en malaxant violemment ses seins qui pendaient et se trémoussaient. Son vagin était véritablement défoncé par ce sexe et les mouvements de plus en plus violents de l’homme qui la dominait. Proche de quitter la terre, Virginie ne réagit pas lorsqu’un objet chaud et mou se posa sur sa langue. Instinctivement, elle lui fit un accueil chaleureux.


Très vite, Virginie se rendit compte qu’il ne pouvait s’agir de Mustapha qui la limait toujours.


Ouvrant les yeux, Virginie dut se retenir pour ne pas claquer des dents sur le sexe qui grossissait dans sa bouche, quand elle s’aperçut que Manu avait baissé son pyjama et appuyé au lit, se faisait confortablement tailler une pipe par… elle ! Elle faillit se relever, mais les coups de boutoir de Mustapha lui enlevaient toute volonté et Virginie continua sa fellation sur un sexe qui prenait des proportions véritablement impressionnantes.


Elle ne put cependant s’empêcher de penser que de fille chaude, elle dérivait véritablement vers des extrêmes de vice, prise par deux hommes, ce qui ne lui était jamais arrivé.


Sentant que Mustapha allait jouir, somme toute très rapidement, elle cessa de sucer Manu et tout le branlant, elle simula un orgasme pour faire venir son « cavalier ». Le pénis de celui-ci quitta son vagin pour venir se placer devant ses lèvres et Virginie, habituée à ce rituel par l’un de ses ex, se redressa et ouvrit grand la bouche. De longs flots de sperme se déposèrent sur son visage et sa langue. En récupérant le plus possible et en nettoyant le sexe du jeune maghrébin, Virginie joua avec ce sperme odoriférant avant de l’avaler sous les yeux ébahis de ses deux hommes.


Tout en se caressant les seins, elle prit Manu par la main et l’allongea sur le lit. Ce dernier avait une verge d’une vingtaine de centimètres et son gland rouge sang ne demandait qu’à exploser. S’asseyant sur lui, elle saisit ce manche et se l’enfonça d’autorité à l’intérieur d’elle-même.


Mustapha avait joué les éjaculateurs précoces, Manu allait devoir la combler, et tant pis pour ses derniers cas de conscience.


Elle se mit à bouger le bassin de plus en plus vite, se débattant sur le pieu qui venait frapper le fond de son vagin. Les mains sur ses fesses luisantes de sueur, Manu accompagnait ses mouvements en l’encourageant. Virginie se trémoussait en pétrissant ses seins, se procurant une douleur des plus jouissives.


Se penchant en avant, les bras appuyés de chaque côté de la tête de Manu, elle s’activait, faisant coulisser sa chatte béante sur le sexe ferme de son nouvel amant, redoublant de cris :



Manu ne faiblissait pas et Virginie prenait littéralement son pied à être empalé sur ce sexe qui lui déchirait le vagin. Elle se sentait prête à jouir la nuit durant, lorsqu’un contact froid contre son anus lui fit tendre tous ses muscles. Manu poussa un long râle du fait que les parois intimes de Virginie lui happaient le sexe avec une vigueur renouvelée. Elle sentit qu’une main ferme lui maintenait le dos horizontal, tandis que deux doigts caressaient son anus, le massant à l’aide d’un corps froid et gras.


Virginie comprit que Mustapha voulait son cul !


Elle avait déjà accepté de se faire enculer par l’un de ses précédents petits copains et avait trouvé la sensation plutôt désagréable, elle allait réagir, lorsque deux doigts se frayèrent un chemin dans son petit trou rose. Une décharge lui enflamma le bas ventre et elle ne put s’empêcher de s’écrouler sur Manu qui dut replacer son pénis dans sa chatte. Les mouvements de ce sexe qui lui emplissaient le vagin, couplé à cette jouissance anale qu’elle n’avait jamais ressentie lui faisaient perdre le sens de l’espace et du temps.


Alors que Virginie semblait reprendre le dessus sur sa jouissance, Mustapha retira ses deux doigts et présenta son gland devant l’orifice déjà entrouvert de la « jeune fille ». Il força le passage de son gland, insensible aux cris de douleur de Virginie et s’arrêta quelques instants, imité en cela par Manu. Mustapha commença alors à faire délicatement pénétrer son sexe de plus en plus profond dans le fondement de Virginie, qui, finalement accepta l’épreuve. Il écarquilla les yeux lorsque sa verge eut complètement disparu.


Il possédait Virginie au plus profond d’elle-même.


Prise par les deux trous, Virginie se sentait à la fois humiliée et comblée. Sodomisée, déchirée, esclave sexuelle de deux hommes, elle les tenait néanmoins en son pouvoir. La situation troublante redoublait son envie de sexe et elle se remit à baiser avec ferveur.


Alors que les garçons trouvaient un rythme, Virginie répondait par des cris perçants, son corps n’était plus que douleur et jouissance. Le bassin de Mustapha cognait avec force contre son cul, faisant vibrer les chairs de ses fesses grasses. Son orgasme montait à une vitesse vertigineuse et lorsqu’elle s’écroula, en transes, Manu et Mustapha se retirèrent et la firent basculer sur le lit avant de l’encadrer, leur verge en main. De longs flots de sperme vinrent s’écraser sur son visage. Virginie en était véritablement couverte et par grandes lampées, elle chercha à en avaler le plus possible tandis que le silence retombait dans la chambre.


Serrant les sphincters pour contrôler son anus béant, Virginie sentit tous les autres muscles de son corps se détendre. Ses deux amants s’allongèrent à côté d’elle, embrassant son corps souillé avec douceur. Fermant les yeux, elle ne put s’empêcher de penser à Nicolas qui avait du entendre l’intégralité de la scène, avant de s’endormir.