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n° 10049Fiche technique19889 caractères19889
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/01/06
Résumé:  Solange retrouve son jeune amant par un très chaud après-midi d'été.
Critères:  fh fplusag parking ascenseur voir exhib noculotte odeurs fmast
Auteur : Curieux 00S  (Homme dans la quarantaine cherchant l'évasion par l'écriture)      

Série : Solange, Julien, Jacques, et les autres

Chapitre 06 / 12
Julien 01


Horreur !!! Malheur !!!

Un Ange qui veille sur ma carrière littéraire vient de me prévenir que j’avais perdu 9 places au classement !

Non que je coure après la première place… quoique cela voudrait dire que tous les hommes m’envient et que toutes les lectrices se pâment sous mes mots… mais je rêvebebe !!!!

Je n’ai plus écris depuis plus de trois ans, en fait je suis tombé en correspondance.

Me voilà reparti à la conquête de vos faveurs, j’espère vous plaire encore…



Au volant de sa voiture, Solange se demande encore si, ce qui vient de se passer entre Cédric et elle, est bien réel.

L’a-t-elle réellement allumé en descendant les marches du perron ?

Lui a-t-elle réellement exhibé son entrejambe ?


Son esprit se brouille un peu. Elle se revoit descendre ce perron en fixant effrontément le jeune homme. Le soleil brûlait sa poitrine à travers son chemisier fleuri, le vent chaud lui caressait les jambes en tourbillonnant entre ses cuisses, s’infiltrant par les fentes de sa jupe.

Elle voulait lui rabattre un peu son impertinence d’oser "mater" sous ses jupes, elle le connaissait depuis si longtemps !

Et puis ce faux-pas au bas des marches, ce sac qui se renverse, le regard pénétrant du jeune homme, cette torpeur qui l’avait envahie.


Un coup de klaxon la ramène à la réalité, le feu vient de passer au vert et le conducteur de la voiture suivante s’impatiente.

En redémarrant, Solange se rend compte que ses pensées ont fait durcir les pointes de ses seins et qu’une douce langueur a envahi son ventre.

A chaque changement de vitesse les faces internes de ses cuisses se frôlent, faisant monter une douce moiteur au niveau de son sexe.

A nouveau son esprit se perd dans ses souvenirs, le regard de Cédric plongeant sous sa jupe, celui du serveur dans le restaurant caressant ses seins, et puis le sexe tendu de Julien qu’elle avait caressé et englouti entre ses lèvres avides, son reflet dans le miroir alors que son amant la clouait au mur sous ses assauts violents.

La dentelle de son soutien-gorge agace ses tétons douloureux, elle se trémousse sur son siège pour calmer son bouton d’amour en feu.


Le vrombissement d’une moto la dépassant la fait sursauter, lui coupant la montée du plaisir. Elle reste sur une sensation d’insatisfaction et de frustration, les pointes de ses seins bandées à en mourir et son clitoris à vif. Une sueur froide coule dans son dos, alors que tout son entrecuisse brûle d’un feu dévorant que rien ne semble apaiser.

Solange se demande ce qu’il lui arrive. Est-elle malade, devient-elle folle ? Ces images de sexe traduisent son manque, mais ne devient-elle pas nymphomane ? Ne risque-t-elle pas de sombrer dans la perversion, voire la pire des dépravations ?

Arrivée au parking du centre ville, elle prend machinalement son ticket et cherche une place dans les différents étages souterrains.

Une fois garée, elle sort de sa voiture et sous la chaleur étouffante du sous-sol, elle suffoque. La ventilation est en panne.


Solange se dirige vers l’ascenseur.

La courte marche l’essouffle et elle sent sa sueur perler sous ses vêtements. Elle est heureuse de ne pas avoir à attendre l’ascenseur dont la porte s’ouvre rapidement.

Elle s’y précipite pour échapper au souterrain, mais une fois la porte fermée, Madame Granger se rend compte que l’atmosphère était encore plus oppressante à l’intérieur de la cabine.

Solange appuie sur le bouton qui doit la conduire à l’air libre et se plaque contre la paroi pour reprendre un peu son souffle.

Ses profondes inspirations lui remplissent les narines de son parfum capiteux mêlé aux effluves de son corps en sueur.

Madame Granger se rappelle que la dernière fois qu’elle a senti ce lourd mélange, elle était de même adossée à un mur et le jeune ami de son fils ravageait profondément son intimité.

Son odeur de femme en chaleur lui tourne la tête, lui enivre l’esprit. Des images terribles d’étreintes torrides s’insinuent dans son cerveau et des sensations de manque envahissent ses sens. Sa gorge se dessèche.

Machinalement sa main droite remonte pour lui masser le cou alors qu’elle essaye de déglutir pour humidifier son palais. Sa main commence un lent mouvement sur sa tendre peau mais rapidement le geste s’amplifie jusqu’à ce que sa main glisse sous son chemisier.

Elle est moite et cette sensation l’électrise davantage.

Inconsciemment son autre main vient se plaquer sur son pubis.


Les doigts de la main droite de la belle bourgeoise commencent un lent massage du sein gauche dont le téton n’attendait que cela. Ceux de la main gauche cherchent à s’insinuer entre ses divines cuisses pour soulager son petit bouton d’amour, mais le tissu de la jupe forme un rempart infranchissable.

Madame Granger commence à devenir hystérique.

Au moment où sa main va glisser sous sa jupe, le soubresaut d’arrêt de l’ascenseur la fait sursauter. Solange a du mal à reprendre ses esprits et la porte s’ouvre alors qu’elle essaye de remettre de l’ordre dans sa tenue.

L’homme un peu âgé, qui se tient devant la porte, est intrigué par l’agitation de cette femme sublime, puis un léger sourire éclaire son visage. Solange rougit devant cet inconnu, bafouille quelques excuses puis s’éloigne dans le couloir qui la conduit vers l’extérieur.

L’homme à l’allure distinguée se retourne pour suivre du regard cette magnifique apparition et fait une moue jubilatoire en voyant le balancement de cette divine croupe moulée par le tissu de la jupe. Son sourire béat aux lèvres, il entre dans l’ascenseur se promettant de ne pas oublier ce qu’il vient de voir.


Madame Granger est réellement folle de rage, se faire surprendre en délicate situation la met hors d’elle. Mon Dieu, qu’allait penser cet inconnu ! Et puis soudain une sensation bizarre l’étreint, ce visage, elle l’a déjà vu. Mais où ?


Cependant, très vite, sa démarche rapide lui fait prendre conscience que sa culotte était devenue plus qu’humide et qu’elle s’insinue irrésistiblement entre ses lèvres échauffées. À nouveau la soif de jouissance l’oppresse. Cette moiteur torride s’infiltre jusqu’au plus profond de son sillon fessier, et même son petit trou lui parait détrempé. Elle n’aurait jamais imaginé qu’un jour elle aurait souhaité si violemment faire l’amour pour apaiser la terrible tension qui lui vrille le ventre. Solange pense qu’elle en est sûrement au point où elle est prête à se faire prendre, à se laisser posséder pourvu que l’on éteigne le feu qui lui dévore les entrailles.

Sortant du parking, la luminosité du soleil l’agresse et la mère de Jacques s’empresse de fouiller dans son sac pour prendre ses lunettes de soleil. Elle ne les trouve pas. Agacée, Madame Granger se souvient de les avoir posées sur le siège passager au moment de son entrée dans le parking. Décidément cette après-midi qui s’annonçait sous les meilleurs auspices, se révèle tourner au cauchemar.


Ne sachant que décider, la belle bourgeoise tourne sur elle-même et bouscule la personne qui passe à ce moment-là.



Solange, occupée à refermer son sac à main, ne fait pas attention au silence qui vient de se faire et relève la tête pour s’excuser à nouveau. Son regard se fige et sa gorge se noue.



Julien est rouge pivoine de se retrouver face à cette superbe femme qu’il a toujours admirée et qu’il a possédée un soir, même s’il n’en avait pas vraiment conscience.

Il bafouille des excuses incompréhensibles, s’accusant de tous les maux. Il dit qu’il ne faut plus qu’ils se voient, se perd dans des explications confuses.

Il ne fait même plus attention au fait qu’il est au milieu de la foule où beaucoup de passants peuvent s’étonner de quelques mots déplacés dans une conversation anodine entre un jeune homme et une femme qui devait être sa mère ou pour le moins une proche parente.


Madame Granger succombe à ses sens et comprenant tout l’avantage qu’elle peut tirer de la situation, elle attrape le jeune homme par le bras, l’entraîne avec elle et sur le ton de la confidence s’adresse à lui.



Elle fait deux pas, s’éloignant du parking puis s’arrête brusquement. Julien ne comprend pas ce qui se passe.



Et elle fait volte-face, entraînant Julien vers l’antre surchauffé du parking. Le pauvre garçon en est tout abasourdi. L’extrême vivacité de la mère de Jacques le laisse pantois. Il se laisse diriger comme une marionnette. Le timide jeune homme essaie bien un « Mais, Madame Granger ! ».


La belle mature n’en a cure, tout ce qui l’intéresse à présent c’est bien de se retrouver avec son jeune et inexpérimenté amant chez elle et de calmer le feu qui lui dévore le bas-ventre dans les bras du jeune garçon. Ses sens totalement exacerbés, elle fonce comme un zombie vers l’ascenseur, serrant bien fort le bras du Julien contre son corps.

La porte de l’ascenseur s’ouvre rapidement et ils pénètrent ensemble à l’intérieur, se serrant l’un contre l’autre au passage de la porte. Ce contact trouble Julien, et donne encore plus de détermination à Solange, qui doit même se retenir de pousser le jeune garçon contre la paroi pour l’enlacer sauvagement.

La porte se referme et la lente descente commence.



Alanguie contre la paroi face à Julien, Madame Granger écarte davantage les bords de son col et recommence à se masser le cou langoureusement, inclinant sa tête de gauche et de droite. Sa main vient aussi s’égarer sur sa gorge, dénudant davantage sa magnifique poitrine.

Julien n’ose pas regarder et timidement tente de s’adresser à sa ravisseuse si ravissante.



Solange se rapproche alors de sa victime, mais son allure se fait plus calme, le ton de sa voix est plus doux. Posant ses mains autour du cou du jeune ami de son fils, elle se colle à lui et l’embrasse tendrement sur les lèvres.



La voluptueuse bourgeoise se presse encore plus intensément contre son amant et l’embrasse langoureusement, profondément, violant la bouche de Julien avec sa langue. Solange lui dévore littéralement la bouche. Le jeune homme commence à succomber à l’envoûtante caresse de cette divine créature qu’il désire tant et sa bouche, ses lèvres se mettent à répondre à celles de la torride bourgeoise. Mais l’ascenseur s’immobilise brusquement, les faisant sursauter. La porte s’ouvre sur le sous-sol surchauffé. Prenant la main de son amant Madame Granger l’entraîne vers sa voiture.


Arrivés à hauteur du véhicule, Solange déclenche l’ouverture des portes avec la télécommande et chacun passe d’un côté du véhicule. Au moment où le jeune homme ouvre sa porte, la sulfureuse mère de Jacques l’interpelle :



Ne comprenant rien à ce que sa suborneuse veut dire, le jeune garçon s’installe dans la voiture et tourne son visage du côté conducteur. Il s’attend à ce que sa tentatrice se précipite à nouveau sur lui pour l’embrasser fougueusement, mais rien ne se passe.

Madame Granger reste debout à côté de la voiture. Puis il voit les mains de la mère de son camarade glisser le long de sa jupe.

Solange, au comble de l’excitation, jette un rapide coup d’œil circulaire pour s’assurer que personne ne la surprendra, puis s’incline légèrement vers l’avant et attrape le bas de sa jupe.



Lentement la sensuelle bourgeoise relève sa jupe, dévoilant ses genoux puis le départ de ses voluptueuses cuisses. Le pauvre Julien suffoque autant de la chaleur ambiante du sous-sol que du spectacle qui se déroule à quelques centimètres de ses yeux.

Tout en surveillant les alentours, Solange remonte toujours sa jupe, dénudant la moitié de ses cuisses toujours fermes. Elle décale légèrement un pied pour écarter un peu ses jambes et permettre à sa jeune victime de contempler l’intérieur de ses rondeurs. La divine diablesse se déhanche lascivement pour faciliter la lente remontée impudique de sa jupe.

Julien, obnubilé par le spectacle, penche la tête pour voir plus loin, plus haut pour en voir plus au cas où tout s’arrêterait d’un coup.

Mais, sous l’emprise de ses sens surchauffés, la mère de Jacques en a décidé autrement et la lente remontée de sa jupe continue inexorablement et c’est maintenant l’intégralité des formes appétissantes de Solange qui s’offre aux yeux exorbités du jeune homme déliquescent dans la voiture.

Dans ses rêves les plus fous, il n’aurait jamais imaginé que cette personne pour qui il éprouve beaucoup d’admiration et de tendresse lui offrirait une vue si impudique de son anatomie. La jupe est tellement remontée qu’il commence à deviner le fond de la culotte de sa démoniaque tentatrice.

Julien pense que ce n’est qu’un effet de son imagination exacerbée par la température étouffante du parking.


Madame Granger continue la lente remontée de sa jupe mais se trouve gênée au niveau des hanches, ce qui l’agace un peu. Alors glissant ses doigts sous le tissu elle attrape l’élastique de son tangua et tire dessus pour le faire descendre.

Julien est toujours figé, les yeux exorbités de ce qu’il voit.

La fine dentelle glisse sur les cuisses de Solange qui s’empresse de soulever une jambe puis l’autre pour se défaire de son sous-vêtement. Prise de frénésie elle le frotte contre sa vulve trempée en insistant sur son clitoris dardé, s’arrachant quelques gémissements de plaisir.

Elle se mord les lèvres, se caresse encore.

Les yeux fermés, elle enfonce ses doigts couverts de dentelle dans son sillon brûlant, les fait coulisser lentement entre ses petites lèvres sensibles.

Etranges et délicieuses sensations que le fin tissu lui procure.

Soudain Solange se fige sentant ses seins se durcir, ses tétons se tendrent et son ventre être traversé par les ondes annonciatrices de son orgasme.

Mais elle ne veut pas jouir ainsi.

La mère de Jacques désire une étreinte plus forte, un envahissement plus profond, plus vibrant de son ventre.

Les sensations des assauts de son jeune amant de l’autre soir lui reviennent en mémoire, elle le veut à nouveau planté au plus profond de sa féminité et la ravageant de toute la vigueur de sa jeunesse.

En apnée, une main posée sur le toit de sa voiture, Madame Granger retire délicatement ses doigts de son antre bouillonnant.

Julien est abasourdi, dans ses rêves les plus fous, il n’avait jamais imaginé qu’une femme puisse s’offrir ainsi.


Solange se ressaisit lentement, se disant que des plaisirs plus forts l’attendent.

Elle s’installe dans sa voiture, sa jupe complètement retroussée, les cuisses outrageusement dénudées.

Fermant la porte, elle se tourne vers Julien dont le regard fiévreux la fait sourire de satisfaction. Elle porte sa culotte à ses propres narines, hume de manière obscène ses effluves de femme en chaleur et la tend au jeune homme.



Julien reste sans voix. Solange se penche vers lui, l’embrasse amoureusement, lui dévorant la bouche de ses lèvres, son souffle est brûlant, Julien est totalement enivré.

Elle lui met sa culotte sous le nez. Comme un robot, le jeune homme s’en saisit et l’applique contre ses narines, l’odeur est un mélange lourd du parfum de Madame Granger et de fragrances aphrodisiaques de ses sécrétions intimes.

Totalement satisfaite de son effet, Solange démarre le moteur de sa voiture et se dirige rapidement vers la sortie.


Le trajet vers la maison se fait sans encombre en cet après-midi de début de vacances. La fenêtre ouverte, le vent fait voler la chevelure et le chemisier déboutonné de la mère de Jacques. Julien retrouve peu à peu ses esprits et, tournant la tête vers sa conductrice, il voit ses cuisses dénudées assez haut ainsi qu’un soutien-gorge en dentelle saumon assorti à la culotte qu’il tient.

C’est une vision de rêve pour le jeune homme. Son cœur se met à battre et il sent un désir fou monter en lui. Il a envie de connaître à nouveau les fortes sensations de l’autre soir, il veut étreindre ce corps.

Il veut sentir la chair brûlante de cette femme sublime vibrer sur son sexe profondément enfoui en elle.


Solange est heureuse de sentir le tissu de sa jupe à même la peau de ses fesses, c’est une caresse terriblement excitante pour elle. Madame Granger sent les yeux de Julien peser sur son corps, aller de son visage à ses jambes et revenir sur ses seins. Ce regard la brûle et l’excite, elle sent sa vulve et tout son sillon intime devenir poisseux.

Elle est fière d’être une femme désirable.