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Temps de lecture estimé : 16 mn
23/01/06
Résumé:  Un homme découvre que sa femme le trompe en son absence. Il nous fait part de ses réactions et étale au grand jour sa mauvaise foi machiste.
Critères:  h fh extracon humilié(e) voir hmast facial 69 hdanus hsodo init
Auteur : Jeff            Envoi mini-message
Ma femme est une salope !

Ahhhh ! Ma femme est une salope !

Ce cri que je pousse me libère de cette vérité.

Après plus de dix ans de mariage, je viens de découvrir que ma femme me trompe. L’écrire me fait du bien et me permet de calmer mes nerfs, de faire tomber ma rogne.

C’est vrai, je ne suis pas tout le temps à la maison. C’est vrai, je passe mon temps sur les routes, chez les clients et quelquefois, avec des clientes. Oui, mais moi, c’est différent ! Alors, c’est pas une raison pour qu’elle s’envoie en l’air avec le premier venu. Et encore, quand je dis le premier venu, d’après ce que j’ai pu comprendre hier soir, tellement la rage me rendait sourd, ce n’était peut-être pas la première fois.

Voilà, hier, je suis rentré plutôt, à l’improviste chez nous. Silence dans la maison. Personne dans la cuisine, personne dans le salon. Bien sûr, j’ai pas hurlé pour avertir de mon arrivée. Je venais de m’avaler plus de huit cents bornes de chemin de retour, en voiture, alors comme j’étais fourbu, cassé, je me suis dirigé vers la salle de bain pour me faire couler un bain bien chaud. En y entrant, ma première surprise a été de trouver sur le tapis de bain, au milieu de la pièce, un tas de vêtements ! Ils était emmêlés, intriqués les uns dans les autres dans un désordre abominable qui montraient de la précipitation à les quitter. Là, il y avait les vêtements de ma femme et des affaires d’homme qui ne m’appartenaient pas ! Et toujours pas de bruit.

Ni une ni deux, je suis allé vers la chambre à coucher. Notre chambre. Notre nid d’amour, enfin, quand je suis là… et quand j’ai commencé à ouvrir la porte, je me suis rendu compte que des gémissements s’en échappaient. Surpris, j’ai hésité. J’étais placé devant un sale dilemme : ou j’ouvrais tout grand ou j’entrebâillais la porte.

J’ai préféré entrebâiller la porte.

La main moite, le cœur qui battait à tout rompre dans ma poitrine, de longues suées qui me dégoulinaient le long du front.

Par cet entrebâillement, dans le reflet de la grande armoire à glace de ma grand-mère (voile-toi la face, mémé, devant le spectacle que tu pouvais contempler hier soir), ma femme était nue, dominant une paire de jambe brunes, velues et musclés, une grosse bite très brune, droite et dure dans la bouche. Elle suçait profondément un inconnu (de moi). Elle, elle recevait un hommage dans son intimité. J’apercevais quelques cheveux très bruns et une large main qui était posée sur sa fesse blanche qui l’écartait violemment.

J’étais médusé. Je restais interdit. Je ne savais plus que faire. Un homme suçait ma femme ! En plus, il semblait musclé des bras et donc certainement plus costaud que moi. Elle, elle s’acharnait sur son sexe, dont je voyais la colonne de chair monter et descendre dans sa bouche baveuse et de temps à autre, elle faisait le tour du gland, rouge violacé, avec sa langue qu’elle dardait le plus loin possible.

Putain ! Qu’est-ce qu’il fallait faire ? Entrer, péter un scandale, tout casser ou rester là, comme un con à regarder ma femme se faire lécher le minou pendant qu’elle suçait un inconnu ?

En moi, la rage est montée. Mes jambes se sont mises à trembler, la sueur descendait en longues gouttières le long de mon dos. Mais le pire, c’est que mon Popaul me trahissait. Le salaud redressait largement la tête. Ce spectacle m’excitait.

Alors, sans faire de bruit, je suis resté dans l’encoignure de la porte à les regarder. Pas par voyeurisme, non, juste par curiosité ! C’est vrai. Parce que c’était bien la première fois qu’en dehors des films pornos que je regarde dans mes chambres d’hôtel, je voyais Ma femme se faire sucer par un inconnu.

Eh bien, oui, je me suis paluché.

Voir ma femme Solange – cette salope s’appelle Solange – sucer avec avidité, délice et application cette grosse bite brune m’a mis le feu à la tête et au ventre.

Et elle y allait de bon coeur la cochonne ! La bouche largement ouverte, les lèvres luisantes de salive. De temps en temps, je voyais la bite former une bosse contre sa joue. Elle l’avait empoignée à la base et ses doigts jouaient sur les bourses velues. De temps à autre, elle les envoyait d’un geste sec jusque dans la raie des fesses. Là, elle lui perçait l’anus, lui vrillait l’index dedans. L’autre devait aimer ça parce que sa queue faisait, à chaque va-et-vient, un bond et plusieurs fois, elle s’est même échappée de la bouche de la suceuse. Et Solange la rattrapait immédiatement pour l’enfourner au fond de sa gorge encore plus profondément.

Moi, j’avais empoigné mon sexe, à travers mon pantalon et je me masturbais. Parce que le spectacle m’excitait, mais aussi parce que ma salope de femme me refuse un traitement identique. À moi, elle le refuse et le distille à l’autre ! La salope.

Et puis elle l’a aidé à jouir. À la main. Elle le branlait. Elle l’a empoigné à pleine main et elle a astiqué sa queue de haut en bas, avec un rythme qui m’aurait immédiatement fait jouir. Mais lui, il prenait son temps. Je vais t’en foutre du temps, moi…

Elle faisait des va-et-vient avec sa main, remontant haut la peau et redescendant d’un coup. De temps à autre, elle donnait un coup de langue pour assurer une humidité parfaite. C’est sûr, avec un tel traitement il a joui ! L’enflure. Il a giclé sur le visage de Solange. Une longue traînée blanchâtre lui barrait le visage. Et Solange qui continuait à le masturber et le sucer, pour entretenir sa rigidité. Pendant ce temps, elle secouait la tête dans tous les sens, ses yeux se fermant et s’ouvrant au rythme de sa propre jouissance. C’est que elle aussi était en train de prendre son pied, parce que son amant lui suçait la chatte.

Je sais qu’elle adore ça. Se faire sucer. C’est son plus grand bonheur. Faut dire qu’elle a une chatte large, grasse et odorante qui m’excite rien qu’à y penser. Elle mouille toujours beaucoup quand elle a ma langue qui va s’y fourrer et lui titille l’intérieur. Elle aime tellement que je lui rentre la langue le plus loin possible, qu’elle écarte largement ses jambes et s’aide souvent des ses mains pour disjoindre ses grandes lèvres, afin que je puisse aller encore plus loin. Alors après quelques coups de langues bien appliqués, elle laisse aller son plaisir et m’en barbouille la bouche.

Quand elle eut fini de masturber l’inconnu qui lui lutinait le minou, elle s’est redressée au-dessus de lui, lui écrasant la bouche de sa chatte qui devait lui dégouliner sur la figure. Elle a alors empoigné ses gros seins et elle en a vrillé les tétons qui étaient rouges et pointus d’excitation. En même temps, elle frottait son ventre sur la bouche de son amant et finissait sa jouissance.

Moi, derrière ma porte, j’étais fou de désir et d’envie. D’habitude, c’est moi qui lui frotte les seins, lui pince les tétons, lui arrache de grands cris de plaisir. Hier soir, c’était elle qui se le faisait. Et le gros nigaud qu’elle étouffait de ses cuisses ne savait pas ce qu’il perdait.

C’est qu’elle a des seins magnifiques, Solange. Lourds, pleins. Avec une peau fine et des mamelons larges, grenus et sensibles, ultrasensibles même. En deux petits et légers coups de langue, j’arrive à les faire bander, à en faire durcir les tétons qui deviennent pointus quand ils sont excités. Après, pour moi, c’est un simple jeu de coordination entre le jeu de main sur ses nichons et ma langue dans sa foufoune.

Elle devait lui tremper le visage, car elle feulait comme une tigresse en rut. Et son ventre blanc, nu, qui dansait sur la bouche, le nez et le menton de l’autre abruti…

Moi aussi, j’ai giclé à ce moment-là. Dans mon slip. Voir ma femme prendre son pied m’excitait. Et puis, j’ai regardé mon « rival », cet inconnu. Enfin, ce que j’en voyais. Un vrai brun, poilu, velu, musclé des jambes, mais avec un bedon de joueur de foot de salon, façon Heineken. Ses mains, posées sur le ventre tout blanc de Solange, faisaient un drôle de contraste. Elles étaient larges, boudinées, brunes et poilues… Je croyais même que c’était l’image-type du mec dont elle avait horreur ! Un vrai macho…

Elle terminait de jouir. Ses gestes devenaient plus lents, son ventre se déhanchait de moins en moins vite, elle se calmait, redescendait de son septième ciel.

Je me préparais donc à effectuer un repli stratégique et j’hésitais encore quant à l’attitude à adopter, quand elle est descendue du lit, allant farfouiller dans un grand sac que je n’avais pas remarqué. Alors, j’ai pu voir la gueule de merlan de son amant. Putain, qu’il est moche ! Une gueule carrée, sourcils fournis, nez de boxeur, cheveux drus et rouflaquettes qui descendaient jusqu’au milieu de la figure. Pas franchement le type de personne sur qui Solange se retourne dans la rue, quand on est ensemble et qu’elle me glisse, mi-narquoise, mi-sérieuse : « T’as vu le beau gosse ? Je me ferais bien baiser par sa queue ! ».

Moi, cette remarque, j’ai toujours pensé que c’était une forme de vengeance de sa part parce que souvent je regarde le cul des femmes qu’on croise et je lui susurre que j’y mettrais bien mon 19-6 (c’est comme ça aussi que j’appelle mon Popaul, 19 pour la longueur et 6 pour le diamètre)… Et en général, elle fait toujours un peu la gueule. Alors, pour me taquiner, elle me répond du tac au tac, sur le même ton et le même registre. Mais putain, je ne pensais pas qu’elle pourrait passer à l’acte, avec un gorille de cette sorte.

Et pendant que je regardais l’homme singe, je ne surveillais pas ma femme qui revenait soudain dans mon champ de vision …

Putain, j’ai cru tomber à la renverse…

Alors, là, c’était le pompon ! Elle avait attaché autour de son mignon petit ventre tout nu, une ceinture, avec un braquemart de … 25 ou 30 centimètres de long et d’au moins 8 centimètres de diamètre. Rose, raide et dur, une vraie queue de billard ! Je n’y croyais pas ! Ma femme qui se prenait pour un mec… avec un mec ! Elle qui adore quand mon Popaul vient lui rendre un long et vigoureux hommage. Elle qui aime que je la lime avec frénésie, que j’explore sa chatte toute chaude et trempée de plaisir. Elle qui aime que Popaul, fasse couler encore plus son plaisir et lui arrache des cris de bête. Elle qui ne dit jamais non quand mon 19-6 emprunte le chemin de ses fesses… Voilà que sous mes yeux, elle se prenait pour lui ou pour moi !

Son amant, en la voyant arrivé ainsi harnaché n’a pas cillé. Au contraire, il a levé la tête, lui a souri (ah ! le con !) et s’est mis à quatre pattes, sur le bord du lit.

Dans le reflet de la glace, je voyais son trou du cul, ouvert, brun presque noir. Solange, dans un geste hyper masculin, comme le font les acteurs porno, a mouillé le creux de sa main avec sa salive puis est allée enduire la pointe du godemiché avec sa paume. Même moi, je fais pas ça ! Alors, où a-t-elle vu le faire ? Avec une dextérité dont je suis pas encore revenu, elle lui a empoigné les hanches et « vlan ! », elle l’a enculé !

L’autre, il fermait les yeux de bonheur. Il me faisait presque face.

Je suis resté comme deux ronds de flan ! C’était bien la première fois que je voyais un mec se faire mettre au cul par une femme… une femme, pas n’importe quelle femme, non, Ma femme ! Et en plus, ce salaud, il prenait son pied… L’enflure.

Et Solange le besognait. Elle y mettait du cœur. Elle filait de grands coups de reins. Elle lui a rentré le godemiché jusqu’au bout, jusqu’à la garde. De là où j’étais, j’entendais le « floc ! floc ! » de ses cuisses qui heurtaient ses fesses. Et ça a duré un long moment. En même temps, elle lui avait empoigné la queue qui s’était redressée au moment où elle l’avait pénétré, et elle le masturbait.

Je voyais à la fois ses seins ballotter au rythme de sa pénétration et sa main qui l’astiquait… Et cet enculé est allé jusqu’à jouir, dans ses doigts, lâchant un long trait de sperme sur mon couvre-lit !

J’étais effondré !

Stop ! J’en avais assez vu.

J’ai laissé la porte entrouverte et je suis reparti sur la pointe des pieds. Dans la rue, il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprits. La salope ! L’enflure ! La putain ! Elle se fait sucer et elle sodomisait son amant qui prenait son pied… J’avais du mal à y croire… Et en plus, quand c’est moi qui le réclamait, légitimement, elle me le refusait … pas de m’enculer, non, mais simplement de me sucer… Inimaginable !

Ah ! La rogne que j’avais.

Heureusement, au coin de la rue, il y a mon troquet favori. Je m’y suis précipité. J’ai avalé au moins trois Cognac, coup sur coup. Le patron, qui me connaît bien, c’est là où je fais mon tiercé le dimanche, m’a dit que j’était tout pâle. Tu parles, Charles – c’est son nom – y avait de quoi être pâle…

Mais j’ai pas pu lui raconter… Non, j’ai pas pu. Aucun mot ne sortait de ma bouche. J’en avais mal aux mâchoires, à force de serrer les dents pour ne pas hurler et mes mains tremblaient à force de me contrôler pour ne pas briser quelque chose. J’aurais bien cogné sur quelque chose, un arbre, un mur, un mec, n’importe quoi, juste pour me passer les nerfs, quoi !

Après plus d’un quart d’heure, et une grande respiration, j’ai pris mon portable pour appeler la maison.

Solange m’a répondu presque immédiatement. Elle avait la voix enjouée, celle de tous les jours. Elle ne laissait rien paraître. Quand je lui ai dit que j’arrivais dans cinq minutes, elle n’a rien dit d’autre que « Tu fais bien de m’avertir, j’allais sortir ! » avant de raccrocher.

Là, j’en suis resté le souffle coupé, de cette duplicité féminine. Je savais qu’elle venait de jouir, quelques minutes avant et au téléphone, elle semblait calme, tranquille. Impensable !

Pourtant, j’avais pas eu la berlue ! Non, j’avais pas rêvé. Je l’avais vu de mes propres yeux se faire sucer la chatte, alors qu’elle suçait et masturbait son amant avant de lui trouer le cul au moyen d’un énorme godemiché. Et elle me répondait comme si elle était en train de faire la cuisine.

Sans me presser, je suis revenu vers la maison. Tout en marchant, j’ai cherché comment aborder le sujet. Je pouvais rentrer et lui balancer une paire de claques. Je pouvais lui faire la gueule. Je pouvais filer droit dans la chambre, préparer ma valise et me tirer. Je pouvais… je ne savais plus rien quand j’ai ouvert la porte et que je me suis retrouvé nez à nez avec ma salope de femme.

Elle était là, pimpante, fraîche, remaquillée, recoiffée. Elle m’attendait. Elle m’a tendu ses lèvres pour que je lui applique un léger baiser, comme d’habitude, comme si rien ne c’était passé en mon absence. Et comme un con, instinctivement je l’ai embrassée. Je l’ai même embrassée plus fort que d’habitude, en la collant contre la cloison et mes mains sont parties explorer son corps, avec nervosité, tellement j’étais encore excité par la vision de son corps livré en pâture à son amant hantait encore ma mémoire toute fraîche.

Mes mains sont remontées sur ses seins, encore lourds de plaisir, aux tétons également érigés et sensibles de ses propres caresses de tout à l’heure. Contre toute attente, elle n’a rien dit. Elle a accepté ma rudesse. En deux attouchements, elle a fondu sous mes doigts et s’est mise à miauler de plaisir. Mes mains sont allés trousser sa robe, arrachant littéralement sa fine culotte pour s’emparer du bombé de sa chatte épilée, si chaude et coulante de ses dernières galipettes. Sa fente était ouverte et bâillait son plaisir. Mes doigts la fouillaient, la farfouillaient. Ils cherchaient à localiser les traces de son amant. Sous leur intrusion, ses hanches se dandinaient, oscillaient, chaloupaient. Je l’ai branlée là, debout, appuyée contre la cloison. Elle s’est tordue de plaisir. Elle a trempé ma main. Elle a commencé à crier « baise-moi ! » quand, de mon autre main, j’ai fait descendre mon pantalon, pour qu’elle se rende compte que ma queue était raide d’excitation et de désir. J’ai arraché, malgré ses prières, ma main de sa chatte pour la forcer à s’agenouiller devant moi et me sucer, là, debout. À ma grande surprise, elle s’est exécutée, docilement. C’était même la première fois qu’elle était aussi obéissante, aussi coopérative. D’habitude, elle rechigne à me prendre dans la bouche ou ne le fait que du bout des lèvres, rapidement et sans jamais aller au bout de mon plaisir. Oui, mais d’habitude, elle a certainement moins de choses à se faire pardonner, cette salope.

Là, à genoux devant ma queue, elle s’est surpassée. Elle m’a divinement sucé. Elle s’est appliquée avec la langue à venir faire le tour de la base de mon gland, en me fixant droit dans les yeux avec un air gourmand et goguenard. Rien que son regard, j’étais prêt à partir. Après, elle m’a avalé loin dans sa bouche et a longuement joué avec sa langue sur ma hampe de plus en plus excitée. Elle m’a infligé un rythme lent et profond, m’aspirant à chaque goulée un peu plus loin. Je l’ai aidée avec mes mains qui lui enserraient bien la tête. Et je suis allé jusqu’au bout de mon plaisir. Je lui ai bloqué la tête pour mieux lui envoyer ma purée au fond de la gorge, la forçant à me boire jusqu’au bout et l’incitant à continuer à me téter le sexe pour qu’il soit encore dur.

Après, je l’ai forcée à se redresser, je l’ai faite pivoter et en roulant sa robe sur ses reins, je lui ai enfoncé Popaul entre les cuisses. Putain, qu’elle était chaude ! Une véritable chaudasse. Trempée, serrée, excitée. Elle n’avait pas dû se contenter seulement de la langue de son amant, ni de lui planter sa ceinture godemiché dans le cul. Elle l’avait aussi accueilli dans sa chatte, longuement et souvent parce qu’elle était encore toute enflée de plaisir. Avant de jouir, j’ai ressorti mon 19-6 pour le présenter à l’entrée de son petit trou. Lui aussi vibrait à mon approche et s’ouvrait comme une vraie fleur goulue. Sans la faire attendre, je l’ai enfilée d’un coup et d’une seule poussée. Elle avait la joue appliquée contre la tapisserie, les deux bras griffaient le mur. Elle mugissait, émettant des feulements rauques, longs et puissants. Et tout en lui empoignant les seins et en maltraitant ses tétons, je l’ai sodomisée jusqu’à ce que je me répande en elle, dans un long jet de foutre libérateur.

Je vous dis pas ce que ça m’a soulagé. Après, j’avais les jambes qui tremblaient.

Solange a laissé retomber sa jupe et en se tournant vers moi, l’œil et la bouche coquine, elle m’a dit :



Alors, je l’ai regardée méchamment pour lui faire comprendre que je n’étais pas dupe de sa coucherie de l’après-midi.



Solange a baissé les yeux et elle est devenue toute rouge. Puis, elle a fondu en larmes. Ouais, elle s’est mise à pleurer et au milieu des sanglots, elle m’a expliqué que mes absences lui pesaient, qu’elle était souvent en manque, bref, que tout ça c’était de ma faute ! Elle m’a dit que c’était moi qui avait commencé à la tromper avec des clientes et qu’elle avait des preuves et que j’étais qu’un salaud, un macho obsédé par le cul et que je l’aimais pas… Bref le grand cirque !

Jusque là, je m’étais contenu. J’étais resté aussi calme que je pouvais l’être en pareille circonstance, quand vous découvrez que votre femme a un amant.

Et puis j’ai craqué.

Oui, c’est vrai, j’ai vu rouge. J’avais assisté à un spectacle qui m’avait excité, mais qui m’avait surtout mis la rage au cœur. Comment pouvait-elle me reprocher de la délaisser pour mon boulot… et puis comment pouvait-elle m’accuser de la tromper. D’abord, c’était pas la même chose. Moi je l’ai jamais trompée dans notre chambre, sous le toit conjugal. Et puis merde, j’avais pas à me justifier.

Alors, la colère m’a vraiment pris et je lui ai tout déballé.

Et je lui ai dit ce que j’avais vu l’après-midi… Je l’ai traînée dans la chambre, mais il n’y avait plus rien. Aucune trace de sa chaude après-midi. Tout était nickel chrome. Le lit refait, la descente de lit sans plis, pas de trace de sperme sur le couvre-lit, pas de godemiché-ceinture non plus. Ni sur la table de nuit, ni dedans, ni dans l’armoire. Plus de sac non plus. Rien. La chambre semblait normale. Tout ce qu’il y a de plus normal. Dans la salle de bains, tout avait été aussi rangé.

A croire que j’avais eu des visions. Que j’avais fait un mauvais rêve.

Et Solange qui pleurait toujours. Pire, elle sanglotait en marmonnant je ne sais quoi sur la confiance, la fidélité et je ne sais quoi encore comme foutaises.

Elle s’était assise sur le bord du lit et avait enroulé sa tête sur ses genoux. Entre deux sanglots, d’une voix étouffée, elle revenait sur ce qu’elle appelait « mes coucheries avec quelques jeunes et jolies clientes», m’expliquant qu’elle n’en faisait pas tout un plat, même si elle en souffrait énormément. Et que j’étais injuste envers elle. Elle avait aussi le droit de se caresser, de prendre et de se donner du plaisir et que ce n’était pas la première fois. Mais j’ai pas compris si c’était pas la première fois qu’elle se donnait du plaisir ou qu’elle avait pris un amant. Je ne voulais pas en entendre plus.

Pour éviter de lui cogner dessus, de tout casser dans la maison, je suis sorti en claquant la porte et je suis allé au bar du coin pour continuer à avaler des Cognac. J’ai même fait la fermeture et c’est en traînant les pieds que je suis rentré. Solange était déjà couchée et endormie. Je me suis allongé, tout habillé et me suis endormi avec d’horribles images dans la tête.

Solange était nue, avec son amant. Je voyais ses gros seins aux bouts excités et pointus qui dansaient devant ma bouche. Elle avait une ceinture godemiché et son amant me tenait les bras. Elle me disait : « Tu vas voir, c’est si bon de se faire mettre par derrière. Moi j’aime ça, alors tu devrais essayer ! » Et comme j’hurlais, elle se penchait sur moi en disant : « Tu préfères une vraie queue, peut-être? ». Pour échapper à l’étreinte forcée, je me suis mis à gesticuler dans tous les sens pour me débattre, pour m’échapper des bras puissants qui m’enserraient… et me suis bel et bien réveillé, le nez sur la descente de lit, Solange était au-dessus de moi, en train de me contempler, un mince sourire aux lèvres.



Elle m’a aidé à me recoucher. Elle a ôté mes souliers, mon falzar, m’a bordé et je me suis rendormi.

Tard, ce matin, quand je me suis réveillé, Solange n’était pas là.

Enfin, elle n’était plus là.

Dans la cuisine, il y a avait un mot, un tout petit mot « T’es trop con, je pars ». Rien d’autre.

Ahhhh ! la salope… elle me trompe et elle se tire. Pour moi, son départ est un aveu de culpabilité. Alors, qu’elle aille au diable, elle et son ou ses amants, de toute façon, je m’en fous. Tout ce que je sais, pour l’instant, c’est que c’est injuste. Pourquoi c’est moi qui dois être rendu responsable ? Hein ? Pourquoi c’est moi qui suis traité de con ? C’est pas moi qui ait couché avec son amant, c’est elle ! C’est elle, la fautive. Elle m’a reproché d’avoir eu des aventures avec d’autres femmes ? Mais moi, c’est pas pareil. Bien sûr, j’ai un peut-être couché une ou deux fois avec des clientes, bon peut-être un peu plus, mais je suis un homme, alors c’est pas la même chose ! C’est vrai quoi, si les femmes commencent aussi à nous copier dans nos aventures extraconjugales, qu’est-ce qu’on va devenir ?

Et puis je m’en fous, elle fait ce qu’elle veut. Juste qu’elle a pas intérêt à venir repointer son museau à la porte, parce que là, la lourde sera largement ouverte et je me fâcherai vraiment. En attendant, il faut que je reparte en province. J’ai rendez-vous à Alençon, où je sais qu’une cliente sera toute heureuse de m’accueillir pour la soirée, son mec est en déplacement…