n° 10104 | Fiche technique | 33111 caractères | 33111 5809 Temps de lecture estimé : 24 mn |
31/01/06 |
Résumé: Les aventures de Marie, victime bien malgré elle du premier voyage dans le temps. | ||||
Critères: #sciencefiction #fantastique fh fhhh hagé religion fsoumise hdomine contrainte facial fellation pénétratio partouze | ||||
Auteur : Elros Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Tribulations temporelles Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Il est vingt-deux heures dans le petit village de La Garde. Clémence Grosduc était sortie de chez elle pour se rendre au puits afin de ramener un seau d’eau à la maison lorsqu’elle voit une grande lumière blanche au nord de la place centrale du village. Elle pousse un grand cri, lâche son seau et court chercher son homme. Qui lui s’en revient avec ses deux voisins, armé de piques et de fourches.
Ils voient alors, allongé sur le sol, un corps, nu. En s’approchant prudemment, mais en restant à trois bons mètres, Louis Grosduc dit à son voisin Auguste Labête :
Le dénommé Auguste s’approche du corps et le touche du bout de son bâton.. Aucune réaction. Il avance la main et touche l’épaule nue, sans plus provoquer de réaction, et il prend alors la courageuse décision de retourner le corps.
Louis s’approche et confirme qu’il s’agit bien d’une femme, d’une belle gueuse, comme il dit. Il y a juste un point qui le gêne, c’est qu’elle n’a pas beaucoup de poil entre les jambes. C’est alors que la forme allongée à terre remue et met ainsi fin à ses questions. Les trois hommes s’égaillent comme une volée de moineaux, se réfugiant derrière des tonneaux posés sous un auvent de toit, proche de la place, d’où ils observent la scène.
Marie, car c’est bien elle, semble s’éveiller. La tête lourde, les tempes bourdonnantes, elle essaie de comprendre ce qui s’est passé. Elle grelotte de froid mais une sourde chaleur lui irradie l’entrejambe. Elle n’ose pas ouvrir les yeux, et finalement elle se redresse prudemment et observe la place autour d’elle.
Elle se passe la main entre les cuisses, ce qui lui confirme son état d’excitation sexuelle. Dans un effort de volonté, elle retire la main, se relève et jette un rapide regard alentour. Aucune maison n’est éclairée et aucune lumière n’illumine la place. Elle s’approche d’une demeure et en observe la structure et l’architecture.
«La machine fonctionne donc ! Mais en quelle année suis-je tombée ? Et qu’est-ce qui m’arrive, j’ai la sensation d’avoir la chatte en feu.»
Elle se déplace vers une autre maison, disposant d’un auvent. C’est à ce moment-là qu’elle entend quelqu’un crier tout près.
Des portes de maisons s’entrouvrent alors, et un coup sourd lui parvient droit devant elle, ainsi qu’une voix qui marmonne :
Leurs cris ont rameuté tout le village. Les hommes et les femmes commencent à s’attrouper, le visage dur et méfiant. Mue par un réflexe venu d’on ne sait où, Marie se sauve en courant dans les bois, bien vite poursuivie par une partie des habitants avec, à leur tête, Germaine et Auguste. Elle court sur près de deux kilomètres, ses pieds la faisant horriblement souffrir. Elle arrive devant un mur d’enceinte. En en faisant le tour, elle découvre une porte sur laquelle elle frappe. Derrière elle, les lueurs des torches des villageois lancés à sa poursuite se rapprochent.
Un fenestron s’ouvre et une tête masculine apparaît.
Il lui ouvre la porte, la fait entrer en l’observant et la guide vers une petite pièce équipée d’une cheminée. Là, il se contente de l’observer et triturant sa barbichette. Quelques instants plus tard, les villageois frappent eux aussi à la porte du monastère.
Le même moine rouvre le petit fenestron et leur dit :
Les villageois se concertent un moment sur la direction à prendre et finissent par repartir en direction du village.
Dans la petite pièce, Marie s’est réfugiée près du feu, réchauffant ses pieds endoloris. Elle tente de calmer les ardeurs de son corps, se disant qu’il vaut mieux ne pas se mettre le moine à dos.
Il entre dans la pièce sans un bruit et l’observe quelques instants, sans que l’on puisse dire s’il s’agit pour lui d’admirer la plastique de cette femme ou de décider de ce qu’il faut en faire.
Ils s’en vont dans les couloirs. Le moine connaît le chemin par cœur et c’est aussi bien, car il ne parvient pas à détacher son regard de la croupe de Marie. Assez curieusement, sa bure fait une bosse au bas de son ventre. Quant à Marie, elle essaie de penser à autre chose qu’au regard de cet homme posé sur elle. Cela ne l’empêche pas de sentir une certaine humidité couler entre ses cuisses. Après plusieurs tours et détours, ils arrivent devant une double porte.
Marie obéit et pousse l’un des battants. Elle débouche dans une longue salle au centre de laquelle trône une grande table. Autour de cette table, assis, onze moines sont en train de manger. L’un d’eux trône à un bout, levant un verre de vin. … On a toujours besoin d’un remontant après les prières du soir…. Ils s’arrêtent et les regardent entrer, Marie se cachant le sexe et les seins tant bien que mal avec ses mains.
Marie décroise ses mains et apparaît devant les moines, nue et découverte. Plusieurs sifflements se font entendre.
Marie prend appui sur une table juste derrière elle, se penche en arrière et écarte les cuisses, permettant à tous les regards de se poser sur son entrejambe. Par la suite, plusieurs se rappelèrent que, alors que tout le monde se concentrait pour s’assurer que le Malin n’était pas à l’œuvre, le petit rire du doyen se faisait entendre, venant de dessous la table contre laquelle Marie avait posé ses fesses.
Le père supérieur se lève et s’approche d’elle.
Il s’avance jusqu’à quelques centimètres d’elle et pose les mains sur son visage. Il vérifie ses cheveux, ses yeux, son nez, puis sa bouche. Son index glisse sur les lèvres humides de la jeune femme.
« Mon Dieu, calmez le feu qui couve en moi. Si ce prêtre continue, je vais lui arracher sa bure et me jeter sur lui. » prie intérieurement Marie.
Puis les mains de l’ecclésiastique descendent le long de son cou, jusqu’aux épaules, avant de continuer pour s’arrêter sur ses seins, qu’il tâte et palpe sous les quolibets des autres moines qui ne perdent pas une miette de la scène. Ses deux mains prennent la direction des hanches de Marie, l’une glissant dans son dos, l’autre continuant sa descente vers le nombril. Marie retient sa respiration, tentant de concentrer son attention sur ses soucis actuels plutôt qu’aux caresses du prêtre.
La première main se trouve désormais sur ses fesses, un doigt glissé entre les lobes. L’autre a atteint son pubis et se fraie un chemin dans les quelques poils qui le couvrent avant d’arriver à l’orée de sa chatte. Un doigt se glisse entre ses lèvres, lui arrachant un soupir d’aise. Ce doigt inquisiteur entreprend de faire le tour de sa chatte, avant de revenir se poser sur son clitoris.
«Ce moine n’en est pas à sa première rencontre avec une femme ! » se dit Marie en fondant sous la caresse. « Il serait même un expert. »
Le père supérieur, ignorant les pensées de Marie, pousse son inspection un peu plus loin et fait glisser son doigt entre les lèvres, l’enfonçant un peu dans son con. Marie ferme les yeux. Le père supérieur s’introduit le plus profondément possible. Marie serre les dents et s’efforce de ne proférer aucun son. L’intromission se poursuit, le doigt entrant et sortant de son sexe, comme s’il commençait une masturbation. Puis il quitte sa fente et se dirige vers son anus.
Elle serre les fesses mais rien n’y fait. Le père supérieur la sodomise de son doigt, fouillant longuement son intimité anale, puis il se retire. Assez curieusement, remarquent plusieurs moines, une bosse s’est formée au niveau de ses hanches.
C’est alors qu’il aperçoit les pieds de Marie et leur état déplorable après sa course dans la campagne. Cette vision l’adoucit quelque peu.
Puis, se tournant vers les autres membres du clergé attroupés à côté d’eux, il leur dit :
Et les voici partis, tous les deux, le père supérieur ouvrant la marche. Marie le suit docilement, cherchant un moyen de calmer le feu de ses sens. Le moine ouvre une porte donnant dans une petite pièce remplie de pots en faïence et invite Marie à entrer avant de faire signe aux autres moines de repartir. Il referme la porte et s’empare d’un pot sur l’étagère du haut.
Elle obéit, les élancements de ses pieds commençant à devenir vraiment douloureux, et s’assied sur le bord du lit. Le père s’agenouille devant elle, lui prend un pied, le soulève et le pose sur ses cuisses. Il prélève un peu d’onguent et l’étale sur la peau rougie. Lentement, Marie écarte volontairement les jambes pour lui permettre de regarder sa fente intime pendant qu’il passe sa pommade. Au bout de quelques minutes, la bure du prêtre laisse entrevoir une grosse bosse au niveau du bas-ventre. Une fois les soins terminés, il lui bande les pieds.
Disant cela, elle glisse un bras sous le vêtement rêche du prêtre qui est resté debout devant elle. Il se raidit lorsque la main se pose sur le haut de ses cuisses, avant de glisser vers son pubis. Marie saisit la base de sa verge avant qu’il ne tente de reculer.
Sa main va-et-vient le long de la bite tendue. Le moine semble hésiter quelque peu, puis il tire sur sa bure pour la remonter et dénuder son bas-ventre. Il ôte le vêtement en le faisant passer par-dessus sa tête. La vue de l’engin confirme à Marie les formes respectables dont elle s’était doutée en le prenant en main. Tout en le branlant, elle écarte doucement les jambes, se dévoilant impudiquement devant le prêtre. Elle se met également à se caresser les seins de sa main libre. Elle décalotte le gland rouge et turgescent du moine et lui astique doucement la queue. Il la regarde faire, ses yeux passant fréquemment sur son corps, à l’affût de tous ses gestes.
Un peu surprise, Marie hésite quelques longues secondes, tandis que le prêtre garde un profond silence.
Sur ces mots, il avance son bassin, amenant sa verge devant le visage de Marie. Elle ouvre la bouche et, tenant toujours la queue, elle dirige le gland vers elle. Tout en engloutissant le sexe du moine, elle attrape ses bourses de sa main libre et se met à les triturer doucement. Il pousse un grognement lorsqu’il sent la langue de Marie s’enrouler autour de son gland. Elle écarte les mâchoires au maximum pour pouvoir l’avaler en entier. Sans rien dire, il saisit la poitrine de la jeune femme et lui pétrit les seins, tout en donnant de petits coups de bassin, s’enfonçant un peu plus loin dans sa gorge. La position assise oblige Marie à poser les pieds sur le sol et cela la fait souffrir. Elle sort la verge de sa bouche.
Et elle s’allonge sur le lit tandis que le prêtre s’agenouille. Elle se rapproche du bord du lit, tout en écartant les jambes.
Comme elle reprend sa bite entre ses lèvres, il pose une main sur sa chatte et son majeur glisse sans problème à l’intérieur. Poussant un soupir d’aise, Marie se met à le pomper goulûment pendant que le moine lui titille le clitoris avec son pouce. Elle se donne tant et si bien qu’il arrive rapidement au point de non-retour. Dans un sursaut, il lâche son premier jet de foutre dans la gorge de son amante, sans la prévenir. Il éjacule longuement, se répandant dans sa bouche sans aucun scrupule. Marie, habituée à ce genre de pratique avec Franck, le laisse faire et avale consciencieusement jusqu’à ce qu’il se retire. Il remet alors sa bure, puis range le pot de crème sur l’étagère et ouvre une armoire pour en sortir une couverture qu’il lui donne.
Puis il part, laissant Marie déçue de n’avoir pu obtenir plus, mais trop contente de trouver quelque chose pour se couvrir. Elle s’enroule dans la couverture un peu rêche et s’allonge, tentant de rechercher le sommeil. Mais son entrejambe la titille décidément beaucoup trop. Après avoir tenté par divers moyens de se changer les idées, elle décide de s’en occuper elle-même. Elle repousse la couverture dans laquelle elle s’était enveloppée. Mais, alors qu’elle commence à se caresser, la porte s’entrouvre, livrant passage au visage d’un jeune moine. Au même moment, on entend un juron provenant de derrière la porte qui s’ouvre brutalement. Cinq moines s’effondrent sur le sol, les uns sur les autres, un air ahuri sur le visage.
En disant cela, elle écarte la couverture et ses jambes pour leur montrer son entrejambe ouvert. Les cinq moines ouvrent des yeux immenses.
Et elle relève la bure jusqu’à mi-cuisses, alors que dans le même temps le plus jeune des cinq moines se déshabille.
Un autre moine retire ses frusques pour se mettre nu devant elle. De sa main libre, elle s’empare de sa verge pendante. Quelques instants plus tard, les cinq hommes sont nus et le sexe dressé. Marie, assise au bord de son lit devant les cinq moines debout en demi-cercle, leur caresse successivement la bite.
Et Marie s’allonge sur le dos. Le jeune moine monte sur le lit et s’allonge gauchement sur elle. Elle prend alors son sexe d’une main pour le diriger vers sa chatte brûlante et le poser sur ses lèvres. Elle est tellement mouillée que la bite a commencé à la pénétrer sans que le moine ne donne le moindre coup de reins. Puis, il s’enfonce en elle pendant que les quatre autres les regardent. Paul s’active, arrachant de longs soupirs à Marie. Elle prend la verge de deux moines dans chaque main et, pendant que Paul s’active en elle, elle se met à les branler.
Elle commence à savourer les bienfaits de cette queue plantée dans son vagin lorsque Paul pousse un grognement et se met à jouir. Il décharge sa semence au fond de sa chatte en s’enfonçant en elle à chaque spasme de plaisir.
Pendant que Paul se retire d’elle, un autre moine fait le tour du lit et vient se placer au-dessus d’elle.
Il saisit lui-même sa bite et s’enfonce dans la chatte de Marie sans aucun problème. Se tenant au-dessus d’elle d’une main, il lui saisit un sein tout en s’activant. Marie frissonne lorsque la queue se met à bouger en elle. Elle en sent la chaleur et la grosseur. Le moine la bourre de coups de reins assez doux, tout au moins au début. Marie laissant échapper de longs gémissements de plaisir, le moine s’enhardit et accentue ses coups de reins. Son bassin vient claquer sur les cuisses écartées de Marie, pendant que sa verge s’enfonce et ressort de son con. De plus, tout en accentuant la force de ses coups de boutoir, il en accélère le rythme.
Et, malheureusement pour Marie, il atteint rapidement le point de non-retour. D’un brusque coup de reins, il s’est planté dans sa chatte le plus profondément possible avant de se mettre à grogner, le corps secoué de spasmes. Marie lève les yeux au ciel.
Marie repousse alors brusquement le moine qui s’écroule sur le lit, à côté d’elle. Sa verge s’est brutalement dégagée du fourreau humide qui l’enserrait et un dernier jet de foutre en jaillit pour venir s’écraser sur le ventre de la belle.
Marie regarde le vieux moine qui vient de s’exprimer ainsi. C’est le plus âgé du groupe, un vieux moine, petit et maigre, mais dont le visage est encore plaisant. Son visage est éclairé d’un grand sourire.
C’est alors, en le voyant s’avancer, qu’elle prend conscience du sexe de ce vieux moine. Il est, comment dire, imposant… Et elle n’aurait jamais cru qu’un papy puisse bander autant. Le sexe fièrement dressé, le moine monte sur le lit. Il s’accroupit entre ses jambes, approche la tête de sa fente et se met à la lécher. Puis il s’allonge sur la couche, glisse une main entre les cuisses de la jeune femme et se met à lui titiller le clitoris de son index tout en lui léchant le pourtour des lèvres.
Le moine accentue sa caresse et glisse sa langue dans le sexe humide de la jeune femme. Elle ferme les yeux et se laisse aller aux caresses du vieil homme, mais ce n’est pas du goût de l’un des deux derniers moines qui n’avaient pas encore joui. Il s’avance au bord du lit, saisit la main droite de Marie, et la pose sur sa verge. Elle rouvre les yeux quelques secondes, fixant ce membre qu’on lui demande bien cavalièrement de caresser. Le vieux moine a glissé deux doigts dans sa chatte, lui arrachant un long soupir de plaisir. Elle se met à tortiller son bassin, le faisant onduler et bouger autour des doigts. Le moine lui lèche le clitoris pendant qu’elle branle un peu mécaniquement, il faut bien l’avouer, la bite qu’on lui a glissée dans la main.
Tout au plaisir des caresses qu’on lui prodigue, elle ne voit pas se contracter le visage du moine qu’elle est en train de branler. Il se raidit et pousse un grognement. Sa queue se redresse et un jet de sperme en jaillit et monte dans les airs avant de redescendre s’écraser entre les seins de Marie et sur son ventre. Marie ne relâche pas la pression de ses doigts et de nouveaux soubresauts de la verge se produisent, accompagnés de jets de foutre. Le moine décharge longuement, répandant sa semence sur le corps de Marie, alors que le vieil homme lui caressait toujours l’entrejambe. Elle trouve cela tellement divin qu’elle jouit presque à ce moment-là.
Marie lâche la queue qu’elle tenait toujours et qui commençait à se ramollir, et se met à quatre pattes sur le lit. Elle le fait non sans jeter un coup d’œil au bassin du moine qui attendait à genoux, la verge dressée. Elle lui présente sa croupe sans discuter. Les quatre autres moines se rapprochent du lit. L’un des quatre vient se placer en face de Marie. Elle peut constater qu’il bande lui aussi fortement et elle lève les yeux vers son visage. Elle s’aperçoit alors que c’est le dernier moine, avec celui qui allait la prendre, à ne pas avoir joui.
Elle sent la bite se poser sur l’orée de sa fente intime et débuter sa pénétration. L’engin imposant du vieil homme lui écarte les lèvres et se fraie lentement un passage dans son con. Il s’enfonce en elle, sans grande difficulté d’ailleurs, à sa plus grande joie. Elle cambre ses reins pour faire ressortir son bassin et l’accueillir encore plus profondément. Pendant que cette verge se glisse en elle, elle ouvre la bouche pour accueillir celle qui lui faisait face. Le moine, debout devant elle, comprend le message et s’avance pour placer son membre devant le visage de Marie qui n’a plus qu’à gober cette bite tendue.
Derrière elle, le vieux moine a totalement introduit son sexe dans la chatte de Marie et il commence à s’activer. Il débute doucement, faisant glisser son sexe dans ce fourreau doux, chaud et humide. Il se retire lentement, sortant également son gland à l’air libre, avant de se replonger dans cet antre sacré. Ce traitement a pour effet d’amener Marie au bord de l’orgasme. Elle respire difficilement, l’autre moine lui appuyant sur l’arrière du crâne pour enfoncer sa queue le plus profondément possible dans sa gorge. Son plaisir explose lorsqu’elle sent qu’on lui enfonce un doigt dans l’anus. Elle arrive à se dégager de la poigne ferme qui lui tient la tête et laisse échapper un long cri tandis que le plaisir la submerge. Le vieux moine choisit ce moment pour accélérer son mouvement et lui procurer encore plus de sensations. Elle ne peut retenir un cri un peu plus fort.
Elle reprend alors en bouche la bite que le moine exhibe toujours devant elle, afin de s’en servir également comme d’un bâillon. Le vieil homme lui pilonne allégrement l’arrière-train, lui provoquant des orgasmes en chaîne. Elle sent glisser ce membre en elle, provoquant des ondées de plaisir. Son amant se met même à lui caresser le clitoris d’une main tout en lui maintenant les hanches de l’autre. Le moine qu’elle suce remet ses mains sur son crâne et s’enfonce dans sa gorge pour décharger de longs jets brûlants de foutre. Elle n’a pas d’autre choix que d’avaler la semence en tentant de garder sa respiration. … Et il lui en donnait du foutre, ce cochon, à croire qu’il n’avait jamais joui et avait tout gardé pour elle depuis son adolescence… Elle doit déglutir à plusieurs reprises. Sa série d’orgasmes se calme lorsqu’elle sent la pine sortir de sa chatte. Et, quelques instants plus tard, un liquide chaud se pose sur ses reins. Le vieil homme déchargeait sur elle, se frottant la bite entre les globes de ses fesses. Il se répand sur elle, sans dire un seul mot.
C’est à ce moment-là que les cloches se mettent à sonner à la volée, provoquant la panique des cinq moines. Ils s’agitent, celui qui était sur le lit se relève d’un bond, pendant que le moine devant Marie retire brutalement son sexe de sa bouche, laissant entendre un ’blop’ étrange. Ils échangent tous un regard avant de se précipiter vers la porte pour se sauver, nus, dans le couloir.
Marie n’a pas eu le temps de dire un mot. Quelques secondes plus tard, la porte se rouvre et les cinq moines entrent, rouges comme des pivoines. Ils se sont emparés de leurs bures et se sont rhabillés. Enfin, ils ont essayé, car il leur a fallu quelques minutes pour que chacun retrouve la bure qui était la sienne en entrant dans la chambre. Ils ressortent ensuite en courant, sans dire un mot à Marie.
Elle se lève pour trouver de quoi se laver. Mais, regardant autour d’elle, elle ne voit qu’un pauvre bout de tissu qui traîne sur la petite table lui faisant face. Elle s’empare du linge à l’aspect douteux pour s’essuyer le corps et la chatte. Elle s’allonge à nouveau et se glisse sous la couverte rêche. Ses sens étant un peu apaisés, elle finit par sombrer dans un sommeil peuplé de rêves étranges, où des hommes nus la poursuivent, leur verge tendue crachant des giclées de sperme comme autant de flèches qui tentent de l’atteindre.