n° 10126 | Fiche technique | 25982 caractères | 25982Temps de lecture estimé : 15 mn | 08/02/06 |
Résumé: Il l'aimait, elle l'aimait et elles s'aimaient. | ||||
Critères: ff ffh voir fellation cunnilingu 69 pénétratio | ||||
Auteur : kiki86 |
La porte s’ouvre, doucement. Elle est là, devant moi, incarnation de la féminité. Elle est parée d’une nuisette et d’un déshabillé de soie noire, laissant voir l’essentiel, cachant le superflu, mettant en valeur ses formes, généreuses et envoûtantes. Un léger parfum embaume l’air. Elle s’efface, me laissant rentrer, s’écartant juste assez afin que nos corps se frôlent. Elle referme la porte. Je suis derrière elle. Mes mains se posent sur ses hanches. Ma bouche dans son cou.
Le baiser se fait langoureux. Les mains remontent lentement le long de ce corps offert. Je prends ses bras par les poignets et les monte au-dessus de sa tête, plaquant ses mains contre la porte…
Elle l’attendait cette visite, et maintenant qu’il était là, son cœur battait la chamade et son corps criait son désir pour lui. Sentir enfin son souffle sur sa nuque, sa bouche gourmande dans son cou. Sentir enfin la chaleur de son corps contre le sien.
Il laissa glisser une main sur son dos et la laissa descendre, s’arrêtant dans le creux de ses reins, puis sur l’arrondi de ses fesses. Il caressa sa hanche et vint effleurer du bout des doigts le bas de son ventre ; marqua un temps d’arrêt sur cette partie si lisse et si douce, puis remonta vers sa poitrine et enveloppa un de ses seins. Il en caressa doucement l’arrondi avec son pouce…
La bouche remonta le long du cou, cherchant ce lobe taquin. La main continuait à caresser ce sein, cherchant à le découvrir, détaillant chaque grain de sa peau, tel un aveugle voulant se souvenir à tout jamais d’une œuvre. L’autre main vint se poser sur la cuisse, remontant délicatement, cherchant à dévoiler ce corps sous ce si léger rempart. Les doigts effleurent une fine bande de tissu. Ainsi, elle portait encore un autre artifice, excitant à souhait, appel à l’amour et à la découverte.
Doucement, je m’agenouille, contemplant ce dessous, dessous porté, cherchant plus à m’attirer qu’à m’éloigner. Mes doigts s’emparent de celui-ci et doucement le déposent aux pieds de la belle, libérant ainsi le fruit de tous les désirs…
"Quelle douce sensation de sentir ses doigts glisser le long de mes cuisses." Elle plongea son regard dans le sien, le désir pouvant se lire dans chaque iris. Elle tendit la main pour qu’il se relève. Elle voulait pouvoir le regarder, ancrer ce visage dans sa mémoire, à jamais.
Leurs visages sont proches l’un de l’autre et de son pouce, elle lui effleure la tempe, puis la joue. Il ferme les yeux, savoure cette caresse. Elle marque un temps d’hésitation, puis avance son autre main. Pose délicatement ses doigts sur ses lèvres et en dessine leur contour. Elle s’approche encore plus de lui, s’empare de sa bouche, pour un premier baiser tendre tout d’abord, puis plus entreprenant.
Ils sont si proches maintenant qu’elle peut sentir son désir, il ne peut plus le cacher.
Doucement, il lui caresse la taille, puis les hanches, frôle son aine et vient se poser à l’intérieur de sa cuisse. Dans un geste tendre mais impatient, il lui ordonne de les écarter un peu plus…
Sa main progresse sur ces chairs inconnues et lisses. Le contact est si doux, provocateur de frissons chez sa muse. La main entière prend possession de cette conque, ne cherchant pas à l’investir, non, juste à la tenir, sentir le désir s’en écouler. Lentement, doucement, un doigt se désolidarise, pénétrant, avançant à l’intérieur, cherchant l’entrée, la source de ce désir, guidé par la chaleur s’en dégageant.
Je me colle encore plus à elle, la poussant contre la porte. Mon autre main s’empare de nouveau d’un sein, caressant, jouant avec son téton, fièrement bandé sous l’excitation. Nos bouches se rapprochent, nos lèvres se goûtent, nos langues se cherchent, se trouvent, s’apprivoisent, entamant une danse effrénée. Le doigt inquisiteur continue son travail de séduction, entrant et sortant, allant et venant, stimulant cet antre, y cherchant la jouissance, bientôt suivi d’un autre…
Ce baiser profond, mêlé d’impatience, de découverte et de désir enflamme leurs sens. Mais leurs corps eux aussi vibrent de cette terrible impatience trop longtemps contenue. Un peu à contrecœur certes, il abandonne sa bouche encore entrouverte. Elle laisse échapper un petit gémissement presque inaudible et passe son index sur ses lèvres encore gonflées par ce baiser. Non elle ne l’a pas rêvé.
Lentement, il laisse glisser sa bouche sur son cou, lui laissant l’empreinte chaude et humide de ses lèvres, ne s’arrêtant qu’entre ses douces collines. Du bout de sa langue, il se dirige vers le sommet, en saisit le téton arrogant, entre ses dents. L’aspire, le mordille et le fait tournoyer autour de sa langue.
Sous l’effet de cette caresse, elle cambre le dos, seule sa tête est encore appuyée contre la porte, tellement arquée que son sexe se presse contre ce doigt inquisiteur. Elle en réclame un deuxième, elle veut se sentir remplie, fouillée, soumise à la curiosité de son amant. Il donne le ton en pratiquant de longs va-et-vient profonds, puis ressort, laissant glisser tantôt ses doigts sur ses lèvres lisses et douces, ou s’insinuant sous celle-ci, venant buter sur ce petit bout de chair rose si sensible…
Je m’agenouille devant ma belle, n’ayant plus qu’une envie, c’est de la goûter, d’embrasser ces lèvres charnues et sensuelles, luisantes de plaisir, gonflées par le désir. Les mains sur chacune de ses fesses, je l’approche à ma bouche. Je ferme les yeux, ne voulant garder que son parfum, son odeur, son toucher, cette sensation sur ma langue. Ce fruit est si beau, lisse comme l’innocence, chaud comme le péché.
Doucement je m’approche de la commissure de ses lèvres. Il est là, je le trouve, le débusque. Il est sorti de son refuge, frissonnant, fier et droit. Je le suce, le mordille, le titille, l’excite encore plus, objet de culte, déclencheur de la jouissance, envoyant des ondes de plaisir dans le corps de cette femme offerte.
Celui-ci ondule, parcouru par les vagues incessantes annonciatrices de la délivrance. Le souffle s’accélère, les muscles se tendent, de sa gorge s’échappent des gémissements qu’elle étouffe en se mordant les lèvres. Ses mains sont posées sur ma tête, me tirant encore plus vers elle, presque en elle dirais-je. Ses jambes tremblent, ses lèvres sont gonflées à l’extrême, gorgées de plaisirs…
Elle arrive, du plus profond, du tréfonds de ma belle, expression de chaque particule de son être, vague puissante, terrassant tout sur son passage, déferlante de jouissance, explosion de sensations, envole au pays du plaisir, allez simple au nirvana…
Ses jambes ont cédé sous l’assaut final, elle se laisse glisser entre ses bras. Il la recueille et l’étreint avec passion. Leurs bouches se soudent pour un baiser empli de volupté et qui n’en finit pas. Ni l’un ni l’autre n’a envie de lâcher l’autre. La terre pourrait soudain les engloutir, qu’ils ne se sépareraient pas. Mais son désir à lui est bien présent, et elle le sent, puissant contre elle. Elle prend l’initiative de quitter sa bouche. Elle a reçu, à elle de donner maintenant.
Leurs regards se croisent, ses prunelles d’or se perdent dans ses yeux couleur acier, ils peuvent y lire un désir brûlant, ardent tel des métaux en fusion. D’une main ferme, elle repousse un peu, juste assez pour se dégager, et admirer l’objet de sa convoitise. Il est là, dressé rien que pour elle.
Elle s’en approche, le saisit d’une main et le caresse doucement, comme pour l’apprivoiser. Sans le quitter des yeux, elle passe sa langue sur ses lèvres pour les humidifier, et plonge sur ce sexe impatient. Laisse glisser sa langue le long de sa hampe, puis le mordille en remontant, il tressaille sous l’effet de ses petites morsures. Impatiente de le goûter, elle l’enfouit au fond de sa gorge, referme les lèvres sur lui et commence son ballet.
Son ventre se contracte, alors elle le relâche et descend gober ses deux boules pleines. Les aspire, puis les caresse de sa langue. La sensation est si délicieuse, qu’il tend la main vers son visage, le caresse, puis laisse glisser ses doigts dans ses cheveux et par ce geste lui ordonne d’approfondir sa caresse. Elle le reprend en bouche, et serre les dents autour de ce sexe fièrement dressé. Il laisse échapper des râles de contentement.
Elle alterne les mouvements lents, puis plus rapides, s’arrêtant sur son gland et jouant de sa langue avec lui, avant de l’avaler à nouveau entièrement. Sa respiration s’accélère…
Les mouvements de la bouche, la chaleur qui s’en dégage, la délicatesse et la sensualité de cette langue qui joue avec lui, me porte rapidement au paroxysme de l’excitation. La jouissance arrive à la vitesse de chevaux au galop. Je la sens me parcourir, brûlante, dense. Elle arrive, ma respiration est comme suspendue, mon cœur s’emballe, je ferme les yeux, tous mes sens sont au maximum, ivresse du plaisir. Mon membre se gonfle, se durcit, prêt à exploser. Me retenir, je dois encore essayer de me retenir.
Elle le sait, le sent, me regarde, admire son œuvre. Au dernier moment, juste avant la délivrance, elle passe goulûment sa langue et ses lèvres sur ce gland prêt à rompre et l’enfourne, le voulant dans sa bouche pour en récolter et savourer tout le nectar.
Ce dernier traitement est l’élément déclencheur, le point de rupture, de non-retour. Au fond de cette bouche, je jouis. Sur cette langue, je me répands, dans un râle de soulagement et de plaisir, goûtant jusqu’à la quintessence chaque élément de cette jouissance. La chaleur de sa bouche, le contact de sa peau douce et tiède, ce parfum si enivrant de l’amour, ce goût âpre au fond de ma bouche après l’excitation, cette sensation de vertige et de plénitude.
Elle me relâche, se relève, me fixe, les yeux encore gourmands. Se rapproche pour un baiser, du bout des lèvres comme un remerciement. Elle me prend par la main et m’entraîne vers la chambre…
Arrivés sur le pas-de-porte, il la retient, et l’attire contre lui. Avance sa main et la saisit doucement par la nuque pour l’approcher de lui. S’empare de sa bouche dans un baiser passionné, un tourbillon vient de les emporter. À nouveau, le temps s’arrête. Il n’y a plus que des lèvres brûlantes, des langues assoiffées de douceur, deux corps enflammés par le désir.
Sans quitter sa bouche, il la soulève et la prend dans ses bras. Elle noue ses bras autour de son cou. En quelques enjambées, il est au bord du lit. Dans un dernier baiser léger, il se sépare de ses lèvres, la regarde et lui murmure : je t’aime mon ange.
Elle ferme les yeux et se délecte de ses paroles. Délicatement, il la dépose sur les draps. De son regard, il parcourt ce corps tant de fois imaginé et désiré. Il l’aime et ce soir elle sera enfin à lui, il va pouvoir la faire sienne corps et âme, ensemble ils ne feront plus qu’un. Un seul être pour l’éternité. Il ne peut détacher son regard de son corps et elle le regarde amoureusement.
Elle lui tend la main pour qu’il se rapproche. Il pose un genou à côté d’elle et délicatement laisse ses doigts explorer sa maîtresse, il la caresse longuement, laissant ses mains découvrir la douceur de sa peau, cette douceur qui le rend fou de désir. Le désir les rattrape, devient de plus en plus puissant, telle une déferlante. Témoin de ce renouveau, son membre a repris de l’ardeur et se dresse fièrement.
Ce petit détail ne lui a pas échappé, aussi elle écarte les cuisses telle une invitation à laisser leurs corps fusionner pour la première fois. Il la pénètre avec lenteur et douceur, ils se regardent, pour ne jamais oublier ce moment magique, indélébile. Il le leur appartient pour toujours désormais.
Il peut maintenant accélérer le mouvement, ses va-et-vient leur font pousser de petits gémissements de plaisir. Sous cette délicieuse cadence, son dos se cambre contre celui de son amant, offrant à ses yeux, ses seins fièrement dressés sur ce bel arc de cercle.
Elle pose ses mains sur ses épaules, il la relève, et l’attire contre lui. Elle veut le sentir au plus profond d’elle. Assise sur lui les jambes retenant son bassin prisonnier, il la pénètre jusqu’à la garde. Elle contracte ses parois autour de son sexe et ondule du bassin pour accentuer la caresse de ses seins contre son torse.
Leurs souffles mêlés s’accélèrent, leur jouissance arrive en même temps, ensemble ils savourent ce moment de plénitude totale, de bonheur intense. Ensemble ils se laissent retomber sur les draps froissés, savourant ce moment, la nuit leur appartient, et sera longue à n’en pas douter…
Le sommeil dans ses limbes les accueillit, de sa douce torpeur les enveloppa. Morphée, déesse des songes les accompagna au royaume des désirs…
Les lueurs du jour me réveillèrent. Ma belle dort toujours, son visage est radieux, son corps un hymne à l’amour. Je me dirige vers la cuisine, ouvre le frigidaire pour y trouver une boisson. La fraîcheur me fait du bien, m’envahit, me redonne énergie, force et vigueur. Accompagné de ma canette, je retourne dans la chambre, m’asseyant dans le fauteuil, face au lit.
D’ici, j’ai une vue imprenable sur les charmes les plus intimes de ma belle. Sur ses rondeurs qui nous attirent, sur son intimité, lisse et douce qui, grâce à l’une de ses jambes légèrement relevées, me permet d’admirer les moindres recoins, invitation à les découvrir de plus près.
Comment d’ailleurs résister à une telle invitation ? La chair appelant la chair, je me lève. Je pose délicatement mes lèvres sur ces chevilles et commence une lente ascension vers ce joyau. Mollet, cuisse, j’avance, me rapprochant inexorablement du but. Déjà les effluves, senteurs charnelles, émanation de l’amour m’ensorcellent, m’envoûtent, m’obligeant à me faire violence pour me pas de suite envahir ma proie. Ma bouche avance et c’est alors que mes yeux l’aperçoivent, le fixent, captivés, hypnotisés.
Ma langue s’avance, cherchant d’abord à goûter, à découvrir cet antre secret, pour l’instant oublié. La dame frémit, mais ne semble pas interdire. Enhardi, j’avance un doigt, délicatement passé entre mes lèvres afin de mieux pénétrer cet endroit. C’est doux, c’est chaud, ça palpite, c’est vivant.
Les frémissements donnent lieu à des petits gémissements. Ma belle est réveillée et semble apprécier. Alors commence un travaill de va-et-vient et de l’autre main un travail identique de deux doigts pénétrant l’antre jumeau.
Le rythme s’accélère, les gémissements augmentent, elle rapproche sa jambe, soulève sa croupe, l’invitation est plus qu’évidente, de mes doigts je la pénètre. De mon membre, dressé, je m’introduis maintenant dans cet étroit passage. C’est chaud comme une fournaise, serré, les palpitations de cet anneau à lui seul donnent du plaisir.
J’agrippe ses hanches et commence de longs mouvements sortant presque à chaque fois, entrant jusqu’à la garde d’un coup sec, cherchant le plaisir maximum, les sensations les plus fortes…
Les paupières presque closes, elle le regarde l’observer, il est assis là, le sexe déjà dressé et gonflé. L’envie de continuer de la découvrir se lit dans ses yeux, il ne peut cacher son désir pour elle.
Elle le voit s’avancer, mais ne bouge pas, elle attend, les sens en éveil. Tout son être l’attend avec cette terrible impatience des nouveaux amants jamais rassasiés d’amour et de tendresse.
Elle ferme les yeux, elle veut savourer chaque seconde passée avec lui, laisser la passion la guider, la magie opérer.
Cette bouche si douce et si chaude est un délicieux supplice, elle doit résister à l’envie de bouger et de l’attirer à lui. Son désir est présent, tel un petit démon prêt à sortir de son antre. Elle se concentre et se délecte de ses divines caresses.
Elle sent sa langue, pénétrer un endroit secret, mais…
Osera-t-il ou n’osera-t-il pas ?
Oui il a osé, quelle exquise sensation que de le sentir dans son tunnel secret. Une première onde de plaisir vient de l’envahir. Tel un cadeau, elle veut lui prouver son amour et lui offrir cette première fois, le laisser découvrir une nouvelle sensation, une nouvelle jouissance.
Elle lui présente sa croupe en forme de cœur et il la pénètre d’un coup, lui provoquant une brûlure vive, suivi d’une sensation de plénitude et d’un bonheur total.
Il la prend avec force, elle vibre. Elle pousse des petits gémissements, et lui des râles, mais tous deux expriment un plaisir indescriptible.
Leur jouissance est proche, elle lèche deux de ses doigts et les glisse en elle, non seulement pour son propre plaisir, mais pour le caresser à travers cette fine paroi qui les sépare. Il enfonce ses doigts dans la chair blanche de ses hanches et accélère le mouvement, elle aussi.
L’apothéose est proche maintenant. Elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas hurler son plaisir. Un raz-de-marée vient de les emporter.
Elle sent une douce chaleur se répandre en elle. Leur jouissance est si intense, que les spasmes de l’orgasme lui font cambrer le dos, il en profite pour caresser ses fesses et laisser errer sa bouche sur ce dos ainsi offert…
Mon sexe continue à palpiter à l’intérieur de ses reins, dont l’anneau m’enserre, se contractant par saccade, accentuant les délicieuses sensations liées à la jouissance !
Je me retire et dépose un baiser sur la fesse droite.
Direction la salle de bains, une bonne douche pour réveiller son homme me fera du bien.
La sonnette de la porte d’entrée retentit. J’entends les pas de ma belle, une porte qui s’ouvre et se referme.
Quelqu’un est entré dans la salle d’eau, mais la buée sur les parois m’empêche de la distinguer correctement.
Je me tourne et continue à me laver, sifflotant un air de Glenn Miller. Un courant d’air frais s’introduit, quelqu’un est rentré dans la cabine.
Des mains se posent sur mes yeux, une bouche près de mes lèvres me demande de ne pas faire de bruit. Elle commence alors à m’embrasser dans le cou, ses mains se trouvant maintenant sur mes hanches.
Je sens les pointes de ses seins me caresser le dos, me provoquant mille frissons.
Une troisième main me caresse le torse. Une troisième main ? Un doigt sur ma bouche me signifie le silence, une voix pleine de désir me demande de garder les yeux fermés.
Ma première inconnue continue à m’embrasser, descendant le long de ma colonne, caressant maintenant mes fesses.
La seconde est passée devant moi, a posé mes mains sur le mur et commence à jouer avec mes tétons de sa langue, de ses doigts.
Ces doubles sensations me provoquent une érection de tous les diables. L’une est ma belle, mais qui est l’autre ?
Celle se trouvant derrière moi, me mordille les fesses et a passé une main entre mes cuisses, caressant du bout des ongles mes bourses et la base de mon sexe, cherchant à l’exciter encore plus.
Une langue jouant avec ma poitrine, une main est descendue caresser du bout des ongles le reste de mon membre, s’attardant particulièrement sur mon gland.
Je suis au bord de l’explosion. Ses délicates caresses couplées à ces baisers, me procurent d’énormes vagues de plaisirs, excitant au plus au point.les ongles qui s’occupaient de mon gland, maintenant le cajole par des légers gestes sous celui-ci.
Je ne vais plus tenir longtemps, ma respiration s’est transformée en soupirs, de soupirs en râles. Me sentant arriver, mes douces inconnues, me tournent afin que chacune puisse être face à moi, délaissant ainsi totalement mon membre et mes bourses de leurs mains.
Instant d’attente et d’hésitation, vite fini.
Je sens une bouche goûter mon sexe en érection bientôt rejointe par une deuxième. Elles sont en train de s’embrasser, je sens leurs langues jouer sur moi, sur mon gland. C’est bon, c’est trop. C’est un feu d’artifice de sensations, je ne peux plus rien faire, je crie grâce !
Je me répands dans ces bouches, sur ces langues, sur ces lèvres, qui se délectent de ce nectar, n’en laissant rien échapper. Je suis vidé, la tête me tourne. J’ai besoin de me tenir au mur pendant que mon esprit vagabonde.
Quand je retrouve mes esprits, je suis de nouveau seul.
Je regagne la chambre une fois séché. Un sublime spectacle m’y attend.
Les belles sont ensemble, sur le lit…..
Elle le savait. Deux femmes pour lui était le plus grand de ses nombreux fantasmes. Elle avait décidé de lui offrir ce cadeau-là ce soir. Cette première rencontre se devait d’être inoubliable, elle l’était certes, par la magie de cette passion et de cet amour sublime qui les animait tous les deux.
Aussi, elle avait demandé à sa compagne occasionnelle de jeux, de bien vouloir venir les rejoindre.
Il avait apprécié le petit jeu de la douche, et à n’en pas douter que pendant encore longtemps il essaierait en y repensant fortement, de deviner ou se trouvait sa belle durant ce petit intermède.
Elles l’avaient laissé dans sa douce torpeur, les jambes encore chancelantes, visiblement l’attention lui avait plu.
Elle avait découvert depuis quelques mois seulement les plaisirs charnels féminins. Elle avait rencontré Eve dans une boutique très connue de lingerie, Eve l’avait très bien conseillée et avait joint beaucoup de douceur pendant les essayages en cabine.
Ces effleurements avaient réveillé chez elle des envies encore jamais connues.
Du coin de l’œil, elle l’aperçut qui les observait, mais Eve n’avait encore rien remarqué et continuait de dévorer avec appétit sa poitrine. Léchant ses aréoles, agaçant et jouant avec ses tétons tendus. Il pouvait les voir se faire engloutir par cette bouche gourmande, et voir sa belle gémir de plaisir.
Sans faire de bruit, il partit s’asseoir sur le banc devant la fenêtre, de là, il avait une belle vue sur les deux jeunes femmes, mais aussi sur le reflet de leurs sexes dans le miroir face au lit.
Eve dévorait le ventre de sa belle, il voyait cette bouche et ces dents descendre lentement vers le sexe de son amante, et son sexe se mit à dresser de plus belle sous la serviette qu’il avait nouée autour de sa taille.
Eve était à quatre pattes au-dessus d’elle et dans le miroir, il pouvait apercevoir son sexe ouvert et luisant, ainsi que les deux doigts qu’elle s’était introduits.
Elle écarta ses jambes pour laisser le passage à la tête d’Eve. Elle voulait se faire dévorer le sexe par cette mante religieuse, elle voulait qu’elle l’envoie au 7ème ciel comme dans la cabine d’essayage.
Eve ne se fit pas prier et fondit sur sa proie, tel un vautour. Elle aspira ce petit bouton rose l’étira entre ses dents et le mordilla. Il pouvait voir le désir se lire sur le visage de sa belle, et l’entendre gémir de plaisir. Eve retira ses doigts de son intimité luisante et les fit lécher à sa maîtresse, puis les introduisit en elle d’un coup.
Lui arrachant un petit cri de surprise.
Sa belle était cambrée contre ce visage de femme, elle se caressait avec ardeur, se pinçant les mamelons entre son pouce et son index. Elle avait la tête rejetée en arrière et se passait la langue sur les lèvres, et se mordillait la lèvre inférieure pour ne pas crier.
Eve entrait maintenant trois doigts, les ressortait, les rerentrait, les faisant tourner à l’intérieur de ce tunnel gluant et dégoulinant de liqueur sucrée-salée. De son autre main, elle faisait glisser son index et son majeur de chaque côté de ses doigts, les enfonçant entre les petites et les grandes lèvres. Cet endroit si doux.
Il pouvait admirer le spectacle sous tous ces angles, il agrippa son sexe et commença à se masturber devant ce spectacle, il voulait jouir en même temps que sa belle. Il la fixait, détaillant la moindre de ses expressions. Elle allait jouir et lui était sur le même chemin de l’extase.
Eve sentit que son amante allait venir, elle activa le mouvement de va-et-vient, délaissant ces lèvres humides et fit pénétrer un doigt dans l’antre secret.
Un grand râle se fit entendre dans la chambre. Un cri venant du plus profond de leur être, un cri de jouissance sans précédent…
Ce spectacle était magnifique, féérique. Pour moi rien n’est plus beau que le corps de deux femmes se donnant du plaisir. Leurs corps enchaînés, glissant l’un sur l’autre, soulevés par les spasmes du plaisir, jouissant à l’unisson.
Mon excitation était à son paroxysme et je devais rapidement me soulager, mais je ne pouvais pas décemment troubler ce spectacle, cette union parfaite, ces deux amantes en pleine fusion.