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n° 10142Fiche technique11006 caractères11006
Temps de lecture estimé : 7 mn
13/02/06
Résumé:  Rencontre avec une femme plus âgée
Critères:  fh fplusag hotel voir lingerie pénétratio
Auteur : Gildwenn  (Histoire vraie)      
L'expérience a parlé

Voici une histoire qui m’est arrivée début 2001, il y a cinq ans déjà. Avant tout, une petite présentation s’impose : j’ai maintenant trente-deux ans, assez grand (un mètre quatre-vingt deux pour être précis) brun, les yeux gris-vert pour soixante-dix kilos. J’ai fait le choix, il y a quelques années déjà, d’être végétarien pour des raisons trop longues à dévoiler ici et qui sont sans intérêt pour notre histoire. J’habite une très jolie commune du golfe du Morbihan. Ingénieur dans le milieu de la santé, je suis régulièrement des séminaires.


Mon employeur me demande un jour d’assister à un congrès qui se déroule à Rennes, sur deux jours.

Nous sommes une petite vingtaine de personnes. Comme d’habitude, je suis de loin le plus jeune. À l’heure du déjeuner, un restaurant nous est réservé. Malheureusement, du fait de mon régime alimentaire, je ne trouve rien sur la carte qui puisse me convenir. Je m’éloigne donc du groupe pour trouver un restaurant en adéquation avec mon régime.


C’est alors que j’aperçois une femme qui s’est éloignée du groupe, elle aussi. Je la rattrape et lui demande si elle fuit le groupe, ou si le restaurant ne lui convient pas. Elle me répond qu’elle est végétarienne et que rien ne lui convient. Surpris de trouver quelqu’un -ce n’est pas si fréquent- qui soit végétarien comme moi, je lui propose de déjeuner ensemble. Après quelques errances dans cette ville de Rennes, nous trouvons un restaurant à notre goût. Durant le repas nous discutons notamment de notre choix de devenir végétarien, mais aussi de nos métiers, et de choses et d’autres…


J’en profite pour la détailler : une petite quarantaine, une taille proche du mètre soixante, assez fine mais pas maigre, brune aux yeux marrons, une petite poitrine qu’elle porte très bien ainsi que des lunettes à la monture très fine. Elle porte, comme beaucoup de femmes à ces réunions, un tailleur noir mais pas trop strict et une jupe assortie qui lui arrive au-dessus des genoux. Elle se prénomme Geneviève. Elle est très intéressante et très cultivée. Notre discussion va bon train. Puis arrive l’heure de retourner dans la salle pour le reste de l’après-midi.


Les trois heures de conférence, bien qu’instructives, me semblent pourtant longues. À la sortie, elle vient me voir pour me proposer de dîner ensemble. J’accepte volontiers. Nous convenons donc de nous rejoindre à dix-neuf heures trente devant le petit restaurant plutôt agréable que nous avions découvert pour le déjeuner. Je rentre à l’hôtel, en profite pour me doucher et passer quelques coups de téléphone. Dix-neuf heures trente : j’arrive au restaurant, elle est déjà là, toujours habillée de la même façon.


Le dîner se passe très bien, un peu arrosé ; la discussion va bon train et prend une tournure plus personnelle. J’apprends qu’elle a quarante-deux ans. Divorcée depuis deux ans, elle a deux enfants de sept et douze ans. Vingt-trois heures arrivent et le restaurant va fermer. Ravie de notre discussion et voulant la prolonger, elle me propose alors d’aller prendre un verre dans un bar de la ville. Nous voici donc partis pour trouver un endroit où poursuivre notre conversation.


Malheureusement, après une demi-heure à tourner, nous ne trouvons pas de bar pouvant nous convenir : trop de monde, trop bruyant ou mal fréquenté. Je lui propose donc de prendre un verre au bar de mon hôtel. Malheureusement celui-ci est lui aussi fermé. Sans arrière-pensées, je lui propose en dernier recours, vu que nous sommes dans le hall de mon hôtel, le mini bar de ma chambre. Elle accepte volontiers.

Une fois dans la chambre, je lui propose de s’asseoir sur le bord du lit et je prends place pour ma part sur la chaise en face d’elle. Un verre à la main, nous reprenons notre conversation sur son célibat depuis deux ans. Elle m’explique que depuis cette période, elle n’a pas eu d’hommes mais qu’elle compense avec son travail et ses enfants.


De là où je suis, je m’aperçois à la faveur d’un croisement de jambes qu’elle porte une paire de bas. Dès lors, différentes idées assez torrides me traversent l’esprit. Je lutte pour ne pas descendre mon regard et me concentrer sur notre conversation mais volontairement ou pas -sa position est sans doute inconfortable- elle croise et recroise les jambes fréquemment.


Je jette de nouveau un regard sur ses fines jambes. Je peux voir le haut de ses bas et la couture en dentelle ainsi qu’un peu de sa peau. Je suis assez troublé par cette vue. Ne sachant si c’est volontaire ou pas, je lui dis alors en rougissant un peu :



Elle rougit à son tour voyant mon trouble et balbutie :



C’est alors qu’elle écarte lentement les jambes pour me faire découvrir encore plus en détail ses jolies jambes, sa paire de bas et sa culotte noire.



Sans répondre, je me lève et l’embrasse tendrement. Elle me rend mon baiser et m’avoue qu’elle ne se reconnaît pas, qu’elle n’a pas l’habitude de faire cela mais qu’elle est très excitée par son comportement. Le rose de ses joues confirme son excitation.



Je lui réponds que je suis moi aussi très excité et l’allonge sur le lit. Je couvre de baisers ses lèvres et sa bouche. Mes mains caressent ses cheveux et ses joues. Ses mains ne sont pas en reste et caressent mes cheveux et mon dos. Un frisson la parcourt quand mes mains glissent sur son cou et le haut de sa poitrine. Lentement, en accompagnant mes gestes par de tendres baisers, je déboutonne son chemisier pour faire apparaître un joli petit soutien-gorge noir. Mes mains parcourent un peu sa poitrine puis descendent lentement sur son ventre par de petites caresses qui semblent l’électriser.


Je la redresse alors pour lui retirer son chemisier et son soutien-gorge. Sa poitrine est petite, mais charmante. Des petits baisers et de chaleureux coups de langues ne tardent pas à faire pointer ses petits tétons. J’entends son cœur battre très fort dans sa poitrine. Sa respiration s’est passablement accélérée au point de distinguer de petits gémissements. Tout en continuant de couvrir son ventre et ses seins de baisers, mes caresses descendent nettement pour atteindre son genou. Du bout des doigts, je remonte alors le long de sa cuisse, et m’attarde un peu sur la lisière de ses bas. Puis je repousse lentement sa jupe vers son ventre ce qui lui provoque alors plusieurs frissons. Je recommence cette opération à plusieurs reprises me rapprochant un peu plus de son sexe à chaque caresse. Elle tressaille, de plus en plus.


La première caresse du bout des doigts sur le tissu de sa culotte lui fait courber le dos et gémir assez fort. Puis mes caresses se font plus prononcées sur sa culotte que je sens vraiment trempée. Ma bouche et mes baisers quittent alors son ventre pour descendre sur le haut de ses cuisses. Une odeur assez forte de mouille me parvient. Je lui retire sa culotte non sans couvrir ses cuisses de baisers. Elle me prend alors la tête pour m’attirer vers elle. Elle m’embrasse vigoureusement, retire ma chemise puis ma ceinture, abaisse mon pantalon et mon caleçon, et libère enfin mon sexe :



Elle empoigne mon sexe, le dirige vers sa vulve. Je la pénètre doucement. Mon sexe entre sans problème tant elle est excitée. Je commence lentement -car je suis moi aussi très excité et je veux durer le plus longtemps possible… Je commence lentement un va-et-vient en position de missionnaire tout en l’embrassant fougueusement. Son sexe est vraiment bouillant et je le sens vibrer. Elle tourne la tête et gémit de plus en plus fort. Je sens mon désir monter. Pour ne pas céder à ce délicieux moment, je me retire et lui demande de se tourner sur le côté. Allongé derrière elle, je lui relève la jambe et la pénètre de nouveau. Ma bouche lui embrasse la nuque et le lobe des oreilles, une main lui caresse les seins et l’autre lui titille le clitoris.


Son corps tout entier vibre sur mon sexe. Je sens que mes caresses vont la faire exploser. Je les accentue encore… Je la sens vibrer encore plus violemment en poussant des gémissements encore plus forts. Je ne peux pas résister plus longtemps, je la rejoins dans un orgasme fulgurant et me vide complètement en elle. Son corps vibre à chacune de mes décharges.


Nous restons un long moment ainsi, à reprendre notre souffle et nos esprits. Après quelques baisers langoureux et une petite toilette d’usage, nous nous allongeons dans le lit, repus. Elle se blottit contre ma poitrine et m’avoue avoir pris un plaisir énorme, qu’elle n’a pas connu depuis des années, et qu’elle se sent à nouveau femme.



*****



Elle s’endormit la tête sur mon épaule. Le lendemain, nous fûmes réveillés par la sonnerie du réveil pour la deuxième journée de congrès. Difficile de quitter la chambre et ce lit, ainsi que toute la tendresse et la sensualité qui s’en dégageaient. Tellement difficile que nous avons décidé de ne pas y aller, pour profiter encore de ces moments.


Nous avons refait l’amour toute la journée ou presque. Elle me fit profiter de ses seize années de mariage, d’expérience. Et nous mîmes tout son savoir-faire et ma jeunesse en commun pour prendre un plaisir extraordinaire.

Le soir nous nous sommes quittés non sans regrets en promettant de s’appeler et peut-être de nous revoir, ce que nous n’avons jamais fait.


J’ai gardé de ces vingt-quatre heures d’amour avec Geneviève un souvenir impérissable. Je compris par la suite que j’étais très attiré par les femmes plus âgées que moi.


Maintenant, je vis avec une femme de mon âge mais il m’est arrivé et il m’arrive encore à l’occasion d’avoir de nouveaux moments d’amour ponctuels avec des femmes plus mûres.


J’aime ressentir leur expérience et plus encore, j’aime leur donner du plaisir. Je trouve leur maturité et leur expérience particulièrement désirable. Offrir du plaisir et de la jouissance à une femme plus âgée est pour moi une fierté énorme.