n° 10144 | Fiche technique | 24023 caractères | 24023Temps de lecture estimé : 14 mn | 14/02/06 |
Résumé: Un homme rate le dernier Métro... Un enchaînement d'étranges évènements se produit. | ||||
Critères: fh asie volupté cunnilingu pénétratio conte | ||||
Auteur : Jean-Marc Manenti (Épicurhyen convaincu) Envoi mini-message |
Une sourde rage monta en moi, mon cœur cognait fort dans ma poitrine, tous ces efforts pour, au final, manquer le dernier métro !
Les lumières de la dernière rame disparaissaient dans le boyau obscur. Il s’en était fallu d’un cheveu ! Je m’assis sur un banc pour reprendre mon souffle. La station était presque déserte, des équipes de surveillance ou de nettoyage investissaient peu à peu l’endroit. J’en avais plein le dos, j’avais passé une journée de merde, qui avait fini par une interminable réunion de merde ! Mon rythme cardiaque revenu à la normale, je me levai pour remonter à la surface et rentrer en taxi quand j’eus la surprise de sentir la terre trembler sous mes pieds et d’entendre le grondement caractéristique d’une rame qui arrive en station. Impossible ! J’ai la berlue ou quoi ? Effectivement, une rame de métro arriva dans un bruit de freins malmenés et s’arrêta. Sans me poser de question, je montai par la première porte qui se présentait à moi. Pourtant, ma montre et la pendule murale indiquaient la même heure ! J’étais pourtant certain d’avoir raté le dernier Métro ! Après tout, tant mieux !
Les fesses en marmelade à cause d’une position assise prolongée par l’interminable réunion, je décidai de rester debout et m’agrippai à un poteau. Un coup d’œil aux alentours pour me rendre compte que la rame était totalement déserte. Le signal sonore nous avertissant de la fermeture des portes raisonna dans mon crâne. Quelqu’un monta précipitamment. Comme d’habitude le démarrage fut brutal et la jeune fille n’eut que le temps de saisir le même poteau que moi pour éviter la chute. Elle me heurta, se remit sur pieds et tourna son visage vers moi pour s’excuser dans une langue que je ne compris pas. D’un signe de tête et d’un sourire intimidé je lui fis savoir que ce n’est rien.
Que s’est-il passé ? Impossible de l’expliquer. À l’instant où elle posa ses yeux bridés sur moi, je fus complètement subjugué. Quelque chose s’alluma dans mon subconscient qui me disait que, dorénavant, rien ne serait plus pareil. Elle ne devait pas mesurer plus d’un mètre soixante, le visage légèrement ovale, les cheveux longs, noirs avec des reflets roux ou violets selon sa position sous les néons. Elle avait un petit nez, de jolies pommettes, une bouche bien dessinée. De son visage souriant émanait une sorte de calme et de sérénité naturelle. Cette magnifique créature était vêtue d’un tee-shirt qui moulait une poitrine menue, et d’un blue-jean de bonne facture. Ses pieds, tout aussi petits que le reste, étaient chaussés d’espadrilles. Je sus que, même si elle descendait à la prochaine station, je n’oublierai jamais cette fille du soleil levant.
En fait, nous sommes restés seuls à nous observer en catimini pendant trois stations. Je n’essayais pas de converser avec elle, j’avais trop peur de l’effrayer et de la voir s’enfuir en courant. J’eus juste le courage de pointer un index vers moi en disant mon prénom. Elle en fit autant et j’appris qu’elle s’appelait Morahia.
A la quatrième station, elle me fit un signe de tête pour me saluer et, avec la souplesse d’une chatte, descendit sur le quai. Mes entrailles se crispèrent, je ne voulais pas la perdre ! Non, pas tout de suite, pas comme ça !
Une fois sur le quai, elle se retourna pour me lancer un regard appuyé, puis, voyant que je ne sortais pas là, tourna les talons. En deux enjambées, je bondis hors de la rame en manquant de me faire coincer dans les portes qui se refermaient. Là-bas, c’est elle ! Oui, c’est bien elle qui monte les escaliers. Je l’observai de loin en la suivant. Nous nous retrouvâmes dehors à l’air frais. Les rues étaient presque vides à cette heure-ci, d’ailleurs, je ne me souciai même pas de savoir où j’étais. Je ne quittai pas sa silhouette des yeux. La belle asiatique se mouvait avec une infinie grâce. J’accélérai le pas quand elle tourna au coin d’une rue, lorsque je débouchai au carrefour, Morahia avait disparu. Je fis quelques pas, le cœur battant de rage et entendit le bruit d’un trousseau de clefs qu’on manipule. Je tournais la tête… Elle était là, en train d’ouvrir une grille de fer forgé.
Lorsqu’elle m’aperçut, son visage s’éclaira d’un large sourire, découvrant ainsi de superbes dents qui me firent penser à des perles de nacre. Je m’avançais vers elle et, comme elle tenait le portillon, j’entrai. De temps à autre, elle me lançait un regard plein de douceur, accompagné de son éternel et apaisant sourire. D’un geste gracieux, Morahia m’invita à entrer chez elle.
Elle me fit asseoir dans un confortable fauteuil, me servit un petit verre de saké. Elle déposa devant moi un long kimono bleu marine orné de dragons en me désignant un paravent, puis s’absenta. Lorsqu’elle revint, quelques minutes plus tard, elle était aussi vêtue d’un kimono chamarré aux couleurs vives. Il était en soie à larges manches, il moulait son corps comme une seconde peau, mettant ainsi en valeur toute sa féminité. C’est comme ça que je remarquai qu’elle était nue dessous. Morahia s’inclina légèrement et me fit signe de la suivre, nous passâmes dans la pièce d’à côté et prîmes place sur un tapis rectangulaire, l’un en face de l’autre, dans la position du lotus. Tandis qu’elle préparait du thé, je parcourais la pièce des yeux, il y régnait une semi-pénombre où brillaient ça et là les têtes rougeoyantes de quelques bâtonnets d’encens qui diffusaient un agréable parfum de jasmin. Je dégustai donc du thé aux arômes subtils en compagnie d’une jeune asiatique que je ne connaissais même pas, mais qui exerçait sur moi une attirance contre laquelle je ne voulais même pas lutter. Pendant la dégustation du divin breuvage, je pus l’admirer tout à loisir. Tout, dans sa gestuelle et dans l’expression de ses traits respirait une douceur sensuelle, le calme et la sagesse. À ce moment-là, je me dis que, lorsqu’elle hantera mes pensées, je me parlerai d’elle en l’appelant "Ma fleur de lotus"… Ou plutôt "Mon sage lotus." Voilà un titre qui lui allait comme un gant.
Une fois le cérémonial du thé achevé, elle m’invita à la suivre vers le fond de la pièce où je découvris une sorte de lit bas. Sous mes yeux hypnotisés, Morahia dénoua sa ceinture et fit doucement glisser son kimono vers le sol pour paraître nue devant moi. Elle ne portait aucun bijou, ni même le moindre maquillage. La douce lumière émise par les bougies et les lampions faisait ressortir toute la sensualité du corps à la peau ambrée de la jeune Coréenne. Ce jeu d’ombres et de lumières mettait en valeur les traits fins de son visage, la rondeur de ses seins menus et fiers, les courbes voluptueuses de sa taille et de ses hanches, le galbe de ses cuisses, le renflement de son mont de Vénus couvert d’une fine toison aussi noire que ses cheveux. J’avais envie de me mettre à genoux devant tant de beauté et de sensualité. Le feu du désir embrasa mon bas-ventre, une sorte de crampe crispa mes entrailles, les muscles de mes jambes donnèrent quelques signes de faiblesse.
Timidement, je tendis une main vers son visage pour écarter une mèche de cheveux. Je le parcourais du bout de mes doigts, tournai autour de ses yeux bridés, glissai vers le cou et voyageai sur ses épaules et la naissance de ses seins. Pendant ce temps, sans que je m’en aperçoive, elle avait dénoué le nœud de la ceinture de mon kimono et fait glisser celui-ci vers le sol. Alors qu’elle m’entourait de ses bras pour se lover contre moi, je pus m’enivrer du parfum de ses cheveux, des senteurs de sa peau douce et chaude. Ma bouche glissa sur sa joue, puis nos lèvres se rencontrèrent. Nous échangeâmes plusieurs longs baisers brûlants, fouillant mutuellement nos bouches sans aucune retenue. À bout de souffle, nous nous séparâmes et la jeune fille posa sa tête contre ma poitrine. Tandis que je massai tendrement son épaisse chevelure à deux mains, elle caressait mes flancs en me parlant doucement. Elle planta brièvement ses yeux dans les miens et j’étouffai son petit rire en l’embrassant avec gourmandise.
Ma sage fleur de lotus m’entraîna vers sa couche et commença alors un long ballet de nos mains sur nos corps brûlants de désir. De mes doigts, de mon nez, de ma langue et de mes lèvres, j’explorai son corps dans les moindres recoins. Je me délectai de son odeur de fille, je me régalai du goût de sa peau soyeuse, je festoyai de ses petits seins si durs, de ses tétons érigés, je me laissai porter par la houle de ses hanches qui bientôt, son intimité survoltée par les assauts de ma langue, se transforma en voluptueuse tempête de plaisir. Même mes oreilles eurent droit à ses gémissements de jouissance, véritables chants de sirène. Au paroxysme de son orgasme, ma sage fleur de lotus inonda mon visage de son nectar de fille. Je m’en délectai avec lenteur, avec une sorte de vénération pour cette rare liqueur que même Zeus n’avait pas goûtée.
Je laissai la belle Morahia reprendre son souffle et ses esprits allongée contre moi. J’en profitai pour caresser son visage, et aussi pour couvrir son front, ses yeux et ses joues de tendres baisers. Enfin, en me gratifiant d’un sourire mutin, elle se mit sur le dos et écarta largement ses cuisses pour me faire comprendre qu’elle s’offrait à moi. Je fermais les yeux de béatitude lorsque j’entrais doucement en elle jusqu’au fond de son ventre. Ma queue était maintenant enserrée dans un fourreau chaud et palpitant. Ma sage fleur de lotus m’enveloppa de ses bras et de ses jambes, un peu comme une plante carnivore. Rapidement, le plaisir monta de mon bas-ventre pour se répandre dans tout mon corps. Je donnai un violent coup de rein pour exploser au plus profond de la jeune asiatique qui miaulait de plaisir.
Mais en même temps que ma semence se répandait par longues saccades dans son ventre, un minuscule point extrêmement douloureux naquit au milieu de mon cœur. D’abord tête d’épingle, la douleur grandit peu à peu. J’imaginais la fine lame de la dague qu’enfonçait Morahia dans mon thorax. C’est idiot, mais, tout de suite après m’être posé la question « pourquoi ? » et juste avant de sombrer dans le néant, je me dis que j’aurai préféré qu’elle me tue pendant que j’avais la tête entre ses cuisses. C’était sans doute mieux ainsi… Aurai-je eu le courage de vivre sans la rencontrer à nouveau ?
Une odeur de désinfectant et de propre me sauta brusquement au nez. Bouh ! Que mes paupières sont lourdes ! Bien, je n’étais donc pas en enfer ! Chez Satan ça doit plutôt sentir le souffre et les poubelles, non ? Bon, je vais ouvrir les yeux, il le faut !
La première image que je vis, fut un type en blouse blanche, debout au pied de mon lit, en train d’écrire sur un panneau en plastique qu’il refixa aux barreaux du lit. Pas de doute, je n’étais pas en enfer. Le Paradis ressemblerait donc à un hôpital ?
Il m’expliqua le pourquoi du comment et j’appris que ce traitement serait renouvelé tous les trois mois, sans doute jusqu’à la fin de ma vie. Mon séjour à la clinique ne dura que 48 heures. Tant mieux, j’étais impatient de me mettre sur la piste de la belle Morahia. Quand je pense que j’avais cru qu’elle me tuait… Faut dire, une telle crise à un tel moment… Y a qu’à moi que ça arrive !
Le soir même de ma sortie, je décidais de prendre le métro pour refaire le chemin. J’attendis qu’il fasse nuit, car c’est bien connu, on n’a pas la même perception des choses selon qu’il fasse nuit ou jour… Je comptai les stations et reconnu immédiatement celle où nous étions descendus. Je montai les escaliers et pris tout de suite à droite. Ici l’abribus avec la poubelle défoncée… Là, la borne à incendies… La petite place avec la fontaine… Et voici l’enseigne lumineuse bleue, faut prendre à droite… Voilà ! J’y suis ! J’hésitai un instant, puis m’avançai et sonnai… Pas de réponse… J’étais tout dépité et décidai d’attendre sur l’unique banc du mini-square d’en face. Un peu avant 23 heures, La belle asiatique arriva, son sac en bandoulière, les mains dans les poches de son blouson de cuir. Je n’arrivai pas à distinguer ses traits sous l’éclairage blafard du lampadaire. C’était elle, j’en étais sûr ! Tandis qu’elle sortait son trousseau de clefs, je m’avançai derrière elle.
La jeune fille se retourna vivement et m’examina, visiblement très étonnée.
Ses yeux se bridèrent un peu plus sous la concentration qu’elle mettait à m’observer et sans doute essayer de mettre un nom sur mon visage. Moi, j’étais estomaqué, elle parlait le français. Et pourtant… Ce visage, ces cheveux…
Tchen Li était vraiment troublée et émue, c’était évident.
J’eus un coup au cœur et tripotai machinalement la boîte d’Avlocardyl toute neuve au fond de la poche de mon pantalon. Toute la déco avait changé dans la maison, je devenais cinglé ! Oui, c’est ça, en fait, j’étais cinglé et je délirai !
Elle se débarrassa de son blouson et de ses baskets dans l’entrée, et m’invita à en faire autant. Quelques instants plus tard, nous nous retrouvâmes face à face, assis dans un fauteuil crapaud devant une Kro 1664 bien fraîche. Sans omettre un détail, je lui racontais ce qui s’était passé trois jours auparavant. Tout en parlant, je l’observais… Même visage de poupée, même chevelure noire et épaisse, mêmes petits seins fiers sous le tee-shirt… Même violent désir qui me tenaillait maintenant. Une fois mon récit terminé, Tchen Li reposa sa bière et sembla ailleurs pendant un court moment. Elle se leva et vint s’asseoir sur mon accoudoir.
La jeune fille posa sa main sur mon bras, l’air toujours aussi sérieux.
Complètement "sur le cul", je soulevais mon pull pour lui montrer les deux glaives qui se croisaient au-dessus de mon nombril.
Un large sourire éclaira son beau visage. Soudain pris d’une bouffée d’amour euphorique, sans crier gare, je la basculai en travers de mes genoux et lui soulevai son tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge.
Sans un mot, nous nous jaugeâmes du regard pendant un long moment.
Nos bouches se soudèrent pour un long baiser passionné. Nos langues se touchèrent, se caressèrent, s’enroulèrent l’une à l’autre. Je profitai de ce moment de volupté pour ouvrir le bouton de son jean et tirer sur le zip de sa braguette. Sans quitter mes lèvres, Tchen Li souleva ses fesses pour m’aider à descendre son pantalon. Je plaquai doucement ma main à la fourche de ses cuisses, sur sa fine culotte de soie. Elle était si fine, que je sentais les poils de son pubis au travers du tissu satiné.
Je la soulevai dans mes bras et la transportai jusque sur son lit. Tchen Li me tira par le bras et nous roulâmes sur sa couche. Nous nous embrassâmes à nouveau, en nous étreignant avec gourmandise et violence. Mes mains et ma bouche explorèrent sa peau parfumée et moite de désir. Elle appréciait mes caresses buccales sur ses seins et ses tétons tendus par l’envie amoureuse. J’embrassais et mordillais sa motte odorante au travers de sa petite culotte. La jeune asiatique la fit descendre d’un geste impatient, lorsque je goûtais son nectar de plaisir, j’eus à nouveau l’impression d’être Zeus lui-même. Avec une avidité sauvage, je lui dévorais littéralement la chatte. Son souffle court, ses halètements et ses gémissements me rendaient fou de désir. Alors que l’orgasme la terrassait, elle pressa mon visage contre son petit coquillage, inondant mon visage de sa liqueur de fille.
Pendant que Tchen Li reprenait ses esprits, je me penchais sur elle et caressais du bout de l’index les contours de son visage de poupée.
Tandis que j’ôtais mes vêtements, Tchen Li alluma des lampions et des bâtons d’encens tout autour du lit. Puis, elle s’assit dans la position du lotus entre mes jambes et versa dans sa main une crème onctueuse et en enduit tout mon pénis. Pendant cette opération, une douce mélopée sortait de sa bouche entrouverte. Par respect, je gardais le silence pour ne pas briser la solennité de cette sorte de cérémonie. Peu à peu, l’odeur du jasmin envahit la pièce. La jeune fille saisit ma main droite et versa un peu du gel sacré dans ma paume. D’un geste, Tchen Li m’invita à prendre sa place et, sans cesser de fredonner sa mélopée envoûtante, s’allongea. Je badigeonnais la fourche de ses cuisses puis, délicatement, écartai ses lèvres intimes pour enduire son puits d’amour. J’y mis toute la douceur dont j’étais capable pour ne pas briser son pucelage.
Une chaleur monta doucement de mon bas-ventre, se répandit dans tout mon corps et s’accentua rapidement pour se transformer en un ardent désir. Etais-ce le fameux gel sacré qui faisait cet effet ? La jeune asiatique semblait aussi en proie à un désir violent. Enfin, avec son merveilleux sourire, Tchen Li me tendit les bras et je me couchais sur elle. Elle m’entoura de ses jambes et de ses bras et cambra son bassin pour m’offrir sa fleur d’amour. Dès que mon sexe glissa entre ses lèvres intimes, Tchen Li et moi nous embrasâmes comme de la paille. Sa virginité fut emportée en un clin d’œil et je m’enfonçai jusqu’au plus profond de son vagin. Commença alors un corps à corps volcanique, sensuel, voluptueux. La jeune asiatique ondulait sous moi comme une mer agitée. Nos baisers étaient brûlants, nos corps fiévreux, mon plaisir explosa quelques secondes après le sien. Nous restâmes un long moment immobiles, épuisés, trempés de sueur. Tchen Li se lova contre moi et posa sa tête au creux de mon épaule. Je caressai ses cheveux en lui murmurant de tendres mots.
Je me redressai brusquement sur ma couche, en proie à une sorte d’angoisse dont je ne connaissais pas la raison. La pièce dans laquelle je me trouvais était plongée dans une quasi-obscurité. La lumière du jour filtrait au travers de minces fentes entre les lamelles des volets roulants. Je pus distinguer, à côté de moi, la silhouette de Tchen Li qui dormait paisiblement. Cette fois, ce n’était pas un rêve ! Ma montre indiquait 6 heures du matin. Mon regard fut attiré par le rougeoiement d’une brique d’encens qui finissait de se consumer sur une table basse. Tout à côté, trônait un cadre contenant la photo d’une vieille dame qui semblait me sourire avec une pointe d’ironie dans la pupille. Je reconnus tout de suite le kimono qu’elle portait…