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Temps de lecture estimé : 16 mn
02/03/06
Résumé:  Lors de mes premières vacances sans les parents, avec mon cousin, nous rencontrons deux allemandes.
Critères:  2couples fplusag jeunes vacances campagne noculotte fellation pénétratio
Auteur : Amenophis      
Premières vacances

Premières vacances sans les parents, le pied ! Obtenir l’accord et le financement n’avait pas été immédiat, mais finalement ça n’avait pas été si difficile que ça. Bien qu’encore étudiant, j’étais sorti de l’adolescence quand même ! Pour emporter la décision, j’avais sorti une dernière arme : on partait à deux avec mon cousin qui était plus âgé que moi de deux ans. Ce fut l’argument décisif. C’était paradoxal, parce que malgré ces quelques mois de plus, Jean Mi n’était pas plus sage que moi, et certainement moins « mûr ». Mais bon ! Les parents ont parfois des raisonnements surprenants… Sauf que lorsque vient notre tour d’être père ou mère, on est frappé d’amnésie et on se comporte de la même manière. Le plus difficile par contre, avait été de faire admettre que nous ferions le trajet en moto. La discussion avait été longue, mais finalement ça avait marché.

On s’était donc installés dans ce camping au bord de l’Ardèche. À l’époque, le tourisme était nettement moins développé qu’aujourd’hui dans cette région et c’était plutôt tranquille.

Deux jeunes gars en vacances, ça drague, bien sûr. Nous allions sur une petite plage au bord de la rivière et nous faisions ce que nous pouvions. Mais ce n’était pas facile parce que les filles qui étaient là, y étaient en famille. À cette époque, deux gars en vacances seuls, ça commençait tout juste, mais pour les filles, ce n’était pas encore gagné.

Nous avions donc fait quelques travaux d’approche, mais rien de bien excitant. Jean Mi avait réussi à flirter avec une petite blonde qu’il avait embrassée, un peu pelotée, mais dès qu’il lui avait mis la main dans le slip de bains, elle s’était débattue et il avait dû battre précipitamment en retraite. « La bibise d’accord ! Mais pour le reste pas d’accord ». Bref, au bout de 15 jours, on commençait à avoir les kiwis « comme des petits melons ». D’autant que par bravade de cousinage, nous voulions nous prouver l’un à l’autre que nous étions adultes, et que désormais seule une femme pouvait nous convenir. Pas question de recourir à la petite branlette qui soulage. Tu parles ! L’un comme l’autre, nos expériences de baise étaient si peu nombreuses, que si nous ne nous étions contentés de ça dans la vie de tous les jours, ça aurait été la misère sexuelle intégrale.



C’est comme ça qu’on est partis en moto dans les confins des montagnes ardéchoises. Nous sommes passés dans des chemins pas possibles, et vers midi, on s’est mis à chercher un village, un bistrot où trouver de quoi manger un sandwich. Rien ! Et finalement nous avons aperçu une ferme. Nous nous sommes approchés pour voir si c’était habité… Et nous les avons vues. Deux grandes femmes d’environ quarante ans, avec un air de famille. Toutes deux habillées d’une longue jupe ample de couleur marron et d’un corsage à petites fleurs qui semblait contenir de lourdes poitrines. « Si tu es blonde à forte poitrine… » Elles étaient blondes comme les blés, le cheveu un peu hirsute.



L’accent était germanique mais pas trop prononcé. On a posé les motos contre une barrière et on s’est approché en souriant un peu gauches.



Avant que nous n’ayons pu protester de quelque manière que ce soit, les deux femmes nous avaient entraînés vers l’arrière de la maison, sous un très vaste auvent qui devait leur servir de salle de séjour. Outre deux balancelles, il y avait une grande table de ferme et deux bancs. Pendant que l’une nous installait de part et d’autre de la table, l’autre disparaissait à l’intérieur de la maison pour revenir avec un plateau chargé de cochonnailles, de pain et d’une bouteille de vin.



Nous nous sommes attaqués aux pâtés et autres saucissons avec ardeur. Erika vint s’installer au bout du banc où j’étais assis et Sonia fit de même du côté où était mon cousin. Nous étions un peu gênés et ne savions que dire. Après quelques minutes de mastication, je remarquai que Sonia s’était rapprochée de mon cousin. Je vis Jean Mi s’arrêter de manger et déglutir avec difficulté. Je ne voyais pas ce qui se passait sous la table, mais le bras de la jeune femme était positionné de telle manière qu’elle était sans aucun doute en train de peloter l’entre cuisse de son voisin. Gêné, je me tournai vers Erika en souriant. Et… Je sentis le sang envahir mes joues. J’ai dû rougir comme une jeune fille. Jambes repliées, elle avait mis les deux pieds sur le banc qui était assez large, ce qui lui permettait d’écarter les genoux, découvrant que sous sa large jupe, elle ne portait aucun sous-vêtement. J’avais une vue imprenable sur sa chatte à la toison blonde, au milieu de laquelle un clitoris de bonne taille était largement étalé à ma vue. J’étais en pleine confusion. L’expérience venant, je sais désormais que ce genre position n’est jamais fortuit de la part de nos compagnes. Surtout lorsqu’un mâle louche outrageusement sur l’endroit en question. Mais à cette époque, j’étais encore bien naïf, et je n’avais aucune certitude sur le fait que cette exhibition soit délibérée. Avec effort, je reportai donc mon regard sur le visage de ma voisine. Son sourire était lumineux. Comme attirés par un aimant, mes yeux revinrent sur le sexe offert, et une bouffée de chaleur monta jusqu’à mes oreilles. Une violente érection durcit brutalement ma verge qui tendit instantanément le tissu de mon boxer-short. C’était si visible que la jeune femme s’en aperçu immédiatement.



Le reste de ma phrase resta coincé dans ma gorge. Tandis que d’une main elle avait tiré la ceinture de mon boxer vers le bas, de l’autre elle avait saisi ma bite qu’elle se mit à masturber doucement. Mon excitation était à son comble. Elle se pencha sur moi et, tout en continuant à faire monter et descendre sa main sur ma colonne, ses lèvres entourèrent la base de mon gland tandis que sa langue entamait un ballet endiablé sur le bout de ma verge. Dieu que c’était bon ! Ses cheveux caressaient doucement mon ventre. Sans cesser de me pomper le dard, elle prit mon boxer à deux mains et le fit glisser sur mes fesses. M’appuyant des deux mains sur le banc, je laissai glisser le tissu jusqu’à mes pieds. Débarrassée de mon vêtement, elle reprit ma bite en main et continua sa branlette, sans cesser de me sucer le gland. En moins de deux minutes, je sentis venir l’éjaculation. Elle s’aperçut aussi que j’étais prêt de jouir, car elle arrêta de me sucer et se redressa sans pourtant lâcher ma virilité. Elle me prit alors la main qu’elle amena en contact avec sa chatte que je trouvais trempée.



Instinctivement mes doigts s’introduisirent dans sa fente. Elle était gluante et toute chaude, ce qui eut pour effet d’augmenter encore mon excitation. Comme machinalement elle me masturbait à nouveau, mon éjaculation vint ! Irrésistible ! Une longue giclée s’échappa du méat et retomba sur sa main et sur mes cuisses. Mais elle réagit aussitôt en bloquant du pouce mon canal séminal.



Les secondes qui suivirent furent douloureuses, car j’avais vraiment les couilles pleines et ça poussait fort pour sortir. Je fermai les yeux, tétanisé. Je ne sais comment elle se débrouilla, mais elle réussit à m’enjamber et à introduire le bout de ma bite dans sa large fente bien lubrifiée avant de desserrer ses doigts. Mon éjaculation reprit son court. Violente, douloureuse. J’avais l’impression de déverser des litres de sperme dans son ventre. Elle s’était enfoncée ma verge aussi loin que possible et frottait sa vulve contre mon ventre en me tenant aux épaules. Je lui avais pris les fesses et je jouissais sans retenue.

Et brusquement elle jouit elle aussi.



Le reste fut dit dans une langue gutturale avant qu’elle ne se jette sur ma bouche qu’elle envahit d’une langue conquérante. Je ne suis pas superman, mais du fait sans doute de ma longue abstinence et du traitement qu’elle m’avait fait subir, je ne débandai pas.



En femme expérimentée, elle mit la main en conque sur sa fente lorsque ma bite quitta son vagin, gardant ainsi mon sperme en elle.



Rapidement, la main collée entre ses cuisses, elle m’emmena vers la balancelle. Je vis alors que l’autre était occupée par Sonia qui, assise sur le bas ventre de mon cousin, montait et descendait lentement sur sa tige. Jean Mi avait pris à deux mains les gros seins et les pelotait avec ardeur. Pendant que je contemplais le spectacle, Erika s’était débarrassée de ses vêtements, elle s’était renversée sur les coussins, jambes relevées et largement écartées, m’offrant sa chatte d’où un filet blanchâtre avait commencé à couler en direction de son anus.



Ma verge avait un peu baissé du nez, mais compte tenu de la taille de l’ouverture et du sperme mêlé au foutre qui la tapissait, je n’eus aucune peine à m’introduire jusqu’à la garde. Le nez dans ses cheveux, la poitrine collée contre ses gros seins, je la pris sous les fesses et j’entrepris de la pilonner à grands coups de ma queue qui avait instantanément retrouvé sa vigueur en entrant dans le fourreau torride. La deuxième fois, ça ne vient pas tout de suite. Alors j’ai eu le temps de la limer un bon moment. Mais de son côté, elle n’avait pas l’air d’avoir besoin de recharger les batteries. Elle jouissait à répétition. Les orgasmes se succédaient à intervalles réguliers et assez rapides. Et puis finalement, j’ai à nouveau senti que j’allais décharger.



Ma maman m’a appris qu’il fallait toujours être gentil avec les dames, alors j’ai fait ce qu’elle me demandait. Je me suis redressé et j’ai sorti ma queue au moment où la première giclée était prête à sortir. Comme elle se redressait en rapprochant son buste de moi, elle reçut ma semence en plein sur le menton, avant que je ne dirige ma verge de la main pour que les autres giclées tombent sur sa poitrine.



Elle m’attira alors vers elle en me prenant d’une main par les fesses. De l’autre, elle tira sur la peau pour bien découvrir mon gland qu’elle engloutit entre ses lèvres. Creusant les joues, elle entama un ballet infernal de la langue et des lèvres sur mes terminaisons nerveuses les plus sensibles. La sensation était si forte que je flageolai sur mes jambes.



Ce cri du cœur la fit redoubler d’ardeur. Après deux éjaculations, mes couilles étaient vides, mais je crois qu’elle réussit encore à me tirer quelques gouttes. Épuisé, je m’écroulai près d’elle sur les coussins de la balancelle.


On s’est retrouvés tous les quatre autour de la table après s’être rhabillés. Sonia et Erika nous ont expliqué qu’elles étaient allemandes et passaient l’été dans cette vieille ferme. Au début c’était marrant, mais elles ne voyaient presque personne. Habituées à avoir une vie sexuelle assez intense à Munich, elles avaient commencé à être en manque, bien qu’elles se soient mutuellement léché le minou, ainsi que d’autres fantaisies courantes entre femmes. Mais quand elles nous avaient vus, sans se consulter elles avaient ôté chacune leur culotte avant de nous accueillir.



Le soir dans la tente on a bien sûr reparlé de notre aventure.



Mon cousin ne croyait pas si bien dire. À l’époque bien sûr, on ne connaissait rien de ce phénomène que les américains appellent « squirting » et qui fait que certaines femmes en jouissant éjectent de leur vagin une grande quantité de liquide incolore.



En fait, je fis bientôt moi aussi l’expérience, car le lendemain, quand nous arrivâmes, Erika uniquement vêtue d’un minuscule slip de dentelle, se dirigea immédiatement vers Jean Mi. Je me retrouvai seul, un peu vexé.



Effectivement Sonia arriva en souriant, et complètement nue. J’admirai sa toison blonde qui me surprenait un peu, car jusqu’ici je n’avais vu que des filles au minou châtain ou noir.

Elles nous emmenèrent chacune sur une balancelle et entamèrent sans attendre de nous mettre à poils. Nu, allongé sur les coussins, je me laissai aller à la douce volupté de caresser les seins de ma nouvelle partenaire tandis qu’elle me suçait avec autant de savoir-faire que sa sœur. Lorsqu’elle jugea que mon érection était suffisante, Sonia se mit à quatre pattes dans l’angle opposé de la balancelle, la croupe haute, la chatte bien visible entre ses larges fesses.



Après avoir promené le bout de mon gland de son anus au sommet de sa fente, j’écartai de mes deux pouces les lèvres de sa vulve avant d’y faire entrer ma verge, sans difficulté. Comme sa sœur, elle était parfaitement lubrifiée et prête à recevoir le mâle. Sans attendre, je lui pris les hanches et, sans bouger moi-même, je lui imprimai un mouvement d’avant en arrière et d’arrière en avant, l’empalant à chaque fois sur ma queue bien bandée. Elle accompagnait d’ailleurs parfaitement le mouvement, et ses fesses venaient claquer sur mon bas-ventre. Après quelques minutes de ce traitement, elle se mit à feuler d’une voix sourde, jusqu’à ce que sa jouissance explose dans un cri, tandis qu’elle plaquait ses fesses contre moi, me maintenant enfoncé à fond en elle. Elle demeura immobile quelques dizaines de secondes puis redémarra d’elle-même ses mouvements de baise.

Elle jouit ainsi trois fois avant que, n’y tenant plus, j’éjacule violemment dans le chaud fourreau de sa chatte. Au moins, Sonia me laissa m’épancher en elle, et ne m’imposa pas de l’arroser de ma semence. Mais je constatai avec quelque surprise que, bien qu’elle ait joui plusieurs fois, ses sécrétions, qui avaient été abondantes, certes, n’avaient absolument pas été exceptionnelles.


Après cette première séance, nous nous sommes retrouvés tous les quatre autour de la table pour nous restaurer et nous reposer quelques instants.



Les deux sœurs se regardèrent, se dirent quelques mots dans leur langue et ce fut Erika qui reprit la conversation.



On s’est donc retrouvés tous les quatre à poils sur un lit immense et très haut. C’est Erika qui dirigea les opérations. Après une courte fellation pour me faire bander plus vite, Sonia s’assit sur le bord du lit, les jambes pendantes et bien écartées avant de s’allonger, la chatte offerte. Je fus invité à m’introduire en elle, mais sans m’allonger sur son corps. La hauteur du lit était telle que je n’eus pas à plier les genoux, et je commençai à faire aller et venir mon sexe dans sa chatte toute chaude. Pendant ce temps, Erika après avoir longuement sucé mon cousin qui avait du mal à bander, s’était mise à quatre pattes au-dessus de sa sœur, et avait invité Jean Mi à la prendre en levrette. Pendant qu’il s’introduisait en elle, elle se mit à masturber sa sœur en massant le clitoris avec deux doigts. Pour moi, la situation était hyper excitante. Pour la première fois, je participais à une partie carrée. Je baisais une femme, et j’en caressais une autre. Car, mes mains étant libres, j’avais empaumé les deux seins qui ballottaient au rythme imprimé par les coups de queue de mon cousin. On a baisé comme ça pendant un moment, et je m’attendais à ce que Sonia jouisse assez vite du fait des actions combinées de ma queue et des doigts de sa sœur. Mais elle devait être tendue, car ce fut Erika qui jouit la première. En gémissant de bonheur, elle s’effondra sur le ventre de sa sœur. Gêné, je dus arrêter de limer. Lorsqu’elle eut repris sa position, je recommençai mes mouvements, essayant de donner des coups plus violents pour exciter et amener ma partenaire à l’orgasme. Mais presque aussitôt Erika jouit à nouveau. Cette fois son corps se tendit comme un arc, elle se redressa vers moi. Les pointes de ses seins se durcirent sous mes doigts, et sa langue fouilla ma bouche lorsqu’en me penchant je réussis à lui prendre les lèvres. Son sexe avait dû se resserrer sur la queue de mon cousin, car alors qu’elle était encore pâmée, ce fut lui qui cria qu’il déchargeait. Déchaînée, Erika qui sentait couler en elle la semence de Jean Mi, reprit sa masturbation en accélérant. Ce traitement vint enfin à bout des résistances de Sonia qui cria qu’elle allait jouir. J’étais moi-même très excité par tout ce que je voyais et que j’entendais. De plus, les muscles intimes de Sonia s’étaient considérablement crispés, provoquant un massage serré sur mon gland que je sentis prêt à éjaculer.



En même temps, elle me repoussa. Surpris, je sortis ma verge du sexe de ma partenaire et me reculai d’une dizaine de centimètres. Sonia cria, et je vis nettement une giclée de liquide sortir violemment du vagin encore ouvert. En une seconde, ma verge et mon bas-ventre furent inondés. Je réagis immédiatement en prenant ma bite en mains et en deux coups de poignet, je l’amenai à décharger. Les deux premières giclées percutèrent le visage et les seins d’Erika toujours à demi penchée sur le ventre de sa sœur. Les suivantes se perdirent dans les poils et sur le sexe de Sonia, jusqu’à ce que je la pénètre à nouveau avec volupté. La douce caresse des parois de son sexe sur mon gland enflammé crachant ses dernières gouttes me firent défaillir de bonheur.


J’avais trouvé l’expérience merveilleuse. D’une part ma connaissance des femmes avait progressé. Et surtout j’avais trouvé ma première baise collective excitante à tout point de vue.

Jean Mi, de son côté, resta un peu frustré dans la mesure où, placé comme il était, il n’avait pu voir l’éjaculation de Sonia.

Il n’était pas au bout de ses frustrations. Deux jours après nous partions, et juste avant nous sommes repassés voir les deux sœurs, histoire de tirer un dernier coup. J’avais baisé Erika et Jean Mi s’acharnait à limer Sonia qui avait déjà pris son pied plusieurs fois. Après une douche je revins avec Erika dans la chambre où mon cousin s’escrimait toujours sur sa partenaire. L’heure passant, je me décidai à lui demander de se presser. Je m’approchai donc du couple.



Ce fut instantané, il débanda complètement. Bonne fille Sonia tenta de la remettre en forme et ne put y parvenir.


Aujourd’hui, il m’en veut encore. Mais les sœurs allemandes restent pour moi un excellent souvenir.