n° 10196 | Fiche technique | 15355 caractères | 15355Temps de lecture estimé : 9 mn | 09/03/06 |
Résumé: Victoria et Balou, enfermés la nuit au sein du siège social. | ||||
Critères: fh collègues travail fellation pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Balou (Epicurien) Envoi mini-message |
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Victoria éclata de rire. Balou la regarda estomaqué, elle conservait son calme.
Victoria et Balou parcoururent tous les couloirs possédant une porte de sortie. Au bout d’une demi-heure, ils se rendirent compte que c’était peine perdue. Ils étaient bel et bien enfermés pour le week-end. Aucun des deux ne prononça une parole, la tension était palpable, les fous rires avaient fait place à une extrême nervosité.
« Bon restons zen. On ne peut pas forcer ou casser une vitre car sinon l’alarme se déclenche. Il va falloir attendre la ronde des gardiens cette nuit ». Balou réfléchissait à voix haute, il ne souhaitait pas le moins du monde que tous les collègues les retrouvent Victoria et lui, enfermés dans le bâtiment administratif.
Elle lui caressait les fesses. Il sursauta ;
Elle porta d’autorité sa main à la braguette de Balou.
Balou se demandait si Victoria n’avait pas abusé de la boisson. Elle ne se rendait absolument pas compte de la situation. Au lieu de ça, elle lui parlait d’île déserte et lui mettait la main au panier. « Je rêve, elle est dingue », se dit-il.
Arrivé au deuxième étage, Balou déverrouilla la porte de l’open-space grâce à ses clefs. La plate-forme téléphonique s’ouvrait devant eux. Les grandes baies vitrées offraient une magnifique vue sur la campagne environnante et sur la petite ville. L’éclairage extérieur des réverbères permettait d’éviter l’obscurité totale dans les bureaux.
Victoria se jeta au cou de Balou. Elle lui arracha presque sa chemise, puis elle déboutonna son pantalon, qu’elle lança négligemment sur un fauteuil. Agenouillée devant lui, elle entreprit de lui prodiguer une violente fellation. Victoria désirait qu’il la prenne de suite, elle en mourrait d’envie, elle voulait s’offrir à cet homme ici dans son environnement professionnel. Elle fantasmait souvent sur les hommes en costumes et aujourd’hui, elle réalisait enfin ses envies. Il se laissa faire, assis dans son fauteuil, Victoria à ses pieds le pompait follement. Il ferma les yeux pour savourer cette chaude bouche qui le faisait grossir. Victoria avalait, suçait, léchait ce membre qui dans quelques instant serait en elle.
Victoria offrait ses fesses à Balou, elle écartait les deux globes pour qu’il puisse admirer la fente luisante et nue. Elle se coucha, sur le bureau, ventre collé sur le sous-main. Elle poussa le clavier, se cambra dans une sensuelle invite.
Balou s’avança vers le merveilleux fessier. Son gland frotta l’abricot, il le fit courir de cette manière plusieurs secondes avant de débuter la pénétration.
Balou prit un malin plaisir à maintenir son amante dans un tel état d’excitation, elle donnait des coups de fesses pour qu’il la pénètre plus rapidement. Son gland était déjà humidifié par les sécrétions intimes de Victoria. Jamais il n’avait connu de femme si excitée, elle coulait littéralement pour lui.
Sourire aux lèvres il donna un coup de rein puissant.
Victoria l’accueillit par un gémissement de fauve. Elle s’accrocha au meuble comme elle put. Balou la secouait, son ventre cognait contre l’arête du mobilier mais elle n’en avait cure.
« Enfin, il est en moi » se dit-elle. Elle se sentait ramonée dans tout son être. La hampe de son amant coulissait loin en elle, très loin. Elle bavait. Sa bouche se crispait, tant les orgasmes la faisaient hurler. Son ventre se tordait comme animé d’une vie propre. Elle se consumait en criant le prénom de l’homme qui la couvrait. Dans la frénésie du moment, Balou avait déchiré la robe de Victoria, le fin tissu traînait sous le bureau. Il continua à donner de puissants coups de boutoirs. Ses mains malaxaient les fesses callipyges, pendant que deux doigts allaient et venaient dans le pertuis défendu.
Cette double pénétration fit hurler encore plus fort Victoria. Elle transpirait, la sueur de son corps marquait le bureau.
Balou ne prononça plus aucune parole. Lui aussi était pris dans le tourbillon de folie qui les enveloppait. Il remonta un peu plus haut que le puits mielleux, se positionna bien en face de l’œilleton et…
Un râle aigu s’échappa de la gorge de Victoria.
Il l’avait pénétré sans aucune forme de ménagement et s’agrippait à ses hanches en débutant de très lentes allées et venues. Sa hampe coulissait à merveille entre les deux magnifiques globes. Progressivement les coups de bassin s’intensifièrent. Le rythme lent du début, rendit Victoria folle de désir, elle qui voulait tout, tout de suite, là elle devait patienter. Son amant jouait avec son appétit sexuel maintenant démultiplié. Victoria se sentait remplie entièrement. Balou pinçait les bouts dardés de sa poitrine, tandis qu’elle introduisait deux doigts dans son ventre. Ils étaient complètement imbriqués. Une fine pellicule de sueur nappait leurs corps. Ils ahanaient comme des forcenés à la lueur des réverbères extérieurs.
Victoria griffait la moquette de ses ongles longs, ses genoux la brûlaient, elle tremblait. Des larmes ruisselaient sur ses joues, elle était heureuse comme jamais. La jouissance déferla en elle d’une manière si intense qu’elle hurla telle une sauvageonne. Balou quant à lui, tenta de retenir le plus longtemps possible son éjaculation. Il voulait pilonner inlassablement Victoria pour lui offrir d’autres vagues d’orgasmes. Une violente convulsion interne de sa bien-aimée l’obligea, malgré tous ses efforts, à libérer sa chaude lave dans les admirables fesses. Il jouit dans une sauvagerie inouïe. Il se crut être revenu à l’âge de pierre…
Balou s’écroula sur Victoria, toujours enfoncé en elle. Il lui embrassa le cou, le dos. Ses mains caressèrent ses cheveux soyeux. Ensuite sa langue suçota les oreilles de sa maîtresse.
Victoria gémit, elle sentait le poids de Balou peser sur elle, mais elle adorait cette impression de soumission face à cet homme puissant et doux à la fois.
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Victoria se redressa lorsque Balou la quitta pour se soulager aux toilettes. Elle se promenait nue en escarpins et bas résilles noirs, dans tous les bureaux. Elle s’amusait à prendre des poses lascives dans les reflets des baies vitrées, puis elle s’asseyait sur les sous-mains devant les claviers d’ordinateur. »De cette façon les mecs respireront mon odeur lundi matin », pensa-t-elle. Cela l’excitait au plus haut point.
Toujours nue, Victoria se colla à lui. Son pied frottait le mollet de Balou, comme si elle le masturbait. Il posa ses mains sur les flancs de Victoria, elle tressaillit. Leurs bouches se soudèrent, leurs langues dansaient une sarabande endiablée. Ventre contre ventre ils dansaient un slow langoureux, mêlé de baisers, de caresses. Les tétons dressés de Victoria s’écrasaient contre le puissant torse de son amant. Ce frottement contre le tissu de la chemise, provoquait de délicieuses chatouilles à Victoria. Elle se pâmait, elle offrit sa gorge au déluge de baisers que lui donnait Balou. Elle sentait d’ailleurs que son désir régénéré cognait à nouveau contre son ventre.
Elle se coucha sur le dos, et colla l’un contre l’autre ses seins fabuleux, leurs bouts pointant indécemment.
Lui, ne dit rien. Il s’agenouilla de côté et embrassa le ventre chaud de Victoria. Sa langue caressa le nombril avant de remonter vers la poitrine offerte. Sa bouche suça alternativement les deux seins. Balou tétait comme un bébé, il aimait cette sensation où la femme devenait maternelle. Victoria le masturbait pendant qu’il léchait sa poitrine gonflée.
Victoria jouit en silence plusieurs fois d’affilée, tant sa poitrine était sensible. Son amant ne remarqua rien, trop occupé à la téter. Jamais encore un homme ne l’avait sucée à ce point, cela en devenait presque insupportable maintenant. Ses bouts de ses seins étaient devenus si sensibles, si gros, que chaque coup de langue ou chaque succion, provoquaient à Victoria des minis orgasmes, et des ondes de bonheur jusque dans ses jambes.
Balou, agenouillé au-dessus de sa belle, jambes écartées, coulissait sa hampe entre les deux globes. Parfois ses bourses frottaient contre le ventre de Victoria lorsqu’il allait et venait. Elle le serrait fabuleusement bien. Il donnait de petits coups de reins mais sans forcer.
Victoria voyait devant ses yeux, le gland violacé pointer et disparaître. Elle attendait ce moment depuis longtemps aussi. Cette friandise rose, fendue sur le chapeau, allait bientôt cracher sa crème chaude, elle s’en léchait déjà les lèvres par avance.
Balou vit la langue rose de Vicky lécher ses babines, cette vision décupla davantage ses coups de reins, il ne put se retenir.
Le plaisir le foudroya. Il cria le prénom de sa bien-aimée tout en éjaculant entre ses seins. Son cou, sa gorge furent aspergés par la laitance de Balou.
Victoria vit la petite fente s’ouvrir encore un peu et, immédiatement, lâcher plusieurs jets. Ensuite, elle sentit la chaleur du sperme recouvrir sa gorge. Elle aimait voir un homme jouir. Admirer la magie de l’éjaculation était pour elle un bonheur grandiose.
Balou se dégagea mais il continua à se masturber, agenouillé devant Victoria. Il la regarda récolter du bout des doigts sa semence, pour ensuite la porter à sa bouche. Elle lui donna également ses doigts à sucer, chose que Balou adorait. Il suçota les doigts de sa maîtresse en se caressant pour elle.
Victoria souriait en voyant son amant se masturber ainsi devant elle. Il s’était redressé. Debout au milieu du grand bureau, un cadre nu se caressait pour sa belle agenouillée devant lui. Elle lui câlinait les cuisses velues avec ses doigts aux ongles longs. Des doigts explorateurs se promenèrent entre les fesses masculines. Victoria titilla la rondelle. Balou s’agenouilla immédiatement à quatre pattes devant son amante tout en continuant à utiliser la « veuve poignet », Vicky embrassa le dos de son amant et enfonça deux doigts dans son anus, les doigts allèrent loin en lui, le fouillèrent. Lui, haletant et transpirant, accéléra ses mouvements de poignet, ses bourses étaient encore remplies à merveille, son érection s’étant également accrue après cette pénétration anale, il ne tarderait pas à succomber une nouvelle fois sous les caresses de Victoria.
Elle voyait son bien-aimé agenouillé, sa main empoignant sa hampe pour une masturbation enflammée, Victoria maintint ses deux doigts enfoncés tout en les faisant doucement coulisser. Elle vit le corps de Balou tressaillir, elle s’accrocha à son dos, puis elle dut lâcher prise. Balou se redressa sur ses genoux et éjacula violement en se retournant vers Victoria, ses jets blancs arrosèrent les cuisses et le ventre féminin. Le bureau résonna de râles de plaisir une nouvelle fois.
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La voix de Victoria tremblotait. Il était trois heures du matin. Balou avait dégotté une lampe torche dans une armoire. Ils se déplaçaient prudemment dans la semi obscurité.
L’air frais de la nuit tomba sur leurs épaules comme une chape glaciale.
Libres ! Ils avaient réussi ! Peu importait la température extérieure.
Victoria essayait tant bien que mal de maintenir sa robe de soirée déchirée sur elle. Balou avait déposé sa veste sur ses épaules pour qu’elle ne frissonne pas trop. Cahin-caha, ils avancèrent sur la pelouse et se dirigèrent vers le parking où se trouvaient les voitures. Celui-ci était pratiquement désert à cette heure.
Il se figea. Cette voix il la reconnaîtrait entre toutes.
Non, pas lui !
Il se retourna, une sueur glaciale ruisselait sur sa nuque…
A suivre