n° 10216 | Fiche technique | 13042 caractères | 13042Temps de lecture estimé : 8 mn | 15/03/06 |
Résumé: Nathalie quitte sa famille pour ce trouver un job dans un petit village. | ||||
Critères: fh hplusag toilettes intermast | ||||
Auteur : Nathalie mèche brune (Jeune femme de bonne famille) |
A la fin de mon adolescence, j’ai eu la chance de vivre un intermède de deux ans dans un petit village perdu de M… C’était la fin des vacances et j’avais refusé l’offre de mon père : une place de secrétaire dans son entreprise. Ma mère me jeta au visage ce lot de reproches maintes fois entendues : " Tu n’es qu’une grosse paresseuse ! Tu es une enfant gâtée ! Tu verras quand tu devras gagner ta vie !!! ".
Le lendemain matin, je trouvai dans le salon, deux sacs de sport et dix mille francs en liquide ! J’aurai pu pleurnicher, hurler, faire ma capricieuse, mais en réalité, j’étais trop contente de fuir une famille qui ne me supportait plus.
En deux jours, je trouvais un studio dans le village de " T…. ". Pourquoi là-bas ? J’avais lu un article dans " Jeune et Jolie " où Enrique Iglesias disait que c’était son rêve de vivre dans ce village. Toujours selon lui, il disait que les gens y étaient sympathiques, simples et que le temps semblait s’y être arrêté.
Ma logeuse s’appelait Odette Mineur, elle avait 91 ans et pour arrondir ses fins de mois, elle m’avait loué l’une de ses chambres. Ce n’était pas le " Ritz ", loin de là, mais après avoir investit dans une télé 70 cm, mes 25 m2 avait tout de suite plus d’allure.
Deux jours que j’avais emménagé, je savourai ma tranquillité. Je passais la plupart de mon temps chez le vieux brocanteur, Gaston Leplat ou alors tranquillement allongée sur mon lit, je dévorai quelques séries américaines. Mais les jours passaient, mon pécule diminuait et il fallait que je songe sérieusement à trouver un petit travail à mi-temps.
Au petit café de " Nanette ", mon regard fut attiré par un papier sale et froissé, une annonce qui après renseignement s’avérait être encore valide. L’épicerie du village (je ne savais pas qu’il y en avait une !!!) recherchait une personne pour 20 heures hebdomadaires. Curieuse, intriguée, je décidai d’aller me présenter tout de suite à cette énigmatique adresse.
Il m’a fallu une demi-heure pour trouver l’épicerie, car elle se trouvait au fond d’une impasse. Je me disais que ce n’était pas pratique pour faire des rencontres !!! Vérifiant une dernière fois ma coiffure dans le reflet de la vitrine, j’entrai avec l’apparence d’une femme déterminée. Je me présentai donc comme postulante au poste. Monsieur Albert (le propriétaire de la boutique) me fit visiter les locaux franchement défraîchis. Il insista bien sur le fait que le chiffre d’affaires était en chute libre depuis l’ouverture de la superette à 10 kilomètres du village. Le quinquagénaire voulait attirer une nouvelle clientèle, plus jeune, plus moderne et selon lui, la solution était que le client prenne du plaisir à passer le seuil de son épicerie.
Depuis des années, toute sa clientèle était en fait les parents de ses meilleurs camarades de classe.
Monsieur Albert n’était pas bête : il avait son plan ! Pour ça, il avait vu grand, investi une dernière fois, une sorte de dernier feu d’artifice, avant de fermer boutique. Je me rappelle qu’à ces mots, des larmes avaient noyé ses yeux et sa voix était devenue soudainement plus grave.
Quand il me dit qu’il serait ravi d’avoir au sein de sa petite entreprise, " une ravissante jeune femme " (je ne me jette pas de fleurs, ce fut bien ses termes !). Je fus transportée de joie, le challenge me tenait à cœur. J’étais heureuse de l’avoir séduit et surtout, d’avoir réussi sans trop promettre mes charmes !
Impatient de " gagner ", il me demanda de commencer dès le lendemain. Mais surtout, il devait s’absenter dans sa famille et il me confiait tout pour 3 jours.
Pour mon premier jour, un jeudi ensoleillé, Monsieur Albert me pria d’être particulièrement serviable avec Monsieur André (son plus fidèle client depuis des années), " c’est un vieux Monsieur de 65 ans, il vous donnera sa liste de course, vous devrez remplir son panier et le raccompagner à la sortie. " J’allais très bien m’en sortir et en attendant les jeunes clients ou plutôt, les nouveaux clients, j’allais pouvoir m’entraîner à mon métier avec des personnes qui représentaient le passé de la boutique.
Le lendemain, toute belle derrière la caisse enregistreuse, j’attendais un éventuel client, j’ai vite compris que j’allais terriblement m’ennuyer. Les jours de calmes, je me vengeais sur les Mars, Twix et autres Lions présents dans le rayon friandises. Je ne voyais pas beaucoup de client, la situation était critique pour ne pas dire désespérée ! Au début, je trouvai ces petits vieux un peu rébarbatifs, mais rapidement, je m’y suis faite et après 4 semaines, je commençais à les apprécier.
J’étais heureuse lorsqu’un client venait rompre ma solitude, Monsieur André venait une fois la semaine, bien qu’il soit sourd, je saisissais l’occasion de parler avec quelqu’un. Il était toujours très gentil avec moi, et malgré son grand âge avait le regard vif, quelques fois j’avais l’impression d’être regardée par un jeune homme de 20 ans.
Un jour comme beaucoup d’autres, Monsieur André me demanda le plus naturellement possible de l’aider à aller aux toilettes. Un peu étonnée, je dus l’accompagner en lui tenant le bras, ensuite, sans le moindre vice, il me pria de lui ouvrir le pantalon et de lui sortir le sexe. Un peu gêné, il m’expliqua que ses mains tremblaient trop, et qu’il devait être assisté. Son infirmière personnelle n’étant pas là, je devais donc la remplacer. Mise en confiance par ce vieil homme dénué de vice, j’acceptais de déboutonner son pantalon, puis de sortir avec précaution l’objet de son embarras. Je dus décalotter son sexe fripé avant de purger dans l’urinoir sa vieille prostate. Il me remercia en me disant " que mon petit ami avait beaucoup de chance de m’avoir ", je ne pus m’empêcher de rire en lui répondant que mon ami n’avait pas ce genre de problème. L’esprit toujours très vif, M. André répliqua aussitôt : " ce que je voulais dire, c’est que vous avez l’habitude de vous servir d’une queue, cela se voit à votre façon de décalotter un gland" ; C’était dit avec tellement de naturel que je lui souriais en rougissant légèrement, approuvant ainsi son commentaire… Après cet épisode cocasse, une complicité se créa entre nous, c’est ainsi que tout commença.
C’était devenu un rituel, après avoir rempli son panier, je l’accompagnais aux toilettes, l’aidais à uriner, avant de le raccompagner vers la sortie. Pour plaisanter il m’appelait " La fée aux doigts magiques", le disant même devant d’autres clients qui ne comprenaient rien à notre petit secret (inutile de vous dire que cela m’embarrassait terriblement, et que bien souvent mes joues rougissaient).
L’après-midi, je ne voyais que très rarement Monsieur Albert, il était toujours parti chez ses fournisseurs afin de ravitailler l’épicerie. Mais le soir il n’hésitait jamais à me consacrer du temps pour faire un bilan de la journée, bien sur j’omettais de lui raconter les séances " pipi " avec son plus fidèle client. De son côté, M. Albert me félicitait pour mon travail.
Le premier adolescent à franchir le seuil de l’épicerie fut le petit-fils de Monsieur André, il était venu avec son grand père pour l’aider à faire ses provisions. Il avait environ 18 ans, le visage encore boutonneux avec un corps de sportif. Monsieur André me présenta Marc " c’est vous la fameuse Nathalie, vous savez mon grand père ne parle que de vous ! ", sans aucune modestie, j’affichais un grand sourire.
Le grand père circulait dans les rayons avec son petit fils, tous les deux me marquant un grand intérêt, je me demandais alors si aujourd’hui, je devais jouer les dames pipis. Le grand père hésitait lui aussi…
Il tenta le coup dans les toilettes, profitant que son petit-fils lisait des revues dans un coin… Je disparaissais subtilement avec lui… Embarrassée par la situation, je dégrafais maladroitement son pantalon. Le vieux avait du mal, nous étions émus, il en mettait à côté et sur mes doigts, nous avions peur que marc surgisse. Pendant ce temps, le petit-fils s’interrogeait, arrivant en caisse, il nous appela, n’allant pas plus loin, il profita de la situation en ce servant discrètement dans la caisse. Il ne prit que 30 euros pour ne pas éveiller les soupçons, dix minutes après, nous revenions rouge de honte…Quelques jours plus tard, le gamin sur la défensive revint seul, me soupçonnant de faire des choses, il me questionna… Je ne lâchais rien !
Une semaine après la première visite, je retrouvais Monsieur André, nous étions enfin seuls, alors que je m’occupais de lui dans les toilettes, Marc, sorti de nulle part, entra dans la pièce !
J’étais rouge comme une tomate, M. André, toujours très naturel se mit à rire du comique de la situation. Sa réaction désamorça ma gêne. Mais Marc, toujours sur la défensive, s’approcha de nous : " Je comprends mieux pourquoi tu viens régulièrement faire tes courses ici ! dans ton cas, je ferais exactement comme toi ! "…. M. André répliqua aussitôt " mais cette une excellente idée ! M. Albert ce plaint d’avoir une clientèle vieillissante, voilà un bon moyen d’attirer la jeunesse ! qu’en penses-tu Nathalie ? "… Je ne savais plus si M. André était sérieux ou s’il plaisantait, quoi qu’il en soit je fus vexée par son commentaire !
Marc, très hésitant, sorti sa zigounette pour uriner juste à côté de nous. Comment vous expliquer… Sur le moment j’ai vu cela comme une opportunité, dans l’ambiance bonne enfant j’ai saisi le petit membre de Marc qui se déversait dans l’urinoir. Son jeune corps a tout de suite réagi au contact de mes doigts, et son jet d’urine se coupa aussitôt, un peu honteuse je relâchais sa zigounette. Gêné par la présence de son grand père, sans un mot, il rangea son sexe dans le jean. Avant de partir le grand père paya la note, Marc me glissa discrètement à l’oreille : " je reviendrais dans la semaine ". Le rouge aux joues, les pupilles dilatées par le trouble, je lui fis un signe positif de la tête…
Après cette aventure, les jours suivants furent soporifiques, il ne se passait rien, les clients se comptaient sur les doigts de la main. Lorsque M. Albert était absent, j’en profitais pour me refaire une beauté. Dans sa boutique, il n’y avait pas grand-chose pour les femmes, je me contentais d’emprunter une brosse à cheveux et de la laque, histoire de redonner un peu de volume à mes mèches.
C’est en pleine séance de coiffure que je fus une nouvelle fois surprise par le jeune Marc. Il me complimenta sur mes cheveux avant de me prendre par le bras et de m’emmener aux toilettes… Encore flattée par ses louanges, je le suivis… Dans un silence de mort, je déboutonnais son jean, pour en sortir un sexe raide d’envie. Sans la moindre parole, je commençais à le branler lentement en le regardant dans les yeux. Le jeune Marc se cambra pour me faciliter la tâche, et très rapidement il expulsa son foutre sur l’émail de la cuvette. Les derniers jets, les moins puissants, s’écrasaient sur ma main, mes doigts s’engluaient de son sperme d’ado. Honteuse, je le vis reboutonner son pantalon à la vitesse grand V. Une fois dans la boutique, je profitais de son embarras pour lui dire " Ici on ne ressort pas sans avoir acheté quelque chose ".
Le lendemain, un jeune garçon boutonneux entra dans la boutique, l’air gêné et le regard fuyant, je le surveillais dans les rayons, le soupçonnant de vouloir voler un article… Au bout de dix minutes à faire semblant de chercher quelque chose, l’ado pris son courage a deux mains et s’approcha de moi " je viens de la part de Marc… " me dit-il honteux en me tendant une barre de céréale, j’enregistrais l’article avant de lui rendre la monnaie. Sans rien répondre, je le pris par main pour l’emmener dans les toilettes, il était hyper gêné et restait là bêtement sans rien faire…Comme la veille je pris " la chose en main ", et au bout de quelques va-et-vient, il éjacula mollement le long de ma main, souillant mes bagues, dont une offerte par mon petit ami. L’adolescent disparu, j’entendis la porte d’accueil s’ouvrir, ne pouvant laisser le magasin sans surveillance, je me dépêchais donc de retourner derrière la caisse. Voulant m’essuyer la main avec un kleenex, le papier se déchira puis se colla par petits morceaux sur mes doigts…
A suivre…
(Merci à Sabine Delamontagne pour son aide précieuse)