n° 10223 | Fiche technique | 12932 caractères | 12932Temps de lecture estimé : 10 mn | 17/03/06 |
Résumé: Un artiste sans inspiration trouve sa muse
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Critères: fh voir fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Sir Spencer |
Concours : L'art |
Une galerie d’art vient, par charité sans doute, d’accepter d’exposer un de mes tableaux. Ma création est là, accrochée à un mur blanc, je la vois à peine, cachée par d’autres toiles. Il me semble que, de toutes ces toiles, la mienne est la seule qui mérite d’être cachée aux yeux des amateurs d’art. Honteux, je n’entre jamais dans la galerie. C’est donc de la rue que j’aperçois une ombre observant mon tableau depuis quelques minutes. Dans la pénombre, je la distingue à peine. L’ombre bouge et s’approche de la toile, son visage atteint la lumière. C’est une femme. Je me décale un peu pour mieux la voir. Enfin, je la découvre et mon cœur s’emballe. Je ne sais plus si c’est le peintre de nus féminins ou l’homme qui flagelle sur ses jambes. Tout est merveille chez elle. D’abord ces jambes longues et fines, elle est grande, sous sa jupe je devine des fesses rondes et fermes, des courbes d’école qui remontent vers son dos comme un coup de pinceau parfait. Elle porte un haut moulant qui laisse deviner un ventre plat et une poitrine généreuse, ses seins pointent fièrement. Elle me semble nue sous ses vêtements, son corps n’est qu’harmonie de courbes. Pour parachever ce chef d’œuvre, son visage, entouré de longs cheveux bruns tombants sur ses épaules, est d’une finesse et d’une tendresse désarmante. Je l’observe avec envie, celle du peintre et celle de l’homme. Et si…
J’entre et arrive derrière elle sans faire de bruit. Son parfum est à son image, envoûtant. Elle continue à détailler mon tableau et ne m’a pas entendu.
Elle sursaute.
Cette voix….chaude et douce.
Après avoir étudié ses heures de disponibilité et donné mon adresse, nous nous séparons avec une simple poignée de mains.
Le lendemain soir, à l’heure exacte du rendez-vous, je l’accueille dans mon atelier.
Et la voilà, sans aucun complexe, qui ôte ses vêtements. Je découvre, plus précisément, les formes devinées la veille et mon cœur bat la chamade comme jamais, mon sang s’accélère et vient gonfler mon sexe qui se redresse si rapidement qu’il me fait mal. Je ne peux cacher mon état et son regard dirigé vers moi me dit que cela ne servirait, de toute façon, plus à rien. Elle sourit. Je m’approche vers elle et la guide vers mon canapé horrible mais confortable. Je touche sa peau, elle est douce et chaude. J’ai envie d’aller plus loin mais l’artiste veut profiter de l’éveil de tous ses sens pour la recréer sur la toile blanche. Je m’éloigne pour mieux l’observer. Son bras plus haut, sa jambe plus repliée, son visage plus incliné vers moi, la voilà prête.
Pendant deux heures, mon pinceau glisse sur la toile et esquisse les courbes de ce corps si parfait à mes yeux. Pas un mot, pas un geste de sa part, juste son regard posé sur moi, troublant, brûlant. Elle entrouvre ses lèvres et sollicite une pause, ces mots me sortent de ma torpeur d’artiste et mon sexe reprend à nouveau de la vigueur. Je lui accorde volontiers sa requête et m’approche pour la couvrir d’un drap sur ces épaules. Mais sa main rejette le drap et vient se poser sur mon torse. Ses yeux d’un bleu cobalt me transpercent pendant que sa main s’infiltre sous ma chemise à la recherche du contact de ma peau, sa caresse m’électrise. Mes mains pendant ce temps glissent le long de son dos et s’arrêtent sur ses fesses. Ma chemise tombe par terre. Mon sexe supplie de le libérer de son carcan de tissu. Ma partenaire devine mon supplice et doucement libère l’objet de douleur. Ses mains glissent le long de ma hampe et entame un va-et-vient d’une douceur incroyable. Ces gestes lents et précis me font découvrir des plaisirs inconnus. Experte, elle devine lorsque je suis prêt d’exploser et arrête son massage sensuel.
Toujours son regard dans le mien, je devine que mon tour est venu de lui faire plaisir. Je l’installe sur le canapé et me penche vers elle. Me voilà devenu son explorateur, ma bouche vient caresser ses tétons dressés comme des volcans, ma langue dessine sur ses seins des spirales sans fin. Son souffle s’accélère, ses mains voyagent dans mes cheveux imitant ma langue dans ses délires géométriques. Mes mains caressent ses cuisses mais n’osent pas s’aventurer plus loin pour laisser à ma langue la primeur de la découverte. Ma langue qui justement décide de quitter les monts de lave bouillante pour continuer son périple vers l’objet de ses désirs. Je découvre sur le parcours un point sensible qui fait frissonner ma muse. Tel un bourreau des sens, je m’attarde sur le lien de vie quelques secondes avant de reprendre le chemin du plaisir. Enfin ma langue découvre l’entrée de la source. Déjà un filet d’eau intime s’en échappe, je m’empresse de le goûter. La délectation me précipite vers les lèvres humides. Mes caresses linguales semblent lui plaire, je regarde son visage, ses yeux se cachent sous ses paupières, bouche entrouverte, elle halète. Je continue à explorer son intimité à la recherche d’autres mystères mais bientôt des soubresauts envahissent ma partenaire et des flots de nectar humidifient mon visage.
Visiblement reconnaissante, son attention se reporte à nouveau sur mon sexe revenu à sa taille normale. Mais, cette fois, ses mains laissent la place à sa bouche et l’humidité de ses lèvres sur mon gland ne tarde pas à redonner toute sa tension à ma verge. L’incroyable travail de sa langue commence. Je ne sais si c’est pour rivaliser avec moi mais elle me fait découvrir des endroits de mon sexe encore inconnus même pour moi. Aucun centimètre carré n’échappe à cette langue experte, je décolle vers un autre monde. Direction l’espace, une myriade d’étoiles défile sous mes yeux. Le lustrage de ma verge est terminé, elle décide de me prendre en bouche entièrement, ce qui, ne soyons pas modeste, est pratiquement impossible. À ma grande surprise, elle le fait et je sens mon gland toucher le fond de sa gorge. Comment est-ce possible ? Ses va-et-vient autour de ma verge sont d’une incroyable efficacité, elle change de rythme plusieurs fois, ralentissant quand elle sent que c’est nécessaire. Mais bientôt, je sens que je ne vais pas tarder à me vider de ma semence. Je lui fais comprendre mais elle semble prête à tout avaler. Je ne peux me retenir plus longtemps et plusieurs jets de sperme sortent de mes entrailles pour arriver dans la gorge de ma sublime amie. Elle semble apprécier et pourchasse avec avidité chaque goutte qui s’échappe encore de moi. Il est temps pour nous de reprendre le travail.
Je retourne à mon tableau, elle reprend la pose, je reste nu. L’inspiration est toujours là, peut être même encore plus forte, car je connais mieux ce corps exposé à mon regard. Mes doigts filent sur la toile. Et petit à petit devant tant de beauté, mon désir renaît. Et il ne peut rester caché à ma partenaire. Je pose la hampe de mon pinceau pour prendre la mienne en main et retourne vers elle. Elle ne bouge pas, toujours ce regard. Je m’installe à ses côtés et pose mes lèvres sur les siennes. Elle a le goût du sperme. Elle se lève et vient s’empaler sur moi. J’ai l’impression que mon sexe est fait exactement pour elle. Son fourreau chaud et humide se resserre sur moi. La pression qui s’exerce alors est égale sur toute la longueur de mon sexe. Elle commence alors une lente danse sur moi. Des perles de sueur coulent le long de son dos, d’autres commencent à chercher leur chemin entre ses deux seins, je décide de les lécher doucement une à une. De toute évidence ce n’est pas pour lui déplaire car sa danse s’accélère sur moi. Son antre se resserre sur moi à chacun de ses mouvements. Jamais de ma vie de telles sensations ne m’ont envahi comme ce soir. La fusion de nos deux corps est totale. Nous basculons ensemble sur le sol, notre position change, le dos collé au sol elle s’offre à moi. Je la soulève légèrement et pose ses jambes sur mes épaules. Je la pénètre de toute la longueur de ma verge, comme tout à l’heure, sa chair chaude et humide enlace mon vit. De va-et-vient en va-et-vient, je sens mon plaisir monter avec le sien. Ses jambes se resserrent sur mes hanches m’incitant à aller encore plus loin en elle. Je vais jouir en elle. L’orgasme nous submerge en même temps et j’envoie mon sperme au plus profond de son être.
Nous restons quelques minutes ainsi sur le sol, allongés l’un à côté de l’autre, essoufflés, heureux. Je m’aperçois que pas un mot n’a été échangé depuis son arrivée, il y a trois heures maintenant.
Alors qu’elle se relève devant moi, je vois de nombreuses taches de peintures qui parsèment son dos.
Effectivement, mon corps est également couvert de peintures. Un fou rire nous prend, celui de grands gamins, heureux et complices de leur bêtise.
Je la prends par la main et l’emmène avec moi. Nous rentrons tous les deux sous la douche. L’espace n’est pas grand, son corps se colle au mien. L’eau se met à couler sur nous, plaquant ses longs cheveux contre elle. Chacun de nous nettoie l’autre de toutes les petites marques de couleurs. Ce traitement sensuel n’est pas sans effet sur nous. Mon désir ne met pas longtemps à renaître. Elle se tourne alors me présentant son dos. Mon sexe caresse ses fesses et se cale dans son sillon. Elle se cambre et appuie ses mains sur le carrelage du mur. L’eau coule directement sur son dos en milliers de gouttes. Je retrouve sans problème le chemin déjà emprunté un peu plus tôt. Mes mains enserrent ses hanches et lui impriment le rythme désiré. Mon sexe retrouve avec plaisir ce nouvel éden. Chaque mouvement est un flux et un reflux de plaisir telles les vagues d’un océan avec comme embruns les gouttes chaudes venues de plus haut. Mon regard suit une de ces gouttes d’eau qui vient de s’écraser en haut de son dos et qui maintenant suit la ligne naturelle de son corps. Coquine elle se retrouve sur ses fesses et tombe par hasard sur mon vit qui l’entraîne avec lui vers le paradis. Toute cette eau semble accompagner chacun de nos mouvements, rendant encore plus érotique notre ballet devenu aquatique. Après deux importantes éjaculations, je savais que je mettrais plus longtemps avant de jouir à nouveau ce qui rallongerait d’autant notre plaisir. Pendant que je continue à la pénétrer, un de ses doigts commence à stimuler sa rondelle. Le petit manège qui m’est offert redouble mon désir si bien que j’ai l’impression que mon sexe augmente encore de volume. Pendant ce temps, elle poursuit lentement son parcours anal en rentrant son doigt petit à petit dans un lieu encore inconnu pour moi. Bientôt rejoint par un deuxième, je les vois préparer le chemin pour moi. Considérant le passage suffisamment ouvert ses doigts se retirent me libérant la place. Sans attendre, je m’introduis dans ce nouvel espace. Avec douceur, je fais passer l’obstacle à mon gland et attends patiemment que l’étau se desserre un peu. Mais c’est elle qui décide d’accélérer le mouvement en poussant ses fesses vers moi. Bientôt, je suis entièrement en elle. Après une pause, je me retire et la reprends aussitôt. Son plaisir est immense et le mien à son comble. Si son vagin est un fourreau étroit, son conduit anal est un serre sexe formidable. Une sensation incroyable et fulgurante parcourt mon corps entier et je décharge le reste de mon foutre dans ses entrailles.
Après cette douche inoubliable, nous revenons dans la pièce de peinture.
Depuis ce jour, j’ai peint dix toiles. Toutes avaient pour sujet le corps d’Anaïs. La dernière était un peu particulière, le ventre d’Anaïs n’était plus plat.