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n° 10259Fiche technique22346 caractères22346
Temps de lecture estimé : 13 mn
28/03/06
Résumé:  Un gîte rural. Une dame mûre,mariée, en quête d'une aventure passagère. Un quinquagénaire qui se laisse manipuler par ses vieux fantasmes.
Critères:  fh fplusag extracon grosseins poilu(e)s campagne voyage volupté entreseins cunnilingu anulingus pénétratio fdanus init
Auteur : XXL  (Un gite rural,une mamie en quête de sensualité,un homme seul)
Opportunité

Opportunité


Un ancien modèle de coupé Mercedes vira majestueusement dans la cour de la ferme avant de s’arrêter, à quelques mètres du gîte rural, dans un élégant bruissement de gravillons. La fermière s’approcha, en tablier de travail, pour saluer les nouveaux hôtes qui occuperaient le second logement. Le conducteur se déploya difficilement en sortant de son véhicule. Il était de grande taille, comme son épouse qui sortit du véhicule pour saluer la propriétaire des lieux. Il y a dix ans, j’aurais parlé d’un couple âgé ; aujourd’hui, je formulerais autrement : c’était un couple d’un certain âge ! On devient humble (et presque lucide) quand les jeunes stagiaires sous votre tutorat vous surnomment amicalement papy…alors qu’on frise seulement la cinquantaine ! J’avais installé mon ordinateur portable en plein air, sur l’immense table en teck réservée aux locataires. Je finissais de rédiger mon rapport d’intervention dans une usine de Mulhouse. C’était la troisième fois que je m’installais chez Madame Reitter, près de Colmar. Visiblement, celle-ci parlait de moi avec les nouveaux arrivants, car elle me montrait du doigt tout en jacassant joyeusement. Elle était toujours fière d’expliquer qu’un ingénieur en robotique faisait partie de sa clientèle régulière. Mme Reitter m’avait déjà prévenu que les arrivants étaient aussi originaires de mon département, le Nord. La dame à la Mercedes, visiblement, ne voulait pas faire son âge. Le pantalon corsaire immaculé qu’elle portait était décoré, des genoux jusqu’aux chevilles, de paillettes qui scintillaient à chacun des mouvements de ses longues jambes aux cuisses bien rondes. Un tee-shirt, signé Versace, argenté, apparaissait épisodiquement sous un blouson de cuir rouge vif. La mamie, assurément coquette, voulait montrer qu’elle était encore dans le coup. Le hiatus provenait de sa coiffure ; les cheveux mi-longs, aux mèches savamment nuancées de gris argent, étaient permanentés et gonflés comme ceux des stars des années 50. Le trio, papotant toujours, arrivait à ma hauteur. Un maquillage prononcé masquait, en partie, les dégâts inéluctables des ans sur le visage de la dame. Les rides les plus profondes, qui encerclaient son cou, étaient camouflées par un foulard en soie, d’un rouge savamment assorti au blouson. Son mari avait l’air sympa et, une courte conversation de politesse s’engagea entre nous quatre, avant que Mme Reitter ne leur fasse visiter le logis. La dame aux cheveux gris et son époux me remercièrent d’avoir transporté leurs valises. Alors que je relisais mon rapport, ma nouvelle voisine s’arrêta près de ma table de travail et se félicita du temps magnifique de ce mois de Juin. J’abandonnais par politesse mon travail et je me levais pour sortir quelques banalités sur la météo locale. Madame en profita pour me détailler discrètement mais, sans vergogne, des pieds à la tête. Certes, j’étais en short et chemisette ouverte, un mètre quatre-vingts, quatre-vingts kilos, bien entretenu, mais, ce n’était pas une raison pour jauger la bête…à son âge, en plus ! Bien que plus rien ne puisse m’étonner, amusé, je fus quand même à deux doigts de lui faire examiner ma dentition, comme au marché à bestiaux. Dodelinant exagérément sa croupe dodue, trop à l’étroit dans le pantalon corsaire, elle se dirigea vers le coupé Mercedes pour en extraire deux housses à vêtements. Chacune de ses mains en portait une à hauteur d’épaules. J’allais me replonger dans ma lecture, mais le spectacle maintenant offert m’en dissuada. Elle avait abandonné son blouson de cuir et avançait souriante dans ma direction, les bras en croix servant de porte-manteaux improvisés. Le T-shirt Versace arrivait difficilement à contenir le balancement synchrone de deux énormes nichons. Heureuse et divine surprise en cette fin de journée ensoleillée. Les femmes mûres ont souvent de belles poitrines épanouies, mais présentement, c’était un autre gabarit. Comme si le soutien-gorge était desserré ou inadapté, les gros seins lourds de la dame s’agitaient, pratiquement libres, au rythme de ses pas longs et rapides. Que c’était beau. Elle n’avait pas du tout honte de ses encombrants avantages naturels. Un discret sourire s’épanouit même sur ses lèvres, signe de sa satisfaction, vu mon attention non dissimulée. Elle devait avoir une quinzaine d’années de plus que moi mais, ma libido individuelle et portative avait toujours fantasmé sur les plantureuses poitrines naturelles. Papa Freud, priez pour moi. Fermant les yeux pour voir s’il y avait quelqu’un à l’intérieur, j’analysais objectivement la situation : Dieu merci, je n’étais pas encore au stade de la vieillesse ou « l’anticipation de la perte du bonheur empêche de le vivre » mais, je craignais quand même de ne pas avoir la motivation suffisante pour courtiser la sexagénaire ; fut-elle même propriétaire d’une superbe paire de nichons ! Autour de boissons rafraîchissantes, le couple nordiste et moi firent connaissance : ils habitaient un petit village à 30 kilomètres de chez moi (Le Monde est petit…etc. etc.), ils avaient été gérants d’une supérette, c’étaient quasiment leurs premières vacances après des problèmes de santé de Monsieur. Les deux compatriotes m’interrogèrent curieusement sur ma boîte et mes fonctions. Il ne fallut pas longtemps pour que, Mme et Mr. avouent qu’un neveu, très cher à leur coeur de couple sans enfant, cherchait un stage gratifiant, dans une boîte informatique du Nord-Pas-de-Calais. Je leur répondis que cela ne devait pas trop poser de problème s’il était motivé. Ils s’en montrèrent vraiment ravis .Ce qui me surprit le plus, c’est l’absence totale de communication dans le couple : ils me parlaient chacun leur tour, comme si le conjoint n’existait pas. L’usure du couple, après des dizaines d’années de vie commune, ne m’avait pas épargné non plus ; nous avions même décidé, mon épouse et moi, une espèce de congé matrimonial sabbatique, pour éviter cette cohabitation malsaine. La complicité et la tendresse s’évaporaient inexorablement, de manière irréversible et douloureuse. Dans la foulée, sans même consulter son épouse, il m’invita au restaurant, à Riquewhir. Il espérait y trouver du Tokay et du schnaps à la mirabelle pour les matins froids dans la hutte de chasse .A Riquewhir, je connaissais un vigneron (et un seul !)qui ne mettait pas de soufre dans son tokay pinot gris ; tout allait donc pour le mieux ! C’est ainsi que je vis s’éclipser le grand mec sexagénaire, fonçant, tout guilleret, vers une douche revigorante. Son épouse profita de son absence pour m’expliquer qu’il avait eu une très grave opération de la prostate, il y a deux ans. Il en était devenu dépressif et insupportable. Je ne tombais pas dans le piège de la mamie malheureuse qui veut se faire consoler. Pour me détourner de mes pensées quand même malsaines, je lançais sur mon ordinateur portable une animation vidéo qui était censée promouvoir mon entreprise. Jeanine fit le tour de la table de bois pour venir à mes côtés y découvrir la vidéo. Elle resta debout, puis se pencha sur le petit écran, ajustant ses lunettes, tout en appuyant ses deux coudes sur la table. Le pantalon blanc moulait parfaitement son derrière bien sympathique mais, le détail qui m’émut le plus fut de tout ordre. Une petite touffe de poils apparut sous l’aisselle de ma voisine. Papa Freud se rappela à mes bons souvenirs : évidemment la pilosité sous les bras impliquait, pour moi en tout cas, une chatte à la fourrure bouclée et abondante… Le vieux fantasme tenace réussit, malgré ma détermination, à provoquer une petite érection inattendue. Je fus encore plus décontenancé quand, alors que je ne m’y attendais pas du tout, la main de Janine se posa délicatement sur la mienne.



J’étais conscient de me faire manipuler : Madame avait manifestement envie d’un gros câlin et, pour se donner bonne conscience, elle inventait un scénario où son sacrifice devenait nécessaire à la carrière du neveu adoré. Une pulsion malsaine et sadique m’invita à tester les limites de cette vicieuse. Je la flattais donc sur sa croupe voluptueuse et sa splendide poitrine qui lui avaient valu de très nombreux admirateurs, à coup sûr. Elle rigola et protesta à peine quand ma main s’aventura sur ses fesses rebondies. Roseline joua simplement la pudique quand, par derrière, je forçais en douceur le passage entre ses cuisses. Elle me laissa égarer mon index qui, à travers le tissu, épousa sa fente, profondément encastrée dans deux protubérances charnues. Roseline commença à accompagner la caresse sur sa vulve par de minuscules ondulations des hanches. Elle se ravisa soudainement cependant :



Cela ne m’empêcha pas d’empoigner ses gros seins, à pleines mains, pour en estimer la moelleuse consistance. Bien qu’elle guettait anxieusement le retour du conjoint, Jeanine, les joues rouges, se montra très satisfaite de ces préliminaires furtifs. Il fallut quand même insister plus longuement, avant qu’elle accepte, les yeux baissés, de sucer mon index, qui vagabonda longtemps sur ses lèvres obstinément fermées.

Va comprendre Charles !

Après quelques dégustations chez mon vigneron, quelques tartes flambées arrosées d’un Edelswicker fruité, notre trio était euphorique et content de vivre. Le mari un peu pété insista pour que je prenne le volant de son coupé allemand. Il se vautra sur le siège passager et, la bouche ouverte, s’endormit dans la minute souriant aux corneilles. Roseline commença à me bécoter dans le cou, depuis la banquette arrière, dès la sortie de la ville. La présence de son mari endormi semblait augmenter son excitation ; elle entreprit même le déboutonnage de ma chemise pour ensuite caresser ma poitrine velue en me mordillant l’oreille. Les prémices d’une soirée de stupre torride se prolongèrent jusqu’à notre arrivée nocturne au gîte. Madame, alors que j’avais rabattu mon siège pour lui permettre de descendre, mit un doigt sur sa bouche et, avec un sourire coquin, me fit comprendre ses intentions en s’étalant sur la banquette arrière ! Quelle idée saugrenue ! Le brave cocu ronflait à présent ; il ne saurait jamais que son épouse éméchée pouvait se transformer en une grosse vicieuse. Elle venait en effet de trousser sa longue jupe plissée, jusqu’au nombril .Elle avait introduit ensuite sa main droite sous sa culotte brodée, jaune canari, et commençait à se caresser, souriant à mon incrédulité. À genoux sur le montant de la portière, j’eus vite fait de descendre la petite culotte et d’ouvrir largement l’entrejambes de la pécheresse ravie. La longue fente moite accueillit ma langue chaleureusement, tandis que mes doigts se perdaient dans une touffe luxuriante de poils gris. En positionnant la jambe gauche de ma partenaire sur mon épaule, à la lumière du plafonnier, je poussais plus loin mes investigations lubriques. Jeanine poussa juste un « Oh ! » étouffé quand elle sentit mon gros index lui fouiller son trou du cul ; elle me laissa quand même continuer. Peut-être parce qu’elle avait peur que j’arrête de lécher son clito incandescent et sa fente, trempée maintenant. Je venais de commencer à me dévêtir, bien déterminé à lui imposer une petite fellation, afin d’honorer dignement la mamie. Après quelques contorsions savantes, cette dernière s’était débarrassée de sa jupe. Un sourire pervers aux lèvres, les cuisses béantes, elle attendait mon offrande, à demi affalée sur la banquette en cuir. Dansant sur un pied posé à même le gazon, nu, j’avais du mal à ôter mes chaussettes (un homme à poil en chaussettes, j’avais toujours trouvé ça grotesque) .C’est à ce moment critique que le cocu émit une longue flatulence sonore et malodorante. L’ignoble porc fétide ! Quand on ne supporte pas les oignons, on ne mange pas trois tartes flambées ! Moi, complètement à poil et Roseline, le cul à l’air, seulement vêtue de son chemisier, on évacua la place en catastrophe, nos vêtements sous les bras. Roseline s’arrêta près d’un monticule de ballots de foin et m’invita à poursuivre notre conversation en plein air, dans la suave odeur de l’herbe fraîchement coupée. La température idéale, le ciel étoilé romantique… la chambre du gîte fut jugée trop banale pour satisfaire sa volupté. Je dus insister pour qu’elle se débarrasse complètement de son soutien-gorge, car elle craignait que sa lourde poitrine libérée ne s’affaisse et coupe mes élans. Certes, mes deux mains contenaient à peine un des deux énormes globes laiteux, moelleux et malléables. On resta debout, côte à côte, pour satisfaire le fantasme du mâle qui retrouve sa maman nourricière. Roseline, ravie de tant de sollicitude, promenait sa petite main sur mon sexe, en l’empoignant de temps en temps, comme pour être rassurée de ma motivation. Elle me repoussa ensuite gentiment en me faisant comprendre qu’elle avait très envie que je la prenne maintenant. Sans aucune honte, la mamie me susurra à l’oreille, qu’une prise en levrette bien virile, lui ferait le plus grand plaisir. Il fallut quand même lui expliquer élégamment, qu’elle se montrait un peu égoïste. La parité entre les caresses préliminaires ne me semblait pas respectée. Roseline, désolée et un peu vexée se montra donc très coopérative. Juchée sur un ballot de foin, elle ébaucha un sourire complice en exécutant mes directives. Elle stabilisa sa position à quatre pattes et commença un mouvement du buste qui entraîna ses gros nichons dans une agitation aléatoire des plus excitantes. Il me suffisait d’approcher mon membre parfaitement à la hauteur des lèvres féminines, d’empoigner les seins majestueux et de laisser libre cours à la langue et à la bouche de mon amante. Roseline me lécha consciencieusement tous les attributs masculins, épiant sur mon visage les signes de ma satisfaction. Elle avalait profondément mon sexe, fermant les lèvres pour l’emprisonner longuement avant de le libérer turgescent et humide. Je ne pouvais que la récompenser généreusement en l’enfilant en levrette, plaquée contre le ballot de foin, les bras en croix. Le bras gauche de mon amante glissa subrepticement le long de son ventre et, stupéfait, je vis la sexagénaire se masser énergiquement le clitoris en émettant de discrets feulements de satisfaction.

Après la libération de quelques milliers de spermatozoïdes dans sa vulve trempée, j’eus le privilège d’une petite fellation post-coït, certes gluante et inattendue mais… divine ! Elle venait de se relever alors que je lui exprimais toute ma gratitude quand une crispation enlaidit son visage. Ma bienfaitrice s’éclipsa rapidement derrière un mur proche pour une envie très pressante. Après un bref entretien avec ma bienséance, je m’autorisais à jeter un oeil .Vu l’urgence, Roseline n’avait pas eu le temps de s’accroupir : bien campée sur ses deux longues jambes écartées, les yeux fermés, un sourire épanoui aux lèvres, un gros pipi jaillissait de sa touffe de poils pour se disperser en gouttelettes luisantes au clair de lune.

Un brin de toilette après, radieuse, revêtue d’un pyjama en satin rose, mon amante m’invita à réveiller le pétomane et à le ramener dans la chambre conjugale. Je commençais à m’endormir quand le visage confus de la sexagénaire apparut dans l’ouverture de la porte de ma chambre. Irritée par les ronflements et les flatulences de son époux, un grand sac en bandoulière, elle me demandait l’hospitalité jusqu’au petit matin. Le roucoulement insupportable de tourterelles me réveilla vers six heures. Roseline, déjà maquillée, sortit de la salle de bains, en pyjama et se gaussa de ma tête ébouriffée des matins difficiles. Je réapparus après une longue douche froide, alors que Mme tripotait son téléphone. Complètement à poil, je me dirigeais vers ma valise quand je surpris la mamie à me prendre en photo avec son portable. Pas du tout décontenancée par mes propos réprobateurs, Roseline m’expliqua que c’était pour démontrer à ses copines que, même à la ménopause, on pouvait avoir une sexualité débridée avec des mâles mignons et virils. Ses copines étaient les épouses de chasseurs de canards et, alors que ces messieurs tiraillaient les cols verts dans la hutte, ces dames se réunissaient le samedi soir. Il y a quelques années, elles papotaient autour de petits fours et de thé indien mais, petit à petit, le whisky orange avait remplacé le thé et, le DVD érotique les échanges de recettes de cuisine. Elle me racontait çà de la façon la plus naturelle qui soit, comme si j’étais un confident de longue date. Comme elle m’implora de prendre une seconde photo pour faire pâlir de jalousie ses amies, je ne pus qu’accepter …à condition quand même que, ma virilité soit mise en valeur. Abandonnant son téléphone, Roseline fit disparaître la veste de son pyjama et, à genoux sur la moquette, emprisonna mon sexe entre ses gros nichons. Mon membre allait et venait entre ces deux monticules confortables. Il prenait forme, se gorgeait de sang d’autant que, la photographe amateur, alternait ce massage céleste avec une fellation énergique. Contente, à juste titre, de son oeuvre, la mamie m’immortalisa en deux ou trois pauses flatteuses. Elle jugea ensuite que ce serait criminel de ne pas prolonger une si prometteuse mise en bouche .Elle se débarrassa donc prestement de sa culotte de pyjama en satin rose. Manifestement, l’épouse frustrée voulait emmagasiner des souvenirs pour égayer ses longues soirées d’hiver. Sans aucune retenue ni pudeur, elle m’offrait ses seins , m’ ouvrait les lèvres de sa chatte pour que ma langue puisse y fouiller plus profondément, guidait mon index vers son petit trou ridé, avalait mon pénis en le gardant au fond de sa gorge ,à la limite de l’explosion. Naïvement, je lui proposais de conclure en levrette comme elle me l’avait demandé hier soir. Alors, en baissant les yeux, son doux filet de voix exprima, presque honteusement, une demande pour le moins incongrue :



Je venais de finir la lubrification du trou du cul de Roseline avec la confiture de framboise de madame Reitter (à la guerre comme à la guerre !). À quatre pattes sur la moquette, emprisonnant de ses bras les deux oreillers qui supportaient un profil de son visage, elle me demanda bizarrement, si j’avais été choqué par sa proposition inattendue. Elle ne me laissa pas le temps de répondre, car elle enchaîna de suite sur le plaisir sadique qu’elle aurait d’observer le visage de ses amies quand elle raconterait, par le détail, sa sodomisation à la confiture. On vit une époque formidable ou la réalité dépasse, à plates coutures, toutes les fictions. L’hospitalité annale de ma maîtresse s’avéra exemplaire. Malgré une position de pénétration à la cosaque, bien fléchi sur mes jambes, je mis le plus de délicatesse possible pour enfiler le trou du cul de ma partenaire. Elle découvrait de nouveaux horizons dans un mélange de râles de plaisir et de douleurs. Après avoir libéré quelques milliers de spermatozoïdes, je sortis lentement de madame en essuyant discrètement ma queue entre ses fesses maculées de confiture. Avant d’aller quérir les mouchoirs en papier que Roseline, la tête enfouie sous un oreiller, réclamait, je ne pus résister à l’envie de prendre en photo le spectacle involontairement offert. La croupe généreusement ouverte, aux fesses rougies de framboise, découvrait totalement sa touffe humide de poils bouclés qui remontaient jusqu’à une ouverture rosâtre d’où s’échappaient de fines coulées de sperme blanc. Bien sûr, je n’informais pas l’épouse indigne de mon ignominieuse initiative… Elle aurait la surprise de deux photos inattendues en proposant mes exhibitions naturistes à son cercle de chasseurs disparus. Le mari pétomane dormait encore quand je pris le volant vers le grand Nord-Pas-de-Calais. Certes je l’avais fait cocu mais je n’en éprouvais aucune fierté déplacée ; moi aussi, je l’avais certainement été mais, je n’en avais plus rien à secouer. Les cocus enterrent les cocus, c’est la vie. Janine me raccompagna jusqu’à la voiture avec une démarche qui dévoilait les séquelles récentes d’ébats inhabituels. Une parenthèse dans nos deux vies banales venait de se fermer, ni fleurs, ni couronnes…. Pas de littérature à l’eau de rose : d’un commun accord, notre brève aventure devrait rester sans lendemain…J’avais quand même réussi à subtiliser, pour convenance personnelle, sa petite culotte jaune canari, imbibée d’odeurs et de parfum intimes, qu’elle portait la veille. Elle venait de me faire le bisou d’adieu quand je déboutonnais la veste de son pyjama en satin, pour mémoriser visuellement cette énorme paire de nichons qu’elle eut la gentillesse de faire balancer joyeusement une dernière fois.