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10/04/06
Résumé:  Les derniers préparatifs ne chassèrent pas cette idée. Mon esprit se mit à vagabonder et les scénarii les plus divers se succédaient dans ma tête. L'idée d'être entourée de l'attention de quatre jeunes mâles de 23 ans...
Critères:  fhhh profélève grossexe anniversai amour volupté cérébral ecriv_c
Auteur : Aimelyne et Philippe  (Histoire vécue)      
Un anniversaire particulier

J’ai commencé ma carrière professionnelle, âgée de 22 ans, dans un foyer de jeunes travailleurs âgés de 16 ans à 21 ans (âge de la majorité à cette époque). Le directeur de l’établissement, vu mon jeune âge, avait préféré me confier la mission de soutien scolaire aux cadets afin qu’ils puissent repasser leur CAP avec succès.


Je garde un bon souvenir de cette première expérience de travail qui avait permis ma première aventure érotique plurielle sans mon mari.


Sept des jeunes sur la dizaine que j’avais accompagnés avaient obtenu leur CAP.

Obligés, cinq d’entre eux, la première année qui suivit leur succès, avaient gardé un contact régulier avec moi. Puis, progressivement, leurs visites s’étaient espacées. Seul de la bande, Jean Michel avait continué à venir me voir régulièrement un soir par semaine.

Si, pour ma part, j’en avais été un peu déçue, mon mari n’en avait pas été pas mécontent.



J’étais reconnaissante à Jean Michel de ses visites hebdomadaires, d’autant plus que, manifestement, la gratitude n’était pas le seul motif des ses visites : il me vouait une admiration évidente et éprouvait manifestement des désirs inavoués qui flattaient ma féminité et mes envies de séduction. Ses soirées à la maison dont, je l’avoue, deux ou trois très intimes - mais c’est une autre histoire- perdurèrent durant trois ans jusqu’au jour où il se présenta avec Stéphane, un nouveau copain de la bande. Ce fut avec une certaine fierté qu’il nous présenta, à moi et à mon mari, ce copain qu’il s’était permis d’inviter.


Quoique ce dernier fût leur aîné d’à peine plus d’un an, je m’aperçus que Jean Michel le considérait comme un grand frère. Certes sa réussite sociale -il était responsable de secteur chez un grossiste en appareil sanitaire- contribuait à l’imposer comme référent et lui conférait sur cette bande de jeunes malmenés par la vie une ascendance dont il avait l’intelligence de ne pas profiter, mais, en outre, sa personnalité faisait de lui quelqu’un de sûr sur qui l’on pouvait compter. Mûr pour ses 22 ans, serviable, d’humeur égale, indulgent, il savait les conseiller sans ostentation déplacée.


Au début, Stéphane n’était venu chez nous qu’en compagnie de Jean-Michel. Puis, peu à peu, il s’était arrangé pour venir seul.

Au fil des mois, j’ai appris à mieux le connaître. Il vivait avec une jeune fille qu’il avait connue alors qu’elle avait treize ans. Stéphane semblait heureux avec cette Lolita qui, pour le conserver, acceptait son besoin d’indépendance, car il avait conservé ses habitudes de célibataire…

Chaque semaine, il sortait seul en boîte ou accompagné, disait-il, de secrétaires plus ou moins jeunes qu’il draguait sur son lieu de travail. Nous pensions qu’il se vantait un peu. Mais un fait était certain : Tous les vendredis soirs, il faisait la fête et bien souvent avant de sortir, il venait nous rendre visite durant une heure ou deux avant ses rendez-vous réels ou fictifs.


Rétrospectivement, je me demande s’il n’espérait pas me voir l’accompagner sans oser le demander car, un jour, il m’avait proposé de fêter mes 30 ans.



Flattée qu’il ait pris la peine de s’enquérir de la date de mon anniversaire, j’avais accepté la proposition et convenu du samedi de la semaine suivante.


Surchargée de travail, je n’ai plus pensé à cette réception. Et le matin du jour fatidique arriva sans que je n’aie préparé quoique ce soit.

Pour buffet, je m’en remettrai à un traiteur, mais comment allais-je m’habiller ?


J’avais, il y a quelque temps, acheté une robe courte très sexy, taillée dans un voile noir diaphane, qui se doublait sur le devant grâce au pan de sa forme porte feuille. La semi-obscurité d’une fête rendait cette tenue décente, par contre, sa transparence m’interdisait le port de sous-vêtements. J’étais plutôt fière de mon corps et je n’hésitais pas à le mettre en valeur quand je le pouvais.

Seulement cette fois-ci, il était juste question d’un anniversaire avec d’anciens élèves. Je craignais qu’elle ne convienne guère à une soirée amicale.


J’avais sollicité l’avis de mon mari tout en suggérer mon intention de ne pas la porter ce soir-là.


Il avait lâché un peu furieux :



J’avais essayé de le convaincre de nous rejoindre mais il resta inébranlable :



Les préparatifs de cette petite réception durèrent tout l’après midi. Ce ne fut que vers 18 heures que je pus commencer à m’apprêter.


Quand vint le moment de choisir une robe, après quelques hésitations devant ma glace, autorisée par mon époux, je me décidais finalement de revêtir ma nouvelle mini robe avec, pour seul sous-vêtement, une paire de dim-up noirs. Je tamiserai les lumières !


Parée, je me posais devant le miroir pour apprécier le résultat et juger de la transparence en lumière atténuée. Si la double épaisseur de tissu masquait mes avantages féminins côté pile, ma chute de reins, mes fesses pâles contrastant avec le hâle de mon dos, n’auraient guère de secrets pour eux. Et, si je passais devant un abat-jour, ce dernier ne serait pas le seul à les éblouir. À cette idée, une douce sensation connue envahit mon bas ventre. L’idée d’émoustiller mes invités germa insidieusement…


Les derniers préparatifs ne chassèrent pas cette idée. Mon esprit se mit à vagabonder et les scénarii les plus divers se succédaient dans ma tête. L’idée d’être entourée de l’attention de quatre jeunes mâles de 23 ans excitait incroyablement mon imagination et éveillait mes sens de jeune femme de 30 ans.


A tel point que 20 heures arrivèrent sans que je m’en rende compte. Ce fut le tintement de la sonnette de la porte d’entrée qui me rappela à la réalité. Fébrile, j’allais ouvrir la porte en espérant que mon attitude ne trahisse pas mon émoi.


Stéphane se tenait sur le seuil, un sourire charmeur aux lèvres et deux bouteilles de champagne à la main…



Il me déshabillait du regard sans retenue.



Surprise, je n’avais su que lui répondre :



Sur ces mots, il m’embrassa, peut-être un peu plus longtemps et plus près de la bouche que la bienséance l’aurait voulu.


M’arrachant de cette situation qui ne me laissait pas insensible, je le précédais dans le salon, presque aussi maladroite et impudente qu’une adolescente éprouvant, pour la première fois, le regard d’un homme peser sur son corps. Touchée par sa remarque et par son baiser, je marchais lentement devant lui, le laissant contempler à loisir mes formes qu’il ne pouvait manquer de distinguer par contre jour.

Assis, il continua à parcourir mon corps de ses yeux bleus pendant que, pour le faire patienter, je lui versais une coupe de son champagne.



La réponse était tombée équivoque.



Double idiote ! J’avais lancé cette répartie sans réfléchir (Ah! Cette habitude de toujours vouloir avoir le dernier mot).

Evidemment la réponse avait fusé :



Heureusement, la sonnerie de la porte d’entrée m’épargna une réponse embarrassante. Le reste de la bande arrivait. Enfin, presque ! Bruno et sa copine avaient un empêchement et ne pouvaient venir. J’en étais contente. J’allais être la seule femme à bénéficier des attentions de trois jeunes hommes. Les retrouvailles furent chaleureuses et les compliments nombreux.


L’apéritif dînatoire fut l’occasion de m’offrir une magnifique psyché et d’évoquer leurs "faits d’armes" et toutes les bêtises qu’ils avaient faites à mon insu alors qu’ils étaient au foyer.


L’alcool échauffait les esprits. Ils en oubliaient ma présence et racontaient sans gêne leurs expériences avec les filles. Mai 68 avait bien libéré les mœurs !!! Plus âgée de huit ans environ, je n’avais pas le quart de leur expérience du sexe.


Quoique amusée par leurs histoires, je commençais à m’ennuyer un peu et à regretter leur relative indifférence à mon égard. Je me levai donc et mis un fond musical.


J’avais été inspirée.


A peine les premières notes s’égayèrent dans la pièce que Stéphane se leva comme un ressort et m’invita à danser. Didier voulant faire ambiance baissa la lumière et Jean Michel, ne voulant pas être en reste, écarta la table basse pour libérer un espace suffisant.


Ils instaurèrent un tour en se passant un témoin contrefait par une serviette nouée. Je passais ainsi de bras en bras pour quatre rocks endiablés jusqu’au moment où quand son tour revint, Stéphane, prétextant la fatigue, interrompit cette série en introduisant dans le lecteur un CD de Sade.


Les premiers slows se déroulèrent normalement, Les mains sur mes épaules ou sur ma taille, nous dansions à distance respectueuse, échangeant quelques propos qui me faisaient rire plus que de raison. J’aurais dû être un peu méfiante, mais l’alcool et nos flirts verbaux m’émoustillaient, et, quand je suis pompette, je deviens plus sensuelle.


Inconsciemment, de slow en slow, je m’abandonnais de plus en plus dans les bras de mes danseurs, gagnée un doux émoi et, pour être tout à fait honnête, par le champagne bu. Progressivement, j’acceptai qu’ils me serrent de plus en plus. Désinhibée, je tolérai même des baisers furtifs sur les joues et dans le cou.


Ceux de Stéphane, à chacun des slows qui lui revenaient, devenaient plus audacieux, plus longs, plus près de ma bouche. Ses mains, autorisées par mon abandon, redessinaient furtivement mon corps. Les autres, plus timides, n’osaient suivre son exemple, mais l’encourageaient discrètement dès qu’il regagnait sa place.


Ce qui devait arriver arriva. Stimulé par ses amis, encouragé par mon indolence, il profita de ce que je levai la tête pour m’embrasser délicatement une première fois sur les lèvres. Ce baiser presque innocent n’était en fait qu’un test. Ma passivité l’encouragea à réitérer son geste et cette fois ce fut avec passion qu’il explora mes lèvres et investit ma bouche. Encore actuellement je me demande comment j’ai osé répondre à ce baiser violent.

.

Un tollé de jalousie fit trembler les murs de la maison. Mes deux autres éphèbes se levèrent comme des prédateurs voulant se partager les restes d’une proie facile. Car j’étais devenue facile. Les phantasmes imaginés l"après midi s’actualisaient dans ma mémoire jusqu’à devenir réalité.


Ils m’entourèrent et, prétextant maladroitement un privilège du au jour de mon anniversaire, tentèrent tour à tour de m’embrasser. Pendant que leurs lèvres cherchaient sans succès les miennes, leurs mains exploraient mon corps mettant à mal ma robe. Leurs assauts étaient si brutaux que je m’attendais à être violée. J’étais paniquée.

J’avais fantasmé leur désir, espéré leur attention voire leur caresses, mais cet abordage me blessait profondément. Je ne voulais pas être une chose, un exutoire à leur libido. Ils ne devaient obtenir mes faveurs que si je le choisissais.


Les larmes d’impuissance et de honte qui commencèrent à couler sur mes joues stoppèrent leurs attaques. Rouge de honte et contrariée, j’allais m’asseoir sur le canapé, accompagnée par leurs excuses maladroites :



Malgré leurs excuses, je lisais la déception sur leur visage.


La soirée reprit, lourde de gêne, ennuyeuse. Le silence s’était installé entre nous, brisé de temps à autre par le bruit des verres qui se remplissaient de temps à autre.


Mon anniversaire était gâché !


Je me mis à pleurer doucement sans bruit, petite fille perdue au milieu d’hommes indifférents avant de m’enfuir dans ma chambre.

Stéphane s’était aperçu de ma détresse et m’avait suivi peu de temps après.. Arrivée dans ma chambre où il me trouva le visage enfoui dans la couverture de mon lit; il m’entoura de ses bras, protecteur :



Il usait de toute sa patience pour me consoler sans oublier bien sûr de profiter de l’occasion pour me caresser les cheveux, le dos, les jambes ou les hanches.

. Les phrases, sans suite qu’il me murmurait à l’oreille sur un rythme ininterrompu me berçaient et m’apaisaient peu à peu

Quand il me sentit consolée, il me retourna, me prit par le menton pour m’obliger à le regarder et me demander d’un air contrit :



Le sourire malicieux qui, à ces mots, éclaira son visage me fit fondre. Se penchant sur moi, il m’embrassa à nouveau et comme la première fois, je répondis à son baiser pendant que sa main s’insérait sous ma robe pour redessiner la courbe de mes hanches et de mes cuisses.



Psychologue le Stéphane !



Je m’aperçus que, pendant qu’il jouait au psy, sa main, elle, jouait au docteur. Audacieuse, elle avait quitté mes hanches pour s’insérer entre mes cuisses et les caresser tout en respectant, pour l’instant, mon intimité.

La sensation éveillée par ses premières approches s’amplifiait pour se transformer en une douce excitation.



Oh le petit futé, il me met au défi.



Sa main s’était faite plus téméraire et s’était posée sur mon sexe.



J’avais resserré mes jambes afin qu’il ne sente pas combien je mouillais et je m’étais levé prestement pour rejoindre le salon. Didier et Jean Michel s’apprêtaient à partir. Je les retins en les prenant à la taille pour danser les notes qu’égrenait la chaîne stéréo.



La soirée reprit. L’ambiance, se dégela peu à peu. Il faut dire que le champagne et le whisky soda y contribuaient pour une bonne part. Ils s’étaient promis de boire toutes les bouteilles qu’ils avaient amenées.

Les slows avaient également repris. Ne sachant pas danser -c’est vrai qu’ils n’étaient pas doués.- ils préféraient cette danse, disaient-ils.


Ce fut Stéphane qui, une fois de plus, prît l’initiative.

Il glissa une main sous ma robe, dévoilant à demi mes fesses nues pour caresser ma chute de reins.



Oh le salaud il me remet au défi.




Les deux autres, regardait le spectacle de ma demi-nuditéé sans oser bouger.


J’étais ni vraiment excitée, ni gênée. Plutôt soumise, absente, résignée à une situation qui me dépassait. .


Je n’avais plus qu’une alternative : me retrancher derrière ma pudeur en risquant de gâcher là nouveau la soirée et de passer pour une allumeuse, pire une oie blanche ou prendre l’initiative et me montrer maîtresse de mes choix.


C’est la deuxième solution que je choisis.


Me détachant de mon danseur, je me plaçais devant la glace et fis glisser les bretelles de mes épaules. La robe coula le long de mon corps pour venir s’enrouler sur mes chevilles :

J’étais nue devant eux, les mains sur les hanches en signe de provocation, et ils pouvaient contempler à la fois mes seins tendus maintenant par l’excitation, mon ventre soigneusement épilé et ma chute de rein reflétée par le miroir.


J’attendais avec angoisse et une certaine impatience, je l’avoue, les conséquences de mon strip-tease. Rendus timides par ma nudité, échaudés par ma première réaction, impressionnés par mon aplomb, je ne sais, ils restèrent immobiles.


Chaque seconde qui passait me paraissait une éternité. Je ne pouvais demeurer ainsi plantée au milieu du salon avec pour seul vêtement des dim-up. Je me tournais vers Stéphane avec un regard hautain et provocateur.



Il s’approcha, me porta dans ses bras et me posa délicatement sur le sol.



Dès que Stéphane me libéra les lèvres, je lançais :



Ils s’apprêtaient à se dévêtir quand je les arrêtais :



Je voulais rester maîtresse du jeu et non simple jouet de leurs désirs.


Je me mis à genoux et commençais à desserrer les ceintures, déboutonner les braguettes, libérant à chaque fois un sexe différent que je caressais.

Celui de Stéphane était petit et fin. Grande gueule mais petit zizi. J’ai du le caresser longtemps avant qu’il ne durcisse de façon satisfaisante.

Celui de Jean Michel, court et épais bandait déjà et montrait un gland agressif au bout duquel perlaient quelques gouttes de sperme.

Celui de Didier était impressionnant, énorme. Comment pouvait-il pénétrer une fille sans la déchirer ? Mon pouce et mon index n’arrivaient pas encercler son sexe ! Le pauvre, ne connaîtrait sans doute jamais des plaisirs sodomiques.


Je choisis de m’attarder sur ce sexe qui me troublait par sa taille exceptionnelle. J’invitai Didier à se coucher et, me penchant, je cabrai volontairement les reins, écartai les jambes offrant ma croupe aux caresses de ses amis.

Ma bouche enveloppa comme elle le put ce sexe monstrueux tandis que s’improvisait une symphonie à quatre mains sur mes fesses offertes. Aucun centimètre de ma peau n’était épargné. J’étais caressée, fouillée. Chacun de mes orifices était comblé.

Les joues pleines, je pompais refoulant les réflexes nauséeux. Je pris un véritable plaisir gober les testicules, à sucer et lécher la hampe audacieuse jusqu’à ce qu’elle suinte.


Victorieuse, je m’allongeais sur le sol :



Ce qui suivit ne m’a laissé qu’un vague souvenir tant je fus adulée.


Je me rappelle que mon corps fut présenté, écartelé, exposé et apprécié sous toutes ses faces, effleuré, caressé, léché, sucé, pétri, mordillé sans que jamais les trois sexes arrogants qui le convoitaient ne violent son intimité. La bacchanal dura tant que leur sexe purent pleurer dans mes mains épandant en longs sanglots leurs larmes sur mon corps.


Je leur en veux un peu de s’être éclipser discrètement après que je les aie satisfaits me laissant dans un demi-sommeil, seule, souillée et non satisfaite.


Quand mon mari rentra plus tard dans la nuit, je terminai, dans ma douche, de rincer mon corps que, ivre de désirs inassouvis, j’avais savonné avec le sperme dont mes partenaires m’avaient généreusement enduite.


Ce fut mon mari, qui remarquant les nombreuses marques infligées à ma chair, m’a comblée, non sans remarquer le parfum particulier qui exhalait de mon corps.