n° 10297 | Fiche technique | 39419 caractères | 39419Temps de lecture estimé : 24 mn | 11/04/06 |
Résumé: Chaude, la rencontre... | ||||
Critères: fh jeunes uniforme amour lingerie fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : xXx |
Au feu !
Tibidibidip ! Tibidibidip ! Je repousse violemment la couette chaude tout en attrapant mon bip. J’essaye de déchiffrer la nature de l’intervention. Il me faut deux ou trois secondes pour comprendre les inscriptions :
« Feu d’origine électrique ».
Il n’y a pas une seconde à perdre. J’enfile mon pantalon en même temps que mes Rangers, passe mon pull-over et j’accroche mon bip à ma ceinture. Je descends, j’attrape au passage les clés de ma voiture, je monte dedans et je démarre en trombe sans oublier de mettre les warnings. Après quatre minutes de route, j’arrive au Centre d’Intervention et de Secours (CIS). Il n’y a pas de lumière. Je suis visiblement le premier. J’entre, je mets mon cuir qui était resté dans mon casier et je prends mon casque et mes gants. Je me dirige vers le « Stass », pièce ainsi surnommée car c’est ici que reste le stationnaire durant une intervention avec, à sa disposition, le PC, le téléphone, la radio… J’attrape l’ordre de mission, lis les détails de l’intervention et l’adresse que je tente de localiser sur la carte murale, ce que je fais sans trop de difficulté car nous sommes intervenus dans le même quartier dans la semaine. Pendant ce temps, quelques-uns de mes camarades font leur entrée, parfois fracassante étant donné le stress de l’intervention. L’un d’eux me lance :
Je lève les yeux sur le tableau et après une rapide lecture :
Merde ! J’avais complètement oublié de vérifier les effectifs. Etant donné qu’on décale à huit en FPT, il manque au moins un stass. Je lance donc un appel général via le PC et je cours en direction du camion. J’enlève le coupe-circuit des batteries, monte au volant et démarre. Pendant ce temps, un homme a ouvert la porte du garage. Je tire sur le moteur pour le faire chauffer. Enfin, je libère les freins, j’avance le camion et l’arrête à la limite de la route. J’actionne les gyrophares et descends. À ce moment, le chef de garde arrive sirène hurlante et gyros actionnés. Il s’arrête devant le camion et me demande l’adresse. Je la lui donne et il repart aussitôt laissant au chef d’agrès le soin d’organiser son véhicule.
Tout le monde est là. Il y a même trop de monde car l’appel général a rameuté une bonne partie des pompiers du CIS. Certains repartiront aussitôt arrivés, constatant que les effectifs sont suffisants, même en cas de demande de renfort, d’autres attendront le premier bilan radio du chef de garde pour savoir s’ils ont des chances de partir, d’autres encore attendront le retour de tous les véhicules, histoire de connaître le dénouement de l’intervention. Bref, chacun fera un peu comme il veut car nous sommes tous volontaires et nous ne sommes donc contraints à aucune intervention.
Le chef d’agrès répartit les postes. Cette nuit, je serai chauffeur. À moi la gestion du fourgon incendie tout au long de l’intervention. Ça me va très bien car j’éviterais ainsi de trop me salir et donc de devoir nettoyer mon cuir en rentrant. Je reprends place au volant, attends que tout le monde monte et démarre en trombe. Le chef d’agrès à ma droite, actionne la sirène et nous voilà partis. Peu de temps après, la radio se met à cracher. Il s’agit en fait du chef de garde qui, arrivé sur les lieux, passe son premier bilan. Plus personne ne parle dans la cabine, nous écoutons attentivement le message. En fait, il demande le renfort du FPT du CIS de la commune voisine, d’un VSAB et de l’EPS. On n’est pas couché !!
Nous arrivons sur les lieux. Je me gare de manière à ne pas m’approcher trop près du brasier mais également de manière à ne pas avoir trop de tuyaux à dérouler non plus. Le chef d’agrès descend pour recevoir les ordres du chef de garde. Il revient nous les transmettre et nous nous mettons à l’ouvrage. Il s’agit d’une grange qui brûle, celle-ci étant mitoyenne d’une maison d’habitation, ceci explique le renfort d’un VSAB.
Tout d’un coup, je vois arriver vers le fourgon un attroupement qui était resté à l’écart depuis notre arrivée. Il s’agit des occupants de la maison, ils sont accompagnés du chef de garde qui me demande de m’occuper d’eux en attendant l’arrivée de l’ambulance. Etant occupé à l’alimentation des lances que nous devons établir, je ne prête pas attention à ce groupe qui vient se coller au camion.
L’EPS fait son entrée, suivie du VSAB. L’EPS se place et commence à se déployer. Le chauffeur, qui s’est mis aux commandes de l’échelle (c’est son rôle) la fait pivoter et descendre jusqu’à ce que la nacelle touche le sol. Les deux écheliers prennent place dedans avec une lance tandis que je m’affaire à ce que le tuyau passe par l’échelle proprement dite. Une fois que tout est en place, le chef d’agrès EPS, qui n’est autre que le chauffeur, commence le déploiement de celle-ci afin de la placer le mieux possible, l’approche finale étant effectuée par un des deux écheliers grâce au bloc de commandes situé dans la nacelle. Une fois la nacelle en place, l’échelier prend contact avec moi :
Et j’ouvre alors en grand la vanne d’alimentation de la lance de l’EPS. Je lève les yeux et me rends compte que l’eau jaillit de la lance. Etablissement réussi.
Bien que nous soyons mi-décembre et qu’il soit près de minuit, la chaleur dégagée par l’incendie et l’effort physique que je viens d’accomplir m’ont donné soif. Les bouteilles d’eau sont à l’arrière de la cabine côté passager. Je contourne donc le véhicule par l’arrière et me dirige vers l’avant du camion. Les victimes sont toutes, du moins je le pense, regroupées devant les portes passagers du camion. Je demande donc poliment aux deux femmes, l’une de 43 ans et l’autre de 81 ans c’est dans le rapport d’intervention, appuyées sur la porte de me laisser accéder, ce qu’elles font tout en me remerciant d’être là. Je leur répond que c’est normal tout en sortant deux packs d’eau. Je me dirige alors vers l’avant du camion afin de déposer les packs pour que chacun puisse se servir. C’est en m’approchant que je m’aperçus qu’il y avait une personne devant mon camion en train d’observer le travail de mes collègues. Etant donné que cette personne était emmitouflée de la tête aux pieds dans une couverture de survie et qu’elle me tournait le dos, je ne pouvais savoir si c’était un homme ou une femme. Je m’approchais donc en lançant un « Excusez-moi » et en déposant à ses pieds mes deux packs d’eau. Comme je me relevais, cette personne se retourna et je me trouvais nez à nez avec un charmant visage féminin fait de deux beaux yeux verts, d’un joli petit nez et d’une bouche…comment dire…splendide. C’est tout ce que je pouvais en voir, le reste étant caché par la couverture de survie.
Là, je ne comprenais plus rien. Moi, je crevais de chaud sous mon cuir et elle, qui était pourtant dans une couverture de survie à une vingtaine de mètres du brasier, n’avait « pas très chaud ». Qu’à cela ne tienne ! Je lui proposais de m’accompagner jusqu’au VSAB afin de se mettre au chaud. Elle accepta et nous nous sommes dirigés vers l’ambulance. J’ouvris la porte arrière pour la faire pénétrer mais elle refusa de monter si je restais dehors. Ayant appris à ne pas brusquer les victimes, je montai dans la cellule (l’arrière de l’ambulance) avec elle. Ma collègue (Eh oui, il y a aussi des « pompières » chez nous), qui était la responsable de la cellule, lui demanda d’enlever la couverture. À ce moment là, j’ai cru rêver. Cette demoiselle, dont je ne connaissais que le joli minois, avait en plus un corps de rêve.
Vu l’heure tardive, elle devait être au lit quand l’incendie s’est déclaré. Elle est sortie précipitamment sans prendre le temps de s’habiller et s’est retrouvée dehors simplement en nuisette bleu nuit et en string assorti, toutefois plus épais que la nuisette qui était, elle, transparente.
J’étais donc là, dans l’ambulance dont la température atteignait les 26°, engoncé dans mon cuir et portant ma cagoule et mon casque, devant une bombe sexuelle. Ses seins pointaient vers moi comme pour me défier au travers de cette nuisette, ses longs cheveux bruns allaient se perdre dans une chute de reins vertigineuse surplombant un fessier ferme et légèrement musclé, le tout reposant sur d’interminables jambes. Autant vous dire que des gouttes de sueur perlaient sur mon front, tant à cause de la température externe qu’interne, car vous vous doutez bien que je n’étais pas resté insensible à ses charmes.
Bredouillant une excuse du genre « Il faut que j’y retourne », je sortis de la cellule pour prendre l’air. Avant de retourner vers mon véhicule, je m’approchais du chef d’agrès VSAB, un ami, et lui demandais le rapport. Il me demanda pour quelle raison, question à laquelle je répondis par un signe de tête désignant l’arrière de son véhicule. Il éclata de rire en me le tendant et ajouta :
Sur ce, je repartis vers mon camion sans réussir à ôter Amandine de mes pensées. Mon entrejambe reprit tout de même une taille plus adéquate et je pus continuer l’intervention moins tendu. L’incendie ne tarda pas à être maîtrisé, l’EPS se replia et repartit au CIS.
Malgré nos efforts soutenus, il ne restait plus que les murs porteurs de la bâtisse. Le FPT de la commune voisine reçu l’autorisation de rentrer, ce qu’il fit après avoir fait le plein d’eau. Il ne restait donc plus que mon FPT, la voiture du chef de garde et le VSAB dans lequel il y avait toujours Amandine. À ce moment, la radio se mit à cracher :
…
…
Après cet affolement et le départ du VSAB et de la VLOG, il ne restait plus que le FPT sur les lieux. La reconnaissance n’étant pas terminée, les victimes ne pouvaient pas encore regagner le domicile. Je leur proposai alors de monter dans le FPT à condition de ne rien toucher. Amandine, les deux femmes de tout à l’heure et un homme d’une quarantaine d’années montèrent. J’en profitai pour enlever mon casque puis ma cagoule que je roulai en boule dans mon casque, le tout posé sur mon siège. Je ressortis pour terminer mon travail. Sur les sept autres hommes du camion, trois étaient en reco, deux restaient à poste mais sans arroser et les deux autres étaient en train de terminer de ranger leur lance. Ils me donnèrent un coup de main à brancher le camion sur le poteau incendie pour le remplir. Les trois hommes qui étaient en reco revinrent vers le camion et annoncèrent que tout danger était écarté. Les victimes pouvaient regagner la maison. J’ouvris la porte du camion pour prévenir les quatre personnes à l’intérieur que c’était bon et je retournai à mes tuyaux non sans tenter, en vain, d’apercevoir un autre bout de chair de la ravissante Amandine. J’étais en train de l’observer rentrer chez elle lorsqu’elle se retourna et me décocha un sourire à vous faire exploser le caleçon.
Une fois tous les tuyaux rangés, je repris le volant, direction le CIS, je rangeai le camion, tout le monde en descendit et se dispersa pour aller retrouver un lit accueillant et mérité. Le mien n’étant pas particulièrement accueillant, surtout après la vision de rêve que j’avais eu, je décidai de rester attendre avec le stass le retour du VSAB, lui proposant même de prendre sa place, ce qu’il refusa. Nous avions allumé la TV tout en discutant quand la radio se fit entendre :
Quand un véhicule se déclare DR (Disponible Radio) c’est qu’il est sur la route du retour dans un rayon n’excédant pas quelques Km autour du CIS.
Il serait là d’ici peu. Je décidai de faire un peu d’ordre dans mon casier en attendant son retour. Je commençai par donner un coup sur mon cuir puis attrapai mon casque, histoire de l’astiquer un peu. J’en retirai la cagoule, toujours au fond puis me dirigeai vers la table ou il y a toutes sortes de produits et de chiffons. J’en pris un et retournai vers mon casier. C’est alors que j’aperçu une tâche sombre au sol, je ramassai ce qui semblait être un chiffon et m’aperçu qu’il s’agissait…d’un string. Et pas n’importe lequel. C’était celui d’Amandine, je l’aurais reconnu entre mille. Le VSAB rentrant, je l’enfoui au fond de ma poche, me jurant de le lui rendre. Les gars rentrèrent et on se mit à discuter des différentes interventions de la soirée. Ma collègue me lança alors :
Sur ce rire, nous nous sommes séparés. Avec mon ami le chef d’agrès VSAB, nous avions convenu de nous retrouver au CIS à 14h pour une après-midi calendrier, ben oui, c’était la période. Il avait terminé son secteur et avait proposé de m’aider pour le mien, ce que j’avais accepté sur-le-champ.
Une fois rentré, je me mis au lit en me repassant le film de l’intervention. Ça m’arrivai souvent sauf que ce soir, je bloquai sur la scène de l’ambulance. Et non seulement je bloquai, mais en plus je déviai en me voyant lui faire l’amour dans le VSAB, pratique strictement interdite, vous vous en doutez. Et plus j’y pensais, plus mon sexe gonflait et durcissait dans mon caleçon au point de me faire mal. Ne voyant qu’une solution pour me soulager, j’ôtai mon caleçon et me dirigeai vers la douche en attrapant au passage le string qui était toujours au fond de ma poche. Il ne fallu pas longtemps pour que de puissants jets de sperme jaillissent de mon sexe douloureux avant d’aller s’écraser au fond du bac à douche. Avant de retourner me coucher, je pris une bonne douche pour me rafraîchir les idées. Une fois au lit, je ne tardai pas à m’endormir.
Après une nuit calme, j’émergeai difficilement quand le téléphone sonna. C’était mon frère qui voulait venir manger chez moi avec sa nouvelle petite amie. J’acceptai en le prévenant quand même que j’étais de garde, ce qui impliquerait mon départ en cas d’intervention. Il me dit qu’il n’y avait pas de problème et également de ne pas m’occuper du repas, qu’il s’en chargeait. Excellente idée. Je jetai un rapide coup d’œil vers le réveil : il affichait 11h08. Impeccable, me dis-je. Cà me laissait le temps de ranger un peu l’appart et de dresser la table avant leur arrivée. Midi moins le quart, les voilà qui arrivent. Lui, fidèle à lui-même tenant une bouteille de vin qu’il m’offrit, et laissant sa pauvre amie se débrouiller avec un panier bien rempli, panier que je m’empressais de lui prendre afin de la soulager. Une fois présentés, nous nous sommes installés au salon (en réalité un lit 1 place le long du mur faisant office de canapé, un vieux fauteuil piqué chez les parents et une table basse de récup) pour prendre un apéro. Je proposai avec ou sans alcool. Mon frère opta pour un whisky tandis que Virginie préféra un jus de fruit. Mon frère me voyant servir deux jus de fruit me demanda si j’allai bien. Il est vrai que d’habitude j’aime bien mon petit apéritif.
Ce qui entraîna un rire collectif. L’apéro et le repas continuèrent sur cette même bonne humeur. Virginie était de compagnie fort agréable bien qu’elle paraisse un peu réservée. Etait-ce le fait de rencontrer son beau-frère ? Je l’espère pour mon frère, car autrement il ne devait pas s’amuser tous les jours.
Un peu avant 14h, je leur expliquai mon rendez-vous et ils prirent congé en promettant de revenir me voir. Me voilà donc au CIS. Mon ami n’étant pas encore arrivé, je pris la carte afin de bien cibler mon secteur. C’est alors que je m’aperçu que la maison où nous étions intervenus dans la nuit, donc la maison d’Amandine, se trouvait dans le secteur du jour. Immédiatement, je mis ma main dans ma poche afin de vérifier que le string y était toujours. Sur ce, mon ami arriva et nous nous mîmes en route.
L’après-midi se déroulait tranquillement bien que la vente de calendriers relève parfois d’un certain art. En effet, il faut savoir remercier les gens en fonction de la somme versée mais également refuser poliment le café gracieusement offert « aux pompiers dont on aimerait ne jamais avoir besoin mais on est bien content quand vous êtes là », le pire étant en fin d’après-midi quand il ne s’agit plus de café mais d’apéro. Bref, l’après-midi se passait normalement jusqu’à ce qu’on arrive à la fameuse maison. Je demandai à mon ami de m’accompagner dans le but de prendre des nouvelles. Il me regarda et me demanda si je ne préférais pas y aller seul, au cas où se serait Amandine qui vienne ouvrir. Un regard lançant des éclairs appuyé d’un « T’es trop con ! » finit de le convaincre de me suivre.
Ce fût la propriétaire des lieux qui nous ouvrit :
Difficile de refuser. De plus, je n’avais toujours pas vu Amandine donc je trouvais là un bon prétexte pour rester un peu.
La famille arriva au complet et s’installa autour de la table avec nous. Enfin, presque au complet, Amandine manquait à l’appel. D’ailleurs, sa grand-mère demanda :
Nous avions attaqué le café en reparlant de l’incendie de la veille quand la porte de la pièce s’ouvrit. À ce moment-là, le temps s’est arrêté. Elle se tenait là, dans l’encadrement de la porte tel une reine, de beauté bien sûr, devant ses sujets.
Elle était tout simplement magnifique. Les cheveux tirés en arrière et ramassés en un chignon laissaient tomber malgré tout une mèche du haut de son front pour aller effleurer sa joue droite. Elle portait une paire de lunettes fine et discrète sur le bout du nez, qu’elle avait fort joli d’ailleurs, et était vêtue d’un cache-cœur noir qui laissait entrevoir la naissance de ses seins, ainsi que d’un pantalon de toile blanc à moitié transparent qui laissait apparaître la marque d’un string. Elle vint s’asseoir à ma gauche, la dernière place, à côté de la porte. Je n’arrivais pas à détacher mon regard d’elle lorsque que mon ami me donna un coup de pied dans le mollet.
Et à ce moment-là, tout le monde y compris mon ami et Amandine, éclata de rire.
Et me voilà dans la salle à manger, seul avec Amandine. Dès lors, tout s’accéléra. Elle me donna l’argent que je mis dans ma poche. Quand je ressortis ma main, j’entendis quelque chose tomber au sol. Merde le string ! Je me penchai rapidement pour le rattraper et me relevai. Mon visage se retrouva alors à moins de 20 cm de celui de ma muse et mon regard plongea dans le sien. Elle me sourit et je ne pus m’empêcher de rougir. Sans quitter son regard, je bafouillai quelque chose du genre :
Nous sommes retournés à la cuisine pour terminer notre café.
Oh oui, c’est bon. C’est même très bon mais ça c’est personnel.
Le café terminé, nous avons pris congé. Une fois à l’extérieur, mon ami me dit :
Maintenant que le problème de la disponibilité est réglé, au boulot ! Il est 16h30, j’ai une barbe de trois jours, je n’ai rien dans le frigo et un peu de ménage ne ferait pas de mal. Il me reste trois heures. J’attaque par le ménage, la chambre avait bien besoin d’être rangée, et ensuite je file au supermarché le plus proche afin de trouver quelque chose à manger. Il y a du monde partout car c’est un des derniers week-ends avant les fêtes. Acheter un repas pour deux personnes, une bouteille de vin et un bouquet de roses, ben oui faut faire bonne impression, ne me prend plus de trois quart d’heure. Il ne me reste plus qu’une heure avant de retrouver celle qui hante mes pensées depuis hier soir. Une fois rentré, je file me raser et prendre une bonne douche. Ensuite, je dresse la table, dispose les fleurs sur la table basse et prépare un CD. Je fais un dernier tour de l’appart afin de vérifier que je n’ai rien oublié avant de descendre au CIS.
J’arrive là-bas à 19h15. Elle n’est pas encore là. Je rentre pour enlever mon numéro de bip de l’ordinateur et mettre à la place celui de mon ami. Je l’appelle pour le prévenir que le changement est effectué et lui dire que je serai au CIS à 8h demain matin pour reprendre ma garde. Un coup d’œil par la fenêtre et je vois Amandine arriver. Je sors du bâtiment et me dirige vers sa voiture. Elle me voit et au lieu de sortir attend que je lui ouvre la porte, ce que je m’empresse de faire. Elle sort et se place derrière moi pendant que je ferme la porte. Lorsque je me retourne, je manque de tomber à la renverse. Elle se tient là, un splendide sourire accroché aux lèvres, toute de blanc vêtue. Elle porte un bustier et une courte veste à manche longue qui laisse apparaître son charmant ventre. En bas, elle porte une longue robe et le tableau se termine par une paire de bottes, blanche également. Je suis muet d’admiration.
Nous entrons et au moment où je referme la porte, le télex s’affole tandis que l’alarme se déclenche.
Une fois arrivé chez moi, je me gare et m’empresse de descendre pour aller lui ouvrir la porte. En montant l’escalier j’ai du mal à détacher mon regard de ses jambes moulées par sa longue robe. Elle l’a probablement remarqué mais a la délicatesse de ne rien dire. Nous rentrons dans l’appart et je lui propose de se mettre à l’aise et de me donner sa veste. N’ayant pas de porte manteau, je la dépose sur mon lit. Quand je reviens dans le salon, elle s’est lancée dans un recensement de mes disques.
C’est du jazz calme, excellent comme musique de fond. Le repas se déroule sans problème. Je suis un peu troublé de dîner face à une telle beauté. J’essaie de ne rien laisser paraître mais je crois qu’elle s’en est rendue compte.
Le repas terminé, nous nous installons au salon. Le disque est terminé. Je lui propose d’en mettre un autre quand mon téléphone sonne. Je m’excuse et vais répondre. C’est ma mère qui me demande chez qui les pompiers sont allés. C’était dans son quartier mais elle ne sait pas chez qui exactement. C’est le drame : les pompiers sont dans le quartier et on peut même pas dire aux copines qui est parti avec les pompiers. Vous vous rendez compte ? Je me dépêche de prendre congé et retourne voir Amandine. Elle a mis un disque de slows qui sert généralement lors de nos soirées entre amis, histoire de danser un peu.
Nous continuons de discuter ce qui me permets d’apprendre qu’elle est seule, qu’elle en a marre des aventures d’un soir, qu’elle cherche quelqu’un avec construire quelque chose de solide, etc. La discussion continue sur des sujets divers et variés lorsque un nouveau morceau démarre.
« TILT !» Je m’agenouille devant elle, lui prend la main et lui demande :
C’est ainsi que je me retrouve, enfin, dans ses bras qui s’enroulent autour de mon cou pendant que mes mains se posent dans le creux de ses reins. Sa tête vient se poser tendrement sur mon épaule et ses yeux se ferment alors que nous commençons à tourner. Je suis bien. Je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Aussi, lorsque les derniers accords se font entendre, je me résout à quitter ces bras si accueillants. Mais à mon grand étonnement, elle ne me lâche pas. Au contraire même, je sens ses bras se resserrer autour de mon cou. Elle n’a toujours pas ouvert les yeux. Dès les premières notes du morceau suivant, nous reprenons notre mouvement.
Il se passe près d’une minute avant qu’elle n’ouvre les yeux et me demande :
J’ai à peine le temps de finir de parler que ses lèvres viennent à la rencontre des miennes. C’est d’abord un effleurement plus qu’un baiser. Puis elles se font plus insistantes avant que sa langue ne se crée un passage entre mes lèvres pour aller à la rencontre de la mienne. Nos langues s’enlacent, se cherchent, se trouvent et nous restons à nous embrasser pendant de longues secondes. Je suis aux anges.
Je m’enhardis et je commence à la caresser entre le haut de sa jupe et le bas de son bustier. Ses doigts viennent s’emmêler dans le peu de cheveux que j’ai, avant de descendre dans mon cou puis sur mon torse.
C’est alors que je la prends dans mes bras et la soulève. Je me dirige vers la chambre et la dépose délicatement sur le lit. Je me redresse et me recule un peu afin de l’admirer. Elle me dit alors :
Je m’approche alors du lit et prends son pied toujours dans sa botte. Je le masse à travers l’épaisseur de cuir en remontant petit à petit ma main vers le haut de la fermeture. Après avoir enlevé sa première botte, la deuxième subit le même sort. Je m’aperçois alors que ses jambes sont voilées de blanc. Collants ou bas ? Aucune idée pour le moment mais quelque chose me dit que je ne vais pas tarder à le savoir. Je m’allonge à ses cotés tout en laissant ma main droite remonter doucement sur sa jupe. Je l’embrasse tout en caressant la partie nue de son ventre.
C’est alors qu’elle ôte ma veste et s’attaque aux boutons de ma chemise. Une fois torse nu, mes mains passent dans son dos et je fais descendre la fermeture éclair de sa jupe. Elle m’aide à la faire glisser jusqu’à ses pieds et ma beauté se retrouve en sous-vêtements. Il ne lui reste plus que son bustier, un joli string blanc et ses bas. J’ai l’impression que je vais exploser mais je me retiens. Amandine s’attaque désormais à mon pantalon qu’elle fait descendre à mes pieds et l’enlève en même temps que mes chaussettes.
Je libère sa poitrine de son bustier et je me retrouve face à une magnifique paire de seins. Mes doigts s’aventurent sur ses globes de chair tendre et douce avant d’être rejoints par ma bouche et ma langue. Elle se cambre et pousse en petit cri quand ma langue vient titiller son téton droit. Ne voulant pas aller trop vite, je laisse son téton et vient m’allonger sur elle. Mon sexe vient se poser sur le sien mais nos string et slip respectifs empêchent toute pénétration. Sa main se glisse entre nos corps et vient saisir ma verge tendue à bloc. Elle me pousse pour que je m’allonge sur le dos. Elle se saisit alors de l’élastique de mon slip et me l’enlève en libérant mon sexe au bord de l’explosion.
Elle s’approche de lui et vient jouer du bout de la langue avec mon gland. S’en est presque douloureux tellement je bande. À ce moment, elle ouvre la bouche et gobe mon gland. Sa bouche descend lentement et ma tige disparaît au fur et à mesure dedans. C’est bon d’être au chaud dans cette superbe bouche. Elle entame un mouvement d’aller-retour mais j’explose au fond de sa gorge en lâchant un râle de plaisir. Elle avale toute ma semence et me nettoie la queue avec application. Je tente de m’excuser mais son index vient se poser sur mes lèvres pour me faire taire. Elle me chuchote alors :
Je lui écarte délicatement les jambes, effleure l’intérieur des cuisses du bout des doigts, joue avec l’élastique de son string avant de le faire descendre le long de ses sublimes jambes. Ma langue ne tarde pas à descendre vers son entrejambe pour commencer à lui lécher délicatement les plis de l’aine, zone qui se révèle très sensible chez ma partenaire, puis continue en titillant son sexe et son clitoris du bout de la langue avant que ma bouche ne se plaque sur son abricot. Ma langue vient alors la laper. Elle ondule de plus en plus vite, ce qui m’oblige à l’agripper par les hanches et ma langue devient plus curieuse encore. Elle taquine l’entrée de sa caverne maintenant totalement trempée, va-et-vient entre ses lèvres, et même un peu au-delà, frôlant sa rosette, puis revenant jusqu’à son bouton d’amour que je tète tel un bébé tète le sein maternel. C’est alors qu’elle a un premier spasme, suivi d’un second, avant que l’orgasme ne la prenne violemment. Je viens de la faire jouir sous ma langue.
En m’allongeant à ses côtés ma verge, de nouveau tendue, frotta sur sa jambe. Amandine se dirigea vers elle, et lui dit :
Elle me poussa sur le dos et vint se mettre à cheval sur moi. Mon sexe, qui avait repris toute sa vigueur, se trouvait à quelques centimètres de sa vulve qui descendait inexorablement vers le plaisir. Amandine s’empala sur mon pieu d’un seul coup, ce qui lui arracha un cri. Elle se pencha en avant et nos bouches se retrouvèrent pour un baiser passionné. Nos lèvres se décolèrent et elle me chuchota :
Comment voulez-vous désobéir à un tel ordre ? Son bassin se mit à onduler tandis que je faisais aller et venir ma queue dans son ventre. C’était bon. Elle criait de plus en plus fort et ses mouvements devenaient complètement désordonnés. Je me dégageai de son sexe, la fit se mettre à quatre pattes afin de la prendre en levrette. Désormais, c’était moi qui dirigeai la manœuvre. Mon mouvement de va-et-vient était variable, tantôt lent et de forte amplitude, tantôt rapide et court. Ce traitement que je lui administrai eu raison d’elle au bout de quelques minutes. Elle s’affala sur le ventre en jouissant et en se déversant. Après avoir repris sa respiration, elle me fit remarquer que je n’avais pas joui. Elle s’allongea alors sur le dos et me demanda de venir sur elle. Je la pénétrai d’un seul coup et commençai à la pilonner. Elle se remit à crier mais j’éjaculai au fond de son sexe après quelques minutes. Je me laissai quasiment tomber sur elle le temps de reprendre mes esprits.
Je me dégageai doucement de son sexe avant de m’allonger à ses cotés.
xXx