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n° 10305Fiche technique8465 caractères8465
Temps de lecture estimé : 6 mn
14/04/06
Résumé:  Un jeune homme fait des découvertes.
Critères:  hh travesti
Auteur : sebbro      
Grande révélation

Grande Révélation 1


C’était quelque chose que je n’attendais pas, mais c’est arrivé ainsi… J’avais alors 22 ans et j’étais tout fringant. Je ne fréquentais pas du tout le milieux gay mais parfois j’allais sur des site de discussion et je me plaisais surtout à regarder des photos de travestis et de transsexuelles. Je me masturbais parfois en m’imaginant différends scénarios de rencontre torride.


C’est alors qu’elle est apparue, elle se prénommait Alice. J’ai discuté avec elle de mes fantasmes sur Internet et elle m’a fait une proposition de rencontre chez elle, dans le centre ville de Montréal. J’étais extrêmement agité à l’idée de réaliser un fantasme mais j’ai quand même tout de suite accepté l’invitation. Le rendez-vous était pour la soirée même, je pris une bonne douche et me dirigeai vers son domicile.


Mon cœur voulait sortir de ma poitrine tellement j’étais nerveux.

J’avais une semi érection qui paraissait au travers de mes jeans, je transpirais comme un cochon je ne savais pas à quoi m’attendre. J’étais transi devant la porte et j’appuyai sur la sonnette. Un petit moment d’attente angoissant puis la porte s’ouvrit, je n’étais pas déçu. Devant moi se tenait Alice, exactement comme elle s’était décrite : une longue chevelure noire droite, un maquillage parfait, elle portait un bustier qui valorisait une belle poitrine frauduleuse, une jupe mi-cuisses qui lui donnait de magnifique hanches, de belles jambes gainées de bas de nylon noir, les pieds dans des chaussures à talon qui rehaussait l’ensemble. Elle vit mon désarroi et m’aida à entrer dans son appartement en titubant.


Elle referma la porte derrière moi en la barrant.

Elle m’invita au salon et je la précédai dans cette pièce. Je m’assis sur le divan et elle s’installa à mes côtés. Elle était douce et elle dégageait un doux parfum qui invitait à la luxure. Elle me questionnait sur des sujets banals et pendant que je répondais elle posa une main sur ma cuisse et la caressa doucement.



Elle prit une de mes mains dans les siennes, l’embrassa et la posa sur sa cuisse. Je la regardais dans les yeux et je m’approchai pour l’embrasser. Nos bouches se touchèrent et doucement nos langues se réunirent dans un ballet buccal fantastique. Elle goûtait tellement bon. Toujours en conservant nos bouches unies, elle se déplaça pour se mettre à califourchon sur moi, ses mains libérant mon torse de son vêtement qui allait devenir inutile.

Toutes mes peurs et mes angoisses s’envolèrent et je me laissai aller totalement. J’avais une douloureuse érection et je ne tardai pas à remarquer que Alice aussi bandait. Elle se leva, une bosse soulevait sa jupe. Moi j’étais déjà tout décoiffé, torse nu et terriblement excité.



Elle me prit par la main et m’entraîna au bout d’un corridor où devait se trouver sa chambre. Tandis qu’elle marchait devant moi, je ne pus m’empêcher de lui mettre une main sur les fesses et caresser le doux tissu de sa jupe.

Nous voici debout devant le lit.



Je dégrafai la jupe tout en caressant mon amante, le morceau de tissu tomba aux pieds de la belle. Elle leva les pieds pour se libérer de la jupe. La lingerie qu’elle portait était magnifique. Elle prit le soin de faire tomber mes jeans à mes pieds ainsi que mes sous-vêtements.

Je me retrouvais nu devant elle, le sexe pointant fièrement dans sa direction. Elle le prit délicatement dans sa main droite et m’attira tout contre elle sur le lit. Nos bouches s’étaient retrouvées et avaient repris leurs ébats, nos mains se promenaient sur l’ensemble de nos corps qui se tortillaient sur la couette. J’étais maintenant sur le dos, ma belle me chevauchant. Sa bouche quitta la mienne pour descendre lentement dans mon cou, puis sur ma poitrine qu’elle lécha tout en mordillant mes tétons qui, pour la première fois de ma vie, s’hérissaient. Je ne contrôlais plus mes sens, je gémissais de plaisir.

Après un éternel voyage je réalisai la destination finale de sa bouche. Elle était maintenant sur mon sexe hyper rigide. Sa langue léchait la longueur de la hampe pour finir sa course sur mon gland qui fut englouti dans les profondeurs de sa gorge. Pendant ce temps, ses mains parcouraient mon corps jusqu’à mes testicules toujours bien pleins. J’étais en ébullition et ma douce me maintenait sur le bord de la jouissance avec sa langue et sa bouche sur mon sexe. Mais elle ne voulait pas que je jouisse si rapidement, sa bouche magique relâcha ma tige puis descendit vers mes couilles. Toujours sa langue me faisait voir des étoiles, cette même langue se lassa de mes couilles et amorça une descente vers mes tréfonds.

J’étais totalement impuissant face à ce traitement ; j’écartai au maximum mes jambes et sans même que je m’en rende contre, je lui offrais ma croupe en la soulevant. Je miaulais maintenant, je me perdais complètement. Mon membre perlait de goutte blanche signe de mon état…



Avec ses bras, elle amena mes jambes sur ses épaules, elle les replia vers moi, ce qui souleva davantage mes reins. Sa bouche revint vers la mienne et à ce moment je sentis son sexe tout aussi dur que le mien buter contre mes fesses. Je n’étais plus moi-même.



La queue d’Alice, forte de ses 8 pouces, coulissait entre mes lobes fessiers grâce à la salive déposée précédemment. Dans la position où nous étions, je pouvais parfois voir émerger le gland décalotté sous mes testicules. Alice se releva un peu et, avec l’aide de l’une de ses mains, plaça son gland directement sur ma rondelle.



Elle m’appelait ma belle et pour moi c’était comme naturel. Je hochai de la tête pour lui faire signe que j’étais prêt. Elle pressa davantage sa queue contre mon anus. Ça me faisait mal un peu et il y avait de la résistance.

Je fermai les yeux, pris une grande respiration et je poussai un peu comme pour aller à la toilette. Toute résistance rompu. Son gland entra en moi et lentement Alice poussa le reste de sa queue toute au fond de moi.

J’ai su qu’elle était en entier dans moi quand je sentis ses testicules frapper contre mes fesses. Alice ne bougeait plus. Mon cul s’adaptait à son sexe. Je n’avais aucune douleur. Je sentais le sexe chaud d’Alice qui pulsait légèrement dans mon cul.

Lentement elle se retira, quand elle arriva au gland il était retenu par mon anus resserré autour de sa hampe, elle le retira tout de même en m’arrachant un petit cri et replanta son sexe dans ma grotte entrouverte jusqu’au fond. Ma queue ne débandait pas. Mon amante commença son va-et-vient langoureux. Je trippais, je me sentais comme une petite pute qui se faisait baiser. Alice me traitait de salope en haletant et en pistonnant son sexe dans mon cul en feu. Son sexe emplissait mon derrière ; j’étais totalement offerte.


Après un certains laps de temps, Alice accéléra la cadence et explosa de jouissance dans mon rectum, tout en me pénétrant le plus profondément possible. Ma propre queue éclaboussait mon ventre de tout le liquide que mes sacs pouvaient contenir.

Alice resta encore un moment en moi, se retira, et elle retomba sur moi et nos bouches se retrouvèrent de nouveau…



À suivre…