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21/04/06
corrigé 30/05/21
Résumé:  Lors d'une réunion où je représentais notre équipe d'artificier, j'ai eu le bonheur de rencontrer la fille de notre chef départemental...
Critères:  fh jeunes extracon voiture exhib strip lingerie fellation cunnilingu pénétratio attache
Auteur : xXx      
Le feu d'artifice




Tout d’abord, je me présente. Je m’appelle Marc, j’ai 21 ans, je mesure 1,85m, brun, les yeux marron et je suis mécano dans une usine locale. Je suis également sapeur pompier volontaire et pyrotechnicien. J’ai une petite amie depuis environ six mois que j’ai rencontrée sur une intervention (cf « Au feu !!! »). Notre couple fonctionne à merveille et nous allons même nous installer ensemble d’ici peu. L’été approchant, c’est une série de feux d’artifice qui approche avec. Et un feu d’artifice, ça se prépare à coup de réunion par-ci, réunion par-là.


Or, lors d’une réunion où je représentais notre équipe d’artificiers, j’ai eu le bonheur de rencontrer la fille de notre chef départemental. Après les présentations faîtes par le père, il nous a laissé seuls, histoire d’aller saluer d’autres artificiers. Marine (c’est son prénom) est une mignonne petite blonde, mince, d’environ 25 ans, vêtue d’une mini-jupe noire moulante, d’un débardeur blanc et d’une veste assortie à la jupe. Autant dire qu’elle attire les regards. Moi aussi d’ailleurs, mais sûrement plus par jalousie que par désir.


Le fait que les nouveaux produits de la gamme soient présentés, interdisait toute cigarette dans la salle, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je déteste me retrouver avec des fumeurs dans un endroit confiné.

Etant donné que la réunion va débuter, on nous demande de nous asseoir. Tout naturellement, Marine s’installe à côté de moi et nous allons de nos petits commentaires sur chaque produit. Le courant passe bien entre nous, je me sens à l’aise avec elle et elle ne paraît pas dérangée non plus. La réunion touche à sa fin avec la distribution des catalogues puis nous sommes invités à rejoindre un restaurant distant de quelques kilomètres afin de terminer la soirée tranquillement. Nous quittons la salle avec Marine et descendons sur le parking rejoindre son père. Quand il nous aperçoit, il vient à notre rencontre et nous dit :



Nous voilà donc en route, direction le restaurant. Quand nous arrivons après un bon quart d’heure de route, le parking est déjà bien rempli. Nous sommes partis les derniers et nous sommes donc en retard. Mais cela n’a pas d’importance, étant donné qu’ils n’ont pas encore commencé. Par contre, il y a un léger problème pour se trouver une place. Il ne reste plus que trois places. Une au milieu de la tablée et deux autres tout au bout dans un recoin peu éclairé. Aucun de nous deux ne voulant laisser l’autre tout seul dans son coin, nous nous installons au bout de la table. Je suis tout d’abord un peu frustré d’être à l’écart du quatuor de rigolos car je préfère rire plutôt que de parler politique ou belle-mère (certain me diront que c’est pareil) dans ce genre de repas. Mais ma frustration va vite s’envoler car je m’aperçois que le fait d’être peu éclairé empêche les hommes de voir Marine et préfèrent donc discuter entre eux. Le repas se déroule tranquillement, nous discutons de tout et rien ce qui me permet d’apprendre qu’elle a un ami, qu’elle est fiancée et que son mariage est prévu pour la fin de l’été.



BAOUOUMM !!! Cette dernière phrase me fait l’effet d’une bombe. Une demoiselle si charmante, si agréable, plutôt bien foutue et avec qui je m’entends bien me dit qu’elle veut « profiter » ? A l’assaut !!! Pourquoi ne pas tenter ma chance ? Mon amie est loin, Marine veut profiter, un peu de changement me fera du bien, je su…


J’en étais là de mes réflexions quand je sentis quelque chose me frôler la jambe. Je relevai la tête de mon assiette et croisai le regard de Marine. Elle soutenait son regard, mes yeux étaient plongés dans les siens alors qu’elle continuait de me caresser la jambe par-dessus le pantalon avec son pied. Je fis comme si de rien n’était et terminais mon assiette rapidement. Le dessert puis le café furent servis sans que son pied ne décolle de ma jambe. Le repas se terminait et quelques personnes avaient déjà pris congé. À ce moment, elle me dit assez fort pour que nos voisins entendent :



Prenant congé à mon tour, je me dirigeai vers la sortie. Une fois dehors, je me dirigeai vers une haie afin de satisfaire une envie toute naturelle. Marine étant sortie, nous sommes montés dans ma voiture et nous avons pris la route. Je respectais les limitations de vitesses, ce qui me permettais de jeter de temps en temps des regards vers ma passagère. Sa minijupe ne couvrait plus grand-chose de ses cuisses, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Elle me dit alors :



Elle détacha alors sa ceinture et se mit à se contorsionner pour ôter son vêtement. Dans ses mouvements, sa jambe vint toucher ma main droite que j’avais volontairement laissée sur le levier de vitesse. Ce contact m’électrisa. Une fois débarrassée, elle se tourna vers moi. Malgré le peu de lumière, je pouvais voir la naissance de ses seins fermes qui tendaient son haut. Sans dire un mot, elle prit ma main et la déposa sur sa cuisse. J’avais ralenti l’allure de façon à pouvoir mieux la regarder. Elle me déshabillait du regard pendant que je frôlais avec délicatesse la peau de sa cuisse. Je m’efforçais à tourner la tête vers la route mais j’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur ma conduite.



Je dois avouer qu’elle ne me laissait pas indifférente et que la bosse qui déformait mon short n’était pas due à mon téléphone portable qui était dans ma poche.



Sa main venait d’atterrir sur la bosse de mon short et elle me massait délicatement le sexe à travers l’épaisseur de tissu. Je ne pouvais plus parler. Je fixai la route. Pourvu que je ne gicle pas dans mon short. À cet instant, ses doigts s’attaquèrent aux boutons de mon short.



Elle sortit mon sexe en érection de mon short. Ses doigts me branlait doucement tandis que je continuais à conduire. J’étais excité par le fait que j’allais me faire sucer en conduisant mais j’avais peur d’être vu. Je regardais partout autour de moi, j’essayais de voir le plus loin possible pour m’assurer qu’il n’y avait personne. Au loin, un feu. Il était rouge. Très bien. J’arriverais à son passage au vert. Oh… Oui… La langue de Marine venait de faire connaissance avec mon gland. Et maintenant, c’était ses lèvres qui venaient embrasser mon sexe sur toute sa longueur avant de l’engloutir complètement. Elle débuta de lents va-et-vient le long de ma queue lorsque je m’aperçus que le feu passait à l’orange. Merde ! Je m’arrêtai donc en priant pour que personne ne passe et ne s’aperçoive de ce qui se déroulait. Re-merde ! Quelqu’un arrivait derrière.



Marine ne semblait pas décidée à se relever. Tant pis.

De toute façon, c’est trop tard. Le camion se déporte sur la file de gauche et vient s’arrêter à ma hauteur. Ouf ! Placé de cette manière, le chauffeur ne peut rien voir. Le chauffeur oui, mais le passager…

Tut ! Tut !


Je me retourne, lève le regard vers la cabine et vois deux visages masculins penchés vers nous. La vitre est en train de descendre. Je me retourne vers le feu en espérant qu’il passe au vert.



Marine, qui n’a rien suivi, prend ça pour elle et accélère son mouvement. J’entends les deux routiers crier des « Vas-y ! », « Suce salope ! » quand le feu passe enfin au vert. Je démarre en trombe et prends de la vitesse. Je m’engage alors sur le pont qui permet l’accès à la ville tout en continuant d’accélérer. Je veux mettre le plus de distance possible entre nous et le poids lourd. Et tout à coup, FLASHSH !



Je ralentis pour me remettre à la vitesse autorisée, je sors à la première bretelle, fais demi-tour, et je reprends la direction de la ville. Marine me suce toujours. Elle joue avec mon gland, me lèche les couilles, revient faire coulisser mon sexe entre ses lèvres. Je suis au bord de l’explosion. Elle s’en rend compte et accélère encore son mouvement. Je jouis alors dans un râle de plaisir en giclant violemment dans sa bouche. Elle avale toute ma semence et me nettoie le gland avant de se relever.





Nous voilà devant son bâtiment. Je me gare juste devant l’entrée et j’éteins le moteur. Je laisse tout de même le contact, histoire de laisser tourner l’autoradio pour éviter que le silence ne s’installe entre nous.



Nous sortons de la voiture et nous nous engouffrons dans le hall de l’immeuble. C’est un réalité une copropriété de plusieurs appartements. Le hall, qui est propre et bien tenu, est disposé en L. La cage d’ascenseur est située dans le renfoncement. Il y a des fleurs et des plantes vertes partout et un grand miroir est fixé au mur à côté de l’ascenseur. Le hall est désert, silencieux et sombre. Je suis Marine qui se dirige vers le renfoncement. Elle appelle l’ascenseur et nous nous postons devant la porte. Le silence est pesant. Je me tourne vers elle, la prends dans mes bras et l’embrasse. Elle me rend mon baiser et je lui glisse à l’oreille :



Ca, il ne faut pas me le dire deux fois. Je m’accroupis devant elle en commençant à lui caresser les jambes. Je dépose doucement mes lèvres sur ses jambes mais elle se dégage.



Devant son peu de résistance qu’elle m’oppose, je la plaque sur le miroir et redescends vers ses jambes qu’elle tente d’écarter en vain à cause de sa minijupe. Qu’à cela ne tienne ! Je lui remonte sa jupe pour découvrir un joli string noir que j’enlève dans le même mouvement. Ma bouche retourne à l’assaut de ses jambes, ou plus exactement de son entrejambe. Elle se laisse faire. Je m’attaque alors à son abricot déjà bien humide. Je la sens se détendre et se laisser aller au plaisir.


Au bout de quelques minutes, je commence à avoir mal a dos. J’entreprends alors de lui faire passer une jambe sur mon épaule, puis l’autre jambe sur l’autre épaule. Elle ne touche plus le sol et je commence à me redresser. Elle s’appuie sur le miroir pour ne pas basculer et une fois complètement debout, je reprends mes caresses. Je lape son jus qui coule de son sexe gonflé. Ma langue se promène de son clitoris au bas de sa fente. Le silence règne toujours dans le hall. Seules nos respirations viennent troubler cette absence totale de bruit.


Nous restons plusieurs minutes dans cette position. Sa respiration s’est accélérée pour bientôt être remplacée par de petits cris qu’elle tente d’étouffer du mieux qu’elle peut. Et plus ses cris s’amplifies, plus je la lèche. D’un coup, je prends son bouton d’amour entre mes lèvres et je me mets à le téter comme si ma vie en dépendait. Elle ne résiste pas longtemps à ce traitement. Je la sens se raidir en criant et le miel de son plaisir inonde ma bouche.


Une fois ses esprits repris, je la descends de sa posture. Elle a laissée plein de trace sur le miroir. J’attrape son string et j’essaie d’effacer tant bien que mal, toute trace de son plaisir. Nous prenons ensuite l’ascenseur et montons au sixième et dernier étage de l’immeuble. La porte s’ouvre sur un palier tout aussi fleuri que le hall mais sur lequel ne figure qu’une seule et unique porte.



En réalité, « petit » n’est pas vraiment le terme qui convient. En effet, son appartement couvre une surface de près de 120 m². Plutôt pas mal pour un petit appart. Nous pénétrons à l’intérieur et nous nous retrouvons dans un salon – salle à manger en parquet, immense. Cette pièce est simplement séparée de la cuisine par un bar américain en teck. Une lumière tamisée fait ressortir le rouge du bar. L’ambiance est très chaleureuse et incite à se détendre. Marine me propose de me mettre à l’aise et de l’attendre quelques minutes avant de s’enfuir par je ne sais quelle porte.

Je mis à profit les quelques minutes que j’avais pour admirer le paysage. Une vue imprenable sur toute la baie s’offrait à moi. J’apercevais au loin les masses sombres des navires, surmontées de feux de navigations verts, blancs ou encore rouges. J’étais en admiration devant un si beau panorama quand je sentis une présence dans mon dos.



Je la suivis sans vraiment savoir où elle m’emmenait. Ses mains étaient douces et tendres. Je m’abandonnais à elle. Nous avons franchi une porte, puis une autre… Enfin, elle me dit :



J’étais prêt à lui promettre n’importe quoi, du moment que je pouvais la voir. Elle m’attacha sans serrer, juste pour la forme. Elle m’enleva mon bandeau et recula de quelques pas.



J’ouvris alors les yeux et fut ébloui. Non pas par la lumière, vu qu’il n’y en avait quasiment pas, mais par une Marine totalement différente et autrement plus sexy que tout à l’heure. Elle portait désormais une robe de soirée noire très sexy. Elle cachait ses seins tout en laissant apparaître la naissance de deux beaux globes de chair et descendait jusqu’à ses pieds. Sur les côtés, elle était échancrée jusque sous les bras. Seule une bande de tissu d’une dizaine de centimètres reliait le devant au dos de la robe. Pour éviter toute envolée involontaire de l’un des pans de sa robe, ils étaient reliés dans les échancrures par deux lacets qui partaient d’en haut pour s’arrêter sur ses hanches. Marine s’était également chaussée de chaussures à talon haut et semelle compensée transparentes. Ses cheveux blonds qu’elle portait jusqu’à maintenant en chignon, tombaient désormais sur ses épaules nues. Marine portait également une paire de bais noir auto-fixant mais je ne voyais aucune trace de string. Je n’avais plus qu’une envie : lui sauter dessus.


Etant attaché à mon fauteuil, je ne pouvais pas bouger. Par contre, Marine était libre de tout mouvement et en profitait. En effet, elle tournait autour de moi, s’approchait, se reculait, venait s’asseoir sur mes genoux en se collant à moi de manière à ce que ses seins se retrouvent à hauteur de mon visage tout en s’arrangeant pour éviter que ma langue ou ma bouche n’entrent en contact avec sa peau. Bref, elle me rendait fou.


Après quelques minutes de ce traitement qu’elle m’infligeait, elle passa dans mon dos et fit descendre ses mains le long de mon torse jusqu’à la ceinture de mon short qu’elle remonta aussitôt pour attaquer les boutons de ma chemisette. Elle les défit un à un de haut en bas avant d’écarter les deux pans de tissu pour dévoiler mon torse. Elle revint alors s’accroupir devant moi. Je bandais comme un âne quand elle se mit à titiller mes tétons de sa langue experte. Je faisais tout mon possible pour ne pas exploser dans mon short tellement elle était douée.


Tandis que sa langue continuait à s’occuper de mes tétons, ses mains descendirent vers mon short qui ne résista pas longtemps. Mon sexe bandé à fond se dressait fièrement vers le ciel. Marine se mit à me branler doucement avant que sa bouche ne vienne remplacer ses mains. Je ne pouvais retenir des gémissements.


Elle s’aperçut de mon état et s’arrêta. Elle se recula et ôta sa robe. Son corps était magnifique. Il ne lui restait plus que ses bas. Elle s’allongea sur le lit et ses mains commencèrent à se promener sur son corps, allant de ses seins à ses cuisses tout en glissant de temps en temps un doigt dans sa grotte déjà bien humide, ce qui lui tirait de petits gémissements qui ne faisaient qu’augmenter mon désir d’elle. Elle ouvrit alors le tiroir de sa table de nuit et en sorti deux godes. L’un était gros et de couleur chaire tandis que l’autre, noir, était plus petit.


Elle commença par sucer le plus gros avant de le diriger vers sa chatte et de se l’enfoncer sans plus attendre. Elle criait son plaisir tout en remuant le gode dans ses entrailles. Elle s’arrêta rapidement et attrapa une table qu’elle plaça devant moi. Elle s’allongea dessus, passa ses jambes par-dessus mes épaules et me demanda de lui lécher les deux trous, ce que je m’empressa de faire. Ma langue valsait entre son sexe et son cul.



Elle me tendit alors le petit gode et me demanda de le sucer. Un peu désorienté, je m’exécutai sans chercher à comprendre. Quand elle estima que je l’avais assez sucer, elle le présenta devant sa rosette et se l’enfonça d’un seul coup en lâchant un râle de plaisir.



Plus facile à dire qu’à faire. Je commençai donc à l’enculer avec son gode entre mes dents quand elle se releva et retira elle-même le gode. Elle ne tenait pas en place, ma parole ! Elle prit alors un préservatif sur sa table de nuit et me l’enfila avec la bouche. On ne m’avait jamais fait ça. C’était tout simplement génial. Elle vint alors me chevaucher et s’empala sur ma bite bien raide. Elle coulissait de plus en plus vite en gémissant de plus en plus fort. À cet instant, elle se pencha sur moi, offrant sa poitrine à ma bouche, et me détacha. Ayant retrouvé ma liberté, je la serra dans mes bras, me leva et nous allongea sur le lit.


A moi maintenant de diriger la manœuvre ! Je la pilonnai profondément, ce qui lui arrachai des cris de plaisir. Elle accompagnai mes pénétrations en ondulant du bassin. Elle criait aussi fort que possible. Elle ne me lâchait plus. Elle avait même planté ses ongles dans ma peau du dos. Je la bourrai comme un âne jusqu’à ce que l’orgasme la prit violemment, ce qui déclencha le mien. Je sentais mon liquide chaud inondé la capote pendant que son sexe se contractait sur le mien, cherchant à l’avaler.


Nous nous sommes écroulés sur le lit, mon sexe toujours planté dans ses entrailles. Elle me dit :



Après une bonne douche, j’allais partir quand elle me tendit un paquet cadeau.





Sur ce, je repris l’ascenseur en sens inverse, traversai le hall où Marine avait joui sous ma langue quelques heures plus tôt, sortis de l’immeuble, montai dans ma voiture et rentrai chez moi où j’arrivai un peu avant cinq heure. Au moment où j’allai rentrer, j’entendis quelqu’un m’appeler :



En me retournant, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir mon Amandine courir vers moi.





Une fois dans l’appart, elle voulut à tout prix l’ouvrir. Je ne savais toujours pas ce qu’il y avait dedans mais j’essayais d’être le plus décontracté possible. Elle déchira rapidement le papier et en sortit… la robe de Marine !



Je profitai de son absence pour ouvrir la lettre de Marine. J’y trouvai une carte de visite sur laquelle était écrit :




J’espère que ta copine appréciera et que


tu penseras à moi quand elle la portera.


Ne m’oublies pas et reviens vite. Préviens


moi avant.



Sexuellement. Marine.





Je restai interloqué devant cette lettre que je relue plusieurs fois. Quand j’entendis le loquet de la porte de la salle d’eau s’ouvrir, j’enfouis la lettre dans la poche d’une de mes vestes qui traînait. J’étais en train de me coucher quand Amandine entra dans la chambre et me demanda :



La nuit fût longue et après avoir honoré ma copine, je m’endormis d’un sommeil réparateur dont j’avais bien besoin.



xXx