n° 10339 | Fiche technique | 18124 caractères | 18124Temps de lecture estimé : 10 mn | 21/04/06 |
Résumé: Apprentissage Sulfureux dans un hôtel de luxe | ||||
Critères: fh couleurs collègues médical douche voir intermast pénétratio init | ||||
Auteur : Oup |
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A 11h, nous étions dans le réfectoire, les cuisiniers et les serveurs étaient à table.
Notre installation s’était bien passée. Sans avoir le grand luxe, notre chambre était confortable. Les lits étaient bons, un grand lit par personne.
La gouvernante vint nous rejoindre
La gouvernante nous laissa. Après avoir pris un plateau, nous nous installâmes à une table.
Le restaurant du personnel était plein, environ une centaine de salariés.
Nous discutâmes un moment, histoire de mieux faire connaissance.
Je n’osais pas trop parler, intimidé par les deux beautés.
J’avais trouvé deux alliées, aussi deux belles amies.
L’après-midi, la grande Sophie, nous fit découvrir les lieux, de la suite royale aux cuisines, l’économat, la lingerie, les bureaux, les salles de réunion, les bars, les restaurants, les boutiques, jusqu’au local poubelle, les jardins, les plages.
Ensuite, visite de centre de remise en forme.
La visite se termina à 16h.
Nous fîmes rapidos, dix minutes par personne.
Nous sommes montés à l’étage par un des ascenseurs, les couloirs étaient spacieux. Le très grand luxe.
Nous entrâmes dans le bureau, trois chaises étaient disposées, un peu comme une salle d’attente.
Une autre porte donnait dans la pièce. Nous nous dévêtîmes
J’observais mes amies.
Emma était plutôt petite, style bout de chou, très bien proportionnée malgré sa taille, une belle poitrine remplissait son soutien-gorge.
Naomi, bien plus grande, exotique, la peau mate, les cheveux noirs, tirant sur le bleu nuit, des petits seins en poire, de larges hanches. Un petit tatouage dépassait de sa culotte.
Toutes deux étaient belles, attirantes. Je les sentis aussi curieuses envers moi, me détaillant des pieds à la tête.
Les regards stoppèrent un bref instant sur mon petit slip grenat. Elles se regardèrent et pouffèrent de rire. Je sentis mes joues rosir.
La porte s’ouvrit sur la gouvernante
L’asiatique se leva, la porte se referma.
Après 30 minutes d’un profond silence, la porte s’ouvrit. Naomi en ressortit les bras chargés de vêtements.
Naomi, commença à se rhabiller.
Je me retrouvai seul dans l’anti-chambre, à attendre mon tour. Tout était réglé, montre en main, trente minutes…
Emma sortit aussi, les mains pleines.
J’entrai dans le salon. Une autre femme, blonde, était installée derrière un bureau, des lunettes sur le nez, la bonne trentaine.
Devant mon hésitation, elle insista.
A regrets, je me séparais de mon seul vêtement, mettant mes mains devant mon sexe, je montais sur la table.
La doctoresse s’approcha, me fit ouvrir la bouche, me prit la tension. Sophie la gouvernante se tenait à cinquante centimètres de moi.
Ce que je fis, déconfis, jamais une femme , n’avait vu mon sexe, deux encore moins.
La dame posa sa main sur moi, attrapa mes bourses, elle les fit rouler dans sa main.
Sans que j’y puisse rien, je commençais à bander
Elle continua son manège une petite minute, le temps que mon Popol à moi, pointe vers le plafond.
La gouvernante s’approcha les yeux brillants, prit ma tige, et me décalotta complètement.
La doctoresse, s’appliqua à me masturber, avec un savoir-faire digne des plus grandes séductrices.
Serrant les dents, je voulu me contenir. Elles étaient trop fortes pour moi. D’une ultime caresse, elles eurent raison de moi. Je me vidais à jets drus, dans les mains des deux perverses.
Après s’être essuyée, la gouvernante, me tendit un carton de linge
On toqua à ma porte, j’entendis le voix d’Emma
Purée, j’avais loupé le réveil. Je sautai du lit en slip, la tête dans le gaz, attrapai ma trousse de toilette, et filai vers la douche.
Naomi et Emma étaient déjà dans le couloir, en tenue de combat. En me voyant, elles pouffèrent.
J’arborais une impressionnante érection matinale. Mon slip pointait vers elles.
N’ayant pas le temps de m’apitoyer sur moi-même, j’entrais dans la douche.
Je m’activais rapidement, le cheveux en pétard, fallait que je me lave les cheveux.
A ce moment là, la porte s’ouvrit sur les deux donzelles.
Elle me tendit un slip, en profitant pour reluquer mon appendice à peine débandant.
Naomi, ne disait rien, mais profitait aussi du spectacle, les yeux rivés sur ma virilité.
J’attrapai la porte et la claquai sur moi. Dans le couloir, je les entendis glousser.
Une fois propre je sortis de la douche pour m’habiller. Mes amies étaient en train de feuilleter un magazine.
Je regardai de quoi, il s’agissait. Pas vrai, elle avait trouvé dans mon sac, un bouquin que m’avait repassé un copain : Hot magazine. Elles étaient plongées dedans
Je leur retirai le puits de science des mains.
Je sautai dans mon uniforme. Naomi plaça correctement ma cravate. Emma me tapa sur la joue.
Naomi me tapa sur les fesses.
A 6h29, nous étions en salle de petit déjeuner. Nous fumes accueillit par Lilian, un jeune de 25 ans, blond comme moi. Plutôt cool, il était responsable de salle.
Il nous expliqua brièvement le travail : Alimenter le buffet, servir les clients qui le souhaitaient, débarrasser les tables. Pas compliqué.
A un moment, Lilian me prit à part :
Je fis le fanfaron :
L’autre n’en croyait pas ses oreilles.
Les clients étaient exigeant, profitant de notre statut de loufiat. Ils n’hésitaient pas à nous sommer.
Une fois le service terminé, nous dûmes débarrasser, puis redresser les tables pour le lendemain.
Lilian me tendit les sacs de nappes et serviettes sales.
Je filai en lingerie au sous sol, chargé comme un baudet.
Deux femmes la trentaine étaient occupées à plier des draps. En m’apercevant, l’une d’elle dit :
Mona examina la fiche autour du sac
Je suivis la jeune femme derrière des étagères où était stocké le linge.
Mona était une belle femme, sûre de son charme. Vu son accent elle était portugaise.
Elle posa un pied sur la première étagère,
Délaissant son derrière, je la pris par les hanches et la soulevai. Elle grimpa, me dévoila toutes ses cuisses. Curieux je baissais la tête, pour reluquer sous sa blouse rose. Les jambes légèrement écartées, j’aperçus une énorme touffe de poils sombres. Elle n’avait pas de culotte.
Mon sexe nargué, en fit des siennes, releva de la tête. Mona me passa la pile de serviettes puis redescendit. Elle se retourna, collée contre moi.
Sa main s’empara de mon entrejambe et la malaxa avec habilité.
Elle prit mes lèvres pour y déposer un baiser. De sa main libre, elle prit la mienne et la dirigea vers son sillon.
Pendant ce temps, elle s’activait sur ma braguette. Elle réussit à sortir ma queue de son écrin.
Elle me fit entrer un doigt dans une douce moiteur, alors que sa main courait sur toute la longueur de ma tige.
Plus mon doigt bougeait dans son cratère, plus elle mouillait. Mona s’accrocha à mon cou, sans cesser de me stimuler. Mon doigt curieux la fouillait avec de plus en plus de plaisir. Je la sentis se raidir, elle accentua sa prise sur ma queue. Dans un soupir, elle réussit à me faire éjaculer, pendant qu’elle jouissait.
Après cet intermède plutôt réjouissant, je remontais au resto. Je croisai Emma dans un couloir
Après un petit stress matinal, je filais rapidement me changer pour revêtir presque un habit de clown. Costume rouge et petit chapeau rouge, je ne savais plus où me foutre.
Nous montâmes dans les étages, au premier, lieu de rendez-vous. Sophie nous attendait.
Je laissai mes amies à leur boulot. Arrivé au troisième, je me présentai à la buanderie.
Une jeune femme black y régnait.
La jeune femme, 25 ans pas plus, m’accueillit avec un large sourire.
La vraie usine, pensais je.
A 15 h, il ne nous restait plus que deux chambres à faire.
J’étais dans le même état. Elle fila dans la salle de bain et démarra la douche. Elle revint dans la chambre, ôta un à un ses boutons de blouse. Mis à part une culotte, elle était nue dessous.
Puis Clotilde se dirigea vers moi, commença à enlever ma veste, elle déboutonna ma chemise, desserra mon ceinturon, baissa ma braguette. Mon pantalon tomba à terre, ses mains se débarrassèrent de mon slip.
La responsable d’étage en fit de même, sa culotte fila au sol. Son pubis était fraîchement désépaissi.
Elle me prit par la main, m’attirant vers la salle de bain. Nous montâmes dans la baignoire, Clotilde me tendit un savon.
Je tartinai son corps de mousse.
J’obéissais. Après tout, j’étais là pour apprendre. Ce corps doux me fit me réveiller, très vite j’étais dans tout mes états.
Clotilde le remarqua, posa la main sur moi.
Sur ce, elle me tourna le dos, me tenant toujours par la queue.
Elle me plaça à l’orée de sa chatte, puis me dit :
J’entrai en elle, j’y laissai mon pucelage. Peu importe, le fruit était juteux, j’en prenais pleins les yeux.
Je la limai avec acharnement, un peu comme un jeune chiot à qui on donne son premier os. Gourmand, pas vraiment sûr de moi, j’y allais au feeling, je captais ses sensations.
Clotilde était vaginale, ma queue lui faisait du bien, rapidement elle commença à haleter pour enfin se lâcher :
Fortement stimulé par ce langage fripon, j’osai défoncer cette chatte gourmande.
Enfin, Clotilde s’agrippa aux rideaux de douche, en pleine extase, elle prenait son pied. Heureusement, car moi, je n’en pouvais plus de la limer. D’un ultime coup de rein, je me vidai dans le doux fruit mouillé.
Je libérai mon foutre, à peine reconstruit des émotions matinales.
Bon début d’apprentissage !
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