Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10352Fiche technique21403 caractères21403
Temps de lecture estimé : 14 mn
22/04/06
Résumé:  Quelques heures plus tard, plein de choses bizarres
Critères:  fh gros(ses) groscul amour volupté cérébral revede voir odeurs fellation
Auteur : Frédichounet            Envoi mini-message

Série : Charlotte ou massage et plus si...

Chapitre 03 / 05
L'expression de ses désirs.

J’ai demandé de l’aide pour cet épisode… On ne peut pas tout savoir !


Tout de suite… La suite !…




- - - - - -




Charli, mon amour,

Ca a été un vrai crève-cœur de devoir te laisser ! Tu connais mon travail et tu sais que ça ne serait pas prudent que je le fasse tout en dormant, n’est-ce pas ? Alors, je suis allé me reposer dans mon lit. Si j’avais tenté de dormir à côté de toi, je sais que je n’aurais pas dormi. J’aurais passé le reste de la nuit à admirer ton visage, à goûter ton souffle, à m’imprégner de ton odeur… mais je n’aurais sûrement pas dormi ! Tu sais que quand je ne blague pas je ne mens jamais, hein ?!… Alors, écoute, et imagine le son de ma voix, mets-y toute la sincérité du monde : JE T’AIME.


Fred.


P.S. : je te demande juste de me rejoindre ce soir, si tu le désires. Il faudra que je fasse une petite sieste cet après-midi.




Quand je suis rentré chez moi, ce matin-là, je me suis déshabillé intégralement. Une horreur à l’intérieur de mon caleçon ! J’ai juste réparé les dégâts à cet endroit. J’avais soif, mais je n’ai pas bu : j’avais encore le goût de son intimité dans la bouche ! Je dormais déjà quand ma tête a touché mon oreiller. J’ai maudit mon réveil quand il m’a tiré de mon rêve. Mais, tout de suite après, je me suis dit que je la reverrai ce soir. Bonheur !


Pas très loin de chez moi, un boulanger où je vais tout le temps me servir m’a autorisé à passer par son fournil quand j’en aurais besoin. Je lui achète quatre croissants. En repartant, je croise sa femme qui prépare la boutique avant l’ouverture. Le regard qu’elle me lance quand elle répond à mon bonjour, je le verrai à d’autres moments de la journée sur d’autres personnes. Avant d’arriver chez Charlotte, j’ai cueillis une pensée dans un parterre municipal (mea-culpa !). J’ai laissé le mot sur la table de sa cuisine, sous un verre dans lequel j’ai mis la fleur. Je lui laisse les deux croissants que je n’ai pas mangés en venant, je sais qu’elle en raffole. Je repose sa clé où je l’avais prise. De toute façon, comme nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre et que nous sommes (étions…) amis, nous avons échangé des doubles, au cas où…

Je la retrouve presque dans la position dans laquelle je l’avais laissée. Ses longs cheveux recouvrent en partie son visage, mais je peux quand même voir un léger sourire sur ses lèvres entrouvertes. Je l’embrasse très légèrement, je ne veux surtout pas la réveiller. Au prix d’un TERRIBLE effort, j’arrive à ne pas répondre au désir qui s’est emparé de moi ! Au creux de son oreille, un murmure :



Mon supérieur direct, dans la boîte où je travaille, a l’air de m’attendre quand j’arrive… avec un quart d’heure de retard. Je la vois dans une sorte de brouillard, ouvrir la bouche. Mais, elle ne dit rien. Juste :



Elle a le même regard que ma boulangère. Elle me tend la main, comme tous les matins et je la lui caresse plus que je ne la serre.



Je ne sais pas ce que j’ai fait ce matin-là. Mais, comme je n’ai eu aucune "réclamation" par la suite, je suppose que je n’ai pas dû faire trop de conneries ?!… Les six heures de la matinée de travail, je les accomplis avec la force de l’habitude… Il faut bien dire que je "plâaane" complètement ! Tous les gens que je croise, je les vois derrière le voile qui recouvre ma vue. Sur ce voile, je vois en permanence le visage de Charlotte.

A la pose de midi, pour le déjeuner, Martine, qui n’a pas cessé de la matinée de me jeter des regards rêveurs, me propose de partager le casse-croûte qu’elle s’est préparé quand je lui dis que j’ai oublié le mien. D’ordinaire, elle n’aurait jamais fait ça. Elle sait trop bien combien je peux être glouton. Je la remercie et grignote plus que je ne mange. Je la remercie encore et me lève pour regagner mon poste de travail, et tombe nez à nez avec Odile.



Vous pensez qu’elle me materne un peu, et c’est vrai. Mais, elle a toujours été comme ça avec moi. Peut-être est-ce dû à ma petite taille… ou à la façon que j’ai d’"aborder" les "adultes" ?!… Je hoche la tête en signe d’assentiment et me lève. J’ai compris ce qu’elle voulait me dire et que la pudeur lui interdisait de nommer franchement.

Je ne me souviens pas des pas qui m’ont mené jusqu’à chez moi - heureusement que je peux rentrer à pied !

Je ne me souviens pas, non plus, être rentré chez moi, m’être déshabillé, pour une sieste… que je qualifierai de salvatrice. Toujours est-il que le rêve que j’ai commencé en quittant l’appartement de mon amour, juste avant d’aller au travail, a continué instantanément. Je me souviendrai toujours de cette journée idyllique !




C’est Charlotte qui vous parle, maintenant… Il n’arrivait pas à comprendre ce qui m’était passé par la tête, alors il m’a laissé son ordi. J’ai relu les deux textes précédents et je suis assez d’accord avec sa façon de présenter les choses. Son romantisme me donne chaud quelque part, et je l’adore pour ça !


Je me suis réveillée, ce matin, et je ne savais pas où j’étais. Pourtant, c’était bien mon salon, mon clic-clac ! Chez moi. Je n’ai pas réalisé, tout de suite, qu’il manquait quelque chose ici. Puis, je l’ai cherché partout. Puisqu’il vous a tout dit, je me dois de faire comme lui ! J’ai pleuré quand je me suis rendu compte qu’il n’était pas là. Puis les pleurs se sont changés en sanglots. Douloureux. J’avais encore envie de pleurer, mais ma peine s’est estompée d’elle-même. Et j’ai tourné et viré et erré comme une âme en peine pendant un bon moment. Jusqu’à ce que j’aille à la cuisine où j’ai instantanément vu la fleur dans son petit verre. Il y avait un petit papier dessous. Je me suis jetée dessus, et j’ai dévoré ses mots ! Je l’ai relu… et relu encore. J’ai fais comme il m’a dit : j’ai fermé les yeux, invoqué son visage (ça n’a pas été bien difficile), et je l’ai revu me disant qu’il m’aimait, vous savez à la fin du premier épisode ?!

"Putain de saleté de travail de merde !"

"Comment j’vais pouvoir attendre jusqu’à ce soir ? j’vais devenir folle, oui !… ’Toute façon, j’le suis déjà !" Je me parle toute seule depuis tout à l’heure… et je ne suis pas sûre de ne pas avoir hurlé toutes ces injures !

"Bon, respire…" … "Mais, arrête de parler à voix haute, bordel !" De toute façon, je ne peux rien y changer. Voilà ce que je me dis. Pour m’occuper les mains et ne pas m’arracher les cheveux, je relis son petit mot. Je suis sûre que vous n’y lisez pas la même chose que moi ! Finalement, j’y trouve la force de surmonter le terrible manque que j’éprouve. Et je me rends compte que je suis à poil au milieu de mon salon ! Peut-être qu’une bonne douche me ferait du bien ? Je reste bien un quart d’heure dessous. J’enfile mon peignoir, enveloppe mes cheveux dans une petite serviette, façon "turban indou", m’assoie sur une chaise dans la cuisine et me prends la tête dans les mains. Je n’arrive pas à me sortir son image de l’esprit. Quand je ferme les yeux, c’est encore pire : net à en crier de vérité !


Mais, au fait, comment a-t-il fait, pour la fleur ? Le mot, je peux comprendre, il a pu l’écrire ici !… mais, la fleur ?… Et puis, c’est quoi ce sac en papier ? Des croissants ! Alors, là il est un peu "con-con" : je lui dis que je veux perdre des kilos et lui, il m’offre des croissants ! Tant pis, ça vient de lui alors je les mange quand même. Je me sens mieux après ça : je n’ai plus faim. Il faut que je me secoue. Je décide de ranger un peu, ça m’occupera. La vaisselle est vite expédiée, il est vrai qu’on n’a pas sali trop de chose cette nuit. Le tour de la cuisine est vite fait aussi. Des flashs de nos folies me reviennent et embrasent mon bas-ventre ! "Non, ne pense pas à ça !" J’entre dans le salon où trône en son centre… le clic-clac. Le duvet, dont il m’a recouverte, traîne à moitié par terre, et je peux voir à un certain endroit, une tache plus sombre sur la housse. Je sens mon cœur cogner violemment dans ma poitrine. Et mes tétons durcir. Je m’approche, m’assieds sur le clic-clac et tout de suite, l’odeur de ma mouille me saute au nez ! "Oh non, c’est pas possible… il faut que j’y aille !"


Je fonce à mon armoire, attrape la première chose qui me tombe sous la main et l’enfile. C’est une robe. Je n’en mets jamais alors, pourquoi est-ce ça qui m’est tombé dessus ? Mystère ! Je décide de la garder quand même. Retour dans le salon. "Non, pas des baskets, connasse, pas avec une robe !" … "Bon, qu’est-ce que j’oublie encore ?… Ah oui, ses clés !" Elles sont dans un petit tiroir au bas de mon armoire. "Il ne sera sûrement pas rentré quand j’arriverai !" Devant la porte d’entrée, j’ai encore cette impression d’avoir oublié quelque chose. Je me frappe le front de ma paume : "et les miennes, de clés… j’vais p’t’être fermer ma porte, non ?" Sur le palier, après avoir donné deux tours à la serrure, je me dis que j’ai un peu froid au cul… juste avant de me cogner la tête contre la porte. Volontairement. "Ok, j’vais enfiler une culotte !"



C’est ma voisine, Louise, une vieille dame charmante, mais que je n’aime pas particulièrement. Je ne sais pas pourquoi. Je me retourne pour lui faire face.



J’ai comme l’impression qu’elle a entendu ce que je viens de dire. Mais elle n’en laisse rien paraître.



Et maintenant : le bouquet !



Je vois bien qu’elle n’est pas dupe. Mais, elle se montre très discrète, me fait juste un petit sourire… complice. Tout-à-coup, je décide que je l’aime beaucoup, finalement. Je lui fais une grosse bise sur la joue.



Enfin bref. J’ai fini par dénicher une culotte pas trop ringarde dans ma commode et quatre minutes plus tard, je me retrouve plantée devant la porte de mon chéri, les clés à la main. J’ai un peu peur. Je ne suis jamais rentré chez lui en son absence. J’ai le cœur qui bât la chamade, mais je parviens, sans trop trembler à introduire la clé dans la serrure et à ouvrir la porte. Je suis déjà venue ici pour des soirées entre amis, alors, pourquoi ai-je aussi peur ? Et puis où est passée la fonceuse que rien n’effraie, hein ? Elle a été changée en petite fille craintive et timide !


Sur ma droite, en avançant dans le couloir, s’ouvre la porte de sa chambre. Il est là ! Nu. Il a rejeté le drap qui le recouvrait, on dirait. Comment peut-il être là ? Il est à peine 13h30 ! Normalement, il finit tous les jours à 15h ?! En vérité, je me fiche un peu de ce mystère… Un trouble immense s’est emparé de moi ! Il ne fait pas complètement sombre et ce que je vois a simultanément mit le feu à mon visage, accéléré encore les battements de mon cœur et asséché ma bouche. Oubliée, mon excitation de tout à l’heure ! Elle a été remplacée par une furieuse envie de me jeter sur lui. Mais, je ne peux pas. Il est épuisé, ça se voit. Ah, je suis dans de beaux draps, maintenant ! Je me traite encore de conne, dans ma tête, en me disant que j’aurais dû attendre qu’il soit réveillé pour venir l’importuner.

Il est couché sur le dos. Un petit sourire illumine son visage. Un ange !… Ou peut-être le vois-je comme ça parce que je sais maintenant qu’il est un monstre de tendresse. Il vaut mieux que je m’arrache à ma contemplation, sinon je ne vais pas pouvoir tenir !

Plus loin, après le couloir on accède au salon. Je m’assois sur le canapé. Je ne sais pas quoi faire de mes mains, et je me rends compte que je tiens toujours ses clés et les miennes dans ma main gauche. D’habitude, se sont les poches de mes pantalons qui accueillent mes clés ! Mais là, je suis en robe. Je prends conscience que je me sens plus libre dans cette robe. Merde, il est toujours dans ma tête !


Bon… Voilà… Hum hum… J’m’ennuie un peu ici, toute seule ! Et puis, ce n’est pas DU TOUT ça que je veux ! Je peux peut-être aller m’allonger à côté de lui ? Ca ne le réveillera pas. Oui, voilà, c’est ça que je veux ! Je pose les deux jeux de clés sur la table basse et retire mes chaussures. Il m’a laissé une petite place dans son lit. Maintenant que j’ai pris cette décision, je me sens beaucoup plus calme. Je retire ma robe et m’allonge tout doucement à ces côtés, pour ne pas trop faire bouger le matelas. Je me sens si bien, ici ! Merci, Mon Dieu, pour la soirée d’hier ! C’est la première fois que je suis assez sereine pour pouvoir réfléchir posément à tout ça. Je le fais tout en le regardant dormir et respirer. Il a un corps non pas mince, comme je m’y attendais, mais plutôt musclé… Nerveux. Je peux, rien qu’avec le regard, compter ses abdominaux. Aucun poil ne vient couvrir son torse, juste quelques-uns qui prennent naissance sous son nombril et rejoignent ceux de son pubis. De prime abord, je trouve le sexe masculin un peu… moche ! Mais, tout de suite après, je me demande pourquoi j’ai si envie de le cajoler… Et de l’embrasser ! Avant que j’aie eu le temps de m’en rendre compte, je suis en train d’embrasser ses lèvres. Je craignais qu’il ne bouge ou se réveille, mais non. Alors, je continue. J’aime tellement leur goût que je ne pourrais m’en rassasier ! Ma main droite se pose délicatement sur son ventre. Sans presque la commander, elle caresse sa peau, tout en douceur. J’ai arrêté de l’embrasser, je regarde ma main dessiner ses muscles, jouer un instant avec son nombril et fourrager mes doigts dans ses poils. Je retiens mon souffle. Regarde son visage : il dort toujours. J’effleure son sexe de mes doigts. C’est aussi chaud que son ventre. Pas aussi dur que les copines me l’ont laissé entendre. Je prends le cylindre dans ma main et le sens prendre plus de consistance et de taille. Comme s’il était animé d’une vie propre ! J’ai déjà cédé à l’envie de le caresser ! Et maintenant, j’ai trop envie de l’embrasser !… Mais j’ai peur aussi ! Je scrute son visage pour y puiser du courage. Son petit sourire n’a pas changé et je vois ses pupilles bouger sous ses paupières. Tu fais un joli rêve, mon amour ?…

Je ne peux pas me mentir : j’ai VRAIMENT envie d’embrassé sa bite !… Bon ! Ok !

J’ai peut-être tout simplement oublié les nombreux orgasmes que j’ai eu avec les quelques amantes que j’aie connues ? Tout ça me paraît tellement dérisoire à côté de ce que j’ai ressenti ce matin !


Examinons les choses posément : pas une seule fois depuis hier soir, il ne m’a déçu. Bon d’accord, il n’est pas très viril, et puis c’est quoi cette façon de nier sa propre personne ? Pas une seule fois, il ne m’a demandé ce que je voulais lui faire ! Oui mais, il est arrivé à me faire croire que j’étais belle… Il faut bien dire qu’il est légèrement cintré, de croire qu’il peut me faire croire ça !… Il a été… parfait ! Il était sincère. Si, il l’était !

Je ne suis pas folle, hein !… c’est juste mon penchant gouine qui essaye de dissuader mon côté "j’suis-raide-dingue-de-ce-mec" du bien fondé de mon envie ! (haha !)… Toi, la goudou, la ferme ! De toute façon, t’as déjà perdu, ok ?!

Ben oui, j’ai déjà posé quelques baisers timides sur sa hampe qui n’est plus tout à fait molle. Je commence à comprendre les copines quand elles me parlaient d’une chose dure. N’allez pas me prendre pour une oie blanche : j’ai déjà vu quelques films de cul, mais c’est la première fois que je touche une bite de ma vie, d’accord ? Bref ! Ca dépasse un peu de mon poing aussi. Ce n’est plus cette petite chose qui m’a un peu fait peur tout à l’heure. Là, je panique carrément !… Et je mouille. Ma respiration est à l’unisson de mes émotions. Je décalotte son gland et fais courir un bout de langue dessus, pour y goûter. Je n’ai pas pu m’en empêcher. Ce simple geste m’arrache un sourire : j’aime ! Donc, je recommence. Je la couvre de coups de langue. Comme je me connais bien, je m’adresse à moi-même :



Je prends le gland entre mes lèvres, les resserre un petit peu et commence à descendre. Des doigts viennent se poser sur mon front.



Tiens, mon chéri est réveillé ! Je lâche sa queue, me jète sur lui, le plaque à son lit et lui roule la pelle de sa vie ! Je lui rends sa bouche.



Je ne le laisse pas parler. Je viole à nouveau ses lèvres ! Comme une folle-furieuse !



Il me prend la tête et m’embrasse comme il sait si bien le faire : en me caressant la langue plus qu’en tournant autour. Puis, il lâche ma tête. Salaud, je ne peux pas lâcher sa bouche ! J’suis sûre qu’il l’a fait exprès ! Je l’abandonne quand même.



Il me la tire. Je l’attrape entre mes lèvres et la lui suce, comme il l’a fait cette nuit. Ma main se saisit de sa verge et la branle très vite. Il se rend. Il crie, halète et gémit. L’instant d’après, je suis en train de reprendre là où il m’avait interrompu. Je parviens même à l’avaler jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis. J’adore ça ! Je lui malaxe les couilles, monte et descends le long de sa hampe, tourne ma langue autour de son gland à l’intérieur de ma bouche. Moins de une minute plus tard, sa bite fait des soubresauts, et je reçois les premières giclées de son éjaculation dans ma gorge. Je laisse s’échapper son sexe de ma bouche pendant qu’il crie tout en s’agrippant au drap. De son méat, deux ou trois autres giclées continuent de fuser jusqu’à ce que cela se calme. Derrière mon léger sourire, je déglutis et avale le sperme. Le goût me rappelle un peu la noisette, beaucoup le sel et d’autres choses que je ne peux pas identifier. Plutôt bon, dans l’ensemble ! Par contre, la consistance est un peu… dégueulasse !…

Pendant que son souffle finit de s’apaiser, je lèche toutes les traces de son plaisir sur son corps.




Charlotte :

Quand j’ai eu fini de raconter ce qui précède, il m’a enfin autorisé à lire ce que lui avait écrit en début. J’ai pu comprendre le coup de la fleur et la raison pour laquelle il était rentré aussi tôt.


Fred. :

Ma conclusion à moi a été plus longue que la sienne. Il a fallut que je corrige quelques erreurs (j’en ai sûrement oublié : j’suis pas prof de français !), et je me suis demandé si je devais supprimer toutes ses grossièretés. Nous sommes tombés d’accord pour dire que cela faisait partie d’elle…


Tous les deux :

A bientôt, peut-être…


Charli et Fred.