n° 10362 | Fiche technique | 34278 caractères | 34278Temps de lecture estimé : 21 mn | 23/04/06 |
Résumé: Une amie de femme, ma femme et moi avons passé quelques jours dans un minuscule appartement à la montagne. Promiscuité, jeu, trio. Vive les sports d'hiver. | ||||
Critères: ff ffh couplus hépilé fépilée vacances fdomine humilié(e) vengeance rasage fellation cunnilingu jeu | ||||
Auteur : Hépicurien |
Avec ma femme Océane nous sommes un couple uni depuis 8 ans, mais depuis quelques mois notre vie sexuelle a complètement changé. En effet, Océane a rencontré Véronique, l’institutrice de notre fille. Elles sont très rapidement devenues les meilleures amies du monde. Véronique venait manger au moins un fois par semaine chez nous. Un soir de janvier, elle nous proposa de partir tous les trois à la montagne dans un petit appartement qui appartenait à sa mère. Comme notre fille devait partir chez ses grands-parents pour les vacances de février et que travaillant à mon compte le mois de février est commercialement très calme, nous avons été enchantés de cette occasion.
Le voyage pour se rendre à Auron, s’est déroulé dans une ambiance bon enfant. Lorsque nous sommes arrivés, nous avons eu la surprise de découvrir un très petit appartement, car il n’y avait qu’une pièce qui faisait office de salon, salle à manger, cuisine, le clic-clac transformait cette même pièce en chambre à coucher, et une petite salle de bain.
Une fois nos affaires rangées, les skis loués et mangé une pizza, tout le monde étant fatigué nous avons été nous coucher sans demander notre reste. Le lendemain, nous avons passé notre journée à skier, et lorsque les pistes ont fermé, nous sommes rentrés prendre une douche, pendant que Véronique allait faire quelques courses. À peine entrée dans l’appartement, je fus pris d’envie de faire l’amour à ma femme,
Profitant de ce moment de faiblesse et de notre relative intimité du moment, je l’ai embrassé dans le cou, caresse qui l’a toujours fait craquer. À cet instant, j’ai sentis qu’elle se laissait aller. Elle se détendait. Profitant de cet avantage, je lui ai enlevé son gros pull, mes mains exploraient chaque centimètre de son corps. Elle répondait de plus en plus fougueusement à mes baisers. Lorsque ses mains se sont activées pour m’enlever mon pantalon de ski, j’ai su que j’avais gagné.
A peine sa phrase achevée, elle s’écarta de moi pour se déshabiller en toute hâte. J’en fis de même, et pendant que j’enlevais mon caleçon, elle m’avoua :
Elle me tendit son string, et je pus constater qu’il était effectivement maculé de mouille plus ou moins sèche. Ses désirs (surtout ceux-là) étant pour moi des ordres, je me suis fait un devoir de la satisfaire, et c’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvé en 69. Je ne sais pas si c’est l’air de la montagne qui l’avait mise dans cet état là, mais elle ne m’avait jamais aussi bien sucé. Son clitoris était tout dur, et elle se le frottait sur ma langue et mon visage en gémissant. Nous étions sur le point de jouir lorsque Véronique est entrée. C’est entièrement nu que nous nous sommes réfugiés dans la salle de bain, pour reprendre nos esprits.
Lorsque nous avons été rhabillés et que nous sommes sortis de la salle de bain, Véro finissait de ranger les commissions dans la cuisine.
Il y avait comme un froid entre nous, heureusement Véronique avait acheté quelques bouteilles d’alcool, l’apéro nous a vite rendu notre bonne humeur, et la discussion a dérivé sur le sexe. Quelques verres aidant, Véro nous a avoué qu’elle s’était découverte un penchant pour le voyeurisme et qu’elle avait été énormément excitée par cette scène. Ma femme d’habitude si réservée lorsqu’il s’agit de sexe, a avoué à son tour qu’elle aussi cela l’avait excité de s’être fait surprendre, et que son fantasme avait toujours été de faire l’amour devant quelqu’un. Moi, j’étais aux anges, la situation m’excitait, entendre deux femmes parler ouvertement de leurs fantasmes devant moi me rendait fou, d’autant plus que quelques instants avant, ma femme m’avait divinement sucé mais pas fait jouir. Je sentais mon membre se durcir de nouveau.
Véro nous resservit un nième verre, et se mit à nous raconter sa vie. Elle nous raconta qu’elle avait eu une relation avec un homme marié pendant 3 ans, qu’il devait toujours divorcer d’avec sa femme mais ne l’avait jamais fait et qu’il ne le ferait sûrement jamais alors elle avait décidé de le quitter quelques mois auparavant.
Pendant que les filles se livraient à leurs confidences, je mis la table et prépara le repas, que je leur servit. Elles étaient tellement impliquées dans leur discussion, qu’elles ne m’ont même pas calculé pendant tout le dîner. Après manger, Océane sembla se rappeler de mon existence et proposa que l’on fasse un tarot à trois. Cette proposition me ravissait, car plus le temps passait, et plus je me sentais évincé de leur conversation. Alors que j’allais distribuer les cartes, Véro me dit qu’elle connaissait une version beaucoup plus amusante du tarot, et que si nous étions d’accord elle nous l’enseignerait. Il s’agissait en fait d’un « strip-tarot ». Nous n’avions pas à compter les points ; si le contrat était fait les perdants enlevaient un vêtement pour une petite, deux pour une garde, trois pour un garde sans etc. …
Je pris une petite pour la première partie, que je perdis. Véro et ma femme, après une légère concertation, ont réclamé mon pull. Océane distribua les cartes en me souriant. Ses yeux brillaient de malice, lorsqu’elle remarqua la bosse qui déformait mon pantalon. Cette fois-ci, ce fut Véro qui prit une garde, elle avait un jeu d’enfer et nous mit une véritable raclée. Elle exigea le pull, le soutien- gorge de ma femme, mon tee-shirt et mon pantalon. La situation était devenue fantasmagorique, ma femme et moi à moitié nus et Véronique toute habillée.
Mon érection, maintenant, que j’étais en caleçon, était impressionnante. Ce fut au tour de Véro de distribuer, et comme mon jeu n’était pas mauvais et que je contais sur le chien je pris une garde. Malheureusement pour moi, il n’y avait rien au chien,
Je me sentais doublement gêné : d’une part d’être nue devant une amie de ma femme et surtout d’avoir une érection impossible à dissimuler.
Forte de sa chance, Véro prit à nouveau une garde qu’elle perdit. Elle du enlever sa combinaison de ski et son pull. Il ne lui restait qu’un tee-shirt, sous lequel elle ne portait pas de soutien-gorge et un minuscule string entièrement transparent qui laissait apparaître une vulve toute lisse. Je voyais au travers de son tee-shirt, ses pointes de seins dressées vers moi, comme deux obus menaçants. Elle se leva et alla à la cuisine pour nous ramener la bouteille de champagne qu’elle avait acheté pour fêter notre première journée de ski. J’eu alors tout le plaisir d’admirer son cul magnifique et ses longues jambes. Elle me faisait envie. Lorsqu’elle revint, avec la bouteille et les verres elle me regarda droit dans les yeux, tout en se passant la pointe de sa langue sur ses lèvres. Il me tardait de savoir comment cette soirée allait se terminer. Durant ce petit intermède, ma femme avait distribué les cartes. N’écoutant que ma volonté de voir ces deux superbes créatures entièrement nues, je pris une garde et que pour une fois je gagna. Ma femme la première se leva, enleva son pantalon et sa culotte, ce fut comme si je la voyais nue pour la première fois : ses seins bien que petits, attiraient mes mains, mes lèvres ; son sexe partiellement épilé me donnait envie de la prendre sur le champs. Je n’en pouvais plus d’attendre et j’allais lui sauter dessus, mais Véro me devança et se leva la première. Elle enleva son tee-shirt, et son string en me regardant droit dans les yeux. Ce fut comme dans un rêve, le temps semblait s’être arrêté. Ma femme et moi étions subjugués par le corps de cette femme qui était nue devant nous.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Après avoir vérifié que mes mains étaient solidement attachées, et que j’étais toujours dans les ténèbres, ma femme m’annonça :
Bien sur que j’étais prêt, je crois même que je n’avais jamais été aussi prêt… de jouir sans que l’on me touche. De plus c’était pour moi un jeu d’enfant de deviner laquelle de ces deux petites chattes appartenait à ma femme, puisqu’elle s’épilée le maillot alors que Véro était entièrement rasée. Les filles m’aidèrent à m’allonger parterre, puis l’une d’elle me présenta son sexe sans dire un mot. Il sentait très bon et était tout lisse. Trop facile, comment les filles avaient-elles oublier ce détail et penser m’avoir. Cette idée me traversa l’esprit au moment même où je déclarais :
A peine ma phrase achevée, on m’ôta le bandeau, et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir, au-dessus de moi, ma femme accroupie, le sexe dénué de tout poil.
Mes pensées se bousculaient dans ma tête. Devais-je me laisser faire ou arrêter ce jeu. Me faire raser par Véronique me rendait fou d’excitation, savoir que dans quelques instants elle allait me toucher le sexe, le manipuler, le raser. Je crois que ce qui m’excitait le plus c’est que ce soit ma femme qui me demande de laisser une autre femme s’occuper de mon sexe, sous ses yeux.
Véronique alla dans la salle de bain chercher une paire de ciseaux, de la mousse à raser et mon rasoir. Une onde de terreur me transperça. Confier ses attributs virils à une femme armée d’un ciseau est terrifiant, mais cette terreur décuple l’excitation sexuelle.
Véronique commença par me couper les poils pubiens aussi courts que possible avec les ciseaux, puis m’enduit tout le bas ventre de mousse à raser. Le contact de cette main « étrangère » me fit frémir. Le rasoir glissait sur ma peau. Véronique semblait très concentrée. Elle était accroupie entre mes jambes, mon sexe n’était qu’à quelques centimètres de sa bouche. Par instant je sentais son souffle sur mon gland. Comme j’aurais aimé qu’elle me suce à ce moment précis. Lorsqu’elle eut fini mon bas ventre, elle m’enduit la verge et les bourses de mousse à raser.
Véronique me rasa les couilles, et les filles me firent relever les jambes pour s’occuper de mon anus. Cette position est à la fois très inconfortable et très humiliante mais terriblement excitante. Le rasage terminé, Véro me passa un gant de toilette tiède pour éliminer les dernières traces de mousse. Lorsqu’elle eut finie, elles m’ordonnèrent de rester encore quelques instants dans cette position pour admirer leur ouvrage.
Océane rapprocha sa tête de mes cuisses, et de la pointe de sa langue, elle asticotât mon anus. Pour la première fois depuis que nous étions marié, elle me faisait une feuille de rose. Véro me caressait le bas ventre, frôlant à chaque fois de plus prêt mon vit.
Tout naturellement, elle s’était saisie de ma verge et me branlait tout doucement.
Ma femme releva la tête et engloutit mon sexe que lui tendait son amie. Sa bouche était chaude, humide, je sentais sa salive couler sur mes couilles. Véro s’est à son tour agenouillée, et après un « je peux ? », a commencé à promener sa langue sur mes couilles et la base de ma verge. Alors que Océane me suçait le gland un peu comme si elle suçait une sucette, Véro, elle me le léchait comme si c’était une glace. J’avais deux femmes, entre les jambes, qui me suçaient. Leurs visages étaient l’un contre l’autre. Elles se passaient mon sexe de l’une à l’autre, et parfois je voyais leurs langues se touchaient. Sur mon membre, leurs salives se mélangeaient. Une de ces deux diablesses me doigta l’anus, ce qui me dit jouir instantanément. Je n’eue même pas le temps de prévenir ma femme, qui reçu mon premier jet dans la bouche. Voyant que Océane avait eu un mouvement de recul, Véro se saisit de mon membre et me masturba avec frénésie en orientant mes jets de sperme vers la poitrine de ma femme. J’étais comme en transe, incapable d’aligner deux idées, et encore moins de me rendre conte de se qui venait de m’arriver. C’est la voie de Océane qui me ramena à la réalité :
Lorsque j’ouvris les yeux, je vis le visage de Véro avancer vers les seins de ma femme, tout doucement, un peu comme lorsque l’on veut approcher un animal sans l’effrayer. La pointe de sa langue toucha le sein de Océane, qui frissonna toute entière de ce contact. Véro commença par laper le sein de Océane en partant de la base pour se rapprocher du téton. Bien qu’il n’y avait pas de sperme sur le téton, Véro le lécha avec beaucoup de tendresse. Elle le suça pour le faire durcir. Mon épouse se laissait faire, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, elle semblait apprécier le plaisir que lui procurait cette autre femme. Véro délaissa quelques instants ce téton, pour téter l’autre. Ses mains ne restaient pas inactives, l’une caressait le ventre pendant que l’autre malmenait le pauvre téton abandonné. Sa main se rapprochait de plus en plus du mont de vénus dénudé. Lorsqu’elle l’atteint, elle le frôla plus qu’elle ne le touchât. Ma femme se cambra comme si elle avait reçu une décharge électrique et elle écarta inconsciemment un peu plus ses jambes pour faciliter la perverse caresse de son amie. Véronique était remontée du sein au cou de ma femme, elle lui déposait de tous petits baisers sensuels. Je n’en croyais pas mes yeux, et mon sexe non plus, il relevait fièrement la tête. Véro passait à présent sa langue sur les lèvres de ma chérie, et tout en lui triturant le clito elle se préparait à l’embrasser fougueusement sur la bouche. Mais ma tendre moitié repris ses esprits.
Océane assise sur le clic-clac se tenait la tête entre les mains et pleurait comme un enfant qui a perdu ses parents. Véronique pris sa tête dans son épaule, lui caressa les cheveux et lui dit des mots doux pour la calmer.
Véro se leva, servit trois coupes de champagne, et revint s’assoire à côté de son amie. Cette interruption m’avait également refroidit et mon érection était retombée. Nous bûmes tous les trois nos coupes sans dire un mot. Véronique rompit le silence la première.
Sans attendre la réponse, Océane déposa un chaste bisou sur la joue de Véro puis passa son bras autour de son cou. Elles se regardaient dans les yeux, et alors que je croyais la soirée terminée et que nous allions aller dormir, leurs lèvres se touchèrent une première fois. Ce premier baiser fut le premier d’une série de petits bisous sur les lèvres. Ne voulant pas aller trop vite, Véro se contentait de répondre aux baisers de ma femme. Ces bises durent réveiller le feu intérieur de Océane car elle s’enhardie. Elle posa sa main sur le sein de son amie et lui caressa le téton. Leurs lèvres s’ouvrirent, et elles échangèrent un baiser passionné. Pour ne rien perdre du spectacle qui m’était offert, je m’installai sur le clic-clac à côté de Véro. Ma femme délaissa la bouche de son amie pour lécher son sein, et échangea avec moi un regard empli d’amour et de complicité. Elle m’encouragea à faire comme elle. Je pris le sein de Véro à pleine main et lui pinça le bout. Véro rejeta sa tête en arrière et se laissa aller au plaisir qui montait en elle. À mon tour je lui léchai le sein. Sa peau était douce et avait un léger goût de vanille. Pour nous encourager à continuer, Véro posa ses mains sur nos têtes et nous caressa les cheveux. Ma femme posa une main hésitante sur le genou de son amie et la fit lentement glisser sur l’intérieur de la cuisse. Véro écarta ses jambes le plus qu’elle le pu pour faciliter les caresses. N’y tenant plus d’impatience, Véro se saisit de la main de ma femme et la posa sur son sexe. Elle se servit des doigts de mon épouse pour se caresser le clitoris. Dans la position où je me trouvais, je n’en perdais pas une miette. Ces caresses saphiques me donnèrent une nouvelle érection. Délaissant mon cuir chevelu, la main de Véro s’empara de ma verge, qu’elle masturba au même rythme qu’elle imposait à la main de mon épouse c’est-à-dire très lent et régulier. Chaque fois que sa main descendait, elle découvrait entièrement mon gland. Je risquais de jouir à chaque mouvement de cette main, mais ma femme me sauva, à mon grand étonnement, car elle se leva et s’installa entre les jambes de son amie. Elle déposa quelques baisers sur le ventre de son amie et approcha son visage de ce sexe offert et dégoulinant de mouille. La main de Véro se crispa sur mon sexe alors que son autre main se posa délicatement sur la tête de Océane. Elle appuya légèrement sur la tête pour indiquer à celle-ci l’emplacement exact où elle voulait se faire lécher. Je m’attendais à ce que ma femme refuse, mais non. Je vis tout d’abord le petit bout pointu de sa langue se posait, hésitant, sur ce clito qui en frémissait d’impatience. Mon épouse se lâcha complètement et sa langue se fit parfois pointue et parfois large. Elle passait et repassait sur toute la longueur de cette vulve qui s’ouvrait à chaque passage un peu plus. Véro, la tête toujours rejetée en arrière laissait le plaisir l’envahir.
Me sentant une nouvelle fois exclu de ces rapports saphiques, je me leva et me plaça derrière mon épouse. Comme elle s’étais mise à quatre pattes pour donner un maximum de plaisir à son amie, j’avais l’embarras du choix : soit je la pénétrais en levrette comme elle adore ou soit j’essayer de passer par « la porte de derrière ». Le choix était difficile car bien qu’elle n’ait jamais accepté que je la sodomise, je la sentais ce soir-là ouverte à de nouvelles expériences. Je choisis de me planter au fond de son sexe, d’appuyer un doigt sur son autre trou et d’attendre sa réaction. À ma grande stupéfaction, son cul vint à la rencontre de mon doigt, qu’il engloutit instantanément. Elle avait tellement mouillé que son cul était déjà lubrifié, aussi risquais-je un deuxième doigt qui fut aussi bien accepter que le premier.
Je pointais le bout de mon gland sur son anus qui s’élargissait sous ma poussée. Ma femme continuait de lécher frénétiquement son amie. Elle poussa juste un petit cri lorsque le gland fut entièrement à l’intérieur d’elle. Je me suis alors arrêté de pousser pour qu’elle s’habitue à mon sexe. Au bout de quelques secondes, c’est elle-même qui me donna le signal en venant à ma rencontre. À chaque nouvelle poussée, j’allais un peu plus profond, et malgré l’étroitesse du lieu, je réussis à la pénétrer à fond. Véronique poussait des soupirs et des gémissements, nous laissant supposer qu’elle n’allait pas tarder à jouir. Se trouver dans ce lieu tant convoité, me fit immédiatement jouir, et ma femme également. Véro, elle savoura le cunnilingus de ma femme encore quelques instants avant de se laisser submerger par le plaisir. Repus de plaisir, nous nous sommes endormis rapidement.
Le reste de notre séjour fut bien plus une avalanche de sexe que de ski ; et même maintenant que les vacances sont finies, ils nous arrivent encore de passer des week-ends ensemble pour notre plus grand plaisir …