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Temps de lecture estimé : 8 mn
26/04/06
Résumé:  Après huit ans, j'accepte de faire l'amour avec un autre homme.
Critères:  fh fhh fplusag couple couplus extracon cocus sexshop fellation fgode pénétratio fsodo ecriv_f
Auteur : Annelyse  (Femme mariée trop longtemps fidèle)      
Huit années de perdues

Voilà ! Ça y est, tu es heureux ? Il vient de me pénétrer avec sa belle verge et toi tu regardes béatement. C’est bien ce que tu voulais. Oh, j’ai mis du temps avant d’accepter, car je ne voulais que toi. Huit ans ! Il t’a fallu huit ans d’efforts et d’attente. Huit années pendant lesquelles j’ai toujours refusé. Mais aujourd’hui je prends mon pied et je t’avoue que ton bon plaisir ne m’importe pas. Et oui, si ce jeune homme me baise en ce moment, ce n’est pas parce que tu l’as voulu, mais bien parce que j’ai envie de jouir, jouir comme jamais je ne l’ai fait auparavant. Et il me fait beaucoup de bien. Regarde mon amour puisque cela t’excite. Regarde comme il me pilonne avec son gros engin. Enfin pas si gros que cela, mais comparé à toi c’est une différence notable. Quand je pense que je me suis toujours crue satisfaite avec toi. Quand je pense que tu me fatiguais avec tes demandes incessantes et variées. J’aurais dû accepter tout de suite. Je n’ai pas de regret cependant, car vois-tu, je sens que je vais jouir intensément dans quelques instants et quelque chose me dit que cela ne sera pas la dernière fois aujourd’hui. Ça y est je jouis. Branle-toi autant que tu veux en regardant mon amour, je m’en fiche. Je jouis. Comment est-ce possible de jouir autant ? Comment peut-il me faire autant de bien ? Mon Dieu que c’est bon. Il va venir lui aussi je le sens. Il va se vider les couilles dans ma chatte. Elle qui n’a connu que ton sperme à ce jour va recevoir la semence d’un jeune de vingt ans. Ça y est, il se vide en moi. Du haut de mes 47 ans, il semble que je fasse encore de l’effet. Tant mieux, car je compte bien en profiter maintenant.


Regarde-le mon amour, il me baise à nouveau, sans ménagement cette fois-ci comme tu le lui as demandé. C’est un gentil garçon qui vient de m’ouvrir les yeux sur ce que sera dorénavant ma vie sexuelle. J’ai bien dit MA vie sexuelle, car tu n’en feras pas toujours partie. C’est comme ça ! Quand je pense que tout a commencé il y a huit ans quand tu m’as annoncé que tu souhaitais me voir faire l’amour avec un autre homme. À l’époque, tu t’amusais à me prendre en photo nue sous la douche ou en train de m’habiller. Photos volées d’ailleurs, car je n’étais pas d’accord. Je ne suis pas ce que l’on appelle une bombe et j’ai quelques kilos en trop. Alors, me voir avec mes quelques rondeurs sur des photos ne me plaisait pas vraiment. Mais tu t’obstinais.


Et puis tu es passé à une autre étape quelque temps après, une autre demande. Ça ne te suffisait pas que j’aie accepté de te sucer, d’avaler et même de me faire enculer, il t’en fallait toujours plus. Je ne dis pas que tu as eu tort puisque j’aime bien tout cela maintenant, mais cette surenchère permanente me lassait tout de même, comme cette demande régulière de me voir faire l’amour avec un autre homme qui recevait la même réponse sèche et négative. Donc, tu m’as demandé de porter de la lingerie osée. Je n’ai rien contre la lingerie et j’en mettais déjà, tu le sais, mais celle-là était vraiment osée : soutien-gorge ouvert (seins apparents) et string fendu. Je les ai mis avant nos ébats pour te faire plaisir. Et au lieu de m’être reconnaissant, tu m’as tout de suite demandé de pouvoir me prendre en photo dans cette tenue, avec gros plans s’il vous plaît. Tant que cela reste entre nous…


Les années ont passé avec leur lot de lingerie, de photos (j’espérais que tu étais discret pour les faire développer) et de la sempiternelle envie de me voir avec un autre homme. Tu t’es aussi acheté un appareil photo et un caméscope numériques et tu as commencé à me filmer, à nous filmer pendant nos ébats, au début en cachant la caméra puis ouvertement. Ça t’amusait, mais je ne savais pas trop quoi en penser même si je me prêtais au jeu. On en rigolait quand même, surtout quand tu ratais ton film.


Un soir il y a trois ans, après un bon dîner au restaurant, au hasard de notre promenade, nous sommes passés devant un sex-shop. Je pense que tu avais prémédité cette route, car tu savais que je n’avais jamais mis les pieds dans un tel endroit. Encore une demande de ta part et nous voilà à l’intérieur. Nous avons passé les multiples rayons de cassettes et DVD porno et tu m’as emmenée devant les godemichés et autres vibromasseurs. J’étais gênée d’être là, seule femme en compagnie de trois ou quatre autres hommes. Je l’étais encore plus lorsque tu me demandais de prendre tel gode en main ou tel autre. Puis j’ai découvert d’autres articles que je ne connaissais pas ou dont je n’aurai jamais soupçonné l’existence. Tu as pris un malin plaisir lorsqu’un homme a pris le loisir de m’expliquer à quoi ils servaient me demandant si je voulais en essayer un dans les salles annexes. J’ai pris congé rapidement lorsque sa main a commencé à caresser mes fesses sous ma robe courte. Je t’ai attendu dehors quelques minutes et tu m’as rejointe avec un sac contenant quelques articles que tu venais d’acheter. On s’est bien amusé quelque temps avec ces godes et vibros. Je sais que tu espérais que je pourrais changer d’avis si je prenais l’habitude de te sucer tout en ayant un gode dans le sexe. Deux hommes pour moi, c’était ton souhait le plus cher.


L’an dernier, tu m’as annoncé que tu étais en contact sur Internet avec plusieurs hommes qui n’attendaient qu’un signe de moi pour venir me baiser. J’étais furieuse de savoir que tu avais mis nos photos et films sur le net, visages masqués, fort heureusement, et plus encore que tu les envoyais non masqués à tes contacts directs. Combien d’hommes avaient ainsi découvert mon, notre intimité. Je t’ai fait la gueule un bon mois, mais tu ne démordais pas de ton idée, me lisant les mails salaces que tu recevais concernant ta « salope » et « cochonne » de femme qu’ils souhaitaient « baiser par tous les trous ». Ça t’a bien excité en tout cas. Moi j’étais toutefois surprise de voir que je pouvais susciter de telles remarques ou envies. Bien sûr je savais que ces hommes n’étaient que des gros pervers, mais quand même.


Il y a trois mois environ, nous sommes retournés au sex-shop ensemble. Tu m’avais auparavant arraché une promesse de rester avec toi en toutes circonstances et de visiter l’ensemble de la boutique. J’ai juste mis un garde-fou en te prévenant que je ne ferais rien que je ne désirerais pas. Nous voilà donc de nouveau dans cette boutique. Tu as discuté quelques instants avec le gérant et nous l’avons suivi vers l’arrière-boutique. Je ne savais pas trop quoi penser de la suite des événements, surtout que nous avons été suivis par trois hommes. Le gérant nous a ouvert une petite cabine dans laquelle nous sommes tous les deux entrés. On n’était pas trop à l’étroit avec un banc d’un côté et un écran de l’autre. Le film s’est mis en marche et, à la lumière de la projection, j’ai aperçu les trous sur les murs de côté. Pas très gros, environ 8 centimètres de diamètre, juste assez pour pouvoir bien regarder. Le film était inintéressant comme tout film porno, mais il t’excitait assez, ou bien était-ce le lieu ? De toute façon avec toi, il n’en faut jamais beaucoup. Tu m’as fait mettre debout devant toi et tu as déboutonné mon corsage. Ma jupe a rapidement suivi sur le sol et je me retrouvais donc en soutien-gorge, bas et string dans cette petite cabine. Tu t’es mis à poil avant de t’asseoir à nouveau sur le banc. Ta main sur ma nuque m’a implicitement dirigée vers ton sexe et je t’ai fait une pipe, à genoux dans la cabine. Je t’ai sucé et j’ai tout avalé quand tu as joui. Tu bandais encore et tu as voulu me prendre tout de suite. Lorsque je me suis retournée pour te tendre ma croupe, j’ai alors aperçu les deux verges qui sortaient des trous dans le mur. Tu m’as dit plus tard qu’on appelait cela des gloryholes. En attendant, elles étaient juste là devant moi, à une vingtaine de centimètres, tendues et droites, attendant quelque action de ma part. Tu m’as investi et a commencé à me faire l’amour.


En dehors des deux trous occupés par ces sexes, on pouvait voir que les trois autres étaient occupés par des mateurs qui laissaient passer de temps à autre leurs doigts en espérant nous toucher. Tu t’activais en moi, mais la position n’était pas facile, l’écran ne me permettant pas de m’appuyer en face. Je me suis ainsi finalement appuyée sur le côté me laissant ainsi les mains libres. Tu m’en as pris une et l’as posée sur l’une des deux verges. C’était la première fois que je touchais un autre sexe d’homme que le tien. Tout en me pilonnant, tu m’as demandé de le branler. J’ai hésité quelques instants et j’ai finalement branlé ce sexe qui n’était pas celui de mon mari. L’autre verge était toujours tendue à côté de moi, un peu derrière ma tête. Le plaisir montant et la situation cocasse m’excitant aussi, je me suis redressée légèrement et, tout en continuant à branler la verge et en me faisant baiser par toi, j’ai pris la deuxième verge en bouche tout en te regardant. Tes yeux s’illuminaient de bonheur alors que je me demandais au même moment si je n’étais pas un peu folle. Tant pis, c’était fait. J’ai sucé ardemment la queue dressée jusqu’à sentir monter le plaisir de l’homme. Peu avant son éjaculation, j’ai arrêté de le sucer et je l’ai branlé pour le terminer. Son sperme a giclé sur mon épaule et dans mon dos, vision qui a fini de t’exciter, car tu es venu en moi au même moment. Nous nous sommes rhabillés et sommes partis assez vite à ma demande. Sur le chemin du retour, je t’ai ordonné le silence, car je voulais réfléchir tranquillement à ce que je venais de faire.


On n’en a pas parlé pendant plusieurs jours puis tu es revenu à la charge en me disant que ce que tu avais vu était merveilleux. Tu souhaitais aussi que j’aille plus loin. De mon côté, j’avais honte, mais je me disais que ça n’avait pas été désagréable. Le fait que ce soit un inconnu m’a aussi permis d’accepter mon écart, et aussi le fait que mon mari ait si bien pris la chose. Il ne semblait pas avoir de remords après coup et ne me regardait pas comme la dernière des traînées. C’est ainsi que ma décision fut prise et que j’ai accepté de faire l’amour avec un autre homme. Il était temps que je pense à mon propre plaisir après avoir fait le tien pendant huit ans.


Les deux mois suivants ont été nécessaires pour que je choisisse le premier élu. Internet aidant, j’ai pu faire une présélection pour ne garder que mon petit Antoine, 20 ans à peine, mais très beau et attentionné.


Nous l’avons enfin reçu et voilà ! Regarde chéri comme il me baise encore. Il a investi mon petit trou et me fait jouir aussi par là. Tu as raison mon amour, un autre homme c’est super ! Surtout quand il ne te prend pas la tête pendant huit ans, juste le corps pendant une heure.