n° 10388 | Fiche technique | 26507 caractères | 26507Temps de lecture estimé : 15 mn | 04/05/06 |
Résumé: Michelle est ma dentiste. Parisienne d'origine, petite bourgeoise BCBG, brune, cheveux courts en bataille, la cinquantaine fraîche, peau mate. | ||||
Critères: fh extracon médical poilu(e)s fdomine facial fellation attache | ||||
Auteur : Balou (Epicurien) Envoi mini-message |
J’ai toujours eu une peur bleue des dentistes, alors j’y allais à reculons. Un jour pourtant, après un énième déménagement, sur les conseils d’une amie, j’appelai Michelle pour un rendez-vous.
J’étais perplexe, une femme dentiste pourrait-elle ôter ma phobie ?
La première fois que je suis allé à son cabinet, je dois avouer que je fus grandement surpris par sa douceur et son agilité. Elle me parlait, me rassurait, de sa douce voix. Ses yeux verts pétillaient de malice lorsqu’elle me voyait.
Michelle avait toujours le sourire aux lèvres. Allongé sur le fauteuil, je voyais son regard malicieux aux yeux verts, lorsqu’elle officiait au-dessus de moi. Ses mains me touchaient, ses doigts fins me frôlaient, elle se penchait parfois de manière appuyée contre moi. Je voyais sa petite bouche en cœur, aux lèvres rouges comme un fruit mûr. Son petit nez en trompette, je l’imaginais ensuite collé à mon pubis alors qu’elle me suçait. Souvent, couché sur son fauteuil j’avais de violentes érections. Au début j’étais pris de cours et gêné et je faisais tout pour les réprimer.
En fait, j’imaginais Michelle assise sur sa chaise et penchée sur mon ventre, ma hampe dans sa bouche. La première fois que ma dentiste adorée remarqua mon trouble, elle me sourit. Ses doigts se firent encore plus doux sur ma peau et sur mes lèvres. Certes, un gant en latex me protégeait hygiéniquement, mais la sensation de savoir qu’elle savait, était exquise.
En professionnelle, Michelle ne tenta aucune approche, elle entretenait ma cavité buccale en toute loyauté. Cependant, je voyais bien que ses yeux brillaient d’un feu que je ne lui connaissais pas. Etait-ce mon imagination qui me jouait des tours ? Je m’interrogeais tout de même et n’osais poursuivre plus avant, mes envies d’elle.
Ce jour-là, j’avais pris rendez-vous tardivement en fin d’après-midi, presque en début de soirée, car mes obligations professionnelles accaparaient tout mon temps. De plus, Michelle n’officiait pas le samedi.
Je m’installais confortablement sur le fauteuil et me retrouvais couché devant ma dentiste. J’avais remarqué en arrivant que Michelle portait une minijupe écossaise sous sa blouse. Mon regard s’était également collé à ses jambes que je découvrais ainsi pour la première fois. Fines, un peu musclées, au galbe admirable, elles étaient mises en valeur par des bas couleur chair qui affolaient mes yeux. Ainsi livré à ma dentiste, je me laissais aller cette fois-ci complètement aux vagues de désir qui commençaient à me submerger. Ma hampe se retrouva vite à l’étroit, prisonnière de mon pantalon. Je fermais les yeux par timidité, je pense.
La voix douce de Michelle chantait à mes oreilles. J’ouvris les yeux, et Ô surprise, je vis son visage au-dessus de moi. Elle me souriait. Je sentis son haleine mentholée. Ensuite, elle posa sa main sur la bosse de mon entrejambe, tout en plongeant son regard dans le mien. Je sursautai.
Je ne dis rien. Ses yeux verts m’hypnotisaient.
Je sortis de ma torpeur.
J’écarquillai les yeux. Michelle toujours assise sur sa chaise, me déboutonna le pantalon, puis elle défit ma ceinture.
Je m’exécutai. Michelle retira d’autorité mon pantalon. Celui-ci se retrouva tirebouchonné à mes chevilles. Mon boxer pointait devant son visage. Elle déposa un lent baiser sur le tissu.
Je n’en pouvais plus, je délirais ainsi à la merci de ma dentiste.
Je haletais, je transpirais. Délicatement deux mains féminines ôtèrent mon sous-vêtement. Michelle dénoua également mes chaussures, ce qui lui permit de me dégager les pieds du pantalon.
Michelle laissa ses mains caresser mes mollets, puis mes cuisses. Ma verge dardait, mais elle prenait un malin plaisir à faire durer cette attente. Ensuite, elle me déboutonna ma chemise après avoir dénoué à son tour ma cravate. Nu comme un vers, je me retrouvais dans son cabinet. Ses doigts fins remontèrent vers ma poitrine velue. Michelle s’amusa avec les poils, elle faisait de petits nœuds, avant que sa bouche ne vienne téter mon torse. Je respirais son doux parfum vanillé d’un célèbre parfumeur. Sa bouche enfin rejoignit la mienne, nos lèvres se soudèrent, nos langues dansaient une folle sarabande, nos salives se mêlèrent dans un long baiser passionné.
Elle tenait mon visage entre ses mains. Nos baisers étaient entrecoupés de soupirs et gémissements.
J’étais toujours nu et elle habillée. Ses doigts doux s’enroulèrent autour du tronc. Lentement elle me masturbait, de haut en bas, pendant de longues minutes. J’appréciais la douceur extrême dont faisait preuve la diabolique dentiste. Je gémissais, mais être ainsi livré à cette femme, était déjà pour moi une sorte de jouissance. Je me faisais commander à la baguette, moi qui avais l’habitude de manager les gens, c’est un comble.
Elle s’était redressée, abandonnant l’objet de son désir. Michelle souriait en coin. Elle remarqua ma surprise.
Sur ces bonnes paroles, je me retrouvais attaché en un clin d’œil. Bras, torse, cuisses, étaient solidement fixés au fauteuil. Elle actionna une manette. Le fauteuil se réorienta. Je me retrouvais debout à la verticale.
La panique me gagnait progressivement. Une folle ! J’avais à faire à une folle !
Elle se rapprocha de moi et me caressa les tempes de ses douces mains.
Je la regardais, incrédule.
Au lieu de cela, Michelle s’agenouilla devant moi. Ma verge pendouillait maintenant lamentablement entre mes cuisses. Je vis Michelle me prendre dans sa bouche, je tressaillis. La bouche était chaude et douce. Sa langue s’enroula parfaitement autour du membre. La succion devenait progressive. Je fermais les yeux et me laissais aller à une puissante érection.
Michelle passait mon gland sur son visage, ses joues, son menton. Elle bavait d’envie. J’avais l’impression que ses lèvres avaient changé. Elles semblaient davantage charnues et pulpeuses.
Gémissements, râles, bruits de succion, remplissaient le cabinet. Une petite femme brune, la cinquantaine alerte, agenouillée, pompait un jeune et brun quadra.
Soudain je sentis comme une brûlure à la base du tronc. Je pensais immédiatement que ma dentiste m’avait mordu dans la frénésie de sa fellation.
Il n’en était rien, Michelle tenait à la main une petite seringue.
Je ne ressentis rien tout d’abord, mais je remarquais que ma verge restait en érection. J’essayais de détecter les signes avant-coureurs, angoissé par les propos de cette folle. Une chaleur vive, c’est ainsi que je me rappelle la sensation qui s’insinua en moi. Une envie folle de jouir !
Debout, nu, sanglé, j’étais devant ma dentiste. Michelle s’était également déshabillée entièrement. Elle avait une taille fine, de petites fesses bien rondes, des petits seins ronds comme des pommes, un minuscule triangle noir entre ses cuisses fuselées, une peau halée complétait sa beauté. Elle se rapprocha de moi. Un doigt se posa sur ma verge qui avait doublée de volume, mes lourdes bourses elles aussi plus importantes, pendaient dans le vide. Ce simple attouchement sur la peau tendue de ma hampe, provoqua une myriade de mini orgasmes à travers mon corps. Je haletais, je suais maintenant à grosses gouttes. Je voyais un gland énorme devant moi. Une ogive violette terminait un tronc dur et ferme où de grosses veines bleues couraient sous la fine peau.
Elle prit une espèce de manchon en latex, elle y enfourna ma verge. Je gémis à nouveau, tant le contact était chaud et doux. On aurait dit le vagin d’une femme. Michelle se positionna debout face à moi. Elle me tenait la verge avec ses deux mains.
J’écoutais religieusement ses paroles, mes yeux fixés sur le manchon enfermant mon énorme sexe. Les petites mains de Michelle le maintenaient en place.
Michelle me dévora la bouche.
Puis débuta la terrible masturbation.
Je me rappelle avoir crié de surprise d’abord et immédiatement de plaisir. Tout mon être fut aspiré. Des dizaines d’orgasmes, des sensations fabuleuses de plaisir, m’arrachèrent des hurlements de fauve. Mon ventre se contractait, des spasmes le secouaient. Les muscles de mes cuisses se tendaient. Et je criais encore et toujours mon bonheur.
J’avais atteint le Merveilleux.
Michelle fit coulisser le manchon masturbatoire sur ma hampe de longs instants me sembla-t-il. Ma vue brouillée par la sueur et les larmes de joie, m’empêchèrent de voir son visage en face de moi. Mais sa douce voix résonnait à mes oreilles.
Je me vidais, je hurlais de bonheur sous les orgasmes plus intenses les uns que les autres. Je sentais les éjaculations secouer ma verge, le plaisir montait de mes reins et explosait dans mon gland.
Michelle ôta l’accessoire du plaisir. Je vis que ma verge avait repris sa taille normale, au repos. Des lèvres féminines déposèrent un baiser sur mon front.
Je vis Michelle vider le manchon de latex dans une coupe dorée. La laitance coulait, grasse et blanche. « Mon dieu, est-ce de moi tout ça ? », pensais-je en la voyant faire. Elle porta ensuite la coupe à ses lèvres. Elle but à longues gorgées le breuvage de mon plaisir.
Je fermais les yeux, car j’étais ivre de bonheur.
« Vous allez bien Monsieur Balou ? »
Je sortis de mon rêve. J’étais à nouveau assis sur ma chaise. Je vis en premier lieu ses petits souliers rouges, puis je redressais la tête vers la voix. Ma dentiste se tenait devant moi dans la salle d’attente. Habillée de sa blouse blanche, maquillée, prête à s’occuper de moi.
Je hurlais intérieurement de terreur en me levant et en m’avançant vers le fauteuil de torture…
Balou. Janvier 2006.
Après mon opération, je suis retourné au bout de quinze jours chez ma dentiste pour une visite de contrôle. Dieu merci, j’ai survécu à cette terrible extraction. Michelle me bichonnait, cela je ne peux le nier, ma caisse complémentaire aussi je dois dire. J’aimais sa douceur, son humour et je dois avouer que souvent le matin avant de rejoindre mon bureau, je me masturbais avec allégresse en pensant à elle, cela me donnait une telle énergie pour la journée que je ne m’en privais pas. Le rêve éveillé que j’avais fait avant mon intervention, s’était insinué en moi à travers chaque pore de ma peau. Celui-ci me semblait si réel, qu’à chaque évocation, une violente érection me prenait.
La suite de l’histoire, vue du côté spectateur.
Un soir en quittant le bureau, Balou passa au cabinet de Michelle pour régler une facture en suspend. Sa dentiste était de l’ancienne école, elle bannissait l’informatisation à outrance, de ce fait en contrepartie de son chèque elle rédigea la feuille de soin habituelle.
Michelle était ravie de revoir ce grand brun, « Il est si craquant, s’il croit que je n’ai pas vu ses érections et bien il se trompe gravement ». Telles étaient ses pensées lorsqu’elle remplit les documents administratifs. Elle était nerveuse, et se sentait observée par Balou lorsqu’elle écrivait. Assise à son bureau, Balou reluquait effrontément ses jambes mises en valeur par sa courte jupe écossaise.
Ensuite, Michelle prit le chèque qu’il lui tendait, leurs doigts faillirent se toucher. Tous deux esquissèrent un sourire. Ils se levèrent. Michelle semblait bien petite et fragile face à la haute stature de son client.
Elle lui tendit la main.
Celui-ci ne dit rien. Il tendit à son tour sa main, prit celle de Michelle entre ses doigts, et lentement il baissa son visage vers elle, puis déposa un doux baiser sur les doigts de sa dentiste. Michelle rougit.
Il avait subitement soif. N’était-il pas allé trop loin ? Il tenait toujours la main de Michelle dans la sienne.
Tous deux se tenaient debout, l’un en face de l’autre. Balou baisa à nouveau les doigts de sa dentiste. Elle tressaillit.
Il se rapprocha encore davantage d’elle. Michelle ne le repoussa pas lorsqu’il déposa un baiser dans son cou. Bien au contraire, elle se colla à lui.
« Mon dieu, il m’entraîne vers une voie délicieuse » pensa Michelle. Elle se lova contre lui, se redressa sur la pointe des pieds, leurs lèvres se touchaient.
Balou sentit l’haleine mentholée de Michelle, enfin elle répondait à ses envies. Doucement, lentement, leurs bouches fusionnèrent. Michelle s’accrocha à son client. Elle enveloppa la nuque de Balou de ses mains et lui dévora sa bouche.
Ils tanguèrent comme un bateau ivre. Gémissements, halètements, bruits de frottements emplissaient le bureau. Michelle sentait les mains puissantes de Balou sur ses fesses qu’il caressait à travers sa blouse, le désir cognait également contre son ventre. Ensuite, les doigts masculins remontèrent le long de sa cuisse, pour s’engouffrer sous sa jupe. Elle gloussa. « Mon dieu si mon mari nous voyait », songea-t-elle. Son entrecuisse humide accueillit la main de Balou avec délice, elle gémit et haleta, narines pincées, et rouge aux joues.
Il faisait presque nuit. La lampe en pâte de verre posée sur le bureau éclairait les deux amants. On voyait une petite femme brune aux cheveux courts, se faire chevaucher en levrette par un garçon vigoureux. Michelle griffait la moquette. Elle avait déjà étouffé deux orgasmes en se mordant la paume des mains, « surtout ne pas réveiller mon mari à l’étage », avait-elle pensé. Elle sentait la hampe de Balou bien ancrée en elle. Il la limait maintenant très vite alors qu’au début il avait été d’une douceur incroyable. Ses fesses claquèrent contre le pubis de Balou. Il devait lui aussi être comme elle, proche de la délivrance. Elle le sentait qui allait profondément en elle. Ses muscles intimes épousaient parfaitement la verge. Son frottement contre les parois du vagin lui provoquait d’innombrables frissons de plaisir.
Les mains puissantes de son amant sur ses hanches, la maintenaient parfaitement dans l’axe de la hampe. Secouée comme un fétu de paille, Michelle s’offrait ainsi à ce mâle. Sa petite poitrine se balançait au gré des coups de boutoir, les bouts pointaient vers le sol. Elle en prit un entre ses doigts et le pinça. Cela déclencha immédiatement une myriade d’orgasmes. Elle lâcha un feulement de tigresse, mais réussit à retenir son cri d’extase en se mordant jusqu’au sang, la paume de sa main. Son ventre se crispait, un feu géant la brûlait, elle se liquéfiait. Son ventre explosait, elle tremblait, elle transpirait. Un dernier coup de reins de son amant la projeta plus en avant.
Un cri !
« Mon dieu non, mon mari ! »
Balou se déversa en elle à longs jets, il hurla son prénom de longs instants. Puis apaisé, il s’effondra à ses côtés sur la moquette.
Michelle se releva néanmoins pour vérifier que tout était silencieux à l’étage. Balou admira son mignon petit fessier, « à cinquante balais, la miss est encore affolante », se dit-il. Son regard se promena sur ses fines cuisses, « on dirait qu’elle est restée adolescente ». Les pensées de Balou vagabondèrent, il restait couché nonchalamment sur la moquette, sa verge reposait sur sa cuisse. Il pensait à Michelle, quelle suite donner à leur aventure ?
Elle revint rapidement et se lova contre son amant. Elle frissonna. Balou la prit par les épaules, il les massa tendrement en lui embrassant le cou.
À suivre…
Suite 3 :
Le cabinet dentaire de Michelle se situait au rez-de-chaussée de sa maison. Son mari était cloué au lit par d’incessantes crises de goutte, ce qui permettait à la belle dentiste de recevoir en cachette son amant. Mais elle savait au fond de son cœur que cette relation ne les mènerait nulle part. Assise à son bureau, elle méditait seule en ce début de soirée. La fatigue lui tirait les traits, elle se massait les tempes en réfléchissant. « C’est vrai que Balou et moi prenons un immense plaisir à nous voir en catimini. Comment se passera la suite ? » Balou venait de la quitter à l’instant. Elle s’était refait une beauté en vitesse, pour faire bonne figure après de son époux. Elle repensait aux galipettes de tout à l’heure, et sourit. « Je dois absolument nettoyer la moquette, il y a trop de taches de sperme qui vont se remarquer », pensa-t-elle.
Balou l’avait fait hurler de joie à plusieurs reprises, dans la position classique du missionnaire. Michelle n’avait jamais été une acrobate de l’amour. Plutôt conventionnelle, elle remplaçait son manque d’originalité par une dépense d’énergie qui rendait Balou dingue. Lorsqu’elle jouissait, elle s’accrochait au cou de son amant avec force et ses ongles lui griffaient la peau du dos. Elle se rendait bien compte que ses griffures le feraient souffrir ensuite, mais ces gestes de tigresse étaient pour elle involontaires, car jamais elle n’avait connu pareil amant.
Au fil des jours, elle s’aperçut que Balou avait une habitude assez particulière en amour. Outre le fait qu’il l’avait initiée à la sodomie et à l’ivresse d’avaler son sperme, Michelle était toujours perplexe lorsque son ami lui demandait d’éjaculer sur son corps, en particulier sur son visage. Il lui arrivait évidemment de jouir en elle, notamment lorsqu’il la prenait en levrette ou entre ses fesses, et naturellement dans sa bouche lorsqu’elle le fellationnait amoureusement.
Mais quand ils faisaient l’amour, lui la couvrant, après l’avoir longuement labourée, il se redressait brusquement. Puis, il s’empoignait et se masturbait au-dessus d’elle jusqu’à la jouissance. Ensuite Michelle était aspergée par l’abondante semence de son amant. Elle ne détestait pas cela, au contraire elle aimait le voir jouir. Admirer son coup de poignet, voir son ventre velu se crisper à l’instant ultime, et enfin contempler son visage se tordant sous l’orgasme. Le rugissement qu’il poussait à chaque fois, l’avait effrayé au début de leur relation. Maintenant elle devait s’avouer qu’écouter Balou jouir était également une reconnaissance de ses charmes.
Le pire des désagréments pour Michelle était les éjaculations non contrôlées, dont les traits de laitance s’abattaient dans sa brune chevelure. Ils en avaient ri au début, mais un jour elle s’était aperçue au dernier moment avant de rejoindre son mari, qu’elle avait des traînées blanches qui maculaient ses cheveux. Depuis, devant la verge de Balou, elle n’hésitait pas à orienter son gland violacé vers sa petite poitrine en masturbant elle aussi ce bel outil. Ensuite, elle recueillait du bout des doigts, ce jus d’amour, qu’elle suçait en compagnie de son ami.
À l’évocation de tout ceci, Michelle sentait la moiteur dans son ventre à nouveau l’envahir. Assise sur sa chaise, elle se tortillait. À peine une demi-heure qu’ils avaient joui, et elle en redemandait déjà. « Je deviens folle », se dit-elle.
Michelle posa son stylo, coupa son ordinateur, éteignit la lumière du bureau. Au passage devant le miroir de la salle d’attente, elle vérifia sa tenue. Celui-ci lui renvoya l’image d’une femme brune, la cinquantaine jeune, aux cheveux courts, un petit nez en trompette. Sa blouse blanche bien ajustée, rehaussait sa menue poitrine.
« Allez, hop j’en ai trop envie, j’y vais »
L’homme n’en croyait pas ses yeux. Le petit bout de femme agenouillé entre ses cuisses maigres, lui administrait une fellation comme rarement elle lui en avait offert.
Elle se redressa et lui lança :
Puis elle replongea.
Quelques minutes plus tard, un hurlement déchira la nuit dans la douce campagne bourguignonne.
Balou, janvier 2006.