n° 10396 | Fiche technique | 26053 caractères | 26053Temps de lecture estimé : 16 mn | 07/05/06 |
Résumé: La découverte de Laura, une brésilienne, et de ses aventures avec moi. | ||||
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Auteur : Bernardo Guardi (Le récit de Stéphane et de sa découverte du Brésil) |
C’était un mois de septembre plutôt doux. Mon appart étant ce qu’on pourrait appeler une auberge espagnole, chaque année il s’enrichissait de nouvelles cultures. Cette année nous accueillions, ma mère et moi, une charmante hongroise: Natacha. Désireuse d’apprendre le français, elle s’inscrivit à des cours pour étrangers. Ce fut là qu’elle rencontra une charmante brésilienne, au doux nom de Laura. Au fil de ses invitations à venir chez moi, Natacha me présenta à son amie.
Je fus stupéfait de son sourire, doux et chaleureux, incitant à y répondre avec une flamme au cœur. Elle parlait un français excellent, et plus tard elle me dit qu’elle était au dernier niveau de son école de français, et qu’au Brésil elle avait commencé tôt. Je me souviens de ce jour comme si c’était hier, la détaillant des pieds à la tête, je la trouvais sublime. Un corps svelte à la peau d’un blanc nacré, « bizarre pour un brésilienne, me suis-je dit », 1m65 environ, une rondeur particulièrement bombée au niveau de ses fesses, un ventre plat, des petits seins et un très joli visage, tout était très harmonieux. Ce jour-là je me suis promis qu’elle serait mienne. Ce ne fut pas le coup de foudre à proprement parler, mais ce fut une complicité qui se dégagea très vite de l’un et de l’autre. N’étant pas celui que Laura venait voir, je laissais les deux femmes à leur discussion.
Plus tard, dans la soirée, je n’arrêtais pas de penser à elle, la douche sous laquelle j’étais n’arrivait pas à calmer mes pensées de plus en plus frivoles. Une douce chaleur m’envahit, et je me suis mis à fantasmer, imaginant sa nudité et ce que nous ferions si nous étions plus intimes. Ma main se prit au jeu et me caressa doucement, puis plus le fantasme devenait coquin et plus celle-ci s’activait. Un orgasme me fit trembler des pieds à la tête, et je finis simplement ma douche. Devant le miroir, je me demandais si j’avais pu lui donner bonne impression. 1m87, 80kg athlétique sans être une barre de muscles, les yeux gris-vert, les cheveux châtains coupés court, le sourire « Colgate », comme me disent certains, et pratiquement imberbe. Non, je ne me rase ni ne m’épile, mais je n’ai jamais eu beaucoup de poils, ni au menton ni ailleurs !
Le lendemain, j’allais retrouver ma hongroise pour lui demander le numéro de Laura. Elle me le donna avec un clin d’œil, et c’est ainsi que nous avons convenu d’un rendez vous, notre premier. J’avais décidé de l’emmener se promener au parc de la Tête d’Or de Lyon, endroit qui, en fin de journée, était magnifique. Nous discutâmes de son séjour ici, si elle appréciait.
Nous trouvâmes un banc au détour d’un chemin, et je l’invitai à s’asseoir. La discussion continua sur ce qu’elle faisait dans la vie au Brésil, les banalités d’usage, mais entre deux cultures, c’est plus intéressant que n’importe quelle autre discussion. Elle m’apprit qu’elle était en dernière année de fac de droit, elle désirait être juge. « A 21 ans !! Eh ben dis donc, me dis-je, elle est douée pour sur !! » Je lui dis que j’étais en 1ère année d’école de kinésithérapie, qu’après deux rudes années en médecine j’étais très content de la tournure des évènements. J’avais 20 ans, et je pensais aussi que ce n’était pas trop mal, comme bout de chemin déjà parcouru. Nous parlâmes de nos vies respectives, célibataires tous les deux. Ce qui est traître en septembre c’est la nuit, lorsque celle-ci tombe, la température en fait autant, mais ce fut une bénédiction.
Elle se décala, et je la pris dans mes bras, je la frictionnai un peu, et un silence s’installa. Mes oreilles bourdonnaient, mes pensées fusaient, je me rendis compte que j’étais tétanisé ! Je me repris vite en main, et je remarquai qu’elle me fixait de ses intenses yeux noisette. Ce regard me fit oublier tout ce qui nous entourait, ma bouche s’approchait de la sienne, et ce fut elle qui vint à sa rencontre. Ce fut un baiser de l’inconnu, tous deux cherchant à savoir ce que l’autre appréciait ou pas… Puis le moment devint plus passionné, nos langues se trouvant et s’emmêlant au gré de nos mouvements. Je savais que je ne devais rien rompre de la magie.
Je continuais mon baiser, qui me rendait fou de joie et plein d’espoir. Mes mains lui caressaient doucement le dos et la nuque, l’une de ses mains était dans mon dos, l’autre sur ma cuisse. Je l’amenai sur moi, à califourchon, j’en profitai pour lui passer mon blouson autour des épaules. Un sourire de gratitude s’installa sur ses lèvres et me fit chavirer. Nous recommençâmes notre baiser, mes mains allant du bas de son dos à sa nuque… Les siennes sur ma nuque et mon visage. Puis vint le moment de se séparer, car je devais rentrer et elle aussi. Nous nous sommes quittés sur un sourire rayonnant, et la promesse de se voir au plus vite…
De retour à la maison, je n’avais de pensées que pour elle… Lorsque j’allai me coucher, je l’imaginais à côté de moi, faisant jouer ses doigts sur mon visage, mon torse, caresser mes tétons, tout en passant sa langue légèrement à la suite de ses caresses. Je l’imaginais embrassant mon nombril, puis descendant inévitablement vers mon organe sous tension… Malheureusement pour moi, je m’endormis plein de ces affolantes images.
Trois semaines passèrent où nous nous sommes revus, allant au restaurant, au cinéma, ou au café, pour toujours mieux se connaître et s’apprécier. Chaque rendez-vous était merveilleux, notre complicité grandissante faisait que je lui racontais mes déboires et elle de même. Puis vint le jour où Natacha dut rentrer en Hongrie, non pas que j’en étais heureux, mais je ne pensais plus qu’au jour ou Laura allait s’installer. La fête d’adieu fut très arrosée, et Natacha s’en alla, pleurant à chaudes larmes, et promettant de revenir.
Le lendemain, Laura vint s’installer avec ses valises, bien entendu notre relation fut cachée à ma mère, car elle ne pensait pas correct d’avoir un couple sous son toit, et pour plusieurs autres raisons. Etant bien élevé, je laissai sa soirée à Laura pour qu’elle s’installe confortablement, et aussi pour ne pas passer pour un pot de colle !
Ce fut le lendemain soir, où tout le monde dormait, qu’elle vint me retrouver dans ma chambre. Je travaillais à mon bureau, une planche de bois sur un tréteau. Elle vint s’asseoir à côté de moi, me regardant finir mon chapitre à apprendre, et en respectant le silence qui régnait dans la pièce. Travail terminé, j’attirai Laura sur mes genoux et l’embrassai passionnément. Aucunement surprise, celle-ci y répondit avec un plaisir tout partagé. Mes mains sur ses hanches, je les faisais remonter doucement, lentement le long de son dos, puis je les fis redescendre, mais cette fois-ci je me décidai à aller jusqu’au bout, ou du moins, jusqu’à ce qu’elle me dise peut-être « non ». J’approchais doucement mes mains de ses fesses et commençai à les lui caresser. Comme c’était le soir, elle portait un très joli pyjama couleur bleu nuit en soie. Je continuais donc ma découverte de son derrière, et lentement je fis passer une main sur ses cuisses. Nos langues jouaient ensemble, et je sentis un changement dans son souffle lorsque ma main s’approcha de son entrejambe, en effleurant à peine le côté si sensible des cuisses. Mais ce n’était pas pour tout de suite, je désirais faire cela de la manière la plus douce qui soit, et mes doigts passèrent très près de son mont de Vénus, mais ne s’arrêtèrent pas. Ma bouche dériva vers le creux de son cou et l’embrassa, puis y passa la langue. Je continuais en laissant glisser mes doigts vers son nombril, sur une peau de pèche si délicieuse, passant sous le haut de pyjama, j’approchais lentement, doucement mais sûrement, de ses petits seins. Cela devait l’exciter passablement puisque son souffle devint des soupirs, et je voyais, au travers de son pyjama, ses tétons qui tendaient le tissu. Celui-ci fut déboutonné un a un, en regardant ma dulcinée droit dans les yeux, et j’y lus son approbation. Lorsque je fis glisser cette veste de soie de ses épaules, je découvris ses tétons. Il est vrai qu’à travers la soie ils avaient l’air tendus, mais je découvris leur taille réelle. Ils étaient longs et épais, appelant les caresses. Mes doigts qui, jusqu’alors, caressaient son ventre, remontèrent peu à peu vers ces mamelons dardés vers moi. Au premier contact, je vis une chair de poule naître sur sa peau. Dans un soupir, Laura m’invita à les caresser de ma langue. Je ne me le fis pas redire une deuxième fois, et c’est avec une infinie précaution que je passai le bout de ma langue sur l’un puis l’autre de ces concentrés de plaisir. Le temps s’arrêta, et c’est au bout d’une seconde, d’une heure ou d’un siècle que ma belle me fit m’adosser au siège pour enlever mon t-shirt.
Je lui désignais le lit d’un regard, et elle me sourit, alors de tout son amour, et joignant ses doigts au miens, elle alla s’installer sur le lit. J’enlevais mes chaussures et pantalon, qui étaient plus que superflus, et je me mis à côté d’elle. Nous restâmes longuement à nous regarder, en caressant les épaules et le visage de chacun. Ce fut elle qui m’embrassa, tout en se collant à moi. Je sentais son corps chaud, ouvert à mille sensations et caresses, entre mes mains. La main qui n’était pas bloquée par mon poids caressa son dos, et descendit doucement vers la lisière de son bas de pyjama. Ses fesses étaient un rêve éveillé, fermes, rondes et douces, elles étaient un véritable enchantement. Je fis glisser son pantalon, révélant son bassin, qu’elle souleva pour permettre à ma main de continuer son œuvre. Lorsque le pyjama fut enlevé, je la découvris enfin nue, et elle était plus que désirable, allongée sur le côté, ses yeux noisette me fixant intensément. Je fis glisser ma main le long de sa cuisse, en la mettant sur le dos, et ma bouche repris le chemin de ses tétons, décidément ceux-ci sont un appel au lubrique !! Je léchais sans m’arrêter de remonter ma main vers ce triangle brun me cachant son intimité. C’est presque avec impatience qu’elle écarta ses cuisses, lorsque ma main atteignit la fourche de son entrecuisse. J’y passais délicatement un doigt, et lentement, je lui ouvris ses lèvres humides et gonflées de désir, mes doigts effleurant son clitoris tendu. Ma bouche se mit à descendre lentement vers son nombril, caressant de ma langue chaque centimètre carré de sa peau satinée. Je fus chatouillé par la touffe de poils de son mont de Vénus, et ma langue s’insinua immédiatement dans ce sexe trempé de désir. À genoux devant ce spectacle de Laura nue, les jambes indécemment écartées, mes doigts glissant sur ses cuisses tout cela me fit tendre un peu plus mon caleçon, déjà incroyablement déformé. Je replongeai ma langue dans ce fruit juteux, et ses premiers gémissements retentirent délicieusement à mes oreilles.
Ne pouvant faire grand-chose, Laura caressait mes cheveux, et appuyait de temps en temps pour me signifier où c’était meilleur. Les sons aigus, provenant de sa gorge, étaient une musique pour mon ouïe. Son bassin ondulait sous mes assauts, et bougeait de plus en plus vite. Lentement, j’insérais un doigt dans son vagin trempé, et un gémissement, long et soutenu, me vint en réponse. Un deuxième doigt accompagna le premier, et mon autre main arriva près de son anus, que je grattai un peu. Les gémissements de ma belle se firent plus prononcés. Ma langue appuyait tellement sur son clitoris, tournait, lapait, que j’en avais une forte douleur à la mâchoire, mais je continuai, jusqu’à sentir son corps se tendre. Un frémissement la fit s’écrouler, ses jambes me serrèrent, et un flot de cyprine, accompagné d’un cri puissant et court, l’accompagna dans un orgasme bienfaiteur.
Revenu à ses côtés, ses bras m’entourèrent, et je lui fis goûter à ses propres sécrétions. Cela ne sembla pas la déranger le moins du monde, au vu de la puissance de son baiser. Elle me poussa tendrement sur le dos et vint s’allonger sur moi, les jambes de part et d’autre de mon bassin. Laura prenait son temps elle aussi, son sexe toujours humide se frottait au mien, en un agréable mouvement de balancier. Ses mains me caressaient le visage, jusqu’à ce qu’elle se relève pour s’appuyer de ses paumes sur mon torse, et augmenter la pression sur mon phallus incroyablement dur. Ma belle brésilienne me sourit, et se pencha vers mon cou, pour me torturer encore plus sous l’effet de ses baisers, en cet endroit que j’affectionne. Lentement, de la pointe de la langue, elle se mit à descendre vers mes tétons beaucoup moins imposants que les siens, c’est certain, mais tendus comme ceux de ma douce. Elle les lécha et en fit lentement le tour, en passant de l’un à l’autre, puis se dirigea vers mon nombril, qu’elle embrassa tendrement. Arrivée à la lisière de mon caleçon, son regard remonta vers mes yeux, et dans un sourire, elle fit descendre le morceau de tissu distendu, faisant jaillir mon membre, dans un soubresaut qui sembla satisfaire d’appétit ma chérie. Tout en me fixant dans les yeux, ma belle me fit écarter les jambes, et fit glisser ses mains le long de ma tige tendue, flatta mes bourses imberbes, avant de venir les embrasser. Sa langue vint légèrement titiller mon anus, avant de remonter, en appuyant plus fort, sur mes bourses, jusqu’à arriver à mon gland gonflé d’envie. Tournoyante, sa langue s’activait autour de mon membre, aidée d’une de ses mains, qui maintenait, par la base, mon vit tendu. Son autre main caressait de temps en temps mes bourses, descendait plus bas en appuyant un peu, ou allait caresser et pincer mes tétons.
Enfin, après plusieurs minutes de ce traitement, je sentis sa bouche m’aspirer et je me sentis défaillir. Elle entama de légers et rapides mouvements de succion, sans aller très loin autour de mon vit. Sa fellation était rapide et soutenue, me masturbant légèrement. Je sentis une décharge lorsque, brusquement, elle enfonça son doigt dans mon anus. Je grognai de plaisir, et plus tard, elle me dit que c’était la première fois qu’elle faisait autant de choses à un homme. Elle continua son ouvrage pendant de longues minutes, alternant les mouvements et ses caresses. Au moment où je sentis le point de non retour, j’arrêtai ma belle et l’attirai vers moi, sa longue chevelure d’ébène chatouillant mon corps jusqu’à mon visage. Nous nous embrassâmes passionnément, sentant chaque vibration et frémissement de l’autre.
Tout en l’embrassant, je cherchais à tâtons un préservatif sur ma table de nuit. Avec un clin d’oeil, je lui tendis, et dans un baiser, je la mis tête-bêche au-dessus de moi, et comme si nous étions hypnotisés par le sexe de l’autre, nous nous caressâmes lentement, avec amour. Ma langue avait retrouvé toute sa vigueur, et s’amusait dans son intimité. Ma douce Laura, de son côté, faisait de même, jusqu’à ce qu’elle se décide à me mettre ce morceau de caoutchouc. D’un mouvement, elle se retourna, et balança encore un peu son bassin au-dessus de ma langue. La vision que j’avais de cette femme était magnifique, ses seins incroyablement pointus, avec ces mamelons démesurés, avec un visage un peu crispé par le plaisir, et le tout avec, en gros plan, son sexe, c’était tout simplement jouissif. Elle se recula pour pouvoir s’allonger sur moi et m’embrasser tendrement, c’est presque comme si nos corps étaient faits l’un pour l’autre, car mon membre se retrouva à l’entrée de son vagin. D’un mouvement venant de chacun, Laura descendit un peu, et je remontai mon bassin. La pénétration m’arracha un grognement plus fort que les autres, et la sensation fut somptueuse. Toujours au-dessus de moi, un long gémissement retentit à mon oreille, me donnant comme une décharge électrique, et me donnant comme une pulsation de vigueur dans mon sexe, comme si nous étions connectés. Je sentis un frissonnement le long de son épine dorsale, et une contraction de son vagin. Sensation magique d’être à l’étroit dans cet étau si chaud, nous restâmes figés dans cette position, nos regards fixés l’un dans l’autre. Je vis, à un moment, comme un voile dans son regard, sensation de plaisir la faisant se perdre dans son plaisir.
Laura se mit à onduler son bassin, le faisant aller et venir sur mon sexe. Je me mis à l’accompagner dans ses mouvements, faisant lentement frotter mon aine contre son clitoris, tout en la pénétrant, cela parait peut être bizarre comme action, mais c’est très bon et faisable. Ses gémissements étaient une véritable torture pour moi. Petit à petit notre rythme s’accéléra, et nos mouvements se firent plus amples. Nous étions en véritable osmose, un léger film de transpiration apparut sur nos corps en action. Je sentais le plaisir augmenter, et la jouissance approcher. Afin de ne pas jouir trop vite, je demandai à ma belle de se mettre sur le côté, dos à moi. Elle comprit très vite, et se plaça en position, saisit mon sexe tendu et le dirigea d’elle-même en elle. Cette fois j’imposai mon rythme, et nos mouvements se firent plus rapides, mes mains saisirent ses tétons et les pincèrent légèrement. À la suite de cette caresse, ses fesses allèrent brusquement à ma rencontre, et je repris un rythme soutenu et puissant.
D’un geste, je me suis mis sur elle, et j’ai continué à aller et venir. Nous haletions tous les deux, ses gémissements s’étaient transformés en cris de plaisir. Rapidement fatigué, je me suis redressé pour souffler un peu, et faire retomber la tension de mon sexe sur le point d’exploser. Je me suis allongé sur le dos et elle est venue sur moi, reprenant notre position première. En la pénétrant à nouveau, je me saisis de ses fabuleuses fesses et approchai un doigt près de son petit trou. Un doigt en elle, et mon membre allant et venant dans un rythme effréné, je sentis des contractions autour de mon sexe, et ses cris me firent comprendre qu’elle était sur le point de jouir. Comme un interrupteur, cela déclencha mon orgasme, et comme une seule personne, nous avons joui dans un concert de cris et de gémissements.
Après plusieurs minutes, nous nous séparâmes, et elle se lova sur le côté, une main sur mon torse. J’étais en sueur et essoufflé, mais heureux, et ma Laura aussi. Dans un halètement, elle me dit :
Nous nous endormîmes, dans les bras l’un de l’autre.
Fin décembre approchait, et nous étions toujours ensemble, filant nos jours comme si rien ne pouvait nous séparer. Laura et moi faisions l’amour souvent, pour ne pas dire tout le temps ! Chaque pièce de l’appartement a été testée, salon, cuisine, escaliers (c’est un duplex), ma chambre bien sur, la sienne, les toilettes (!). Je finis par un lieu qui m’est cher, la salle de bain. J’avais prévu, ce soir-là, une couverture mise par terre, un bain bien chaud, et une énorme quantité de bougies. Cette soirée fut inoubliable. Nous fîmes l’amour dans la baignoire, puis je la fis s’asseoir sur les lavabos, où je lui ai montré tout mon savoir faire en matière de cunnilingus, et enfin nous avons recommencé sur la couverture.
Le matin de mon anniversaire, fin janvier, son cadeau fut exceptionnel. Dîner dans un restaurant 2 étoiles, s’il vous plaît. Pour l’occasion, Laura avait mit un haut vert émeraude qui était très échancré, relevé ses cheveux sur la nuque, un léger maquillage, et mit une robe noire assez vaporeuse, qui lui donnait un air très sexy. Le repas fut exquis et, comme à notre habitude, la discussion était animée et, le rosé aidant, ponctuée de rires et de regards malicieux. L’endroit était très élégant, nous étions au 1er étage, personne d’autre que nous et notre complicité.
Au milieu du repas, ma douce brésilienne fit mine de faire tomber sa serviette. Un regard lubrique me fit comprendre qu’elle allait plus que se baisser. Je vis ma douce disparaître sous la table, et puis je sentis qu’une main me caressait doucement la cuisse, une autre me caressait l’entrejambe. Grisés tous les deux par l’alcool, je laissais faire, et me suis dit de profiter du moment. Rapidement mon sexe était dressé à l’air libre, sous la table, et je sentis sa bouche chaude autour de mon gland. Avec application, elle me suça et, dans un soubresaut, Laura comprit que ma jouissance allait venir et accéléra le rythme. Je jouis dans un souffle, dans la bouche de ma brésilienne, et celle-ci nettoya consciencieusement mon membre, avant de le ranger dans mon caleçon, et de réapparaître à sa place, en se pourléchant le coin de la bouche. Le reste du repas se déroula tranquillement, et avec bonne humeur.
De retour chez moi, nous étions enlacés et nous nous embrassions langoureusement, allongés côte à côte sur mon lit. Ma belle se releva et entreprit un strip-tease sensuel, s’effeuillant sous mes yeux pleins de convoitise, qui regardaient ce corps sublime se déhancher devant moi. Son haut par terre, la jupe suivit le même chemin, et me fit apparaître un string rouge en dentelle, qui n’était qu’une fine cordelette, vu de derrière. C’était un de mes cadeaux, et il lui allait à ravir. Me présentant ses fesses qui emprisonnaient ce string, Laura le fit descendre lentement, en se cambrant, à la manière des gogo danseuses. Avec un sourire illuminant son visage, elle se retourna et je fus surpris par ce sexe qui se présentait à moi. Elle se l’était épilé, et était totalement dénué de poils. Répondant à son sourire, je me suis déshabillé à mon tour, et j’ai allongé ma belle sur le dos. Je ne pris pas le temps pour toutes choses, et plongeai directement ma langue sur ce sexe imberbe et si bon.
Mes coups de langue sur son clitoris la firent gémir, et l’alcool aidant lui fit accepter plus d’un doigt dans son anus. Depuis le temps, nous avions fait le test et n’avions pas le sida, nous pouvions donc nous amuser sans préservatifs. Je saisis mon sexe et la pénétrai lentement, en la regardant droit dans les yeux. Le rythme fut, cette fois-ci, rapide et empli de puissance, qui faisait tressauter les gémissements de Laura lorsqu’ils s’échappaient de sa gorge. Elle accompagnait mes mouvements de bassin, et après un moment elle se dégagea et se mit à quatre pattes. J’allais entrer en elle lorsque ma chérie me dit :
Je ne lui avais appris que ce verbe, et à la fois surpris par sa demande, et enchanté puisqu’elle m’avait toujours dit non par cet endroit, je m’appliquai à lubrifier son petit trou. Lentement, avec douceur, et une main lui caressant le clitoris, je me suis enfoncé doucement. Laura s’arrêta de respirer, la douleur la faisait grimacer, mais à force de caresses et de mots de réconfort, son anus se dilata, et je pus la pénétrer plus aisément. Lorsque mes bourses se collèrent contre son fabuleux fessier, ma belle se retourna avec un grand sourire, et je l’embrassai, content et terriblement excité. Après un moment, son basin se mua d’une vie propre, et se mit à bouger autour de mon vit. Petit à petit elle accéléra, et je me joignis à ses mouvements. Mes allées et venues s’accéléraient, et c’est dans un cri que je jouis en elle, vite rattrapé par l’orgasme de ma belle Laura.
Le temps passa plus vite que nous le voulions, et rapidement Laura dut repartir pour le Brésil. Nous promettant de rester ensemble malgré la distance, et nous promettant aussi de nous revoir en chair et en os, je la regardai partir avec un sentiment désagréable me pinçant le cœur.