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Temps de lecture estimé : 10 mn
08/05/06
Résumé:  Je suis partie cet été avec 3 amies. Nous avions tout laissé, mari ou petit copain, à la maison pour passer une semaine ensemble, entre filles.
Critères:  fffh extracon voisins voir exhib intermast
Auteur : Boubill
Pour le plaisir des yeux...

Je suis partie cet été avec 3 amies dans la maison de l’une d’entre elles, située dans l’arrière pays Varois, non loin de la côte. Nous avions toutes laissé mari ou petit copain à la maison pour passer une semaine ensemble entre filles. Nous nous entendons bien, nous nous voyons souvent et discutons de tout, sans tabou ni gêne d’aucune sorte. Il va de soi que nous discutons souvent des garçons, de nos expériences amoureuses et vous pouvez me croire, lorsque des filles discutent entre elles de sexe, même si c’est sur un mode soft, cela peut être extrêmement coquin !


Bref, en fin d’après-midi le premier jour de nos vacances, nous prenions l’apéritif et après quelques « tomate » ou « perroquet » à base d’anis, région d’accueil oblige, la conversation avait pris un tour tout à fait « border line ». Nous évoquions nos fantasmes à tour de rôle et nous avions fini par arriver à la conclusion, qu’étant entre nous pour quelques jours, chose qui ne se reproduirait sans doute pas rapidement, c’était l’occasion rêvée pour en vivre certains.



Je me sentis rougir jusqu’au oreilles et c’est presque en bafouillant que je lui répondis :



Géraldine s’esclaffa :



Je la regardais médusée, ne comprenant pas où était le défi dans une action aussi banale.



Gênée je bafouillais :



Nous entendions distinctement monsieur X (anonymat oblige) s’affairer bien qu’étant dans la pièce principale donnant sur le jardin mais sans être dans celui-ci.



Totalement troublée, mise au pied du mur par mes amies, excitée à l’idée de transgresser mes interdits (mon éducation n’avait pas été conduite pour m’inciter à me promener, ni complètement, ni à demie nue, hors d’une salle de bains, bien sûr). Je décidai de sauter le pas.


Je sautai sur mes pieds et fis passer mon tee-shirt par-dessus ma tête, puis je dégrafai mon soutien-gorge, libérant mes deux seins ronds et fermes, dont les tétons avaient durci sous l’effet du trouble qui m’avait envahie. Je descendis les quelques marches menant au jardin pour y chercher la serviette demandée.



La chaleur du soleil de fin d’après-midi me chauffait les épaules, le cou, les seins, tandis que je me mettais en route vers le fond du jardin. Le bruit de sécateur venant de chez notre voisin s’était arrêté et j’imaginais sans peine qu’il me regardait, ayant de toute évidence une vue parfaite sur ma silhouette car j’étais en terrain dégagé. Je me sentis rougir jusqu’au oreilles et une légère suée perla sur ma peau. Je m’obligeais à marcher normalement pour respecter le deal passé avec mes amies et j’atteignis enfin le fil à linge et l’ombre protectrice des arbres l’entourant, avec soulagement. Mais il restait le retour. Prenant mon courage à deux mains, je fis demi-tour pour revenir à la maison. Mes seins ballottaient doucement, au rythme de ma marche, provoquant des élancements très agréables dans tout mon corps.


« Tu es complètement idiote » me dis-je en moi-même, toutes ces histoires pour une petite promenade de rien du tout les seins à l’air. »


J’arrivai enfin auprès de mes amies et donnai à Amélie sa serviette. Je m’affalai dans mon fauteuil d’osier en poussant un soupir de soulagement.



J’hésitai à l’envoyer promener, puis décidai de jouer le jeu jusqu’au bout et me levai.



Je la regardai, suffoquée.



Mes trois amies éclatèrent de rire.



Vexée comme un pou par leurs moqueries et par l’allusion à mon fiancé, je dégrafai mon short et le fis tomber à mes pieds. Amélie siffla doucement :



Plusieurs fois déjà, je m’étais demandé si elle ne ressentait pas une certaine attirance pour les autres femmes et, à priori, mes soupçons se confirmaient. À la vérité, ma culotte, lingerie de prix, mettait en valeur l’arrondi de mes fesses que j’ai très cambrées et fermes, ainsi que ma toison pubienne, qui est bouclée, très brune et fournie, ressortait très bien sous le fin tissu translucide.

Je redescendis les marches une seconde fois, regardant en biais pour savoir ce que faisait notre voisin. Nullement gêné il s’était accoudé à un petit muret commun et me dévorait des yeux sans se cacher le moins du monde. Je me retins pour ne pas courir, ma respiration se fit plus saccadée et, à ma grande honte, je sentais mon ventre se liquéfier et mon intimité s’humidifier sous l’effet de l’excitation. Pour la seconde fois j’arrivai auprès du fil à linge, pris la serviette de Géraldine et celle de Sophie par la même occasion, pour m’éviter un troisième voyage, puis je pris le chemin du retour. Un nouveau coup d’œil en biais m’apprit que notre voisin ne perdait pas une miette du spectacle, un sourire amusé sur les lèvres.


« Ce n’est pas grave, c’est un monsieur déjà âgé qui profite un peu, pas de quoi fouetter un chat » .

J’essayais de me réconforter tout en reconnaissant qu’il m’étais agréable de me promener presque nue devant un homme d’âge mûr certes mais ayant encore infiniment de classe et de séduction.




De retour à la maison, je jetai sur les genoux de mes amies leurs serviettes respectives et je m’affalai pour la seconde fois dans mon fauteuil d’osier.



Je les jaugeai un instant du regard puis décidai qu’en effet, autant mener l’expérience jusqu’à son terme. Je me levai et commençai à me mettre en route lorsque Sophie m’interpella doucement :



L’injonction, dite sur un ton un peu sec, me prit au dépourvu et c’est presque comme un automate que je fis glisser ma culotte le long de mes jambes puis la déposai sur le fauteuil. Je me remis en route pour mon dernier aller-retour, le ventre un peu noué par le spectacle indécent offert au voisin. Un autre coup d’œil en biais m’informa qu’il n’était plus accoudé au muret de séparation. C’est presque avec volupté que je me dirigeais vers le fond du jardin. Une petite brise me fit frissonner, toute ma peau se couvrit de chair de poule.


Arrivée près du fil et ayant décroché la culotte de la miss Sophie j’eus soudain envie de satisfaire une envie pressante.


« Après tout » me dis-je.


Je m’accroupis, écartai les cuisses, ouvris un peu mon sexe avec mes mains et me laissai aller. Un jet doré s’échappa de mon sexe dans une jolie arabesque, inondant l’herbe située entre mes jambes. Les yeux fermés, accroupie, les fesses bien en arrière, je profitais à fond du moment, poussant de petits gémissements tandis que les derniers jets de mon pipi rebondissaient sur le sol.


Lorsque je rouvris les yeux, un froid glacial s’empara de moi. Non seulement notre voisin était revenu à son poste d’observation mais il était muni de jumelles, il m’observait sans se cacher. J’imaginais bien le spectacle que je devais lui donner, une belle femme de trente ans, cuisses et sexe ouverts en train de faire pipi. Je me relevai d’un bond et filai en courant vers la maison.



Je l’entendis m’appeler mais ne m’arrêtai pas, consciente du ridicule de ma situation, courant nue dans ce jardin, les seins ballottant au gré de la course. Je grimpai les marches de la maison quatre à quatre, ressentant physiquement la brûlure de son regard sur mes fesses et m’écroulai en larmes auprès de mes amies.



Tandis que je me calmais, le téléphone sonna. Géraldine prit la communication puis mettant sa main sur l’écouteur :



Je devins écarlate.



Effarée, j’entendis Géraldine lui répondre :



Après qu’elle eut raccroché, je m’insurgeai :



Vaincue, décidée à boire le calice jusqu’à la lie, je ressortis et me dirigeai vers monsieur X, rouge de honte. Puis je me dis : « Après tout, il me trouve belle, il veut me mater, autant qu’il en ait pour son argent » .

Je bombais la poitrine, marchais les jambes légèrement écartées pour mettre en valeur ma vulve et sa protection soyeuse et m’arrêtais devant lui.



Et, se saisissant de ma main droite, il y déposa un baise main.



Fouettée par le langage crû, je fis demi-tour, lui laissant admirer ma chute de reins. Dans cette situation, je voyais mes trois amies, qui s’étaient également munies de jumelles, observer la scène avec excitation. Sa main se posa sur mon épaule droite me faisant tressaillir :



Puis, une fois que je fus tournée :



La gorge sèche je sentis ses deux mains glisser vers mon buste. J’émis un coassement qu’il prit pour un encouragement car je sentis ses mains fermes et douces partant de mes épaules, empaumer mes seins et les caresser jusqu’aux mamelons. Je crus que j’allais avoir un étourdissement tellement sa caresse me fit de l’effet. J’adore qu’on me caresse la poitrine mais Marc ne s’y attarde jamais.

Ses doigts faisaient rouler mes mamelons à présent, les tordant d’une manière délicieuse.



Puis il se mit à tordre mon mamelon droit jusqu’à la douleur, me faisant monter les larmes aux yeux, mais s’arrêtant à la limite du supportable. Ma chatte était trempée à présent et involontairement je m’étais hissée sur la pointe des pieds pour suivre sa délicieuse torture et apaiser la tension en résultant. Avec un soupir, je redescendis les talons au sol.



Et sa main gauche tordit à son tour mon mamelon gauche, l’étirant avec fermeté en hauteur. Une décharge me traversa les reins, je m’accrochai des deux mains à son poignet. La torsion s’arrêta et les deux mains reprirent leur délicieux ballet sur mes seins aux tétons malmenés.



Totalement docile j’obtempérai. Ses mains se posèrent sur ma nuque, mes épaules les massant doucement, je goûtai ce délassement en tremblant comme une feuille. Puis ses mains descendirent jusqu’à la limite de mes fesses. D’une pression ferme il me poussa en avant, me courbant. Ses mains empoignèrent mes fesses, les malaxant doucement, les séparant, mettant en évidence mon sillon fessier. Penchée en avant, cachée dans mes cheveux retombant sur mon visage, je me traitais de folle. Sa main appuya encore sur mon dos et je n’eus d’autre choix que de poser mes mains sur l’herbe pour ne pas m’écrouler sur le sol. Fermement mes cuisses furent contraintes de s’écarter et j’ouvris le compas de mes jambes pour garder mon équilibre. L’excitation m’avait saisie tout entière, à l’idée très précise de l’image qu’il avait de moi, courbée, les seins bougeant sous la pesanteur, les fesses largement écartées dévoilant et mon anus et ma vulve. Une tape sèche, suffisamment forte pour irradier une douce chaleur dans ma fesse droite me surprit. D’instinct je me redressai mais sa main fermement, mais sans rudesse, me ploya à nouveau.



Une seconde tape, frappa cette fois ma fesse gauche m’arrachant un gémissement sourd puis mes fesses furent langoureusement caressées apaisant la douleur causée par sa fessée légère. Je tressaillis lorsque je sentis ses doigts s’introduire entre mes fesses, se rapprocher de mon anus, le caresser doucement déclenchant en moi des frissons de plaisir.



Je hochai la tête en signe de négation.



Ses doigts descendirent plus bas, me caressant le périnée, me faisant chavirer, puis descendirent encore, écartant mes grandes lèvres. Je n’en pouvais plus, lançant mon bassin en arrière, je m’empalai sur ses doigts avec un soupir de bien être. Ses doigts, à présent, entraient en moi et ressortaient avec un bruit très doux de succion. . Sa main gauche crocheta mes cheveux m’obligeant à relever la tête . « flap, flap… » : trois doigts de sa main me pistonnait le con en cadence et sa paume venait à chaque entrée me claquer délicieusement l’arrière des fesses. Quelle image devais-je donner à mes amies, une belle pouliche en train d’être saillie, la tête relevée vers le ciel comme si son cavalier tirait sur le mord. Le plaisir monta en moi, fulgurant.



Et, sortant de mon ventre, deux doigts effleurèrent avec adresse mon bouton d’amour. Son tutoiement, son ton crû et l’adresse de ses doigts déclenchèrent ma jouissance, je hoquetai et la criai de toutes mes forces, une nuée d’étoiles passa devant mes yeux… et je m’évanouis.


Je m’éveillai un peu plus tard dans ma chambre, entourée de mes amies, me demandant si tout cela n’était qu’un rêve…



A suivre…