n° 10406 | Fiche technique | 14119 caractères | 14119Temps de lecture estimé : 9 mn | 08/05/06 |
Résumé: Nous continuons de découvrir nos amours travestis dans le nylon et la dentelle, puis nous préparons à organiser un thé entre dames de la bonne bourgeoisie. | ||||
Critères: hh fhh noculotte lingerie travesti fellation hsodo | ||||
Auteur : Gainenylon (Travesti amoureux de la lingerie et des vêtements féminins) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Souvenirs de lingerie de dame entre amis Chapitre 04 | Fin provisoire |
Notre petite partie, entre Mme Lefort et nous deux, nous avait laissées ivres de jouissance et complètement étonnées par ce qui s’était passé. Mme Lefort nous avait quittées, en fin d’après-midi, en nous promettant une grosse surprise pour le lendemain, à la condition que nous voulions bien ouvrir un peu plus notre cercle intime. Bien évidemment, nous avions donné notre approbation sans savoir ce qui nous attendait. Nous avions ensuite passé la soirée comme deux femmes amoureuses en prenant le temps de nous restaurer et de nous relaxer, en essayant de ne pas trop faire attention à nos habillements, ce qui, pour deux fétichistes comme nous, ne fut pas simple, d’autant plus que la garde-robe de sa maman avait été déclarée "ville ouverte" :
Pour cette soirée, nous avions préféré être prêtes à aller au lit. Ainsi, Solange avait passé une magnifique chemise de nuit turquoise faite de voiles quasi transparentes qui tombaient en corolle jusqu’à ses pieds, sans parler du petit corsage entièrement réalisé dans une belle dentelle blanche merveilleusement ajourée. Le déshabillé coordonné permettait de cacher quelque peu ses formes excitantes, bien que les manches ballon terminées par une bande de dentelle identique à celle du corsage, révélaient ses bras aux fines attaches. Je m’aperçus aussi, au hasard d’une transparence de son vêtement qu’elle avait mis un ravissant serre taille immaculé et des bas à couture chair. Mais ma charmante petite salope avait complètement oublié de se munir de la moindre petite culotte. Ce qui me permit également de deviner sa queue et ses petites boules bien sages entre les jarretelles blanches. Cela me donnait déjà envie d’aller la caresser rien que pour la voir bander sous ses voiles de nylon.
Pour ma part, j’avais opté pour une belle guêpière violette et noire en fine tulle et dentelle ouvragée; une vraie guêpière de gourgandine qui me serrait merveilleusement la taille et les hanches. Je bandais déjà comme une vraie cochonne lorsque j’enfilai la fine culotte coordonnée, si fine que je la sentais à peine recouvrir mon petit cul. Ce sous-vêtement était décidément fait pour le pelotage de popotin ! J’ajoutai une paire de bas couture noirs, indispensables avec les fines jarretelles de la guêpière, puis une paire d’escarpins ajourés hyper sexy. Après quelques recherches dans la penderie de la maman de Solange, je trouvais une magnifique nuisette assortie à ma guêpière, en voile de nylon noir avec de petits rubans coquins violet qui fermaient la nuisette par-devant. Le déshabillé coordonné était tout aussi excitant à regarder et à porter aussi. Et dire que ces dessous avait été et étaient portés par une femme on-ne-peut-plus respectable, très certainement pour le plaisir d’un mari tout aussi respectable ! Cette pensée ne fût pas pour calmer la nervosité qui gonflait ma culotte diaphane.
C’est dans cette tenue que je rejoignais Solange dans la cuisine. Lorsqu’elle me vit, elle ne pût retenir son étonnement :
Certes, sa tenue était moins criante que la mienne, mais je venais de deviner que le voile de sa chemise de nuit commençait à faire bosse tout à fait indécente sur le devant.
J’accédais donc à sa demande et baissais ma petite culotte en faisant onduler mes hanches et lui montrant mes fesses dénudées. Une fois le bout de nylon enlevé, je me retournai, lui cachant encore mon bas-ventre de ma main.
Levant ma main, je lui exhibai d’un coup ma queue tendue entre les jarretelles noires de la guêpière.
Solange s’agenouilla à mes pieds en se troussant pour m’exposer son vit dressé. Elle prit ma queue dans sa main, lécha amoureusement mon gland comme une sucette, puis m’enfourna jusqu’à la gorge en me pompant avec ses lèvres maquillées. De l’autre main, elle avait pris sa tige pour se masturber en même temps. J’ai failli partir en la voyant faire et j’ai dû ressortir rapidement de sa bouche.
Revenant de la chambre de ses parents avec deux vibromasseurs, Solange vint de placer sur moi tête-bêche, en me présentant son entrejambe encore voilée de sa chemise. Je regardai sa queue tendue au travers du nylon puis relevai le vêtement et approchai ma bouche vers la tige rose de ma copine. Solange m’avait déjà prise en bouche et commençait déjà à caresser ma petite rosette avec le vibromasseur. Cela me fit frémir et je pris le mien pour lui appliquer la même gâterie.
Elle avait raison: je sentis tout de suite l’olisbos me pénétrer en agaçant mes chairs de ses sublimes vibrations. Oh, que c’était bon de sentir ce corps étranger, encore un peu frais, investir mon fondement de salope travestie. Je sentais ma queue se raidir, mes couilles se recroqueviller, et j’observais la même réaction chez ma copine. Il y avait aussi le bruit obscène des sucions de nos bites, et nos gémissements de jouisseuses, gémissements qui montèrent comme un duo jusqu’au moment où, toutes les deux engodées, enylonnées et sucées, nous explosâmes dans nos bouches en geignant de bonheur et d’extase. C’était fantastique de sentir son foutre jaillir et, au même moment, recueillir celui de son amante sur sa langue et son palais. Et malgré nos frasques de l’après-midi, nous avons juté et partagé une belle quantité de sperme.
Lorsque nous fûmes bien vidées et repues, Solange se retourna et vint dans mes bras en m’embrassant langoureusement. Nous partageâmes ainsi, dans ce long baiser, notre jus d’amour, tout en frottant nos sexes maintenant reposés. Nous nous sommes enfin couchées dans le grand lit de ses parents, et nous tombâmes dans un sommeil réparateur, dans les bras l’une de l’autre, comme deux amantes de longue date.
Le soleil nous réveilla le lendemain vers neuf heures. Je me levai en premier pour aller tout de suite prendre une longue douche relaxante. Je remis ma nuisette et mon déshabillé, sans rien dessous, et allai dans la cuisine pour préparer notre déjeuner. Solange m’y rejoint, quelques temps après, au sortir de sa douche.
Nous passâmes la matinée à papoter et à nous regarder dans nos petites tenues. Nous avions pour la première fois l’occasion de parler de nos expériences, de nos désirs et de nos fantasmes sans que la pulsion de l’amour physique doive interrompre notre conversation. Certes, nous nous sommes un peu excitées en nous racontant nos secrets, ce qui se voyait aux bosses sous nos chemises de nuit. Mais, par une tacite convention, nous avons évité de nous rapprocher et ainsi, de pouvoir nous toucher.
Vers onze heures, le téléphone sonna. Mon amie crut d’abord que c’était ses parents qui venaient prendre des nouvelles. En fait, c’était Madame Lefort qui appelait. Elle voulait savoir si elle pouvait nous rendre visite pour prendre le thé dans l’après-midi. Solange me demanda mon accord, bien qu’elle sût que j’étais forcément d’accord, par avance. Madame Lefort nous annonça alors qu’elle ne viendrait pas seule mais avec deux de ses meilleures amies, si cela ne nous dérangeait pas, bien sûr. Elle nous dit aussi que ces dames étaient de la très bonne société, très B.C.B.G. en apparence. Enfin, elle nous conseilla de nous vêtir en conséquence, et ainsi éviter les tenues trop voyantes, pour la lingerie y compris. Solange la rassura et lui dit que nous serons habillées comme deux demoiselles bourgeoises et distinguées dont elle serait fière.
En début d’après-midi, nous étions prêtes pour nos visiteuses. Nous étions toutes pomponnées et parfumées, chacune dans un ensemble tailleur de haute couture et chemisier. Pour Solange, c’était un tailleur style Chanel, en laine chinée paille à revers marron avec un corsage en soie rose à col raz et fermé par un mignon petit nœud. Elle avait trouvé une splendide perruque blonde coiffée en chignon qui lui allait à merveille. Un beau collier de fines perles complétait à ravir sa tenue bourgeoise.
Pour moi, c’était un tailleur gris anthracite en douce flanelle avec un chemisier cravate noir en nylon légèrement transparent. Ce qui permettait de laisser entrevoir le haut de ma combinaison et de mon soutien-gorge, eux-mêmes noirs. Et dessous, j’avais choisi de mettre quelque chose de très traditionnel, comme nous l’avait conseillé Madame Lefort. Aimant le contraste, j’avais poussé le conseil jusqu’à choisir une très belle gaine rétro noire qui montait haut en prenant merveilleusement les hanches et faisait les fesses bien serrées. Elle descendait aussi assez bas et était terminée par six courtes jarretelles ornées de rubans en satin. Devant, il y avait un splendide plastron de dentelle ouvragée grise, entouré de panneaux de tulle légèrement transparents lorsque l’étoffe de la gaine était bien étirée sur les rondeurs de mes hanches. Avec une paire de bas à couture noirs hyper fins, c’était une merveille à porter.
Lorsque Solange sortit de la douche et me vit ainsi, je vis son visage très étonné tout d’abord, puis un grand sourire envieux m’indiqua que ma tenue lui plaisait énormément.
En effet, Solange, maintenant nue après qu’elle eut ôté sa sortie de bain, alla ouvrir un des tiroirs de la commode de sa maman, fouilla quelques instants et sortit un combiné blanc qu’elle déplia devant moi. C’était une véritable merveille de corseterie traditionnelle, en tulle et dentelle blanche avec au décolleté et au bas de la gaine des petits rubans rouges incrustés dans la dentelle virginale. Comme pour la mienne, la gaine était terminée par six jarretelles courtes et satinées.
Solange l’enfila devant moi, compléta sa poitrine avec les prothèses de silicone, ce qui lui fit un buste admirable et très émouvant. Elle choisit ensuite une paire de bas neuf qu’elle sortit de son emballage de papier cristal. Il s’agissait de bas beige très clairs (couleur Gazelle, comme l’indiquait l’étiquette de l’emballage). Je la vis les enfiler comme si elle avait fait cela depuis des années, en veillant à bien laisser droites à l’arrière de ses jambes les coutures du sous-vêtement.
Solange me demanda s’il nous fallait absolument mettre une petite culotte. Je fus surpris par cette question, puis nous eûmes la même pensée folle et nous décidâmes de ne pas en mettre, sachant qu’en cas de bandaison, il était possible de glisser nos tiges sous l’avant de nos gaines. D’ailleurs, à force de nous regarder, puis de venir toucher et caresser nos fesses et nos cuisses, nos sexes avaient grossi et raidi comme deux « I » !
Pour éviter de devoir aller plus loin, nous décidâmes de continuer de nous vêtir sans nous regarder, afin de baisser notre excitation.
Quelques instants plus tard, nous étions prêtes à recevoir nos invités. Nous avions préparé le service de thé dans le salon avec soin, comme deux dames attendant avec plaisir la visite de leurs amies. J’adorais nous voir marcher à pas réduit en raison de nos jupes très serrées qui descendaient en bas des genoux comme c’était la mode dans les années 50. Le claquement des talons aiguille de nos escarpins augmentait ce plaisir de se sentir si féminine.
Nous avons attendu nos invités toutes deux assises dans le salon sans rien nous dire. Mais nos regards indiquaient que nous étions en train de nous imaginer par avance, sans y croire réellement, les aventures amoureuses que nous allions, peut être, vivre dans les minutes qui venaient. Je crois que nous ne fûmes pas déçues et que, même, nous n’avions pas pensé vivre une telle débauche.