Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10411Fiche technique17501 caractères17501
Temps de lecture estimé : 11 mn
11/05/06
Résumé:  Une de mes premières liaisons, avec une superbe femme plus mûre que moi.
Critères:  fh fplusag forêt travail volupté fsodo
Auteur : Fabien  (H 40 ans, je vous envoie mon plus beau souvenir.)
Josie

Il y a quelques années, j’étais un jeune agent de veille incendie dans un centre de télésurveillance situé en banlieue parisienne. Le commandant était secondé par Josie, une femme gaie et dynamique, malgré un physique lourd, quelques kilos en trop, mais un visage divin, doux, bien mis en valeur par des cheveux courts. Beaucoup d’hommes se retournaient sur son passage, mais elle, divorcée, discrète, ne faisait rien pour les provoquer.


Il advint que, par le hasard des remplacements, des congés, des maladies, nous nous sommes trouvés cinq jours presque d’affilée, en juin, ensemble de permanence. Un jeune qui couchait là le soir (moi) et un cadre qui décalait ses horaires et restait tard le soir (elle).

Le premier soir, calme plat. Le deuxième :



Je basculai les alarmes et la suivis dans le couloir. Plus grand qu’elle, je regardais par-dessus son épaule. Pris d’une inspiration, je lui dis de s’arrêter. Etonnée, elle obéit. Je la pris par les épaules et posai sur son cou un long baiser tendre, puis m’écartai d’elle, inquiet de sa réaction. Mais elle reprit sa marche sans rien dire. Vers la fin du repas, je lui demandai si je ne l’avais pas vexée, elle répondit :



Houlà…


Le repas fini, dans le couloir, je l’embrassai à nouveau de la même façon, sans qu’elle dise rien. Elle alla s’asseoir dans un fauteuil devant la télé. Je m’agenouillai par terre à côté d’elle et l’embrassai encore dans le cou, puis un peu plus bas, puis encore plus bas.

Elle regardait fixement l’écran. Je défis le premier bouton de sa chemise et embrassai sa gorge. Le deuxième bouton sauta mais elle réagit enfin et le reboutonna. Je l’enlevai à nouveau sans qu’elle dise rien et couvris de baisers la peau si douce à cet endroit-là. Écartant le vêtement, je découvris son décolleté et une partie d’un délicieux soutien-gorge noir. Mais elle se leva, se rajusta, et dit :



Fini pour aujourd’hui !


Le lendemain soir, même scénario et, en allant très lentement, je parvins à ôter tous les boutons et à avoir une vue superbe sur son soutien-gorge et ses seins que je couvris de caresses à travers le tissu. Elle fixait toujours l’écran de télé, comme absente. Son parfum, l’odeur de son corps me rendaient fou, elle était délicieuse. Je couvrais de baisers la naissance de ses seins, agaçant un peu leur pointe entre mes dents, à travers le tissu. La peau était chaude, lisse et parfumée. Puis elle mit fin à la partie…


Le troisième soir, c’est moi qui m’assis dans le fauteuil et la pris contre moi. Debout, elle me tenait les épaules, ma bouche était juste à la hauteur de ses seins, je les embrassais sans pouvoir m’en lasser. Elle souriait, un peu crispée. Je défis sa chemise puis caressai son dos et ses fesses généreuses par-dessus sa jupe. Mes mains descendirent vers ses genoux pour remonter d’un coup sous la jupe. Elle réagit vite et s’écarta de moi, mais j’avais eu le temps d’effleurer sa peau nue ! Je la repris contre moi en lui demandant :



Waouh, un string ! À l’époque, le string faisait rêver, ce n’était pas aussi répandu qu’aujourd’hui. Cette femme était d’une sensualité insoupçonnée, elle commençait à se révéler petit à petit, et je l’adorais déjà.

Avec douceur, je repris mes caresses sur son dos, ses fesses, et là elle me laissa passer sous sa jupe sans rien dire. Enfin je pouvais la caresser, la pétrir sans retenue, sentir sa peau nue sous mes mains. Son corps était superbe, un vrai appel à l’amour, comme je l’imaginais depuis des mois. Puis je m’enhardis et dégrafai son soutien-gorge, découvrant enfin ce que cachait la fine dentelle. Elle mit alors ses bras autour de ma tête et me caressa les cheveux. Je nageais dans un délire de douceur, la peau de ses fesses, ses jolis seins, légèrement ridés par une grossesse, à peine tombants, en un mot désirables, et contre lesquels je pressais mon visage, mes lèvres, ma langue. Je savourais le grain de sa peau ; je fis gonfler ses pointes et les agaçai doucement entre mes dents et mes lèvres pour qu’elles s’érigent encore. Elle avait les yeux fermés par moments, nous savourions ces minutes de plaisir, elle s’abandonnait contre moi. Je caressais délicatement son sexe à travers le fin tissu du string, passant parfois un doigt dessous pour sentir à quel point elle mouillait.


Au moment de son départ, je la pris de dos contre moi, une main sur ses seins, une autre sur sa cuisse et lui dis :



Pour toute réponse, elle se renversa contre moi, leva ses lèvres vers les miennes, passa une main sur ma joue et se mit à ronronner quand ma main caressa son sexe à travers la jupe. Elle était superbe, s’offrir ainsi dans mes bras, j’étais en plein rêve.



Elle revint deux jours après, un samedi matin. Nous étions seuls comme prévu, enfermés à l’intérieur du centre de surveillance. La journée s’annonçait calme, nous nous caressions fugitivement dès que nous passions à côté de l’autre. L’après-midi enfin nous eûmes le temps de nous arrêter, et au bout de quelques minutes elle était nue entre mes bras, sur mon lit. Comme elle était belle ! J’avais tellement envie d’elle, de sa douceur, de ses seins, de son visage. Agenouillé devant elle, je la regardais en entier, savourant ma chance, puis je vins enfin entre ses jambes et la pénétrai d’une seule poussée. Quelle douceur ! Je glissais en elle en savourant le contact autour de mon membre, son vagin était serré autour de moi et je ressentais déjà un plaisir dingue. Elle était chaude et terriblement humide, ses reins bougeaient à ma rencontre, elle se mit à gémir en quelques secondes. C’est très flatteur pour un homme, et cela ne fit que renforcer mon attirance pour cette si belle femme. Appuyé sur les coudes, je caressais ses cheveux et ses seins pour lui donner encore plus de plaisir. Nos langues se mêlaient, nos souffles étaient courts, elle gémissait de plus en plus vite, je n’en pouvais plus d’aller et venir, j’avais trop envie de son corps depuis ces derniers jours où elle me l’avait lentement dévoilé. Elle avait renversé la tête, les yeux clos, savourant la montée de son orgasme ; mon sexe fut pris de spasmes, je donnai encore trois ou quatre coups de reins et nous jouîmes ensemble. Elle se raidit plusieurs secondes, tétanisée sous une onde de plaisir, puis se relâcha sous mon corps. Effondré sur elle, je la couvris de baisers, la remerciant de m’avoir donné une si forte sensation.


Le soir, elle décida de rester plus longtemps et nous nous retrouvâmes sur le lit. Je la fis venir sur moi, j’avais envie de jouer avec ses fesses et ses seins dont j’avais été un peu privé tout à l’heure. Mais, au lieu de s’allonger, elle s’agenouilla sur moi, et sans s’aider des mains se laissa glisser sur mon sexe tendu. Buste droit, la bouche entrouverte, les yeux fermés, elle allait et venait sur moi en me présentant ses formes généreuses et charmantes. C’était une vision superbe, cette femme mûre qui se donnait du plaisir toute seule sur moi ! Je la laissai faire, ravi, mes mains sur ses cuisses. Enfin, elle pencha son buste sur moi, et je pus la caresser partout comme j’en rêvais. Mes mains prirent possession de son dos, de ses seins, de ses fesses, et mon bassin, libéré de son poids, put aller et venir à mon rythme. D’un doigt je titillai même son petit trou, sans qu’elle dise non, c’était à se rappeler pour plus tard. Nos langues s’enroulaient, nous avions le souffle court, mon sexe allait et venait en elle de plus en plus vite, puis calmait ses mouvements avant de repartir. J’avais décollé mes fesses du lit pour mieux venir en elle, mon ventre tapait contre elle comme pour y entrer plus profond, si c’était possible ! Elle gémissait à nouveau et je sentis son orgasme très nettement autour de moi, par les contractions de son vagin. Je libérai mon sperme loin au fond d’elle, et elle retomba sur moi pour reprendre son souffle un long moment.


Deux jours plus tard, finissant tôt ma permanence et prenant un repos, je fonçai chez moi poser mon sac et courus chez elle, qui habitait à deux pâtés de maisons de là. Nous avions une heure avant qu’elle parte travailler. Nous nous sommes déshabillés l’un l’autre, je passai derrière elle dégrafer son soutien-gorge, et y restai, collé contre son dos, une main jouant avec les poils de son entrejambe. Je pressai mon bassin contre ses fesses, mon sexe se tendant petit à petit. Je le promenai entre ses jambes, puis un peu contre ses fesses, en me tortillant je le faisais s’insinuer entre ses chairs, puis revenais sous elle. De sa main, elle pressait alors mon gland contre ses poils déjà humides, dans un mouvement d’une douceur qui lui était habituelle. Puis je revins derrière et frottai avec plus d’insistance entre ses fesses et ainsi de suite, plusieurs fois. Enfin, mon sexe appuyé contre son petit trou je lui dis :



J’appuyai un peu plus fort, m’aidai d’une main à me guider en elle et la pénétrai avec lenteur, donnant de petits coups de reins. Quelle sensation, c’était plus serré et différent de son vagin, mais elle m’aidait en bougeant doucement, appuyée au mur, et je sentais ses muscles anaux qui s’activaient à me laisser entrer. Une fois au fond d’elle, je pus commencer à aller et venir avec facilité, je jubilais, c’était la première fois que je prenais une femme comme cela. Ma tête tournait, je me répétais sans cesse « ça y est tu la sodomises, tu la prends dans les fesses, elle te donne son cul ». Un peu vulgaire, mais c’était mon aphrodisiaque, si seulement j’en avais encore besoin ! Enfin je sodomisais cette belle femme qui en éprouvait autant de plaisir que moi. Elle était une amante bien plus expérimentée que moi, elle me montrait par son rythme comment faire pour la combler, passait ses mains derrière elle pour caresser mes fesses ou mon sexe, elle tournait la tête vers moi pour m’offrir ses lèvres et sa langue. Nous nagions dans une mer de sensations, de plaisir, appréciant sans retenue ce moment de sexe. Je m’accrochais à ses seins ou à ses hanches, j’avais envie de sa peau, de toucher tout son corps, de la couvrir de caresses.


Puis elle se sortit de moi pour se mette à quatre pattes sur le tapis, et je repris sans difficulté possession de son anus. Je ne pouvais plus caresser sa poitrine dans cette position et je me concentrai sur mon plaisir, le sien montant vite comme ses gémissements l’indiquaient. Les mouvements de nos hanches devenaient rapides, brutaux, je ne pensais qu’à la prendre plus fort et plus profond. Dans mon délire, je voulais agrandir son petit trou, j’avais l’impression que mon sexe avait doublé de volume, il me brûlait du haut en bas, et au moment où elle s’effondra en râlant, la tête sur le tapis, je jouis comme rarement, lâchant de longs jets de sperme en elle. Je m’effondrai sur son dos que je couvris longuement de baisers tendres, pour lui montrer ma reconnaissance. Je m’aperçus avec amusement que dans cette position je ne débandais presque pas, et je suis resté longtemps en elle. De temps en temps, l’un de nous deux bougeait un peu, pour donner à l’autre une ultime sensation…


Nous adorions tous deux la sodomie, elle s’est offerte ainsi à moi une douzaine de fois durant les quatre mois que dura notre liaison. Elle le faisait sans honte, juste heureuse qu’un homme sache la combler. Ce à quoi je m’appliquais avec quelques efforts et beaucoup de plaisir !


Nous faisions aussi beaucoup d’efforts pour cacher notre relation et préserver sa réputation, tant au travail devant les collègues qu’en ville. Jamais je n’ai passé la nuit chez elle, les voisins l’auraient remarqué, ainsi que deux autres gars du boulot habitant près de là. Et surtout elle avait un fils encore jeune. Nous nous voyions en coup de vent, genre trente minutes maxi. Pas simple, ni satisfaisant. Elle est venue deux fois chez moi, nous sommes arrivés le lendemain au centre… très fatigués. Un délire de sensations, elle avait une imagination fertile dans les choses de l’amour, peut-être à cause de ses deux années de manque, depuis son divorce.


Un matin où nous faisions du covoiturage, je lui dis :



Le soir, elle m’avait écouté, et mon majeur entrait en elle avec une facilité déconcertante. Mais, gênée par son poids et son bassin, ma main était bloquée, seul le bout de mon doigt s’activait en elle, effleurant parfois l’utérus. Sur le périf, elle roulait à septante, pas plus, je la voyais se mordre parfois la lèvre, elle souriait, alors que sa chatte adorable coulait comme une fontaine. Chez elle, sur le lit, elle croisa très haut les jambes sur mes reins, pour mieux me sentir en elle. Dans cette position, elle prenait son plaisir de mon sexe enfoncé en elle jusqu’au dernier millimètre, et de mon index allant et venant dans son petit trou. Ma bouche écrasait la sienne pour que ses soupirs de jouissance n’aillent pas alerter le voisin !


Un samedi matin d’été, je la pris sur ma 125, nous trouvâmes dans les collines alentour une carrière abandonnée, bien cachée de tous. J’entrepris de la caresser pour la faire mouiller abondamment, puis je m’accroupis, mes mains pétrissant la chair abondante de ses fesses… J’adorais cela, la lécher de ma langue, entrer dans ses grandes lèvres et commencer à voir son bassin onduler. Il lui arrivait, ses mains dans mes cheveux, de presser ma tête contre son sexe, et une fois - merveilleux souvenir - de le frotter contre tout mon visage : une vraie frénésie de plaisir, elle était si complice avec moi qu’il n’y avait aucune gêne entre nous pour ces gestes audacieux, que certains beaux penseurs auraient trouvés vulgaires, alors que c’était simplement de l’amour.

Puis je me relevai et, comme il y avait trop peu d’herbe pour s’étendre, je la pris debout : mes mains sous ses cuisses, à la force des bras, je la soulevai et m’enfonçai en elle avec délice. Elle s’était accrochée à mes épaules, sa bouche dans mon cou ou sur mes lèvres, et je savourais la sensation de son vagin autour de moi, impossible de me lasser de son corps, elle était si sensuelle. Je ne pouvais pas m’occuper de ses seins, d’ailleurs nous avions gardé le haut de nos vêtements, mais cela n’avait aucune importance, seul nous préoccupait le pont de chair qui nous unissait. Elle râlait doucement, ce qui amplifiait toujours mon plaisir, mon bonheur de faire jouir une si belle femme. Je sentais entre mes mains son bassin onduler à ma rencontre, je poussais le mien loin en elle au même rythme. Le soleil nous chauffait, le fait de faire l’amour dans cet endroit inhabituel ajoutait à notre excitation. Son orgasme vint au bout de quelques minutes, provoquant le mien, et je l’inondai de mon sperme sans retenue, j’aurais voulu en avoir encore pour couler plus longtemps en elle. Mes mains et mes bras me brûlaient, mais je la gardai près de moi un moment le temps qu’elle se calme, son souffle dans mon cou. Et quelle récompense de cet effort lorsqu’elle m’embrassa avec un sourire désarmant en me disant :



Adorable, vraiment ! Je la posai enfin par terre et de deux doigts refermai tendrement les lèvres de son vagin pour que mon sperme ne dégouline pas sur ses jambes.


Hélas, notre temps était compté. Elle me plaqua en me disant qu’elle avait besoin d’un homme qui lui offrait plus de vingt minutes d’amour par jour. Je protestai, m’accrochai longtemps avant d’accepter son départ. J’avais réveillé son besoin d’être aimée, je devais laisser ma place à un autre. Aujourd’hui, je ne lui garde aucune rancune, j’éprouve simplement une énorme affection pour cette femme si sensuelle, si naturelle, qui m’a appris et apporté tant de choses, au point que je me souviens de tout ! Josie, ma douce, si on se revoit, j’espère que tu viendras quelques instants dans mes bras, histoire de revivre fugitivement notre belle histoire !