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Temps de lecture estimé : 16 mn
16/05/06
Résumé:  As-tu déjà fait l'expérience d'un doute ridicule impliquant ta femme. Oui ? Lis donc ceci. Tu ne te sentiras plus jamais seul.
Critères:  hh fhhh hplusag cocus inconnu sauna voir entreseins fellation pénétratio fdanus partouze yeuxbandés humour
Auteur : Ari Duparc  (Oui c'est toujours Ari mais un style différent.)            Envoi mini-message
Histoire de doutes

Bon, pour apaiser les consciences et surtout suivre le protocole du politiquement correct sachez, lecteurs bien aimés, que ce récit est une fiction. Par conséquent, les personnages sont fictifs, l’absence de préservatif l’est également et toute ressemblance avec des personnages connus ou inconnus relève du domaine de l’imaginaire. Ari change de style. Juste pour voir.




La mise en scène



Cela fait sept ans qu’on se connaît, dont cinq de mariage et trois, c’est l’âge de notre petit garçon. Un beau gamin du reste. Je m’en occupe. Tous les jours.

Je suis entre deux boulots…

Ma femme est superbe. Un peu grassouillette depuis la naissance du petit, mais très séduisante. Enfin bref, après sept ans, elle me fait toujours le même effet quand bien même le petit ventre resté accroché après l’hébergement bébé.

Capricorne, c’est donc une « qu’a pris cornes ». Non, je rigole. Mais elle est très astrologique et y croit dur comme fer. C’est pourtant une cartésienne : je pense donc… voilà. Ce doit être le boulot : cadre sup. dans une multinationale.

Mézigue, c’est cadre forcé dans une « multifamiliale ». Plutôt, pascalien : s’il fallait parier qu’elle n’a pas de petite culotte, je parierais qu’elle n’en a pas, car j’aurais plus de chance d’y placer une dextre à défaut d’y reluquer un brin, histoire d’enrichir ma collection d’images érotiques. Va savoir où ça s’arrête, mon lecteur bien aimé !

Quoi ? Tu n’en sais rien. Bon, et bien nous serons deux, peut-être même plus.

Voiture, boulot, dodo pour ma moitié. Il me reste donc vaisselle, école, dessins animés.

Le soir c’est parfois oui, parfois non, la grippe, la fatigue et les ennuis au boulot. Pour ma part, scout toujours prêt. Je n’y peux rien. C’est comme ça. C’est de famille. Mon père aussi, à son âge, m’a parlé l’autre jour que le Viagra c’était pour les Américains et donc que les Français n’avaient pas d’utilité pour ce truc bleu si onéreux. C’est vous dire si c’est grave.

J’ai bien pensé à Julie qui vient repasser le linge le mardi. Mais elle ne m’inspire pas trop. Sans raison. Pas le moindre frétillement. La mort quand je la regarde.

La lessive fait partie de mes qualifications. Je vois passer des jeans, des pulls, des chemises et parmi les choses intéressantes les soutiens de ma belle et ses petites culottes.

Bref, c’est pas que je ne pense qu’à ça, mais vu la situation, lorsque je pense, c’est souvent à ça.

Pas de doute, j’étais sur la pente obsessionnelle et me demandais s’il y avait un retour possible, une marche arrière. Pas au point de redevenir un enfant de cœur, mais bon, juste après.

Comment dis-tu ? Ça devient monotone ! Ok message reçu. On y va. Attache ta ceinture, ou plutôt détache-la. On ne sait jamais, des fois que ça te plaise.

Je regardai la garde-robe d’un air dépité. Ranger, ranger. C’est vite dit, ça. Je me mis à la tâche et commençai par le dessus. Dans une vieille boîte à chaussures, je découvre trois cassettes doublement VHS, car en plus de la norme bien connue, elles sont « Very High Sex ». Ce sont des films pornos.

Deux « ordinaires » contenant les ébats suggestifs d’un couple, deux couples. Tiens, tu l’auras. Mais la dernière, bien que s’agissant d’un couple également, ne laisse au téléspectateur que le choix d’un seul sexe : le masculin. En résumé, pour ceux qui n’ont pas compris, il s’agit d’un film homo.

Bon sang, mais qu’est-ce que ma femme peut bien avoir à faire avec cette spécialité. Oui, je te vois venir avec tes gros sabots. Tu te dis : il est homophobe. Hé bien non ! Pas du tout. J’ai même essayé, mais c’est pas trop dans mes cordes et donc sans rancune, je m’en suis retourné aux prunes.

Le pire, c’est que je n’ai pas osé lui parler de ma découverte. Et voilà que ça se complique. Je me retiens. C’est pas bon. Mais voilà, c’est fait et c’est trop tard.

Les questions fusent. Quand a-t-elle acheté ces films ? Avant ou après notre mariage ?




L’intrigue



Cynthia, c’est la maman de Bénédicte. Quand on attend les gosses à la sortie de l’école, on n’est jamais monsieur untel ou madame unetelle. On est la maman de x ou le papa de y. Donc, la maman de Bénédicte était toujours proche de moi. À l’heure actuelle, elle est devenue très proche. Nous avons sympathisé.

Pas mal foutue, grande, blonde, petits seins et mère célibataire, elle a le mérite de me troubler.



Vous l’aurez compris, on est devenu intime. Mais elle est quand même sérieuse. On parle de beaucoup de choses osées, elle prend part active à la conversation, mais quant à passer à l’acte, c’est une autre histoire


Cynthia a une sœur jumelle. Une vraie. Identique en tout point. Elles ont les mêmes mimiques. La seule différence est dans l’action : Cynthia, c’est « je parle » et Christine, c’est « j’agis ».


En parlant d’agir, cela faisait presque deux mois que plus rien ne se passait entre ma femme et moi. Mort subite. Plus rien. J’étais sous pression. Inquiet, j’en parlais à ma copine devant sa jumelle.



Là, c’est Christine qui parle. Le rentre-dedans avec les yeux brillants. Je me lance.



Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris. Accélération de libido, fantasme caché, je lui lâche :



Je me demande qui est le on dont elle parle. Mes doutes s’évaporent.



Les gorges se nouent d’excitation. Quand on parle tabou et que l’autre entre dans le jeu, c’est toujours comme ça et surtout délicieux. Tabou, c’est tabou. On lève l’interdit de plusieurs années d’éducation, de frustrations donc, mouvement de pomme pour Adam et contorsions pour les filles.



Ça, c’est la question-piège. On va voir comment elle s’en sort, la belle Christine.



Même Cynthia a voulu voir. Le virtuel, c’est plus du côté parole que du côté action, donc elle pouvait s’y risquer.

L’endroit est très bien décrit dans un site fort complet avec de belles couleurs et une carte pour faciliter l’accès. Les prix sont élevés pour les hommes seuls, mais pour les couples, c’est même gratuit certains jours. Bien sûr, ces jours-là, on accepte les mâles non accompagnés.



Alors là voyez-vous, chers lecteurs, la vraie nature se montre, se démontre. La gratuité, c’est le plus important. Le bonus, c’est le motus qui devient vivendi à force de regarder trop la télé. On convient donc du jeudi. Cela tombe bien, car ma femme m’a déjà prévenu d’un audit à réaliser jeudi et vendredi en Autriche et le petit serait le bienvenu chez les grands-parents. L’occasion rêvée quoi !

Christine est tout émoustillée. Sa sœur n’en revient toujours pas. C’est décidé. À nous la belle vie, à nous l’aventure. La vraie. Celle qui va nous sortir du marasme. Ce sera jeudi.


Jeudi matin, c’est le jour des valises. Le vol est à 11h30. Elle est très calme et n’a pas l’air d’avoir peur de le manquer. Elle me fait les recommandations d’usage, me dit qu’elle m’aime, m’embrasse et part vers sa destinée autrichienne.

Le petit est déjà chez les grands-parents. Comment ? On s’en fout. Continue ? Oui, mais il faut bien expliquer. Je ne peux pas aller au club avec le gamin tout de même.


Je re-visionne les VHS, prends un bain, tue le temps. Reprends une douche. L’horloge a dû ralentir. C’est pas possible. Qu’est ce que c’est long d’attendre l’heure.

À tout hasard, je revisite le site, histoire de me familiariser avec l’endroit : salle principale, matelas, films sur grand écran, le toutim. Chambres spéciales à thème, sauna, piscine intérieure, préservatifs à volonté. Je m’oriente virtuellement, car une fois que tu connais l’endroit, tu ne te préoccupes plus du chemin à suivre et tu peux te concentrer sur l’essentiel. C’est comme conduire. Si tu connais la route, tu peux répondre à ton portable qui sonne pour des conneries. Voilà c’est dit, dans les deux cas, le mot « suicide » apparaît en fondu dans mes images cérébrales. Remords, oui bien sûr et avant même d’avoir (mal) agi. La pomme de mon vieux pote inventeur de la brosse du même nom (Adam pour les niais) se remet à faire ses va-et-vient, nouant sérieusement ce qui ne devrait pas l’être, c’est à dire la gorge.


Elle était sublime. Habillée d’une robe légère couleur bleu roi en contraste avec ses cheveux noirs. Attends un peu. Noirs ? Mais elle n’était pas blonde, avant ?



Mmm. C’est qu’elle y va à fond dans son rôle, la gueuse.



Je me demandais si tout était noir et je n’allais pas être déçu !




L’acte



Le néon polychrome diffusait ses rayons dans le brouillard naissant. La pub du « Mirage » clignotait sempiternellement, comme pour s’assurer que personne ne la loupe.

Après avoir garé la voiture de Christine dans l’ombre de la nuit, nous voilà enfin devant la porte de notre destinée. Toc-toc et puis dring-dring. Ouvrez vite, on pourrait nous voir !



Le grand blond nous indique les vestiaires et résume le Règlement de la maison. Il est 23h. Il précise que « l’ambiance » ne commence que vers 1h du mat. Chouette, ça nous laisse le temps pour s’accoutumer.

Luxueux. Quand je vous dis luxueux, cela dépasse l’imagination. L’endroit sent le propre, est beau, bien décoré, harmonieux. Bref, on s’y sent déjà bien.

Le vestiaire est sommaire. On a une clé attachée à un bracelet. La consigne est de se déshabiller complètement. Seuls les slips sont admis. Oui, bien sûr avec des corps dedans.

L’endroit a beau ressembler à un désert, un bruit bien connu des amateurs de films pornos s’échappe de la chambre des offrandes. On s’y hasarde.

Une jeune blonde complètement nue est étendue sur une stèle de marbre. Brrr. Eclairée par de puissants spots, elle se faisait prendre par un homme chauve pendant que la bouche de la « sacrifiée » alternait entre deux vieux fripés à la bedaine impressionnante. Dans le fond, assis sur un banc, un jeune homme regardait allègrement l’acte, le caleçon gonflé.



Elle me prit par la main et me tira vers le voyeur.



Comme trois vicieux, nous regardions le quatuor à piston avec envie. Ce n’était certainement pas les mêmes désirs, mais ils avaient la même intensité. Chez le cocu et chez moi, cela commençait à se voir. Christine était tellement concentrée qu’elle en déposa ses mains sur nos genoux, pour s’en servir d’accoudoir sans doute.

De notre point de vue, nous pouvions voir que la dame n’embrassait pas que les nombrils. Elle se saisissait tant bien que mal des bites décalottées.

Ma jumelle d’action s’énervait. Ses mains frottaient nos cuisses respectives sans les voir. L’effet dopait l’audiovisuel. Un peu comme la petite dose de « bang » dans la poudre à lessiver. T’es content de l’avoir mise même si tu n’es pas certain de la finalité.



J’abandonnais la main de Christine pour accoster le chauve. Il ahanait, invectivait l’épouse en la traitant de salope, putain, Dieu que t’es bonne. Son membre coulissait dans la vulve épilée. Je voyais parfaitement les allers-retours du bord de ses lèvres qui s’écrasaient sous la pression de la bite encapotée. La lumière intense dévoilait sans pudeur le clitoris qui se pliait sous la tempête charnelle.

Les coins de la « table d’offrande » se terminaient par quatre calices de pierre remplis de petits sachets carrés reluisants. J’y pris une capote et me préparai pour la succession.

Cela ne dura pas longtemps. Sur un « aah, je me vide, je te remplis », le limeur sans coiffure abandonna son poste qui fut repris aussi vite qu’un siège de direction à la S.N.C.F. par mézigue.

Le con de la belle étendue n’eut pas le temps de se rétrécir. Elle posa des petits pieds au bord du marbre, s’ouvrant encore un peu plus. Ses grandes jambes formaient un compas accueillant. C’est vrai que c’était bon. Un con, c’est un con. Oui, mais on ne sent pas la même chose quand ce n’est pas l’habituel de con. Une pulsion incroyable s’empara de moi. Je me pliais pour saisir les deux montagnes tremblantes qui me narguaient depuis mon arrivée. Là aussi, c’était étrange. Sept années d’habitude et vlan ! On n’oublie qu’il y en a d’autres. Ceux-ci sont plus rigides et les bouts plus bruns. Ils donnent envie de les téter à vue. Moi, j’ai beau me plier au risque de déjanter, je n’arrive pas jusque-là.

Toujours prêt à rendre service, un des bedonnés se charge d’exécuter mon désir. Il se met à sucer l’arrogante poitrine comme un gros bébé qui a soif.

Et pendant ce temps-là… Le mari pas jaloux négociait une petite pipe avec mon amie qui riait en sautillant. Ce qui améliora nettement le mouvement circulaire de sa main entrée dans le calcif du mâle voyeur. À genoux, femme païenne, honore ton dieu bandeur !

Tandis que l’époux se remit à sa besogne d’espionnage, ma petite Christine lui enleva l’encombrante pièce d’étoffe. Un gros membre surgit, prêt à l’emploi, oscillant de bonheur sur la poitrine de l’agenouillée.

J’en avais assez et puis je voulais encore garder des forces pour la suite de la nuit. Après m’être extrait de la fente conjugale, je revins m’asseoir près du mari pompé. Il se contractait, déjà prêt à jouir.



Elle me regardait avec déférence pendant que les jets dévalaient sa gorge devenue volontaire. Il n’y a pas de limites en macrobiotique. Il faut juste y croire.




La surprise



Nous sommes revenus au bar. Whisky pour moi, Gin-tonic pour ma compagne de débauche. L’endroit se remplissait, principalement d’hommes. Un bruit sourd de conversations meublait l’atmosphère.



L’épopée vers le sauna fut longue. Il fallait se frayer un passage parmi les corps discutant de la pluie et du beau temps. On aurait dit qu’ils étaient là par hasard.

Je ne sais pas pour toi, mon vénérable lecteur excité, mais dans un temple du sexe je me fous pas mal de savoir s’il va pleuvoir ou si le dernier modèle de Torck est équipé d’un compresseur bipolaire à entrelacement différé. J’en profite, moi. Je reluque, je tâte, je cause un peu de scénarios ou d’imbroglios à finalité érotique. Bref, on se serait crus sur la place du marché en été et de préférence sur la côte vu le port obligatoire de maillots.

Quoique la vérité est dans le regard. Et moi, j’en ai quand même vu en train de zieuter en coin les petites doudounes de ma Christine bien aimée. Plutôt rassurant tout de même.

Une bouffée de vapeur accompagna l’ouverture de porte. Ma fausse noire éventait l’entrée du sauna en s’introduisant prudemment dans la fournaise. Des corps nus se reposaient sur tous les étages de bois. Une dizaine d’hommes et trois femmes. Facile de reconnaître le genre dans ces cas-là, quand bien même la vapeur s’acharnerait à tout effacer. On s’installa à la seule place disponible soit dans un coin au troisième étage. Je m’assis dans le coin pour accueillir le beau châssis de ma comparse qui se coucha entre mes jambes prenant appui sur mon torse bombé. Hein, pas mal le coup du torse. Faut bien que je me fasse un petit coup de pub de temps en temps.

Je n’appréciais pas trop le toucher de sa perruque, mais le reste compensait largement. Elle se lova et m’embrassa sur la joue.



Mon alliance me brûlait le doigt. Signe de rappel à l’ordre ou de température excessive, allez savoir. Toujours est-il que ma pomme recommença ses mouvements d’angoisse.



On ressortit se donner un coup de froid sous la douche. Puis retour à notre place.



Ah oui ! Cela changeait tout. Un morceau d’étoffe en moins et hop ! Les sensations sont décuplées. Je fermais les yeux pour profiter pleinement de cet instant divin.

Christine se raidit et me chuchota à l’oreille :



Je refermai les yeux et m’endormis presque. Presque, car Christine commençait à haleter. Pas uniquement à cause de la chaleur, mais je pense que la tête qui basculait entre ses jambes y était vaguement pour quelque chose.

Elle tremblait, n’osant ouvrir les yeux. Ce qu’elle avait ouvert, c’était ses jambes, dévoilant de la sorte son intimité complètement lisse.

En bon copain, je positionnai mes bras de part et d’autre de son buste. Les mains placées entre ses cuisses, j’ouvrais sa fente en tirant au maximum. La langue pointure pénétrait la vulve comme un petit sexe. Chris déplia ses bras derrière ma tête et se mit à crier son plaisir. Ce qui augmentait la pression sur mon propre membre coincé entre nos peaux mouillées. Sa nudité tendue se relâcha

Dans un ultime soupir. Elle m’embrassa dans le cou en murmurant un merci complice.




La cerise sur le gâteau



Comme à la foire, on voulait tout essayer. Mais la quantité d’attractions ne nous en laisserait pas le temps, voire la condition physique. La douche froide avait réglé le sort de mon érection, mais la pression s’accumulait et il y avait grand à parier que l’éjaculation finale serait volumineuse si toutefois elle se concrétisait.

Christine me tirait toujours par la main, cette fois en direction des chambres à thèmes.

Étrange, cette file d’hommes tout sourires qui s’allongeait devant l’entrée de la consultation gynéco. Ils se tenaient plus ou moins le membre, certains pour maintenir la pression et d’autres pour s’assurer de sa présence. C’était selon.

De nouveaux gémissements modulaient les rumeurs masculines. Les mâles s’encourageaient mutuellement en donnant leur avis sur ce qui se passait derrière cette entrée.

Christine doublait la queue frétillante de spéculateurs. Elle me tirait dans la pièce surpeuplée et c’est là que j’eus mon coup de grâce.


Mon compteur d’adrénaline avait l’aiguille bloquée dans le rouge. J’en tremblais. Je déglutissais avec difficultés tant ma salive m’inondait.



Elle m’indiquait une estrade en surplomb. De cet endroit, nous avions une vue panoramique de la chambre. Nous étions entourés de toute sorte de gens. Des gros, des vieux, des laids, beaux, jeunes, femmes, hommes (la plupart), tous se touchant différemment en regardant la scène.

Imaginez, mon bien-aimé lecteur, une chaise gynécologique éclairée comme la tour Eiffel au Quatorze Juillet, et entourée de trois hommes qui devaient faire dans le mètre quatre-vingt, jeunes et bronzés. La femme qui était étendue plus qu’assise dans la chaise avait les yeux entravés par un bandeau noir et les pieds à l’étrier. Elle embrassait un des « docteurs » qui à son tour se faisait sucer par un second « spécialiste » à genoux derrière le fauteuil. Le troisième larron pénétrait l’anus de la « patiente » laissant au regard de tous, une vulve surmontée d’un petit triangle roux que je connaissais bien puisqu’il appartenait à ma femme.




Et puis zut ! Épilogue :




Je m’avançais tout tremblant d’excitation vers la lumière. Après avoir passé le cordon de séparation, les trois complices se figèrent. M’ayant reconnu, ils se regardèrent avec un sourire et reprirent leurs activités. L’enculeur recula, me cédant la place. Ma forme était revenue. Je me sentais maintenant partie intégrale du scénario. Le petit trou béant de ma femme s’offrait à ma bite douloureuse qui se mit à forer son passage. Elle se tortillait dans tous les sens. Ses gémissements fusaient en sourdine, bloqués par la bouche du « docteur ». Mon cœur battait la chamade quand une ultime secousse concentra mon énergie vers une éjaculation si longtemps contenue. C’était comme si j’étais raccordé au courant triphasé. Je tremblais sans pouvoir m’arrêter.

Les regards se précipitaient sur l’intimité de mon épouse après ce coït bestial. Elle restait dans la même position indécente, dévoilant la cascade de sperme qui sortait à chaque spasme de son anus resté ouvert.

Une sonnerie stridente annonçait sans doute la fin du spectacle. Elle me donnait le mal de tête. Je me mis à crier :



La sonnerie se tut enfin laissant place à la voix suave de mon épouse :