n° 10427 | Fiche technique | 19777 caractères | 19777Temps de lecture estimé : 12 mn | 17/05/06 |
Résumé: Je viens d'envoyer cette lettre à une inconnue du net pour la convaincre de me rencontrer. | ||||
Critères: fh hotel telnet amour cunnilingu jeu | ||||
Auteur : Libertin72 Envoi mini-message |
L’histoire qui suit a une histoire. En fait, c’est une lettre que je viens d’envoyer à une femme avec qui je dialogue sur internet pour tenter de la convaincre de me rencontrer. Vais-je parvenir à mes fins ? Je l’espère et je vous invite à noter ce modeste texte en vous demandant (surtout vous mesdames) « Si je recevais cette lettre… je craque ? ». Merci d’avance pour vos avis…
Laurette est une femme épanouie de 43 ans, une jeune mère comblée par la science qui est venue au secours des défaillances de la nature et une employée modèle (j’en vois un qui rigole au fond de la salle) dans un cabinet médical dont elle assure avec brio le secrétariat. Mais une ombre voile ce tableau idyllique, Laurette s’ennuie. Profitant de la négligence de l’installateur du réseau du cabinet médical qui a omis de supprimer le navigateur de son poste de travail, Laurette parcours le net et particulièrement les chats pour se distraire de la monotonie de sa vie, s’évader des contraintes de son travail, rêver, discuter…
Ce vendredi de la fin avril, un soleil magnifique entre par la fenêtre de son bureau Niçois et Laurette sacrifie à sa coupable occupation, un œil rivé sur la porte de son patron et un document Word ouvert en fond d’écran, prêt à masquer la fenêtre du chat. Elle est connectée depuis 30 minutes, occupée à repousser les propositions sexuelles d’une bande de malades qui au bout de 2 répliques lui demandent si elle veut bien les sucer ou si elle préfère se faire enculer quand une nouvelle fenêtre clignote en bas de son écran…
Th.F clignote, insiste, lui fait de l’œil, mais elle n’y prend pas garde tout de suite et elle continue à alimenter une conversation débile et sans intérêt avec un marseillais. Enfin, elle se décide à ouvrir la conversation avec ce mystérieux Th.F. Un bref passage de la souris sur le pseudo… H 45 ans Angers…
« Bon il veut quoi celui-là… Il n’est pas vraiment du coin » se dit-elle, elle répond tout de même à son bonjour. Et là… Le temps se suspend, l’après-midi passe comme dans un rêve. Leur conversation est un tissu de délires, de plaisanteries renvoyées de l’un à l’autre en revers de volée, de sourires de rires, de clins d’œil. Ils discutent ainsi de tout, de rien et de bien d’autres choses sauf de sexe jusqu’à la coupure du serveur… L’horreur, la perte d’un contact si précieux en désespoir de cause Laurette laisse sur le compte de Th.F, que maintenant elle sait s’appeler Thomas, son adresse mail et son téléphone avec les recommandations d’usage, car Laurette est mariée…
Ce soir-là, les bouchons interminables pour regagner son domicile semblent s’être dissous comme par magie, Laurette sourit toute seule dans sa voiture, se remémore leurs plaisanteries, espère que Thomas va avoir eu ses coordonnées et va la contacter… Pas d’internet avant lundi… c’est long, très long.
Bien sur, la première chose qu’elle trouve en allumant son PC le lundi suivant est un message de Thomas. Ouf, il m’a écrit, nous allons discuter de nouveau pense-t-elle ravie.. Pendant 3 semaines, Thomas et Laurette font connaissance, discutent, s’amusent, se racontent leur vie. Leur complicité grandissante les amène de plus en plus sur un terrain sentimental, une sorte de flirt à distance, un jeu de pas vu pas pris ou on s’ouvre beaucoup plus à un inconnu qu’on ne le ferai à son meilleur ami d’enfance. Le net ne suffit plus à leurs dialogues alors ils se téléphonent, s’envoient des SMS. Imperceptiblement, chacun prend de plus en plus de place dans la vie de l’autre, se glisse dans ses pensées dans ses fantasmes. Laurette se surprend même à se caresser discrètement aux côtés de son mari endormi en imaginant une rencontre avec Thomas, ses mains sur sa peau, ses lèvres sur ses seins. Leur rencontre est inéluctable, ils le savent tous les deux sans vouloir se l’avouer, ils se cherchent, s’invitent sur le ton de la plaisanterie, se raisonnent… Ça y est, la décision est prise Thomas vient à Nice la semaine prochaine.
Jour J, Heure H-3, Thomas est dans le train qui le conduit à son rendez-vous. Il essaye de fixer son attention sur la revue achetée à la gare, mais rien n’y fait, incapable de s’intéresser aux mérites comparés des 4x4 allemands. Thomas est inquiet « Va-t-elle venir ? » « Vais-je lui plaire ? » « Va-t-elle me plaire ? » « Et si elle était bête ? » « Comment vais-je la reconnaître ? » « Et si… ? » Mille questions tournent dans sa tête, mais pour tout l’or du monde, il ne laisserait sa place à personne. Il est en train de VIVRE ! Oui là il sent le sang dans ses veines, il entend les battements de son cœur il a les mains moites, mais au fond de lui il sait qu’il doit y aller, qu’il ne peut pas faire autrement, que s’il renonce il s’en voudra toute sa vie.
Jour J heure H, ça y est, le train entre en gare de Nice, Thomas attrape au vol son sac de voyage, un p’tit coup d’œil a son reflet dans la porte vitrée du wagon… ça va, il est présentable. Une respiration profonde et il plonge sur le quai. Il avance vers la sortie en dévisageant toutes les femmes seules. Bon elle m’a dit « 43 ans, 1m65 pour 58kg, yeux marrons, cheveux bruns avec des mèches blondes et blanches… pfff si seulement elle m’avait envoyé une photo… »
Là, c’est elle, c’est sûrement elle, ça ne peut être qu’elle… elle est venue !!!!!!! A 20 mètres de lui tout au bout du quai, une femme est en train de se tordre le coup pour dévisager les voyageurs, elle ne l’a pas encore vu, englué dans le flot dense des passagers. Il s’arrête, soudain il n’ose plus avancer, après 1000 km parcourus, les 20 derniers mètres lui semblent tout à coup insurmontables. Bousculé par la foule, il la dévore des yeux, elle est belle, rayonnants même si son front est plissé par une ride d’inquiétude. Peut-être est-elle, elle aussi, inquiète de ce qu’elle va découvrir. Elle porte un jean en toile noire ajusté qui met bien en valeur ses formes de femme, ses hanches, sa taille. Ses pieds sont glissés dans des chaussures ouvertes à fin talon, et elle porte une chemise blanche de sport qui laisse deviner une poitrine arrogante tendant le tissu de coton. Ses cheveux habilement décoiffés lui donnent une allure décontractée et sportive. L’ensemble est vraiment ravissant, les craintes de Thomas fondent comme neige au soleil : elle est belle.
Un choc dans la poitrine, il est là c’est sûrement lui là-bas, debout sur le quai maintenant presque déserté. La photo qu’il lui avait envoyée était prise de loin et ne montrait pas très clairement les traits du visage, mais elle le reconnaît instantanément. Il est mince, vêtu d’un élégant costume en lin beige sur une chemise orange pâle. Elle lui fait un petit signe de la main, lui sourit, il lui répond, ils font un pas hésitant l’un vers l’autre, un deuxième plus décidé, puis accélèrent… Cette fois ça y est, ils se sont retrouvés, ils se sourient, ils s’embrassent chastement sur la joue.
Thomas lors de ses recherches sur internet avait trouvé un hôtel qui lui paraissait sympathique et qui disposait d’un restaurant en terrasse face à la mer. Vu l’heure d’arrivée de son train, il avait réservé une table pour le déjeuner en même temps que sa chambre.
C’est donc attablés sous le soleil de la Méditerranée devant un somptueux plateau de fruits de mer qu’ils passent les deux heures suivantes, discutant de tout et de rien, échangeant des regards complices. Ni Thomas ni Laurette ne sont déçus, ils sont totalement en phase et leur discussion colle parfaitement avec leurs échanges sur le net. C’est simplement beaucoup mieux, beaucoup plus fort avec en face le visage de l’interlocuteur, la vision d’un sourie, d’une moue, d’un air pensif… Ni l’un ni l’autre ne pourrait dire si le repas est bon, ils sont ensemble et tout le reste, la mer, le vin, le soleil étaient vraiment très secondaires. Quand, le serveur apporte le café, Thomas, n’y tenant plus, prend la main de Laurette par dessus la table. Ce premier contact, juste un effleurement des doigts, leur fait à tous deux l’effet d’une décharge électrique. Leurs mains se cherchent, se trouvent, se parlent. Plus besoin de discours, juste cet afflux d’ondes qui traverse leurs doigts et leurs yeux qui se mélangent. Ils restent ainsi de longues minutes muets, indifférents au café qui refroidit avant que Laurette se lève sans lâcher la main de Thomas en soufflant « viens… »
Ils ne voient pas le sourire entendu du réceptionniste qui leur donne la clé, ni les couloirs de l’hôtel, la porte de la chambre à peine refermée du talon ils s’enlacent. Thomas serre très fort Laurette qui enfouit son visage dans le creux de son épaule. Sous les caresses de Thomas qui lui parcours les épaules et le dos, sentant la chair ferme qui frémit sous ses mains, Laurette décolle, s’envole… Elle n’est plus dans une chambre d’hôtel, le décor pourtant très agréable qui les entoure n’existe plus. Elle se laisse aller dans ces bras qui la rassurent, qui l’enveloppent, elle frissonne sous les baisers dont Thomas couvre sa nuque offerte. Quand Thomas lui saisit, le visage entre ses mains, elle rejette la tête en arrière et, les yeux fermés, les lèvres entrouvertes, elle appelle de tout son corps un baiser. Leurs lèvres se frôlent, Thomas lui picote la lèvre supérieure de petits baisers, sa langue passe sur ses lèvres, glisse le long de ses dents, devient plus pénétrante, force le passage. Leurs langues se trouvent s’enroulent, tantôt dures et inquisitrices tantôt souples et câlines. Leur baiser n’en finit pas s’interrompant parfois pour sucer une lèvre ou embrasser une paupière le temps de respirer un peu afin de mieux continuer toujours plus fort, plus passionné.
Laurette n’est pas restée inactive et a fait glisser depuis longtemps la veste des épaules de Thomas. Maintenant elle a entrepris le déboutonnage de sa chemise. Elle agit sans précipitation explorant méthodiquement chaque centimètre carré de peau découverte par la reddition de chaque nouveau bouton. Ses doigts explorent les épaules, la poitrine, le ventre de son amant puis, quand la chemise rend les armes et rejoint la veste sur le sol, elle se colle contre la poitrine nue et couvre de baisers tendres les épaules et la base du coup de Thomas. N’y tenant plus, Thomas la saisit aux épaules, l’oblige à pivoter sur elle-même et vient se coller contre son dos. À son tour, ses mains partent à la découverte du corps de Laurette pendant qu’il lui agace le lobe de l’oreille de la langue et par de très légers mordillements. Il commence par caresser la gorge de Laurette qui apprécie visiblement ce contact et se met à onduler du bassin sur un rythme de plus en plus rapide. Fébrilement, Thomas déboutonne cette chemise qui ose prétendre lui résister et bien vite elle rejoint le tas de vêtements sur le sol. Tout doucement, du bout des dents Thomas fait glisser les bretelles du soutien-gorge sur les épaules de Laurette pendant que ses mains empaument les seins encore prisonniers d’une fine dentelle blanche. À chaque fois que Thomas frôle ses bouts de seins fièrement érigés dans la dentelle, Laurette pousse un petit soupir et son mouvement de bassin devient de plus en plus appuyé sur la bosse qui déforme le pantalon de son amant. D’une main visiblement experte, Thomas dégrafe le soutien-gorge et peut maintenant caresser tout à loisir les seins lourds et fermes qui s’offrent à lui. Pendant que sa main gauche joue avec les tétons aux larges auréoles qui se tendent de désir, la main droite est descendue sur le ventre et s’attaque au bouton puis au zip du jean. Laurette arrête soudainement ses mouvements de bassin pour coller au maximum ses fesses sur le sexe de Thomas tout en creusant le ventre invitant muettement la main qui joue au ras de la ceinture du tanga à poursuivre son exploration. C’est millimètre par millimètre que Thomas glisse sa main sous l’élastique griffant tendrement la peau tendre du ventre puis jouant sur le doux duvet du pubis. Quand les doigts atteignent le clitoris, Laurette ne peut retenir un petit cri de plaisir et, appuyant de sa main sur les fesses de Thomas, elle le force à appuyer encore plus son sexe gonflé entre ses fesses. Pendant quelques instants Thomas continue son doux massage, explorant les lèvres humides de désir, les faisant rouler entre ses doigts pour revenir l’instant d’après sur le clitoris.
Aucun des deux amants ne sait certainement comment Laurette s’est retrouvée assise au bord du lit, Thomas agenouillé entre ses jambes lui ôtant tout doucement ses chaussures avant de lui caresser doucement puis de lui embrasser les orteils. Ajouter le jean aux vêtements épars dans la chambre n’est qu’une formalité et quand Thomas approche ses lèvres de la dentelle blanche du slip, Laurette se laisse aller en arrière sur les coudes, ouvrant les cuisses au maximum à son amant en lui passant un mollet sur l’épaule. Des lèvres, de la langue et des dents, Thomas explore chaque millimètre de la dentelle détrempée du slip qui ne tarde pas à rejoindre le désordre de la chambre. Inlassablement, Thomas apprivoise ce sexe, goûte le désir de son amante, agace le clitoris de petits coups de langue, suit la ligne des lèvres, s’attarde sur le périnée jusqu’à ce que Laurette lui empoignant la tête lui colle la bouche sur sa vulve en gémissant, inondant sa bouche de son plaisir.
Quelques instants plus tard, les vagues du plaisir s’étant apaisées, Laurette cherche les lèvres de Thomas qui se redresse doucement entre ses cuisses. Laurette entreprend alors dégrafer le pantalon qui a bien du mal à contenir les assauts de la verge tendue de Thomas. Impatiemment, il l’aide à le débarrasser de ses derniers vêtements et exhibe alors une verge tendue au maximum par le désir. Tout doucement Laurette s’en empare, la caresse lentement en faisant jouer la peau du prépuce et en couvrant de milles baisers les hanches et le pubis de Thomas. La caresse de sa main douce et le frôlement régulier d’une mèche de cheveux sont un délicieux supplice et il gémit très doucement tandis que son sexe continue encore à grossir. Maintenant Laurette presse le sexe de son amant sur son visage, le faisant rouler sur sa joue, glissant le gland contre son cou, sous son menton, puis, dardant sa langue hors de sa bouche, elle le parcourt de la base au sommet, suivant les veines saillantes, jouant avec le frein. Quand enfin elle ouvre ses lèvres pour engloutir sa verge, Thomas ne touche plus le sol, ne voit plus rien, n’entend plus rien, ne vit plus que par cette langue qui l’entoure, l’aspire, fait monter son plaisir toujours plus haut, toujours plus fort. Luttant pour ne pas se laisser submerger par la jouissance, Thomas arrache presque son sexe des lèvres avides et enlace son amante roulant avec elle sur le dessus de lit en échangeant des baisers passionnés.
Des mains, des lèvres, des yeux, les deux amants s’explorent mutuellement, apprivoisent les réactions de l’autre déchiffrent la partition de leurs plaisirs. Thomas a repris avec les doigts ce que ses lèvres et sa langue avaient commencé et explore l’antre brûlant et trempé qui se cache derrière les lèvres de ce sexe qui appelle ses caresses. Un doigt, puis deux, explorent la grotte secrète de Laurette allant et venant lentement puis plus vite, tournant, caressant, griffant en réponse aux contractions intimes de ce fourreau merveilleux. Sous ces assauts, Laurette jouit une fois puis deux, arc-boutée sur le lit, les yeux presque révulsés. « Viens, je te veux en moi !!!!! » À ce cri murmuré, Thomas ne peut pas résister et soulevant la cuisse de Laurette, il se glisse près d’elle, le sexe entre les grandes lèvres. C’est trop tôt, pas encore, il veut reculer cet instant magique ou il va doucement entrer en elle. Alors, il saisit son sexe et le fait aller très lentement entre les lèvres gonflées. À chaque passage, il appuie un peu plus fort et l’extrémité du gland essaie de forcer l’entrée pour se retirer, revenir, recommencer. Puis il relève son sexe et en tapote le clitoris entièrement dégagé et gonflé à se rompre de désir. Sous cette caresse, Laurette est prise d’un nouvel orgasme, mais en veut plus, plus fort, plus longtemps. « Viens !! Maintenant !!!! »
Le sexe de Laurette ne l’accueille pas… elle l’aspire littéralement. Quand son gland a écarté les lèvres de Laurette, Thomas s’est mis à pousser très doucement et progresse de quelques millimètres à la fois, attiré par les contractions des muscles intimes du vagin. Il s’écoule ainsi plusieurs secondes avant que son sexe ne vienne buter tout au fond de la matrice et Thomas reste là, planté tout au fond de cet univers de miel, massé par le fourreau qui ondule doucement. Il resterait ainsi des heures, mais c’est trop bon et il ne peut pas résister à l’envie de recommencer cette progression encore et toujours, doucement d’abord puis de plus en plus vite. De l’index, il masse doucement le clitoris de son amante, le pressant, le faisant rouler, le caressant tendrement et elle ne tarde pas à décoller pour un nouvel orgasme encore plus violent que les précédents, le vagin contracté au maximum sur la verge palpitante.
« À moi maintenant de te faire jouir ! Allonge-toi sur le dos ». Thomas ne se fait pas prier et s’exécute prestement pour laisser Laurette s’installer à califourchon sur son ventre et commencer à lui caresser le torse des ses seins, effleurant sa peu de ses tétons tendus puis écrasant sa poitrine sur la sienne en mouvements circulaires. En se passant une main derrière les fesses, elle saisit la verge de Thomas et commence à la caresser doucement tout en tapotant le gland contre sa vulve encore gonflée de plaisir. Puis elle guide le sexe dressé entre ses fesses et commence à onduler du bassin, laissant coulisser la colonne de chair entre ses doux hémisphères. N’y tenant plus elle guide son amant tout au fond de son sexe et s’empale brutalement jusqu’à ce que les os de leurs pubis se rejoignent. Elle commence alors de rapides mouvements d’avant en arrière. Le sexe de Thomas sort presque totalement de sa vulve pour mieux y replonger et, dans cette position, à chaque coulissement la verge frotte longuement sur le clitoris, arrachant de nouveaux soupirs de plaisir aux deux amants. Thomas ne résiste pas bien longtemps à ce traitement, mais il serait totalement incapable de dire si son amante l’a rejoint dans le plaisir. Il décolle, il n’existe plus que par son sexe qui palpite, qui n’en finit pas de jouir inondant le ventre de sa maîtresse. Pendant de longues secondes, il est ailleurs, épuisé, heureux. Quand il rouvre les yeux, c’est pour apercevoir au-dessus de lui Laurette qui lui sourit tendrement et vient se blottir contre sa poitrine en conservant au fond de son ventre la verge qui ne veut pas dégonfler.
Le reste de leur après-midi se déroule comme dans un rêve entrecoupé de rires, de tendresse, de caresses, de plaisirs.
À suivre ????