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n° 10438Fiche technique15080 caractères15080
Temps de lecture estimé : 10 mn
21/05/06
Résumé:  Une petite aventure extraconjugale avec la meilleure amie de ma femme.
Critères:  fh extracon copains amour
Auteur : Hépicurien      
Quand la chatte n'est pas là...

Je suis marié depuis dix ans avec une femme que j’aime chaque jour un peu plus. Cependant, j’entretiens depuis deux mois une aventure avec sa meilleure amie. Miryam est l’amie de toujours de ma femme. Elle a toujours été très présente dans notre couple. Témoin à notre mariage, elle a partagé nos peines et nos joies.

Il y a deux mois, ma belle-mère devant subir une importante opération chirurgicale, ma femme est tout naturellement allée à son chevet. Miryam a conduit ma femme à l’aéroport et, sur le chemin du retour, elle m’a téléphoné.



Ce n’était pas la première fois que je me retrouvais seul avec elle, mais il ne s’était jamais rien passé entre nous. Ma journée se passa normalement. J’étais excité par l’idée de sortir en boîte le soir même du départ de ma femme, mais je n’avais aucune arrière-pensée.


À huit heures, je sonne à sa porte.



Comme à son habitude, elle n’était pas prête.



Miryam est médecin généraliste et a souvent des journées très longues. Elle est divorcée depuis trois ans et ne veut surtout pas se réengager sentimentalement. Elle aime plus que tout sa vie de célibataire et en profite de son mieux.



J’entends alors le jet de la douche, me laissant supposer qu’elle n’avait pas entendu cette dernière remarque. Je commande donc les pizzas et prends mon mal en patience en sirotant mon verre. Vingt minutes plus tard, le livreur apporte les pizzas alors qu’elle n’était toujours pas sortie de la salle de bains.



Cinq minutes plus tard, effectivement, elle sort enfin de la salle de bains. Elle a mis une minijupe noire et un chemisier blanc sans soutien-gorge, comme à son habitude. Bien que possédant une belle poitrine, Miryam ne mettait jamais de soutien-gorge. Son maquillage met ses grands yeux bleus en valeur. Ses cheveux mi-longs sont artistiquement ébouriffés. L’ensemble fait d’elle une jeune femme merveilleusement belle et sexy.



Lorsqu’elle s’assied à côté de moi sur la banquette, j’ai le plaisir d’admirer ses longues jambes, mises en valeur par des bas de soie noirs. Lorsqu’elle se lève pour aller à la cuisine chercher une bouteille de vin, j’aperçois même une attache de son porte-jarretelles.

J’ai toujours considéré Miryam comme quasiment la sœur de ma femme, mais ce soir je la vois différemment. C’est une femme très désirable qui m’excite énormément. La soirée s’annonce très chaude.


Tout en devisant de choses et d’autres, nous avons bu trois bouteilles de vin sans nous en rendre compte. Nous sommes légèrement grisés par l’alcool, et notre discussion dérive sur le sexe, ce qui l’amène à me faire des révélations.



Comme il commence à se faire tard, je lui dis :



Une nouvelle fois, Miryam se lève pour nous servir un verre et mettre une petite musique d’ambiance.

J’en profite pour admirer sa silhouette longiligne de Vénus. Elle m’excite de plus en plus, mais, malgré la bosse qui commence à déformer mon pantalon, je n’ose rien tenter, préférant voir jusqu’où cette situation nous mènerait. En revenant de la cuisine, elle me dit :



Tout en dansant, Miryam fit semblant d’être en boîte.



En disant cela, Miryam se love un peu plus contre moi. Elle ne peut ignorer l’effet qu’elle me fait, et je ne cherche pas à dissimuler mon érection. Le slow est langoureux et elle se frotte littéralement contre la bosse de mon pantalon. Ma main, jusqu’à présent dans le creux de ses reins, descend sur ses fesses. Miryam me laisse faire tout en se tortillant davantage. Profitant de la musique langoureuse, je risque une bise dans son cou. Son parfum m’enivre. La chaleur de son corps décuple mon excitation. Ma main pétrit ses fesses et mon nez explore son cou, couvrant cette partie de son corps de baisers enflammés. Je sens ses tétons pointer contre ma poitrine. Ma gorge est sèche, mais pour rien au monde je ne voudrais que la musique s’arrête.

Miryam se dégage brusquement de moi, je crois l’espace d’un instant qu’elle a repris ses esprits et que tout va s’arrêter là. Elle me pousse jusqu’à la banquette, fait un pas en arrière et continue seule sa danse langoureuse. Elle me tourne le dos. Étant en contrebas, je peux admirer à loisir son cul qui se trémousse devant mes yeux. À chaque balancement de ses hanches, sa minijupe se relève un peu plus, me dévoilant ses bas. Brusquement, elle se retourne, son chemisier déboutonné de moitié. Elle en agite les bords pour se rafraîchir, me dévoilant une partie de sa poitrine. Ses tétons dardés semblent essayer de percer le tissu du chemisier pour prendre l’air.



Elle s’approche de moi et se place debout entre mes jambes.



Je mets ma main droite sur son genou gauche et commence à la faire glisser le long de sa jambe. Elle penche la tête en arrière et ferme les yeux pour profiter pleinement des sensations que lui procure ma caresse. Je prends tout mon temps, remontant ma main millimètre par millimètre pour mieux savourer le contact de mes doigts sur la soie de ses bas. Lorsque ma main s’engage sous sa jupe, elle redresse la tête pour me fixer dans les yeux afin de contempler l’effet qu’elle me fait. Une de ses mains titille un téton, tandis que l’autre joue avec mes cheveux. Lorsque ma main entre en contact avec sa peau, un frisson nous parcourt le corps à tous les deux. Sa peau est douce et ferme. Ses jambes s’écartent un peu plus, comme pour m’encourager à continuer ma progression. Mon pouce suit l’attache de son porte-jarretelles. Alors que mon index entre en contact avec ses fesses, je ramène mon pouce vers son bouton et commence à le caresser au travers de son string. Miryam pousse un petit gémissement de plaisir.



Elle fait rouler maintenant son mamelon entre ses doigts au travers du tissu de son chemisier, la tête penchée sur le côté et passant sa langue sur ses lèvres. Je sens son bourgeon durcir sous mon pouce. Ma main gauche s’attaque maladroitement aux boutons de son corsage en commençant par le bas. Elle gémit de plus en plus fort. Lorsque j’ai eu raison du dernier bouton de son chemisier, elle le fait tomber derrière elle d’un mouvement d’épaules. Ses seins m’apparaissent encore plus volumineux que je ne les avais imaginés.


Elle se penche vers moi et attire ma tête vers son sein pour que je puisse le lécher. Ma langue s’active autour de son téton alors que ma main gauche, libérée de sa tâche, s’attaque à la fermeture éclair de la jupe. Celle-ci ouverte, je dois interrompre ma caresse sur son clito, afin de pouvoir la lui enlever. Miryam profite de cette petite pause pour m’embrasser à pleine bouche. Nos langues s’unissent dans une folle sarabande. Elle en profite également pour m’ôter mon tee-shirt. Afin de prolonger notre baiser fougueux, je me lève et continue d’une main à la branler au travers de son string tandis que de l’autre j’essaie de reproduire les caresses qu’elle se prodiguait aux seins quelques minutes plus tôt. Son corps se raidit d’un coup.



Elle se frotte et s’excite la vulve sur ma main. Lorsqu’elle commence à redescendre de son septième ciel, elle ouvre les boutons de mon jeans et me le baisse. Elle s’agenouille, sa bouche pulpeuse à la hauteur de mon sexe. Je sens la chaleur de son souffle au travers de mon caleçon. Elle extirpe ma verge gonflée de son carcan et l’enfonce toute entière dans sa bouche. Elle me suce avec d’amples mouvements d’avant en arrière. Elle prend un réel plaisir à me sucer en me fixant droit dans les yeux. Je suis aux anges. Mon plaisir monte rapidement. Elle me fait vraiment une fellation d’enfer…



Elle ne se fait pas prier. Elle arrache plus qu’elle n’enlève son string et se met à quatre pattes, m’offrant ainsi une vue imprenable sur son cul et sa vulve dégoulinante de mouille. Je dois résister à la tentation de la lécher. Mon sexe semble prêt à exploser. Il faut que je la pénètre immédiatement. C’est en position de levrette que je m’enfonce en elle d’un seul coup de reins. Je n’arrive plus à me contrôler. Je suis comme un animal assouvissant son instinct de reproduction. Ce rapport très bestial m’excite énormément. Je ne peux me retenir très longtemps. Juste avant de jouir, je l’entends crier :



Jouissant à mon tour, j’ai l’impression de me vider en elle. C’est comme si elle aspirait toutes mes forces. Nous nous écroulons sur le côté. Je suis toujours en elle, et la nuit ne faisait que commencer. Ma femme est partie une quinzaine de jours en tout, je vous laisse imaginer tout ce que nous avons pu faire pendant ce temps…