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Temps de lecture estimé : 21 mn
27/05/06
Résumé:  Un couple, la trentaine, adepte d'exhibitionnisme et de situations insolites.
Critères:  fhh couplus plage intermast
Auteur : Pierre Favric  (Pierre & Bénédicte)      

Série : Bénédicte et Pierre

Chapitre 01
La plage (Chapitre 1)

Bénédicte, ma ravissante compagne brune, que je vous ai déjà maintes fois décrite, est une sensuelle et jolie créature qui provoque chez la gent masculine des réactions qui nous étonnent toujours elle et moi. Sa sensualité naturelle, son exhibitionnisme inné, sont sa personnalité : décolletés permanents, dessous fins et légers, bas et talons…


Bénédicte et moi ne sommes pas des adeptes du naturisme, plutôt de l’exhibitionnisme, mais nous avons, cet été, découvert le plaisir d’être nus au soleil, vus de tous, et je me demande comment je n’avais pas plus tôt envisagé cette situation permettant, tout naturellement, de dévoiler les charmes de ma compagne.

Je pense que c’est parce que j’imaginais que tous les naturistes se trouvant dans la même situation, nus, n’attachaient aucune importance à la vue de leurs voisins, et que cette exhibition volontaire et naturelle était dénuée de toute connotation sexuelle.

Mais je n’imaginais pas qu’à cette foule d’adeptes se mêlaient des voyeurs, ou tout simplement des hommes que la vue d’une jolie Bénédicte nue ne peut laisser indifférents.


En vacances sur la côte, dans l’Ouest de la France, nous avions entendu parler de cette plage de « tous nus » à l’abri dans les dunes, et décidé de la découvrir.


En ce début d’après-midi, après une bonne quinzaine de minutes de marche dans le sable –il faut la mériter, cette plage- nous arrivons au pied d’une dune dans laquelle je distingue quelques silhouettes : exclusivement des hommes seuls ! Cela semble indiquer que nous approchons de notre but, et effectivement, une fois franchie cette dune, nous découvrons un havre de paix planté de pins maritimes aux formes étonnantes, une plage d’environ deux cent mètres de large cernée de rochers qui s’avancent dans l’eau ;

Une véritable crique isolée du monde, et je comprends le choix de ce lieu par des gens qui souhaitent vivre dans la tranquillité leur état de nudité.

A première estimation, une trentaine de baigneurs, tous nus, éparpillés sur le sable, dont une dizaine de couples, des hommes seuls, et même quelques femmes, en groupes de deux ou trois.

Les hommes aperçus sur la dune me semblent bien être des voyeurs, et font preuve d’une timide discrétion… Mais qui sait… Et je dois avouer que leur présence me stimule déjà.


Très naturellement, nous traversons la plage, nous rapprochant de l’eau, choisissant un endroit où aucun voisin n’est trop proche, et tout aussi naturellement, Bénédicte exécute sans hésitation un rapide strip-tease, debout, se débarrasse de sa petite robe de plage, de son soutien-gorge et dans la foulée, de son slip.


Je note au passage quelques regards plutôt masculins, particulièrement attentifs lorsqu’elle prend le temps d’étaler sa serviette et leur expose ses ravissantes fesses rondes et son joli petit abricot lisse et épilé.


Sa serviette installée, elle s’allonge sur le dos, jambes serrées, légèrement fléchies.

Je fais de même à ses cotés, et nous prenons le temps d’observer discrètement notre entourage.


Hormis deux regards masculins, assez éloignés, les gens se désintéressent déjà de nous, et nous savourons la caresse du soleil sur nos corps, particulièrement sur les parties de nos anatomies généralement privées de ce bienfait.


Tout en devisant, je contemple avec tendresse ma compagne, ses superbes seins, ronds, pleins, légèrement affaissés sur son torse, son ventre plat, le haut de sa motte légèrement bombée que ne voile aucune pilosité, le départ du sillon qui fend son abricot et disparaît entre ses cuisses, ses jolies jambes fines et bronzées.


Je note que les pointes de ses seins sont un peu tendues, très peu, et les mamelons roses, plantés sur des aréoles brunes et grumeleuses, contrastent avec la peau claire.


Furtivement, je dépose un baiser sur le téton à ma portée, et Bénédicte accepte cette rapide et discrète caresse d’un rire clair.

Il me semble qu’à ce simple contact, le téton s’érige un peu plus et une douce chaleur envahit mon bas ventre.

Est-ce cette situation ou la nudité va de soi qui me déroute, moi qui suis plus habitué à révéler les charmes de ma compagne dans des situations plus insolites, mais je me sens à la fois dérouté et fébrile.


Me retournant sur le ventre, je distingue mieux les gens qui nous entourent, et note les regards des deux hommes remarqués auparavant.

En observant les dunes qui surplombent et isolent cette crique, je constate une discrète activité ; Il me semble que des silhouettes allongées dans la dune, camouflées par la végétation rase, nous observent.

Je distingue même le bref reflet de ce qui me paraît être une paire de jumelles…


Le fait de savoir Bénédicte ainsi reluquée provoque en moi un début d’érection que ma position « sur le ventre » tient cachée.

Bénédicte semble ne s’apercevoir de rien, et, les yeux fermés, bras le long du corps, les jambes à plat, cuisses très légèrement ouvertes, lézarde.


Je risque à nouveau un baiser sur le sein à ma portée, et reprends mon observation. Toujours aussi peu de mouvement, mais les présences sont indiscutables.


Des dunes, arrive un homme seul, nu, serviette sur l’épaule, sac de plage à la main. Il me semble avoir une cinquantaine d’années, plutôt sportif, bien bronzé, sans marque de maillot. Vraisemblablement un adepte…

Il descend dans notre direction, mais nous contourne.

Je feins de ne pas m’intéresser à lui, note ses rapides coups d’œil en direction de ma compagne puis il disparaît de mon champ de vision.


Tournant la tête vers Bénédicte sous prétexte de lui demander comment elle se sent, je constate que l’homme s’est allongé à quelque distance, entre la mer et nous, et qu’il a choisi son emplacement juste dans l’axe de l’entrejambe de ma compagne.

Etendu sur le ventre sur sa serviette, il nous regarde sans fébrilité ni ostentation.


Il est assez proche de nous pour apercevoir entre les cuisses légèrement écartées de Béné, le sillon de sa fente du haut de son pubis vierge jusqu’au bas de ses jolies fesses potelées…

Ce que je devine de la vue qu’il doit avoir achève de rigidifier mon érection naissante. Je suis condamné à rester pour l’instant sur le ventre.


Je reprends mon observation des dunes, sentant comme une flèche de chaleur le regard de notre admirateur sur les fesses de Bénédicte qui semble ne s’être aperçue de rien, les yeux fermés.


A nouveau, je dépose un baiser sur son sein. Elle sourit sans ouvrir les yeux, et j’aperçois le garçon, je devine et sens son regard, mais prends soin de ne pas le croiser.

La situation est douce et excitante.


Bénédicte me propose un bain, mais mon état m’interdisant de me redresser, je prétexte une eau certainement trop froide.

Béné se retourne alors sur le ventre, me tend ses lèvres que j’embrasse, enfouit sa tête dans ses bras et reprend sa sieste, le visage tourné vers moi.


Me redressant, je constate que ses jambes sont toujours légèrement ouvertes, et que le regard du garçon est lui aussi toujours fixé sur le même paysage qu’il contemple maintenant sous l’aspect opposé : Les jolies fesses rondes, fendues du sillon qui découpe les lèvres de son coquillage…

Bénédicte ouvre les yeux et me sourit :



Nous restons allongés sur le ventre, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre, les yeux dans les yeux, nous exprimant toute la tendresse et l’amour du monde.

Un éclair traverse les yeux de Béné quand elle m’avoue :



Je tente de cacher mon trouble :



Je glisse une main sur son dos, descend sur ses fesses, le plus discrètement possible.

Je découvre du bout des doigts le haut de la raie qui sépare ses globes, suis cette vallée qui plonge entre ses cuisses. Je sens ses jambes s’ouvrir presque imperceptiblement, et les tempes bourdonnantes, les yeux rivés dans les siens, encouragé par son geste, je glisse un doigt le long de sa fente, la main posée bien à plat sur l’intérieur de sa cuisse.

Son coquillage palpite sous mon index, ses lèvres renflées s’ouvrent du même mouvement que ses jambes, et mon doigt glisse dans un gouffre chaud et humide, s’attarde à l’entrée de sa grotte qui suinte de plaisir.

Ma position ne me permet pas de descendre jusqu’à son clitoris, mais je me délecte de sentir sa mouille, l’entrée de sa caverne intime.


Je risque un œil, et constate que l’ouverture de ses jambes offre à notre voyeur un panorama sans équivoque. Il s’est légèrement relevé sur ses coudes et son regard est rivé à l’intimité de Bénédicte.


Cette révélation provoque en moi une telle onde de plaisir qu’elle me désinhibe.


Pour faciliter ma caresse, je me tourne sur le coté, contre Bénédicte, et ce faisant, révèle à notre voyeur mon sexe gonflé et tendu qui pointe sur la hanche de ma compagne.


Ma nouvelle position me permet de pousser plus loin ma caresse, et de débusquer plus bas le bouton d’amour de Béné.

Elle se cambre sous ce toucher, creuse plus les reins, levant encore un peu la croupe, et m’offre son bouton saillant.



Je sens que si elle continue ainsi, je ne vais pas tenir longtemps, d’autant que mon regard croise celui de notre admirateur, et ce bref échange nous apprend à lui et moi que chacun de nous est bien conscient de la situation.

Je lis sur son visage un bref sourire d’appréciation et d’encouragement.


Presque immobiles, nous prolongeons cette douce et discrète caresse, et je me concentre tant sur la maîtrise de mes émotions que sur les palpitements que me révèle l’intimité de Bénédicte et les moindres contractions de sa vulve et de ses fesses.


Cette douce masturbation réciproque, sous les yeux de cet homme qui entre de fait dans notre intimité, me propulse sur les sommets du plaisir.

Bénédicte semble elle aussi profiter pleinement de la situation, et c’est d’une voix haletante et étouffée qu’elle me parle :



Je sursaute malgré moi :



Me relevant légèrement sur le coude, je glisse une main sous son ventre et atteins son bouton d’amour du bout des doigts. Tout en le masturbant délicatement, de l’autre main toujours glissée entre ses fesses, j’introduis mon index à l’entrée de sa grotte trempée pour la branler, tout en massant sa rondelle secrète du bout du pouce.

Je sens la plus infime de ses réactions, le frémissement qui court dans son dos, les crispations de ses fesses et de son vagin, le léger roulement de son bassin, et son clitoris qui palpite.

Ses jambes largement ouvertes et son cul légèrement relevé ne doivent laisser aucun doute aux voyeurs cachés dans les dunes ou aux autres plagistes, mais leur voyeurisme supposé n’est qu’un piment à l’instant que je vis, les yeux fixés à ceux de notre admirateur qui m’encourage d’un regard hagard.


Le garçon a glissé la main sous lui, et se soulevant à peine, me montre son geste ; Il se branle en accompagnant le plaisir de Bénédicte que je sens monter comme une vague. Elle me confirme :



Je la sens se raidir, bloquer son souffle et accueillir en tremblant un orgasme qui semble aussi puissant qu’elle met de discrétion à l’accueillir.


Les yeux fixés dans ceux de notre admirateur, les tempes bourdonnantes, j’articule silencieusement à son attention : « Elle jouit… » et je lis en retour sa réponse « Je vois… »


Bénédicte reste immobile, reprend son souffle, referme ses jambes, se tourne légèrement vers moi, ses yeux humides et brillants.



Nous sommes face à face, nous abritant mutuellement des regards des plagistes, mais pas de celui de notre voyeur, ni de ceux des éventuels embusqués dans les dunes qui nous surplombent.


Ses yeux dans les miens, Bénédicte enserre mon sexe tendu à en être douloureux, et lentement, me masturbe.



Je pince ses tétons, je sens mon plaisir monter, un peu honteux de me laisser branler devant des inconnus. Je jette un coup d’œil à notre voyeur. Il me sourit.



A regret, elle me lâche. Son regard brille comme jamais et ses tétons sont turgescents. J’imagine l’état de son clito et le suintement de sa mouille. Elle est dans une phase d’excitation similaire à la mienne, mais je n’ose encore me lever ; je n’ai pas l’habitude de marcher nu le sexe en érection…

Encore un avantage qu’ont les femmes sur nous, savoir dissimuler leurs émois physiques bien que ses tétons… C’est ce que je lui fais remarquer :



Notre admirateur marque d’un air triste et d’une grimace de regret notre inaction, et je lui réponds d’un clin d’œil.

Bénédicte, qui à l’œil à tout me gronde gentiment :



J’aperçois de loin beaucoup d’hommes seuls, en haut des dunes, qui ne nous quittent pas des yeux. Il me semble que nos jeux érotiques ne sont pas passés inaperçus de ce côté de la plage, et je ne tiens pas à nous retrouver avec une meute à nos trousses…

Je distingue même un voyeur qui, nous regardant, extrait de son slip de bain une queue à moitié tendue qu’il tente de masturber… Mais son attitude n’est en rien ni excitante ni encourageante, et je me désintéresse de lui.


Je ne tiens pas à donner de nos ébats une représentation publique. Un minimum d’intimité nous est quand même nécessaire… Et je comprends qu’aucune autre alternative que de quitter cet endroit ne nous est laissée.


Je lance un coup d’œil complice à notre admirateur, qui me répond d’un sourire, se lève et s’approche de nous.

Il s’accroupit aux pieds de Bénédicte.

De près, il n’est pas mal. Une bonne cinquantaine, mais bien conservé, encore sportif.

Allongée sur le coté, Bénédicte semble juste un peu surprise, mais pas effarouchée, et se tourne sur le ventre. Quant à moi, assis en tailleur, je renonce à dissimuler une demi-érection qui ne me lâche pas.



Béné et moi lui répondons simplement bonjour.



Béné rosit plus franchement. Je trouve cet homme charmant et très affable. Rien à voir avec le voyeur quelconque et timide qui se masturbe de loin sans oser approcher…

Ne sachant vraiment que répondre, je lui précise :



Il est vrai que Béné et moi avons les fesses beaucoup plus blanches que lui…



Bénédicte sourit mais ne répond rien. L’homme reprend :



Je suis un peu estomaqué, mais j’aime la franchise de cet homme, son assurance, sa courtoisie, et le tour que prend cet entretien. Je retrouve mon aplomb :



Je sens Bénédicte tressaillir devant mon audace, mais elle ne manifeste aucune répulsion, égale à elle-même lorsqu’elle sent que je maîtrise l’instant et me livre à notre jeu favori. Et ce moment est d’une rare intensité.

Béné, comme pour faire preuve de courtoisie vis à vis du nouvel arrivant, se retourne.

Denis est maintenant assis en tailleur sur sa serviette, à mes côtés, et nous sommes tous deux le long de Bénédicte, nue, allongée sur le dos, relevée sur ses coudes, une jambe légèrement repliée pour dissimuler son intimité.

Denis reprend doucement :



Il ne tente même pas de cacher un début d’érection, et sous nos yeux, son sexe se déplie et gonfle lentement. Du coup, le mien subit la même transformation, et Bénédicte a sous les yeux un hommage qui lui est directement destiné.

Denis s’en excuse en souriant :



Je sens mon cœur cogner sourdement et un délicieux vertige m’embrume le cerveau.



Et le garçon fait encore monter la pression d’un cran :



A ce moment de cette conversation à la fois retenue, courtoise, mais extraordinairement directe et précise, l’ambiance est terriblement érotique, torride même, et ni Denis ni moi ne pouvons cacher nos érections qui ont atteint leur degré maximum. Denis révèle une queue trapue et légèrement courbe, qui oscille doucement entre ses cuisses, un gland violacé et partiellement découvert.



Ma compagne se prend au jeu. Je la sens très réceptive et sensible à la situation. Ses mamelons érigés et fièrement dressés en sont la preuve évidente, bien que ses jambes toujours serrées et un peu repliées ne nous laissent que le loisir de supposer son état.


La façon dont elle me regarde, mi-amoureuse, mi-émue, me procure des vertiges de plaisir.

Je lis dans ses yeux la tendresse, l’excitation, le désir et son accord…

Je profite de chaque instant et me laisse porter par mes instincts :



Elle semble apprécier comme moi l’attitude de cet homme, qui malgré son indécence ostentatoire, ne tente aucun geste de privautés qui pourrait la froisser.

Il semble affectionner comme nous le pouvoir des mots et cette situation tout à fait hors du commun. Pour les plagistes qui nous regarderaient, nous avons une attitude anodine, devisant, nus comme tout le monde. Du reste personne ne semble nous prêter une attention particulière, et nos corps en cercle forment un rempart à toute intrusion. Peut être seulement quelques voyeurs, là haut ?


Je veux mesurer le degré d’excitation de Bénédicte et la pousser plus loin dans sa participation à ce jeu dont elle est le centre et l’objet – objet de convoitises, bien sur, avant de devenir, comme je l’espère objet de plaisir-



Le souffle bloqué, j’avance la main vers ses jambes serrées, la pose sur sa cuisse la plus proche de nous, et d’une légère pression, l’incite à la déplier, à l’ouvrir.

Docilement, elle pose le genou sur la serviette, tout contre celui de Denis, et nous offre son sexe imberbe, sa motte bombée, ses lèvres pleines, sa petite chatte fendue qui s’épanouit comme une fleur sur son sillon rose et luisant de foutre.

Cette fleur qui éclot sous nos yeux est d’une beauté primaire, d’un érotisme fou, mais aussi d’une indécence totale et nous coupe la respiration.


Presque instinctivement, Denis porte la main à sa queue, les yeux rivés sur le coquillage de Bénédicte.

Je sens le regard de ma compagne chercher le mien, et lorsque je croise ses yeux, l’émotion, le désir et la lubricité que j’y lis me laissent pantois.


Ses yeux rivés aux miens, elle se tourne légèrement vers nous, glisse une main le long de son ventre et du bout du doigt, écarte ses lèvres et nous dévoile son bouton d’amour, tendu, bandé comme un petit sexe.



Béné se cambre sous les propos, et sans répondre, elle entame un imperceptible mouvement de caresse de son clitoris, nous invitant, d’un regard sur nos queues à l’imiter.

Ses joues sont rouges, son nez pincé, signe d’une violente excitation, ses tétons tendus et leurs auréoles proéminentes.


Denis qui avait déjà son sexe en main, le décalotte entièrement d’un geste lent et doux, sous les yeux hypnotisés et gourmands de Béné.

Incapable du moindre mouvement, tant par peur d’éjaculer que par plaisir de les regarder tous les deux, je me contente de prendre en main ma bite gonflée.


Bénédicte se masturbe lentement, ses yeux ne quittent pas la main de Denis qui calotte et décalotte son vit.



Lui assène Denis d’une voix hachée et rauque. Si vous continuez comme ça, je vais vous cracher mon sperme sur les cuisses…


Ce vouvoiement et la délicatesse de langage dont il fait preuve paraissent irréel, et je sais que nous avons trouvé le bon partenaire, Bénédicte et moi qui détestons la vulgarité, sauf lorsqu’elle prend place plus tard, au plus fort de l’excitation. Ce garçon a parfaitement compris la façon dont nous fonctionnons, et je vogue sur un nuage de bonheur et d’excitation.

Je sens qu’il est encore possible de faire durer ce moment, et j’ignore jusqu’où Bénédicte sera capable de pousser ce jeu.


Il est évident que les propos de Denis l’excitent au plus haut point, et je la sens prête à tout accepter de nous, et même à le réclamer…



C’est maintenant elle qui dirige le jeu, et ses propos que je connais bien nous mènent droit ou elle veut nous voir arriver ; Je sais sa fascination de voir une queue cracher pour elle son sperme. Et j’imprime à mon poignet un profond mouvement de va-et-vient, en cadence avec Denis, et son doigt à elle qui malmène son bouton d’amour et plonge dans sa grotte humide.



Du dard de notre ami jaillit une, puis deux et trois longues giclées de sperme qui arrosent le ventre et les cuisses de Bénédicte, alors qu’au même moment je décharge sur ses seins.

J’imagine qu’elle jouit, elle aussi, mais ne puis l’assurer, au bord de l’inconscience.


Nous sommes en tout cas anéantis, pétrifiés durant un long moment.

Bénédicte a les yeux embués, le nez pincé. Ses tétons sont érigés comme des petites agates, son ventre parcouru de spasmes.

Denis avance sa main sur l’intérieur de la cuisse de Bébé, l’ouvre d’une pression et du bout du doigt caresse sa motte, glisse le doigt dans sa fente et en ramène un échantillon de sa liqueur d’amour qu’il porte à ses lèvres.



Délicatement, il saisit entre pouce et index un mamelon tendu, empaume d’une rapide caresse le sein lourd et le presse :



Bénédicte frémit au contact de cette main encore inconnue et de ce tutoiement cru.


Il se penche et dépose sur les lèvres de Béné un rapide baiser, puis se lève en disant :



Il tend la main à ma compagne qui le suit, traversant le morceau de plage qui nous sépare de l’eau, couverte de notre foutre, somptueuse dans sa nudité.


L’eau est froide, mais nous est salutaire. Les battements de mon cœur se calment. Béné me tend la main, approche ses lèvres des miennes et murmure avant de m’embrasser :



L’eau fraîche nous rend un semblant de dignité, mais je conserve une demi-érection, et je constate le même phénomène chez notre nouvel ami, qui pourtant reste discret dans ses gestes et son attitude : Un vrai gentleman.

Je propose à Denis de nous conduire chez lui, et c’est avec une vraie joie qu’il acquiesce.


Fébriles, nous regagnons la plage et récupérons nos affaires. Bénédicte se contente de sa robe pour masquer sa nudité.

Un petit quart d’heure de marche devant nous. Denis nous accompagne, et chacun d’un côté de Bénédicte, nous lui tenons la main, au grand dam des voyeurs qui nous observent à distance.

Un joli spectacle se finit pour eux, et j’imagine que les dunes sont à divers endroits couvertes de traînées de sperme.

Nous marchons sans un mot, conscients de notre but, déjà émus de ce que dans nos imaginations nous allons faire subir à la ravissante et consentante petite salope qui nous accompagne.


Bénédicte semble la plus détendue. Elle sourit, et les pressions de sa main dans la mienne me disent sa tendresse, son accord, et ce qui me semble être une réelle excitation…

Je devine dans son esprit des images proches de celles qui me hantent.

Arrivant au parking, Denis brise le silence, reprenant son irréel vouvoiement :



La main de Béné écrase la mienne, mais elle ne répond rien.

J’imagine qu’elle offre le même acquiescement à la main de Denis qui emprisonne la sienne, car le garçon continue :



Galamment, il ouvre la portière de ma voiture à Bénédicte, se penche dès qu’elle est assise et dépose à nouveau un léger baiser sur ses lèvres.

Nous démarrons et le suivons.



La voiture de Denis stoppe devant un petit immeuble. Bénédicte pose sa main sur mon bras :



Je la regarde et attends le cœur battant.



Bouleversé, plus ému encore qu’elle, je me contente d’un baiser sur ses lèvres, et nous rejoignons notre ami.

Mais ceci mérite un nouveau chapitre que nous vous enverrons si cette histoire vous a plu.



Pierre & Bénédicte FAVRIC.



Si vous avez aimé notre histoire et souhaitez découvrir la suite, n’hésitez pas à nous écrire, nous vous répondrons : Pierrefavric@hotmail.com