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Temps de lecture estimé : 9 mn
28/05/06
Résumé:  Le fucking friends est le fait de faire l'amour avec ses amis... mais s'il y a un peu plus que de l'amitié, alors est-ce que c'est de l'amour ? Ma découverte du sexe avec mon meilleur ami.
Critères:  f fh copains exhib fmast cunnilingu pénétratio init
Auteur : Freya      Envoi mini-message
Fucking friends, ou amour ?

L’an dernier avec mon meilleur ami nous sommes partis en stage de 6 mois dans 2 pays différents. À l’époque, nous nous posions mutuellement beaucoup de questions puisqu’aucun de nous ne savait comment définir l’amour et l’amitié, ni ne connaissait la différence entre les 2. Notre entourage nous considérait comme un vieux couple. Mais cela n’avait pas une grande importance pour nous, puisque l’important était la confiance que l’on avait l’un en autre.


Afin de vous laisser pénétrer au sein de la relation que j’ai eue et celle que j’ai toujours avec mon « meilleur ami », je vais donc vous raconter plusieurs petits passages de ma vie avec tous les questionnements que j’ai pu avoir.



- Un lit vite partagé -



Lors de la rentrée universitaire, en première année, j’ai observé les différentes personnes de ma promo afin de mettre leurs images en tête pour pouvoir les reconnaître. Il y avait de tous les styles. Pour les filles, cela allait de jeunes femmes plutôt bourgeoises et bien habillées, à des jeunes filles un peu hippies. Après m’être demandé à quel groupe j’appartenais, je penchais plutôt pour le second puisque je suis très souvent habillée avec de longues jupes amples et des petits hauts ajustés, mais non collants à la peau. Mes cheveux châtains qui encadrent bien souvent mon visage blanc par deux nattes viennent confirmer mon état d’esprit très décontracté et proche de la nature tout en rappelant la couleur des petites taches parsemées sur mes joues. Les garçons étaient beaucoup plus classiques au niveau style vestimentaire, et cela qu’ils soient plutôt mignons ou moins, enfin je devrais dire plutôt avec du charme ou pas, ce qui n’est pas pour autant synonyme de beauté.


Je me suis très rapidement rapprochée de 2 filles qui avaient un style semblable au mien. Quelques jours plus tard, deux garçons sont venus se joindre à notre groupe et nous ne nous sommes plus quittés de l’année, ni même depuis puisque l’un d’entre eux est devenu mon « meilleur ami ». Ce garçon, nommé Riwal, n’a pas un physique très attirant, il est plutôt classique puisqu’il est châtain aux yeux marron et assez sportif. Mais cela ne l’empêche pas de dégager un certain charme et de donner une image protectrice aux jeunes filles qui sont dans son entourage.


Riwal était le seul de mon groupe à encore vivre chez ses parents puisque ceux-ci avaient une maison à une vingtaine de kilomètres de la fac. Cependant, comme tous les étudiants nous faisions très régulièrement des soirées, dont un certain nombre en compagnie de bouteilles d’alcool. Il n’était donc pas question qu’il rentre chez ses parents en voiture, et restait donc dormir chez l’organisateur de la soirée, puis, au fur et à mesure de l’année, de plus en plus souvent chez moi. Au bout de 6 mois, chaque soirée se terminait de la même façon et nous rentrions tous les deux dans mon petit appartement.


À l’époque, j’avais un studio, et même s’il était assez petit, j’avais eu assez de place pour ajouter un canapé en plus du lit. En théorie j’aurais donc pu recevoir 2 personnes à dormir tout en conservant mon lit bien confortable. Une fois n’est pas coutume (enfin avec moi) la pratique était conforme à la théorie… Enfin pendant un certain temps puisqu’un jour une des amies est aussi rentrée dormir avec nous et s’était proposé de dormir avec Riwal dans le canapé. Cela ne posait de problème à personne jusqu’à ce que la jeune fille en question décide qu’elle avait envie de dormir… or ce n’est pas une chose facile quand la personne qui partage le canapé avec vous passe son temps à discuter avec une autre personne… Elle m’a dont demandé si elle pouvait prendre le lit et moi dormir avec Riwal.


Après une petite réticence - c’était la première fois que je dormais avec un garçon - j’ai accepté et nous avons finalement glissé bien sagement dans les bras de Morphée.


À partir de ce soir-là systématiquement je délaissais mon lit quand Riwal venait pour lui tenir compagnie dans le canapé…. et cela, même si nous n’étions que tous les deux. Pourquoi cette habitude a été prise, aucun de nous ne le sait vraiment, mais en tout cas c’était sans aucune arrière-pensée même si nous n’en avons pas parlé à nos amis.


Une amie lève-tôt venait de temps en temps me réveiller le matin, je ne fermais donc jamais mon appartement, car moi-même j’appréciais de me réveiller avec l’odeur du chocolat chaud qu’elle me préparait ces matins-là. Cette amie a donc été le point de départ des nombreuses interrogations de mon entourage universitaire à propos de ma relation avec Riwal puisqu’à plusieurs reprises elle nous a surpris tous les deux dans le canapé… or pour elle il était inconcevable que de simples amis dorment ensemble.


Lors de toutes nos discussions sur la vie amoureuse, les relations sexuelles… je continuais pourtant d’affirmer que je n’avais pas eu de petit copain depuis des années, et même que je fuyais les hommes et donc que par conséquent j’étais toujours vierge. Mon discours ne reflétait pas mes gestes au vu des rumeurs qui commençaient à circuler.


Ces rumeurs nous ont-elles rapproché Riwal et moi, ou est-ce que le rapprochement s’est fait progressivement, je ne sais pas. Mais c’est à partir de là que nous avons commencé à beaucoup nous rapprocher physiquement, à nous prendre dans les bras l’un de l’autre, taquiner l’autre par des petits bisous ou des chatouilles qui parfois se transformaient en petits effleurements… mais cela n’allait pas vraiment plus loin.


Riwal est sorti avec Maiwenn, la jeune fille qui venait me réveiller de temps en temps le matin, mais j’étais toujours avec eux. Et cela y compris le soir où nous dormions le plus souvent tous les trois ensembles, ma présence ne les empêchant pas de faire l’amour. Enfin à cette époque-là je ne le savais pas encore. Cela ne fait pas longtemps qu’il m’a avoué que plusieurs fois sa copine s’était occupée de lui alors que lui me tenait dans les bras… Avoir le sommeil profond n’est pas vraiment bien finalement.



- Fucking friends ou amour, c’est l’heure de la séparation -



Après cette année où nous nous sommes de plus en plus rapprochés, nous sommes tous les deux allés dans des facs différentes. Nous pouvions donc moins nous voir, mais cela ne nous a pas fait perdre nos habitudes, même quand Riwal a eu une nouvelle copine. Un week-end, nous étions tous les trois chez lui, et alors que je me réveillais doucement j’ai entendu des bruits de respirations saccadées… Il ne m’a pas fallu très longtemps pour comprendre ce qui se passait, je dois avouer que cela m’a passablement excitée, et que mes mains ont commencé à parcourir mon corps. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas abandonnée à une telle pratique, mais qu’est-ce que c’était agréable.


Riwal s’est levé pour prendre sa douche, puis je suis allé préparer le petit déjeuner. Après sa douche, Riwal m’a rejoint dans la cuisine pour me dire qu’il avait rarement été autant excité et qu’il espérait que j’avais pris mon pied… et zut il avait remarqué que je ne dormais pas, enfin sa copine ne l’avait pas remarqué elle, ce qui m’aurait nettement plus dérangée.


Quelque temps plus tard, nous devions encore nous séparer davantage puisque nos stages allaient commencer et nous avions tous les deux postulé dans des pays différents. La dernière soirée avant nos départs, nous avions décidé de la passer ensemble. Nous n’avons rien fait de particulier à part discuter en regardant un film, discussion qui s’est poursuivie une fois au lit. Au fur et à mesure, cela a dévié sur les sentiments que l’on ressentait, et comme bien souvent les larmes ont coulé pour moi et Riwal m’a prise dans ses bras pour me consoler. Il était encore plus adorable que d’habitude, et c’est très certainement pour cela que je n’ai rien dit quand ses mains ont commencé à se promener dans mon dos. J’avoue que c’était bien agréable, surtout que j’avais un peu froid.


J’avais la tête sur son épaule et entre deux petites larmes je lui faisais quelques bisous, que je pensais encore sans importance. Jusqu’à ce qu’il vienne léchouiller mes larmes et poser ses lèvres sur les miennes. Une de ses mains s’est alors posée sur ma taille et ses doigts ont glissé sur mon dos sous mon débardeur pendant que son autre main me caressait les joues et enlevait les quelques mèches de cheveux qui étaient venues barrer mon visage.


Sa main remontait doucement dans mon dos, en emportant mon débardeur alors que ses lèvres se posaient délicatement un peu partout sur mon visage. Sa main est alors venue effleurer mes seins, et je crois que c’est seulement à ce moment-là que j’ai vraiment compris ce qui se passait, ce qui m’a fait avoir un petit mouvement de recul.


Nous nous sommes alors tous les deux assis sur le lit et Riwal m’a rassurée en me disant que je pouvais lui demander d’arrêter à tout moment et qu’il le ferait, qu’il comprenait que j’avais peur et ne voulait donc pas me brusquer. Ses paroles rassurantes, et la sincérité avec laquelle elles étaient dites, m’ont fait fondre dans ses bras. Mes mains découvrant enfin son dos puisqu’il était torse nu, alors que les siennes avaient repris leur travail de remonter très doucement mon débardeur.


Après me l’avoir enlevé, il m’a un peu repoussée et m’a regardée durant un temps qui m’a paru une éternité avant de reprendre la découverte de mon corps par de nombreux petits baisers qui ont commencé à la base de mon cou pour descendre progressivement vers mes seins.


Mes mains sur ses cuisses copiaient les mouvements que lui faisait sur les miennes. Il alors commencé à me léchouiller les seins et, après un baiser très agréable et une petite caresse sur mes fesses, m’a fait m’allonger sur le dos. Il a pris le temps de bécoter tout mon ventre pendant que ses mains jouaient avec l’élastique de mon shorty, comme s’il attendait mon autorisation pour l’enlever. Sa langue parcourait tout mon corps alors qu’il m’enlevait mon dernier vêtement après que j’ai soulevé légèrement les fesses.


Dans un dernier mouvement de pudeur, j’ai fermé le plus possible les cuisses et mis ma main sur mon sexe, ce qui l’a fait sourire. Après avoir à nouveau parcouru avec sa langue et ses mains chaque cm carré de mon visage, mon cou, mes seins et mon ventre, il est parti léchouiller mes pieds.


Alors que ses mains remontaient de plus en plus tout en me massant, sa langue les suivait de près en faisant tout un tas de dessins sur mes pieds, puis mes tibias et enfin mes cuisses.


En remontant doucement ses doigts sur l’intérieur de mes cuisses, il est venu m’embrasser en me demandant s’il pouvait continuer. J’ai alors écarté légèrement mes cuisses pour laisser à sa main la possibilité d’arriver jusqu’à mon intimité. Celle-ci s’est posée dessus, et n’a pas bougé un petit moment comme pour m’habituer à sentir une autre main que la mienne sur mon sexe. Alors que Riwal recouvrait mon cou de bisous, un de ses doigts est venu se glisser entre mes petites lèvres et après avoir joué avec elles, il a porté ce doigt inquisiteur entre nos deux bouches, et nous avons tous les deux pu goûter pour la première fois à ma mouille.


Alors que je continuais à léchouiller et suçoter son doigt, sa propre bouche était repartie en direction de mes seins, puis de mon ventre avant de déposer quelques petits baisers sur mon mont de vénus, et le haut de mes cuisses, pour enfin atteindre mes lèvres quand mes cuisses s’étaient suffisamment ouvertes pour le lui permettre.


Tout en me caressant les seins, il m’a prodigué mon premier cunni, ce qui m’a permis d’avoir un orgasme comme je n’en avais jamais connu sous mes caresses solitaires.


Après ce tendre moment de découverte, il s’est rallongé sur le lit pour me permettre de reprendre mes esprits en me blottissant dans ses bras. Ma jambe s’est glissée entre les siennes, et ma cuisse était donc en contact avec son sexe pour la première fois, même si son boxer était toujours une barrière pour un contact de peau à peau.


Après quelques minutes ainsi, ma main est venue rejoindre ma cuisse sur son sexe et après une petite hésitation j’ai commencé à le caresser au travers de son boxer. Puis, en passant ma main dans son boxer, j’ai demandé à Riwal de faire de moi une vraie femme.


Il est alors allé chercher un préservatif, qu’il a mis une fois après avoir enlevé son boxer. Il m’a rejoint sur le lit en s’allongeant sur moi, le sexe en contact avec le mien. Après quelques mots tendres, il a commencé à jouer un peu avec son sexe sur le mien. La peur très certainement, m’a fait lui demander d’être doux. Et après m’avoir dit qu’il ferait de son mieux pour cela, il a commencé à forcer mon intimité et m’a embrassée au moment où son gland rencontrait mon hymen avant de le briser et finir de me pénétrer.


Il est resté un petit moment sans bouger à me regarder et à léchouiller les larmes qui coulaient. Au moment où mes lèvres sont venues à la rencontre des siennes, il a commencé à bouger doucement en moi. Une fois les mouvements plus faciles dans mon sexe, il a remonté mes jambes sur ses épaules pour pouvoir me pénétrer plus profondément.


Mes gémissements discrets étaient certainement le signe qu’il attendant pour me pénétrer avec un peu plus de force. Ce qui m’a arraché plusieurs petits cris de surprise mélangée au plaisir quand il sortait totalement de moi et me reprenait profondément d’un coup. Après plusieurs coups un peu plus secs, il m’a fait me mettre sur le ventre, les fesses légèrement relevées afin de pouvoir me pénétrer plus facilement.


Une de ses mains s’est glissée sous mon ventre pour venir jouer avec mon clito, alors qu’il me pénétrait tendrement.


Après les contractions de mon vagin sous l’effet de l’orgasme, il a repris une pénétration plus violente jusqu’à ce que lui-même jouisse.


Après un câlin post-coïtal et un changement de draps, nous nous sommes tous les deux endormis en réalisant qu’il s’agissait du dernier moment où nous étions tous les deux avant quelque temps puisque le lendemain nous nous séparions pour 6 mois de stage à plus de 1000km l’un de l’autre.


Le lendemain nous avons décidé de vivre chacun notre vie et d’en profiter pendant ces 6 mois, puis de reprendre la discussion sur notre propre relation à notre retour. Ces 6 mois m’ont appris beaucoup de choses pour ma formation professionnelle, mais ils m’ont aussi permis de continuer ma découverte de la vie sexuelle d’une jeune fille. Alors pour savoir ce qui s’est passé il faudra revenir me lire…