n° 10468 | Fiche technique | 10759 caractères | 10759 1926 Temps de lecture estimé : 8 mn |
31/05/06 |
Résumé: Quelques phrases extraites de textes récents publiés ici, et jugées cocasses. Pour prendre, timidement, la suite de Gufti Shank. | ||||
Critères: #revebebe #humour | ||||
Auteur : OlivierK Envoi mini-message |
Quelques perles, au fil de la lecture des derniers textes publiés ici. Certaines ont déjà été évoquées dans un forum. Gufti Shank les nommait "phrases douteuses". Que nul ne se vexe : il arrive à tout le monde d’être involontairement cocasse.
- Comme d’habitude, alors ?
Sans m’en rendre compte, je me retrouvai vite en tenue d’Eve dans le salon de Vinicio. J’étais un peu craintive car son petit frère dormait dans sa chambre. Soudain, Eduardo fut pris d’un accès de lucidité :
Vous donnez vos vêtements à Emmaüs, tout simplement.
Elle m’a demandé un peu de patience, car il lui fallait se faire belle.
Six heures plus tard, elle n’avait pas encore réussi.
…avant de la prendre par la main et la déposer sur notre lit, canapé ou table à manger.
Elle a la main amovible, ou l’épaule solide.
J’allonge Claire sur le dos, prend ses deux seins en mains et je me mets à lécher les tétons avant de prendre la totalité de chaque sein dans ma bouche.
Depuis que je la dévore de baisers, ils ont beaucoup diminué.
Je l’embrasse au sommet de ses cuisses et remonte l’intérieur de ses cuisses, avant de lui lécher les mollets
Ai-je précisé que ses membres sont bizarrement reliés au reste de son corps ?
…sa chatte dégouline déjà. Elle sent fort, mais j’aime bien cette odeur, celle qui dit que ce soir, elle sera vraiment chienne.
Depuis la grippe aviaire les chattes prétendent être des chiennes.
D’un coup, je me saisis de ses deux jambes, les relève et je pose ma bouche sur sa chatte. Elle pousse un petit cri.
Miaou…
Elle descend du canapé, se met à genou
Elle a oublié l’autre sur le canapé.
Elle embouche maintenant ma queue sur la moitié de sa longueur et je ne pense pas qu’elle pourra tellement aller plus loing.
Le Loing est un long fleuve tranquille…
Je me mets à mon tour à genou devant le canapé, lui saisis les deux jambes que je pose sur mes épaules.
Pour le changer de place, ce maudit canapé.
Je sens mon gland qui écarte ses lèvres et je sens que la pénètre à mon maximum. Elle pousse un long râle de plaisir. Je me saisis de ses jambes, les relève un peu plus et je m’enfonce une nouvelle fois en elle…
J’étais sorti de l’autre coté.
…elle serre ses bras autour de mon coup
Je suis en effet en train de le tirer !
Ça rentre comme dans du beurre tellement que je l’ai déjà ramonée.
Une chatte au beurre noir.
Ce n’est pas que ça me dérange d’être un peu soumis, mais je prends un réel plaisir à la dominer lors de nos relations sexuelles. Je lui saisis ses mains et les bloque derrière son dos. Sa tête tombe à côté de mon épaule, ce qui a pour effet de lui faire cambrer un peu plus les reins.
Le même phénomène a été observé lors de l’exécution de Marie-Antoinette.
…je laisse juste le gland dans sa bouche,
Je mets le reste à l’abri, parfois elle mord, la chienne…
Je retire ensuite ma capote et l’embrasse.
J’aime ma capote, j’ai bien le droit. Touche pas à ma capote !
Lorsque je la vois s’éloigner vers la salle de bain, j’espère qu’elle restera nue pour que je puisse la prendre par surprise dès qu’elle rentrera dans la cuisine.
Sur la gazinière. Ça va chauffer, c’est moi qui vous le dis !
Puis je me lançai à son cou que je dévorai avec avidité.
On peut le faire sans crainte, les hormones sont désormais interdites.
Quand je sentis son sexe dans le mien, je perdis la tête.
Mais ça ne la remplaçait pas tout à fait.
Lorsque je sentis qu’il pénétrait mon derrière, je perdis pied.
Je suis drôlement foutue, en effet.
Je plonge ma main dans son pantalon. J’y trouve une bite, sans caleçon, n’y rien d’ailleurs.
Elle se trouvait bête, la bite, avec rien d’autre. Un vit sans la moindre bourse !
Eux, je viens d’avoir 18 ans.
Elles aussi. C’est imposé par la charte.
Après quelques soupirs de souffrance et de plaisir mélangés, le sexe de Cathy est maintenant lisse.
Il ne pousse plus de soupirs, car ça repoussera.
Après ce silence électronique, gênant mais emprunt d’une intensité que je ne peux ni décrire ni m’expliquer.
J’ai acheté mon micro à crédit, mais sa carte son est muette et le mode d’emploi est en japonais.
Je n’ai pas osé envahir son intimité sans m’y être invité.
Je suis très poli avec moi-même.
J’ai vu une femme qui chevauchait une cheval.
ChevalE !
Mon cœur fait alors trois tours.
Avant de revenir, lent et sanguinolent…
Tu échappes un WOW, c’est très romantique
Un pet le serait moins, en effet.
Sa main remontait jusqu’à mon entrecuisse que j’ouvris pour accueillir sa main, il pencha sa tête et m’embrassa, sa main caressa mes seins.
Est-il besoin de préciser que je suis née à Tchernobyl ?
Et vous resterez vous blindé, alors que je me livre ?
Fendez donc l’armure, cessez de chopiner, et prenez-moi.
Je constatai que l’imagination fertile de certains clients émoussait ma polonaise.
Ils vidaient leurs verres de bière sur le clavier de mon piano.
Le corps de mon amie se contractait sous l’effet d’un orgasme formidable qui illumina son visage.
Fiat lux, comme dit la bible : l’effet du big bang.
C’est la première fois qu’on s’occupe de son cul comme ça, elle est estomaquée.
Elle n’a pas l’estomac tout à fait dans les talons.
Il le fait ressortir, et entrer de nouveau, de plus en plus vite, écartelant ce petit trou qui atteint un diamètre.
La phrase est finie. Ça ne vous suffit pas, un diamètre ? C’est beaucoup plus qu’un diacentimètre !
Elle lèche ses couilles et passe un doigt entre ses fesses, il doit serrer les dents pour ne pas tout lâcher à ce moment-là.
Voilà où ça mène, de bouffer des OGM.
Prenant mon courage à deux mains, je décidai de frapper.
Un coup de courage, ça peut faire très mal.
Je décidai d’arrêter et de lécher Madame sur la terrasse extérieure.
Son intérieur m’avait dégoûté.
On ne peut pas vivre les uns sur les autres.
Oh, de temps en temps, entre adultes consentants…
Une vraie pot de vache.
Manque de bol.
Ce que je fis, déconfis, jamais une femme , n’avait vu mon sexe, deux encore moins.
Vous êtes venues, déconvenues, circulez, y a rien à voir.
J’ai un beau corps, mais je suis trop pudique pour l’exploiter de façon régulière.
Si bien que je suis fauchée et que Prosper me bat.
J’aime laisser libre court à mes fantasmes.
Pour écrire de longues histoires.
Je dois me transformer en salope. J’ai donc pris un bain.
Je ne m’étais pourtant pas encore vraiment salopée.
Je sors avec le premier maillot, il me va comme un gant.
Et j’ai la main dans un slip.
Oh, ces fesses qui m’attirent tellement… Je me penche sur elle, pour l’embrasser dans le cou.
Elle est d’une souplesse…
Je prends mon courage à deux mains et je plie les jambes pour lui faciliter l’accès.
Mon courage adore ça.
…comme la nuit porte conseille, je verrai demain matin si je vais le porter ou pas.
La nuit se tape le boulot. Moi j’hésite. Conseille est si lourd !
Je sors ma main et lui dis qu’il est temps de rentrer.
En la raccrochant à mon bras.
Il se retire assez rapidement sous les protestations de mon épouse qui reste sur sa fin et ne manque pas de lui signaler en se redressant un peu sur les coudes et laissant aller ses pieds sur le sol.
Obsèques après-demain à 11 heures.
Sa petite brousse est de plus en plus petite et taillée très raz.
C’est l’effet du tsunami.
Je le parcours accompagné de mon verre de champagne
Qui marche à cloche-pied.
Elle tient toujours ma verge en main et je ne peux lui cacher une forte érection.
Je lui ai pourtant dit qu’il s’agissait d’un salami.
Enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout.
Elle a bouffé tous mes caleçons, où est l’antimite ?
Je fermais les yeux pour qu’elle se croie seule et j’espérais qu’elle me trompe avec elle-même.
Ça ne marche pas toujours mais on peut essayer.
Jérôme passait régulièrement de mes seins à mes jambes
C’est une puce mâle, Jérôme, ai-je besoin de le préciser ?
J’ai commencé à offrir un à un les boutons de ma robe.
Il me disait merci très poliment.
Quel doux plaisir de sentir son excitation renaître pendant que je prenais des poses subjectives !
C’est très objectif, et comme on vous comprend !
Samuel s’est lancé à l’assaut de cette hospitalière poitrine. Elle a basculé sur le lit, l’a agrippé par les cheveux.
Il s’aperçut alors, le phalo, qu’il baisait avec un céphalopode.
Je savais qu’il aurait suffi de quelques mouvements trop rapides pour que je jouisse et perde pied.
Puisque certains le prennent, il faut bien que d’autres le perdent.
Le pubis était rasé de près… J’ai continué à lui caresser le sexe avec une grande douceur, lissant les poils du pubis.
Ça repousse à une allure…
Mon aimée finit par s’agenouiller, elle aussi, mêlant sa langue à celle de son amie dans un balai divin
Moi, vautré sur le canapé, je les regardais faire le ménage.
Je ressentais toujours la tension de mon sexe, l’envie de les rejoindre, le besoin de m’unir à eux et de communier dans cet appel de la chaire.
Je rejoignis donc Homélie Poulain et l’abbé Pierre dans le confessionnal.
De grandes pierres plates nous tendaient les bras.
Séisme : niveau 8 de l’échelle de Richter.
Un chemisier blanc cachait visiblement un soutien-gorge noir.
Sous l’obscure clarté, comme dit Corneille.
Je dévore ses seins. Deux petits lobes, fermes et durs, gourmands.
Avec des anneaux si ce n’est pas du foie gras.
Nous louons un appartement dans une maison d’habitation.
C’est bien vrai, ça, dirait la mère Denis.
Elle était assez "coincée" au début de notre relation, et était en fait vierge.
J’ai fait sauter le verrou en sautant la fille.
Puis il ajouta qu’il voulait me prévenir qu’ils attendaient un visiteur impromptu.
J’ai subodoré qu’il me mentait quelque peu.
Nous restons là, presque face à face, durant de longues et interminables minutes…
Nous prenons notre temps, l’avez-vous bien compris ?
Nous jouissons, ensemble et à l’unisson.
Et tout à fait en même temps, soyez-en certains.
Ma main serre son fin poignet, elle le serre sans se rendre compte qu’elle peut finir par lui faire mal.
Elle n’en fait qu’à sa tête, ma main, parfois.
L’avant-midi passe, des idées folles courent dans ma tête, mouillant constamment mon slip.
Oui, je l’avais mis sur ma tête pour remplacer mon chapeau. Devinez où il était mon chapeau !…
La première pénétration, avec seulement un doigt, m’avait semblée tellement onéreuse.
Je payais de ma personne, croyez-moi !
Il continua ses mouvements, puis décida qu’il serait plus facile de me faire jouir en me débarrassant de mes jeans. Il retira sa main, à mon grand regret. J’étais transie tandis qu’il s’occupait de mes pantalons. Il revint après quelques minutes qui me semblèrent interminables.
- Le pressing est fermé, me dit-il.
Son autre main s’aventurait sans ménagement entre mes deux jambes, à la recherche de mon vagin.
- Un peu plus haut… Encore… Encore… Un peu plus bas, maintenant… Bingo !