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n° 10482Fiche technique18070 caractères18070
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04/06/06
Résumé:   Je rêvais souvent qu'un homme, jamais une femme, me fessait couchée en travers de ses genoux, d'abord habillée puis déculottée.
Critères:  fh hplusag collègues médical collection fsoumise fellation fsodo fouetfesse init
Auteur : Etoile      
Ma première fessée

Bonjour Monsieur le Webmaster, j’ai consulté votre site hier soir.



Dés l’âge de 16 ans, j’ai pris des amants. J’ai connu le plaisir de suite. Je n’aimais pas les relations durables. Je jouissais toujours abondamment. J’ai testé toutes sortes de fantasmes.

Je me suis régalée. J’ai toujours aimé être prise en levrette ou agenouillée ou penchée en avant (très significatif déjà). Et j’aime mieux qu’on me caresse le dos et les fesses. Et aussi qu’on me les pétrisse. Je suis devenue infirmière par la suite, diplômée à 19 ans.


Je rêvais souvent qu’un homme, jamais une femme, me fessait couchée en travers de ses genoux, d’abord habillée puis déculottée. J’avais essayé avec certains de mes copains. Mais, peu le faisaient bien, peu en avaient envie. Bref, j’étais restée sur ma faim.


Un jour, à l’âge de 24 ans, j’ai rencontré un jeune chirurgien de 35 ans, qui faisait trembler le service où je travaillais alors. Je venais d’être nommée surveillante très récemment. Il était le chef de ce service. Il était sévère, stricte, maniaque. Tout le monde le redoutait. Il ne mâchait pas ses mots, il terrorisait les élèves infirmières et les internes en leur posant des questions difficiles. Et s’ils répondaient faux, il leur enlevait des points sur leur notation de stage ou de cours. Dés qu’il passait la porte du service en faisant claquer ses sabots de bloc, tout le monde se mettait au garde-à-vous. Il fallait que les opérés aient leur pansement propre, prêt à être ôté, que le service soit rangé. Ne parlons pas des dossiers qui devaient être impeccablement rangés dans l’ordre qu’il avait instauré, et être à jour. En salle d’op, il balançait au sol les instruments mal tendus, ou les plateaux chirurgicaux mal préparés. Vous voyez le style. À mon niveau, je devais avoir les stocks à jour, je ne devais manquer de rien tant en équipement, matériel, personnel, ses rendez-vous de futurs opérés devaient être bien programmés, le téléphone toujours disponible pour lui, enfin tout devait être clean, accessible, prêt. Le premier jour où je prenais mon service comme surveillante, nous avons fait la tournée ensemble afin de parler des entrées attendues, des sorties, de la vie du service.


Il me dictait les ordonnances, les modifications de traitement. Quand la visite a été finie, il m’a demandé de le suivre dans son bureau. Ça ne présageait rien de bon. Il s’est assis derrière son bureau, ne m’a pas proposé de le faire et m’a regardé gravement. Je me sentais comme une élève convoquée chez le directeur. J’étais mal à l’aise.



Je portais alors une énorme tresse qui m’arrivait à mi dos. Quelques mèches s’échappaient à la base de la tresse. J’ai toujours eu les cheveux indisciplinés. Quand j’étais élève infirmière, j’étais obligée de mettre un maximum de barrettes fines pour les maintenir nettes. Et encore, en fin de journée, j’avais toujours des mèches qui passaient outre.



Je suis allée faire ce qu’il m’avait demandé, un peu excitée, un peu tremblante. Je suis revenue lui montrer partagée entre deux sentiments.



En plus, c’était un bel homme toujours tiré à quatre épingles. Il revenait du bloc opératoire douché, rasé, habillé comme s’il allait en soirée ou au golf.

A chaque visite, j’appréhendais de le voir, de ne pas être parfaite, d’avoir oublié un détail, il m’impressionnait. Je dormais souvent mal la veille de son passage dans le service, je rêvais qu’il m’administrait une fessée devant le personnel.

Parfois, il venait de manière inattendue. Vite, je regardai ma tenue, hélas tâchée d’encre de stylo, je rajustais mes cheveux. Mais, c’était en vain, il l’avait vu et il m’en faisait en suite une forte remontrance dans son bureau.

Il m’a plu de suite. Lui aussi, quelques temps après, il m’a proposé une sortie ensemble. Nous sommes allés manger au restau, puis on a passé la nuit ensemble. C’était un amant extraordinaire. On s’est mis plus ou moins ensemble, j’allais le plus souvent chez lui où nous faisions l’amour durant de longues heures devant sa cheminée. Là, il aimait dénouer ma tresse lui même et jouer avec mes cheveux. Il adorait me caresser les fesses et me les pétrir, me les malaxer d’une main ferme. J’adorais ça et il le savait.


Dés que nous avions fini, nous allions systématiquement manger dans un restaurant vietnamien. Quand je sortais avec lui, je devais être impeccable. J’adorais m’habiller sexy, court, moulant et il est assez fier de me promener à son bras, sous l’œil flatteur et envieux des autres mecs. Il contrôlait ma tenue et me demandait de rectifier ce qui n’allait pas de son ton sévère qui m’a toujours fait vibrer. J’étais toujours mi-tremblante mi-excitée, les jambes comme du caoutchouc quand il prenait ce ton de commandement. J’aurai aimé qu’il m’empoigne, me jette sur ses genoux et me fesse pour toutes mes imperfections.


Je ne sais pas ce qui m’a pris, ce soir-là, pendant le souper, mais très rapidement, je lui ai dit que j’aimerais être fessée tout à l’heure après le repas. Il a souri d’un air entendu, comme s’il s’y attendait. Je suis devenue rouge devant l’énormité que j’avais proféré. Il m’a répondu que ça pouvait l’intéresser, que mes fesses l’avaient branché depuis le début, et qu’il pensait que c’était lui qui me l’aurait proposé en premier. Qu’il était agréablement surpris par ma demande, il m’a dit qu’il avait eu de nombreuses fois l’idée de me coucher sur ses genoux dans son bureau pour m’apprendre la discipline, le rangement et à être impeccable. Qu’il regrettait de ne pas être passé à l’acte plus tôt.


Il m’a demandé quel effet cela m’aurait fait de me retrouver moi, surveillante, habituée à commander le personnel soignant et non soignant, de recevoir une fessée par lui et donc de me retrouver en position d’infériorité. Et en plus dans le service, où l’on aurait pu entendre le bruit de la fessée.


J’ai encore rougi. Je me sentais mouillée à l’entrejambe, mon sexe demandant qu’à être comblée.



J’ai bredouillé, j’avais perdu toute ma superbe.



Ça m’a bien émoustillé.


Puis, Il m’a posé plein de questions sur cette idée de fessée proche et immédiate. Si j’avais déjà été fessée, par qui, comment, si j’avais aimé, bref il a fait l’inventaire de mes connaissances en la matière. Je lui ai tout raconté sans rien omettre.

Il m’a demandé si j’avais des préférences actuelles : la position, la durée, à main nue ou avec un objet, si j’avais des limites, si j’obéirais à ses ordres, bref un véritable interrogatoire pour faire la mise au point du plus petit détail. Alors, il m’a annoncé que lorsque nous rentrerions il me donnerait une fessée érotique pour voir mes réactions. Je me suis sentie émoustillée, j’ai trempé mon slip.



Il a fait durer le repas, en prenant un café, puis un second, puis un digestif. Il m’a expliqué en détail comment il allait m’administrer cette première fessée. Par la suite, il me donnerait des fessées punitives. Quand le serveur est venu poser l’addition devant lui, il m’a regardé dans les yeux et m’a dit :



J’ai de nouveau rougi, j’avais le cœur battant, le serveur attendait patiemment. Alors j’ai lancé à voix basse :



Je me suis exécutée et le serveur a répondu :



Moi, j’avais honte, je me sentais diminuée. Le chirurgien l’a remarqué et a souri.



J’ai fait oui de la tête. Le serveur a rapporté la carte avec le reçu et m’a souhaité :



Mon ami m’a tendu sa main, j’ai mis la mienne dans la sienne et nous sommes partis ainsi chez lui.


Je suis allée dans sa bibliothèque comme il me l’avait demandé, je me suis agenouillée devant le large fauteuil qui se trouvait au milieu de la pièce. Il y avait une table basse devant puis dans un coin, un pouf assez bas et long. Plus un immense bureau et sa chaise à accoudoirs. Les murs étaient plein de rayonnages remplis de livres de médecine et de chirurgie. L’éclairage y était réglable à volonté. Je me trouvai face à la porte et je l’ai vu entrer nonchalamment.

Il s’est assis sur le large fauteuil et m’a demandé de venir à lui à genoux. Il a pris mon visage entre ses mains et m’a regardé droit dans les yeux.



Il m’a embrassé délicatement les lèvres et m’a ordonné de me relever. Il m’a pris un bras et m’a fait me pencher sur lui et m’a déséquilibré d’un coup sec. Il m’a administré une première claque puis une deuxième. Je me sentais excitée, je n’avais pas mal. Il m’a demandé ce que je ressentais, je le lui ai dit. La troisième claque a été un peu plus appuyée, puis il m’en a donné encore trois. Là, j’avais un peu mal, mais c’était encore supportable. J’ai commencé à me débattre, il m’a fermement immobilisé. Puis, il a baissé mon pantalon, j’ai dû me tortiller un peu afin de l’aider, c’était assez jouissif, il l’a baissé à mi-cuisses et là il m’a donné une dizaine de coups assez sonores. Je lui ai dit qu’il pouvait y aller plus fort, que mes fesses résistaient encore bien.


Il m’a déculotté en prenant bien son temps. Je sentais mes fesses rouges et chaudes, je me sentais humiliée, consentante, c’était plaisant. Puis, il m’a fessé avec un peu plus d’entrain, là j’ai eu mal, je me suis débattue, j’ai fait des grands mouvements avec mes jambes pour me libérer. Mais il m’a maintenu fermement. J’ai crié de douleur sous ses claques. Puis j’ai totalement accepté cette fessée librement consentie, je me suis abandonnée entièrement, je me suis relâchée, j’ai dit :



Il a ralenti la fessée, il m’a caressée les fesses doucement, là où c’était le plus sensible, puis il a mis son doigt dans mon vagin et a testé l’humidité ambiante. Il a été très content du résultat. Il m’a demandé de lui réciter la règle des 4 "or" médicaux :



Il a sorti un gode de sa poche (nous en avions parlé au restaurant) et me l’a enfoncé délicatement à la place de son doigt. J’ai apprécié son geste, j’ai gémi de plaisir. Il m’a dit que ce n’était pas encore fini, que je le savais. J’ai répondu :



Il m’a frappé plusieurs fois de suite avec une forte intensité. Puis il s’est arrêté d’un coup, il m’a désimmobilisé de son autre bras. Je suis restée sur ses genoux et il a fait bouger le gode en moi. Puis il m’a demandé de me relever, de me déshabiller comme prévu et de le sucer. J’avais les fesses rouges, douloureuses mais j’étais bien. J’ai enlevé ma tenue que j’ai envoyé valdinguer au loin. Puis, Je me suis agenouillée, j’ai sorti son sexe du pantalon et je l’ai pris dans ma bouche. J’adore sucer, mais après une fessée, c’est encore plus jouissif de se sentir nue, dans une autre position humiliante à s’occuper de l’autre, alors que j’ai le sexe en feu qui attend sa récompense. J’avais le gode mais je ne pouvais pas le faire bouger avec les mains car je les avais autour de son sexe, aidant ma langue. C’était ma façon de le remercier, je lui en avais précisé les termes au resto. Il m’a dit :



Je me suis retrouvée de nouveau sur ses genoux, mais nue, entièrement offerte à lui. J’étais excitée, mouillée, trempée, désireuse de poursuivre. Cette position me plaisait car j’étais soumise, humiliée, dominée. J’étais bien .Mon corps ne me m’appartenait plus. Ce n’était plus moi le chef de mon corps et de mon cerveau.

Il a commenté la couleur de mes fesses et a trouvé qu’elles avaient encore besoin d’une petite fessée. Il a réajusté le gode qui avait tendance à glisser tellement que j’étais trempée. Il n’a pas eu besoin de me tenir les mains qui essayent d’empêcher les claques. Je me suis laissée faire sans aucune résistance. J’étais vaincue. J’ai posé mes mains sur le sol et j’ai attendu. Il m’a d’abord caressé tendrement les fesses un petit moment. Puis, il a cessé et m’a demandé de lui dire ce qu’il me faisait. J’ai répondu qu’il me fessait à ma demande. Que c’était une fessée érotique, notre première fessée. J’étais toujours allongée en travers sur ses genoux, nue. Je trouvai agréable de parler ainsi dans une position inhabituelle sachant que cette première fessée allait s’achever dans une apothéose. Je l’ai alors supplié de le faire, de finir et non d’arrêter.



J’ai répété ses paroles. Il m’a demandé de le répéter plusieurs fois. Je n’en pouvais plus, je me sentais dégouliner de cyprine, j’étais excitée, j’avais chaud de partout. Je trouvais plaisant d’être allongée nue sur un homme vêtu. Je n’aurai pas trouvé concevable qu’il soit déshabillé. J’ai eu un orgasme violent et bon, j’avais les cuisses mouillées. J’ai cru mourir de plaisir.


Il s’en est rendu compte car je lui ai un peu imbibé la jambe de son pantalon. Alors, il m’a fessé de nouveau. Il m’a rapidement fait rougir les fesses. Toutes les sensations ont déferlé en moi, tout s’est mélangé, la douleur, le plaisir.

Quand il s’est arrêté définitivement pour cette première fessée, je ne m’en suis pas rendue compte de suite, tellement j’étais dans un tourbillon, une tempête de sensations multiples et contradictoires. Il m’a relevé, s’est relevé à son tour, m’a entraîné vers le fameux pouf sur lequel il m’a fait allonger, les jambes écartées. Il m’a ramené les bras en arrière et me les a liés avec un ruban. C’était juste symbolique. Il avait tout prévu pendant le temps que je l’attendais agenouillée, conformément à notre accord du restau.


Alors, il a baissé son pantalon, a mis un préservatif sur son sexe. Il s’est mis sur moi et m’a sodomisé. J’étais tellement excitée que j’étais bien ouverte et qu’il n’a pas eu grand chose à faire pour me pénétrer.

Voilà pour ma première fessée. Il y en a eu d’autres par la suite…