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Temps de lecture estimé : 13 mn
04/06/06
Résumé:  Première initiation au triolisme pour un jeune couple.
Critères:  fhh couplus copains fépilée fête lingerie odeurs hmast cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Frank 64      
Je suis sérieusement occupée...



« Je suis sérieusement occupée en ce moment. Je te raconterai à ton retour. Ça va te plaire… »


Voici le message que je reçois d’Emma en ce merveilleux mercredi d’été à 14h00. Je comprends de suite ce qui est en train de se passer, et malgré le lieu où je me trouve (le travail), de façon incontrôlable et paniquée, je me mets à bander.


Mais commençons par le commencement…


Je suis Franck, j’ai 27 ans, et je vis depuis 4 ans avec la femme de ma vie (du moins je l’espère), Emma. (C’est elle qui m’a laissé le message du début sur mon portable). Elle a 26 ans, et c’est la fille la plus belle que j’ai jamais vue (je sais que ce n’est absolument pas objectif, mais je dois quand même avouer que ce n’est pas loin de la réalité).


Ses cheveux sont châtains avec des mèches blondes et s’arrêtent au niveau de ses épaules. Son visage est magnifique, fin, hâlé par le soleil de l’été (bien qu’il soit déjà un peu mat naturellement). Ses yeux sont verts, profonds, hypnotiques, mystérieux (bon, là j’exagère un peu). Sa bouche est appétissante sans être trop pulpeuse.

Mais ce qui m’a le plus attiré chez elle lorsque je l’ai rencontrée, ce n’est pas son visage pourtant superbe, mais ses fesses (j’ai au moins le don d’être franc). Elle a un cul sublime. Il est ferme, bien rebondi, lisse (quoiqu’elle en dise et même si elle pense qu’elle a un peu de cellulite, il faut vraiment presser sa peau de toutes ses forces pour en voir apparaître un peu. Comme pour tout le monde d’ailleurs). Ceci lui permet de mettre des jeans ou des pantalons en stretch, moulants, ce qui a le don d’attirer les regards lorsqu’elle marche dans la rue, (et pas seulement des mecs. J’ai vu des filles seules les reluquer, ou d’autres engueuler leurs propres mecs après les avoir surpris en train de mater les fesses d’Emma qu’ils venaient de croiser).

Mais ce dont elle est le plus fière et non sans raison, c’est sa poitrine. Sans être énormissime (elle fait un bon 95 b), ses seins sont comme tout le reste de son corps, c’est-à-dire fermes.


C’est à la faculté que nous nous sommes rencontrés. Lors d’une soirée à laquelle je n’étais pas, mes potes m’avaient raconté qu’ils avaient fait la connaissance d’une fille qu’ils avaient alors qualifié de « trop bonne ! » (C’est-à-dire « très belle » en langue civilisée).

Parmi, eux, Cédric, mon copain d’enfance, avait littéralement craqué sur elle. Malheureusement pour lui, c’est sur moi que son dévolu est tombé. Il ne m’en a jamais voulu, et a été largement récompensé pour ça (mais on y viendra plus tard…).


La première fois que je l’ai rencontrée, c’était chez elle. Elle donnait une fête pour célébrer la fin des examens. Je suis tout de suite tombé sous le charme.


Je me souviens d’ailleurs d’une petite anecdote lors de cette soirée : j’étais dans un état d’ébriété assez avancé quand je fus soudain pris d’une furieuse envie de pisser. Une fois dans la salle de bains dans laquelle je m’apprêtais à me laver les mains, mon regard se posa sur sa corbeille à linge qui était malencontreusement restée ouverte. Je ne pus m’empêcher d’attraper un bout de tissu qui dépassait. C’était un string. SON string ! Elle l’avait porté ! Il était magnifique. Noir, en satin, avec des petites fleurs rouges sur les côtés, cette étoffe avait été en contact avec son sexe et son cul. Je savais que ce que je faisais était mal. Mais je ne pus m’empêcher d’aller plus loin, de regarder l’endroit exact qui avait été en contact avec sa chatte. Il y avait des sécrétions sur le fond en coton. Comme une sorte de bave, poisseuse, à moitié séchée. Je bandais à m’en faire mal. J’avais une envie folle de me branler, mais le lieu ne s’y prêtait pas. Je ne pus résister à la tentation d’y mettre mon nez, de le sentir, de le renifler à fond. Ça sentait le sexe. En le manipulant, je pensais à elle, si belle. Je sentais la ficelle qui avait été enserrée entre ses fesses magnifiques. Cette « odore di Femina » qui peut rendre un homme fou. Cette odeur de sueur sexuelle épicée, de mouille. Je posai ma langue sur la substance visqueuse, fruit de mon excitation. Ça ne faisait apparemment pas longtemps qu’elle l’avait porté, la substance était encore fraîche, gluante. J’en avais dans la bouche. Quand je ressortis, je fis comme si de rien n’était. Je bandais comme un âne et fis en sorte de regarder les gens dans les yeux pour que personne ne s’en rende compte. Je me disais que je venais, par l’intermédiaire du string, de lécher la chatte d’Emma. Emma qui, j’en étais persuadé, était le fruit du désir de tous les mecs présents. Eh bien moi, je venais de lui lécher la chatte…Enfin presque.


Je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Elle souriait. Un sourire parfait, des dents d’une blancheur impeccable.


Ce soir-là, je ne pus trouver le courage de lui dire ce que je pensais, l’effet qu’elle me faisait, que j’étais fou d’elle. Elle m’aurait sûrement répondu qu’on ne se connaissait pas assez. Et moi, je lui aurais dit qu’elle se trompait, que moi je la connaissais bien, et même assez intimement. Elle n’aurait certainement rien compris, m’aurait peut-être trouvé étrange, pas clair, pourquoi pas, même, inquiétant. C’est vrai que mon acte était quelque peu pervers. J’étais simplement amoureux.

Malheureusement, Cédric fit écrouler tous mes rêves. Il vint me trouver et m’apprit qu’elle n’était pas libre. Elle avait un copain qui n’habitait pas ici, et qu’elle voyait le week-end. Je fis mine de ne pas être touché.

Lorsque je rentrai chez moi, je me glissai dans les draps de mon lit douillet, et, vous me croirez ou non, la première chose que je fis une fois installé, ce fut de pleurer comme un gamin.


Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ? Simplement pour vous décrire la fille qu’elle est et surtout l’effet qu’elle peut provoquer chez un homme. Maintenant que vous êtes renseignés, passons aux choses sérieuses…


Cela fait quatre ans que nous vivons un grand amour. (Eh oui, j’ai réussi, finalement !). Nous avons vécu pendant un moment une vie de couple que je qualifierais de banale. Mais voilà qu’il y a un an, il s’est passé un événement qui allait changer notre vie sexuelle, et, par bonheur, SEULEMENT notre vie sexuelle. Notre vie de couple, par chance, n’en a jamais été affectée, et, au contraire, s’en est trouvée enrichie.


Nous avions pris l’habitude, en faisant l’amour, de nous lâcher nos fantasmes à la figure. Timide et occasionnel au départ, ce jeu est devenu de plus en plus récurent et cru. Plus notre relation évoluait, plus notre vocabulaire en faisait autant : des mots conventionnels tels que fellation, sexe, cunnilingus, fesses, seins, avaient laissé la place à des expressions plus « argotiques » que je ne pense pas avoir besoin d’énumérer, le récit s’en chargera tout seul.

Parmi ces fantasmes, celui de la voir faire l’amour à un autre homme était celui qui m’excitait le plus. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Pourquoi les hommes d’aujourd’hui sont-ils autant attirés par l’échangisme ? (Freud, où es-tu ?!!). Est-ce simplement un effet de mode ? Ce genre de pratique était-il plus courant à d’autres époques ? Qu’est devenu ce sentiment si violent et à la fois si humain qu’était la jalousie ? (Non, ne vous inquiétez pas, ce n’est pas un sujet de philo !). Ne sachant quoi répondre à ces questions, j’en vins à douter de mon amour. Après tout, était-il normal de vouloir partager sa moitié avec un autre ?

Ce fut Emma qui, un soir, lança le sujet. Elle aussi se posait ces questions, mais à la différence de moi, elle ne doutait pas de mon amour pour elle.



En disant cela, je descendis vers sa chatte et me fis un devoir de la lui lécher jusqu’à l’orgasme.


Cette discussion avait ouvert des voies que je ne soupçonnais pas praticables. Je savais qu’elle était d’accord pour un trio coquin avec un autre mec. Je savais également que mon souhait le plus cher du moment était de vivre cette expérience. Cependant, un nouveau problème était apparu. Qui serait cet autre mec ? Un inconnu ou une connaissance… ?


Je savais que Cédric, mon meilleur ami, qui a aussi une copine magnifique depuis plusieurs années, avait toujours un petit faible pour Emma. Aussi, je pensai de suite à lui pour notre petite partie de débandade.

Avec lui, on ne se cachait rien et on parlait même souvent de choses très intimes. Il me racontait sans retenues ses nuits torrides avec Cathy, sa femme, et j’en faisais autant. Emma s’entendait aussi très bien avec lui. Il nous arrivait souvent de nous retrouver tous les trois, après des soirées bien arrosées, à discuter de tout et même de sexe. (Emma n’a aucun tabou sur le sujet, mais elle n’en parle pas avec n’importe qui).


Un soir, nous en sommes venus à parler de parties à trois. (J’avais volontairement emmené le sujet, bien sûr).



La question avait été trop directe et mal formulée. (La faute à l’alcool). Je voulais en fait leur demander si l’échangisme les choquait. Je savais déjà ce qu’Emma en pensait, aussi ma question s’adressait-elle plus à Cédric.

Un silence flotta pendant quelques secondes.

Emma, qui avait allumé une cigarette, se tourna vers moi le sourire aux lèvres.



Nous étions tous les trois dans un état d’ébriété avancé.

Cédric la fixa, l’air étonné, et lui dit :



Elle se tourna vers moi, et, le regard moqueur et faisant mine d’être dégoûtée, me dit en montrant Cédric du pouce :



Nous éclatâmes de rire.

Je me tournai vers lui, et lui dis :



Je lui fis un clin d’œil appuyé comme pour lui dire : « Vas-y, tu verras bien ».

Je crois qu’il comprit le message. Ce n’était pas mon meilleur pote pour rien.

Emma me fixa, la cigarette coincée au bord de ses lèvres, avec un air étonné. Elle me faisait craquer quand elle prenait cet air là ! Je lui fis le même clin d’œil qu’à Cédric, sauf que celui-ci avait un sens légèrement différent. Il voulait dire : « Je crois que c’est le moment de réaliser notre fantasme. »


Elle prit un air complice et me rendit mon clin d’œil. Elle avait compris…


Cédric, souriant, bien qu’un peu vexé par ce qu’elle venait de dire, mais ne laissant cependant rien transparaître, se leva de table, se plaça derrière la chaise d’Emma et, tout sourire, posa sans hésitation ses deux mains sur ses seins, en disant :



Bien sûr, il plaisantait. En disant cela, il les soupesa, l’un après l’autre en souriant. Il n’aurait jamais fait ça en étant sobre, mais dans l’euphorie du moment, il n’y avait plus d’interdits.

Ce qui me surprit, ce fut l’absence totale de réaction d’Emma et surtout la complicité qui venait de s’installer entre nous trois. On se comprenait sans se parler.

Elle continuait à fumer sa clope en souriant, chacun de ses seins étant enfermé dans les mains de mon ami.

La situation m’excitait au plus haut point. Mon caleçon était devenu trop étroit. En plus, Emma était habillée de la façon la plus sexy qui soit. Elle portait un débardeur cœur croisé, très décolleté, avec un nœud au-dessus du nombril, une petite jupe écossaise laissant deviner, de temps en temps le liseré de ses bas couleur chair ; des bottes noires arrivant au-dessous du genou et, en guise de sous-vêtement (et ça, j’étais le seul à le savoir), un petit string rouge en soie, et pas de soutien-gorge.

Elle me regarda, pour être sûre que j’étais toujours consentant, se leva, se tourna vers Cédric, le regarda dans les yeux, et lui dit sur un ton de défi :



Elle se retourna vers moi me jetant un regard voulant dire « j’essaye ? » et me sourit. Je lui rendis son sourire en hochant la tête, comme pour lui donner mon approbation.


Elle prit la tête de Cédric entre ses mains et posa ses lèvres sur celles de mon pote. Je vis leurs langues se mêler dans un baiser langoureux. Mon cœur s’était arrêté, mon estomac s’était noué, j’avais la gorge serrée. Alors que j’aurais dû être jaloux, j’étais au contraire très excité. Ce baiser sembla durer une éternité. Un silence total régnait dans la pièce, entrecoupé, par moments, par des bruits de succion humides. Je décidai de briser le silence en lançant, ironique :



Cédric arrêta, me regarda, souleva la jupe d’Emma et de sa main droite, lui caressa l’arrière de la cuisse, au niveau de la bande du bas.



Il caressait la cuisse de ma copine et elle, elle me regardait en souriant, les mains encore posées sur ses épaules.


Je me levai, m’approchai d’eux, me mis derrière Emma, qui se retrouvait prise en sandwich, et me mis à l’embrasser dans le cou.



Disant cela, je descendis mes mains jusqu’au bas de sa jupe et la remontai lentement jusqu’en haut, laissant apparaître son superbe cul fendu par son string rouge. Je me mis à lui caresser les fesses, collé à elle, en continuant à l’embrasser dans le cou.


Je me rendis alors compte que de son côté, elle avait repris son roulage de pelle avec Cédric. Le baiser devenait de plus en plus fougueux, ce qui eut le don de m’exciter encore plus.

Je décidai alors de passer mes mains autour d’elle pour lui attraper les seins. Je tombai sur celles de Cédric qui étaient déjà en train de les malaxer. Je revins alors sur ses fesses.


Elle tourna la tête vers moi, et se mit à m’embrasser sauvagement. Je remontai alors mes mains sur les seins d’Emma, qui était toujours de dos à moi, et me rendis compte avec stupeur, que ses seins étaient sortis et que Cédric était en train de les lécher, doucement mais sûrement.

Je n’en pouvais plus ! Pendant que je continuais à l’embrasser, je m’aperçus que Cédric avait pris les devants. Il s’était agenouillé, avait écarté le string de mon amour et était en train de lui lécher la chatte. J’entendais les bruits de succion. Emma commença à soupirer de plaisir. Je me demandais ce que Cédric avait bien pu penser en découvrant la chatte totalement lisse de ma chérie. Ça devait l’exciter terriblement.


J’étais devenu un pervers. (Et je n’étais pas le seul).

Je descendis jusqu’à ses fesses et écartai son string. Je mis ma langue entre ses fesses et lui dévorai l’anus. Il était bon. Propre, mais épicé. J’écartai ses deux fesses magnifiques et plantai ma langue dans son trou. Plus j’enfonçais ma langue, plus le goût était fort et excitant.

Elle avait posé une main sur chacune de nos têtes et gémissait de plaisir.

La suite fut très sauvage. Elle ne nous suça pas. Nous nous relevâmes, elle se retourna et se pencha sur la table.

Cédric avait sorti sa queue. Il se plaça derrière elle et planta son sexe en elle. Ma copine se faisait baiser devant moi par mon meilleur pote. Je m’éloignai d’eux pour avoir un plan d’ensemble. Je ne pus m’empêcher de me masturber devant ce spectacle.


Ma chérie était appuyée sur la table, les seins à l’air, la jupe relevée, avec ses bottes et ses bas, elle était magnifique. Cédric, derrière elle avait sa bite plantée en elle, et lui écartait de temps en temps les fesses, pour voir son membre entrer et sortir. L’excitation était tellement insoutenable que je déchargeai dans ma main avant eux.


Ils eurent leur orgasme ensemble. Il lui inonda la chatte et elle, accueillit cette décharge avec un cri de jouissance comme elle n’en avait que très rarement poussé.

Lorsqu’il ressortit, un filet de sperme s’écoula de la chatte d’Emma, coula le long de l’intérieur de son bas. Quelques gouttes coulèrent même sur le tapis.


Nous n’échangeâmes pas un mot. Emma était toute décoiffée, ses cheveux lui tombaient sur le visage, et elle ne tenait plus debout de fatigue. Cédric nous remercia pour la soirée (de rien mon pote), nous salua, et rentra chez lui.


Depuis ce jour, rien n’est plus comme avant. Dès que nous nous retrouvons tous les trois, on remet ça.

Nous nous sommes souvent retrouvés dans des endroits assez insolites, mais ce serait trop long à raconter. Il est même arrivé à Emma de baiser avec lui sans que je sois là (en ayant mon approbation, bien sûr !).

Et l’amour dans tout ça, me direz-vous ? Eh bien il n’a jamais été plus fort qu’en ce moment ! Nous avons souvent eu l’occasion de parler de cette situation, et nous sommes sûrs qu’il ne s’agit que d’un délire sexuel, et rien d’autre. Il s’est créé une réelle complicité entre nous trois. Elle existait déjà entre Cédric et moi, et je suis content qu’Emma la partage avec nous.



Je pose mon portable sur mon bureau, le sourire aux lèvres. Ce message vient de m’exciter. Je sais ce qui l’occupe si sérieusement… Elle n’est pas seule…et je connais son invité…