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n° 10489Fiche technique17083 caractères17083
Temps de lecture estimé : 11 mn
05/06/06
Résumé:  Belle rencontre dans un théâtre.
Critères:  fh fplusag inconnu jardin école douche fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Wetland  (Jeune homme de 22 ans)            Envoi mini-message
Pièce de théâtre

Ce soir, je ne sais pas trop quoi faire. Il y a bien un film à la télé, une partie de jeu à finir, des photos à "photoshoper"… Mais il y a aussi cette représentation de théâtre organisée par cette école.

Décidé, je prends ma veste, mon portefeuille, mes clés et je saute dans ma voiture, vers l’inconnu. C’est bien à droite, ah non à gauche. C’est grand la ville quand on ne connait pas. J’ai bien mémorisé le plan avant de partir alors je trouve assez facilement et j’arrive en avance ! Je prends mon billet d’entrée un bon quart d’heure avant le début de la pièce. Billet N°1, ça va me porter chance ça. Pas grand monde, deux, trois gamins…


Quelques minutes plus tard, du monde arrive enfin, des enfants avec leur parents, des personnes seules… La petite pièce devient vite trop petite. Ne sachant pas trop où me mettre, je me plaque contre un mur pour ne gêner personne. Je regarde les femmes autour de moi. J’ai toujours été attiré par les femmes de 30-35 ans. Elles ont une maturité qui les rend très désirables. Cependant toutes celles se trouvant dans cette pièce ont mal passé le cap de la mi-trentaine. Ne sachant plus trop où regarder, je tombe sur une femme rentrant dans la pièce, prenant son billet, n’ayant apparemment pas d’enfant avec elle. La trentaine, 32-33 maxi, le teint mat les cheveux mi-court, blonds avec des mèches plus foncées, un petit visage ovale d’apparence gentil, un petit nez avec des yeux qui font rayonner son visage, ses cheveux forment une sorte de cadre arrondi autour de son visage. Cela lui va parfaitement. Elle porte un chemisier blanc, légèrement décolleté (vive la fin du printemps !). Ce décolleté descend vers une poitrine plutôt bien formée, ni trop grosse ni trop petite. Une taille élancée qui donne envie de la prendre par la taille et de la serrer très fort contre soi et un jean assez moulant révélant des jambes bien galbées et assez longues. J’ai pu entrevoir à un moment où la foule s’est un peu écartée, des petites fesses très attirantes pour mes mains ! Elle est visiblement seule, elle n’a dit bonjour à personne et à force d’avancer dans cette pièce bondée, elle se rapproche de plus en plus vers moi pour enfin arriver à ma droite contre le mur. Je continue de la regarder discrètement.


Puis vient le moment où les portes de la petite salle s’ouvrent. Tout le monde se bouscule à l’entrée. Je m’avance moi aussi et me retourne pour voir si du monde arrive derrière moi. Du fait de la cohue, j’oublie quasiment cette belle inconnue, mais elle se trouve toujours derrière moi. Je fais un léger mouvement de rotation du bassin et mon coude appuie par inadvertance sur sa poitrine. Assez gêné de la situation, je fais comme si je n’avais rien senti et je rentre dans la salle.

J’attends un peu avant de m’installer. Je la vois passer devant moi, m’effleurant. Ce qui a le don de commencer à me faire fantasmer. Elle s’assoit sur un petit banc vers le milieu de la salle. Je m’approche et me place derrière elle, un peu sur la droite, histoire de pouvoir regarder le spectacle en face de moi et d’un léger coup d’œil, la regarder sans me faire voir ni me fatiguer.


L’acteur entre en scène, c’est un bon, j’ai déjà été le voir plusieurs fois. Il fait rire tout le public, moi le premier. Mais je ne perds pas de vue cette belle jeune femme. Elle est si belle quand elle rigole. Je m’attarde de plus en plus de temps sur elle. Si bien qu’à un moment où elle se retourne, elle surprend mon regard.

Le questionnement commence.

« M’a-t-elle volontairement effleuré tout à l’heure ? » « Elle m’a vue la regarder. Va-t-elle bien le prendre ? »


Je me pose beaucoup de questions pour pas grand chose. Elle me sourit et commence à me jeter des regards, au début assez discrets mais les coups d’œil deviennent plus fréquents et nos regards commencent à se croiser puis à se parler. Maintenant que j’ai tout le loisir de la regarder les yeux dans les yeux, je peux confirmer, elle est sublime. Son petit sourire au coin des lèvres me fait littéralement fondre.


Jusqu’à la fin de la pièce, ces jeux de regards ont continué, pour mon plus grand plaisir. Applaudissements nourris, l’acteur s’est vraiment surpassé ce soir. Les gens se lèvent et se dirigent vers l’air libre. J’en fais de même, la sentant derrière moi. En passant la porte, je sens une main effleurer discrètement mes fesses. Je fais comme si de rien n’était, on est entouré de monde. Prétextant surement une poussée trop forte des personnes de derrière, je sens tout son corps se plaquer contre moi pendant quelques secondes. Mon dieu que c’est bon. Je descends les quelques marches menant à la sortie avant de me retourner. Elle me dépasse, faisant mine de ne pas me voir. À moi de la suivre. Elle marche tranquillement, ses fesses se dandinant de droite à gauche puis de gauche à droite. Elle m’hypnotise. Elle arrive à la barrière du parc d’à côté, la dépasse et se retourne. Je manque de tomber dans ses bras (ce qui ne m’aurait pas déplu) mais le bon sens et surtout les réflexes me font tristement l’éviter. (Va falloir que j’aie une discussion avec ces réflexes !). Elle me lance :



Moi, un peu gêné par tant d’aplomb :



Elle me dit merci en rigolant. Ça me fait craquer. Je prends mon courage à deux mains pour lui demander ce qu’elle fait du reste de sa soirée (je sais c’est ringard mais il n’y a que ça qui me venait à l’esprit). Mais je n’ai pas le temps de sortir le moindre mot qu’elle me prend par la main pour me traîner plus profondément dans le parc. Je ne pose pas de question, je subis, trop content de la tournure que prend la situation. Arrivée au milieu du parc, elle s’arrête pour regarder tout autour d’elle puis elle repart en direction d’un bosquet. Il est 10H00 du soir, le parc est désert et comme le soleil a brillé toute la journée, il fait encore bon. Ça y est, elle s’arrête enfin. On est sous un grand sapin qui laisse en son centre un bon espace invisible du reste du parc. On est face à face. Elle ne dit pas un mot. On se regarde. Des moments comme ça, il ne s’en passe pas souvent alors je prends son visage dans mes mains et approche mon visage du sien, mes lèvres des siennes et l’embrasse tendrement. Elle répond à ce baiser en me prenant aussi la tête avec ses deux mains et continuant longuement ce bouche à bouche très sensuel. Sa langue s’insinue dans ma bouche, à la recherche de la mienne. Je la lui offre et commence un ballet buccal très érotique.


J’avais un début d’érection depuis déjà le milieu du spectacle mais là, je n’en puis plus. Le baiser dure encore quelques dizaines de secondes puis ma main commence à descendre le long de son dos. Je sens son soutien-gorge sous son chemisier. Mes mains continuent à descendre, elle commence à faire de même mais par-devant. Je sens ses doigts parcourir mon torse à travers mon sweat. Je m’arrête sur sa ceinture et entre en contact avec la peau du bas de son dos. Elle est douce, elle me donne envie de passer des heures à la caresser. Elle s’arrête sur ma poitrine et presse fort, le désir parle de lui-même. Cela fait monter une bouffée de désir en moi et ma main droite arrive directement sur ses fesses que je presse fort aussi, la surélevant un petit peu et lui faisant lâcher un léger râle de plaisir. Prise d’une certaine furie, elle m’enlève mon sweat avec mon t-shirt d’un geste vif. Elle m’embrasse dans le cou, me mordille un peu, et descend me mordiller les tétons. Je ne suis pas très fan de ça, ça me fait plutôt mal mais je ne veux pas casser ce moment et elle continue à descendre, déposant des baisers partout sur mon corps. De ma poitrine au début de mon jean, en passant par mon ventre et mon nombril. C’est bon de la voir avoir envie de moi comme ça. Elle défait ma ceinture, l’enlève et plaque sa tête contre mon bas-ventre. Les mains sur mes fesses pour que je ne puisse m’éloigner d’elle.


Je lui caresse les cheveux et la force à se relever. Je lui fais faire demi-tour et la serre fort, son dos contre moi. Ce qui me permet de la caresser, de passer sous son chemisier et de remonter sur son ventre, sentir sur mes doigts le bas de son soutien-gorge et donc les prémisses de sa poitrine. Les seins ont toujours été pour moi ce qui m’attirait le plus sur le corps d’une femme. J’adore les toucher, les malaxer, me blottir contre eux, les sucer… Là je prends mon temps, je passe plusieurs fois ma main sur la peau juste en dessous ce territoire convoité, faisant durer le plaisir. Je descends une de mes mains sur son bas-ventre jusqu’à sentir quelques poils. Cette partie du corps est vraiment très douce. Elle bouge contre moi, je sens ses fesses contre mon sexe en érection. Elle me caresse les cheveux, elle est totalement offerte. Mes mains remontent vers ce soutien-gorge tant convoité. Je l’effleure et ressort sur la partie décolletée. Je redescends et passe sous le tissu à dentelle. Ça y est, je suis au contact de ce globe si beau qui me fait tant envie. Je sens son téton et descend encore. J’ai bientôt son sein droit entier dans ma main gauche. C’est si bon que j’ai envie de lui arracher tous ses vêtements et de la baiser là mais il vaut mieux faire durer le plaisir.

Elle s’extirpe de cette position et se retourne. Elle m’embrasse très fort et me dit :



Sans hésiter, je ramasse mes vêtements et je la suis. Elle n’habite pas loin, pas besoin de voiture. La porte de son immeuble s’ouvre, elle m’entraîne par la main dans l’ascenseur. 8ème étage. Elle me plaque contre la paroi de la cabine d’ascenseur et met une main sur mon sexe à travers mon pantalon tout en m’embrassant dans le cou. Je la caresse, avide de désir.

« Ding » la porte de l’ascenseur s’ouvre.

Un couple attend derrière la porte.



Pas le temps de décrire son appartement (très chaleureux comme son occupante !), elle referme la porte à clé et se retourne vers moi avec un air coquin.

Elle tend la main vers une télécommande, appuie sur un bouton et la musique commence. Musique douce mais légèrement rythmée, parfaite pour la situation. J’ai vraiment envie d’elle. La place dans mon pantalon se réduit à vue d’œil. Elle commence à se déhancher tout en déboutonnant son chemisier. Je n’en crois pas mes yeux, j’ai droit à un strip-tease, enfin c’est ce que je croyais, à peine son haut déboutonné elle se jette sur moi pour me ré-arracher mon sweat et mon T-shirt. Elle me fait reculer et je tombe assis sur le canapé. Elle monte à genoux sur moi m’embrassant. Je lui ôte son chemisier déjà déboutonné et dégrafe son soutien-gorge. Ses seins sont un peu retombés mais ils sont encore cachés par ce bout de tissu. Je plaque mes mains sur son dos pour prendre appui et ainsi amener mon visage contre ses seins. Ma langue passe en dessous de son soutien-gorge et commence à lécher le bas des globes, cette partie arrondie est extrêmement érotique à mes yeux. Elle enlève complètement le tissu restant.

Je me recule quelques secondes pour admirer cette superbe poitrine qui me fait face à une dizaine de centimètres de mon visage et replonge dedans. Je titille ses tétons, joue avec, les mordille. Elle réagit à chacun de mes coups de langue par des petits gémissements. Sa main est descendue derrière son dos pour caresser l’intérieur de mes cuisses, elle remonte vers mon sexe. Je ne veux pas quitter cette position idyllique mais elle s’écarte et se penche pour déboutonner mon jean, je l’aide à enlever mon pantalon. Mon boxer est complètement tendu par mon sexe en érection qui peut enfin un peu mieux respirer. Elle embrasse mon ventre et descends vers mon sexe, les mains remontant sur mes cuisses. Sa bouche arrive sur mon sexe à travers mon boxer.


Elle veut commencer à me branler mais je l’écarte et la fais s’asseoir sur le fauteuil derrière elle, lui enlève son jean avec une rapidité quasi-incroyable et me mets à genoux pour porter ma bouche directement à son sexe. C’est si bon d’embrasser une chatte à travers une petite culotte, je la lèche à travers le tissu, elle gémit quand je m’attarde sur son bouton. Ne pouvant plus attendre elle descend sa petite culotte et je découvre un sexe magnifique presque rasé. Sans faire dans le détail je la lèche à pleine langue, jouant avec son clitoris, descendant entre ses lèvres, la pénétrant le plus profondément possible. Je passe mes mains sous elle en direction de ses fesses que je malaxe avec ardeur. Au bout de deux minutes de ce traitement, son corps est pris de spasmes. J’ai bien cru qu’elle allait me faire éclater la tête tellement ses cuisses ont serré fort. Elle met quelques secondes à reprendre ses esprits alors que je continue toujours d’embrasser son bouton d’amour.

Sans se relever, elle me demande de la pénétrer. Je m’empresse de répondre à sa demande en baissant le dernier vêtement que je porte encore : mon boxer. Elle prend mon sexe en main, le branle un peu pour le faire raidir un peu plus. Je brûle de désir, alors le moment où elle dirige mon sexe vers le sien sonne l’heure de la délivrance. S’introduire en elle est vraiment de la rigolade tellement elle est mouillée. Elle crie de plus en plus fort. Je ne la ménage pas et elle a l’air d’adorer çà. On ne se connaît pas, pas de justification à se donner, juste du plaisir à prendre et à donner. Je la baise fort et je ne peux pas résister longtemps, elle non plus. On jouit en même temps dans les bras l’un de l’autre. L’extase.


On se relève assez vite. Elle me prend par la main, toujours aussi mystérieuse mais avec un superbe sourire sur les lèvres. Mon sexe est toujours d’attaque, au vu de la situation rien de plus normal. J’ai son petit cul devant moi qui se dandine. Elle se dirige vers une porte qui se révèle être la salle de bain. À l’intérieur, une belle cabine de douche avec plusieurs jets intégrés. Après l’effort que l’on vient de fournir, une petite douche ne sera assurément pas désagréable. Surtout en présence d’une si belle femme.


L’eau chaude commence à couler sur nos corps rapprochés. Elle me caresse avec sa poitrine avant de se mettre à genoux pour prendre mon sexe en bouche. Elle n’y va pas de main morte. Directement engloutis, mes 13 centimètres, et sans broncher ! Je sens sa langue tourner sur mon gland. Elle a l’air de prendre autant de plaisir que j’ai pris à la sucer. Cette sensation sur mon sexe couplée avec l’eau chaude sur ma peau ne tarde pas à me rendre proche de la jouissance. Elle doit l’avoir senti car elle s’arrête de me sucer.

Elle se relève et me chuchote à l’oreille :



Sur ce, elle se retourne, se penche en avant, collant ses magnifiques fesses sur mon sexe et ses mains contre la vitre de la cabine de douche. Je prends ma bite en main, écarte légèrement ses fesses et passe mon gland sur son petit trou. Elle vibre mais me dit :



Je vais voir donc un peu plus bas. Mon gland trouve un endroit très confortable et très chaleureux, je n’ai toujours aucun mal à la pénétrer. Je commence mes va-et-vient en elle, admirant son dos et son cul. De temps en temps je me penche pour prendre un de ses seins dans une main pour mon plaisir mais aussi pour le sien ! Je ne peux pas me retenir très longtemps et nous jouissons ensemble dans un long râle de plaisir.

La douche se termine dans les bras l’un de l’autre. Je la sèche bien et elle en fait de même avec moi.

Elle m’invite dans son lit pour passer une nuit de repos bien mérité !


Mais qui sait, la nuit n’est peut être pas finie !



Ceci est mon premier texte alors vos commentaires seront les bienvenus.