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n° 10501Fiche technique21031 caractères21031
Temps de lecture estimé : 13 mn
08/06/06
Résumé:  Rencontre avec une chaude contractuelle...
Critères:  fh inconnu collection volupté fdomine entreseins fellation pénétratio fsodo portrait
Auteur : Jeff            Envoi mini-message
Rita


Notre rencontre avait certainement été décidée en hauts lieux. Je veux dire, par les édiles de la ville. Ceux-là même qui décrètent où l’on peut garer sa voiture librement et à qui l’on doit verser son obole d’automobiliste à la ville (ou à une société privée) pour pouvoir obtenir le droit de stationnement.


Pressé par un rendez-vous urgent avec un client irascible et pointilleux sur les horaires, j’avais trouvé la seule et unique place à cinq lieues à la ronde. Bien entendu, étranger dans cette ville où je mettais les pneus pour la première fois, je n’avais pas remarqué les panneaux de signalisation qui indiquaient la présence des parcmètres, ni que la zone où j’avais trouvé une minuscule place, était payante. Aussi, lorsque je suis revenu et que la contractuelle de service était debout devant le pare-brise de ma voiture, finissant sagement et tranquillement son pensum, mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai allongé le pas. Je me suis mis à la héler de loin, faisant de grands moulinets avec mes bras pour lui indiquer que moi, propriétaire de la voiture qu’elle verbalisait, j’allais partir… Bref, le discours que l’on tient en de telles occasions. Et comme d’habitude, imperturbable, elle continuait son travail. Normal.


Essoufflé, j’arrivais enfin à sa hauteur alors qu’elle repliait, avec une lenteur exaspérante, son carnet à souches et me tendait, avec un sourire en coin et l’œil goguenard, la contredanse.



C’était dit avec humour et une pointe d’accent chantant qui faisait passer la praline !


Je ne pouvais être que piteux, repentant, contrit. Je tendais la main, je lui souriais péniblement et, tout en m’excusant, je la retenais un instant. Dans cette ville étrangère, où j’étais soudain obligé de rester pour cause de rendez-vous reporté au lendemain, il me fallait trouver un hôtel décent pour passer la nuit. Et, à défaut d’un Syndicat d’Initiative à proximité, il ne me restait plus qu’à m’adresser à la contractuelle locale qui devait certainement connaître des adresses, voire de bonnes adresses si elle n’était pas trop nunuche ni revêche.



Rita ! Un bien mignon prénom pour une femme qui faisait un métier si ingrat. Avec serviabilité, elle m’a indiqué la direction à prendre et, avant que je monte en voiture, elle a ajouté :



De l’humour… j’aime les femmes qui ont de l’humour et je suis presque prêt à tout leur pardonner dans ce cas, même les amendes pour absence de paiement de parcmètre !


Ses indications avaient été claires, précises et le prononcé de son prénom un sésame nécessaire pour que je me retrouve, quelques minutes plus tard, dans une chambre proprette et presque spacieuse. Le temps pour moi de vaquer à quelques obligations professionnelles avec ma secrétaire restée à l’autre bout de la France et m’être détendu sous les jets brûlants d’une douche réparatrice, je m’apprêtais à ressortir pour m’enquérir d’un restaurant, quand deux coups discrets étaient frappés à ma porte.



Par réflexe, j’avais mis le loquet. J’ouvrais l’huis et me trouvais nez à nez avec Rita. Rita en civil ! J’avais un peu de mal à la reconnaître. Elle avait troqué sa tenue de travail contre un tailleur beige clair, un chemisier assez transparent laissait apercevoir sa gorge qui avait ma foi un joli volume. Elle était discrètement maquillée, et tandis qu’elle me verbalisait tout à l’heure, je n’avais pas remarqué qu’elle était blond cendré, que ses lèvres étaient fines, son nez aquilin et ses yeux gris. Elle était belle ! Une de ces femmes sur laquelle tout homme normalement constitué se retourne, sauf quand un uniforme de police municipale la vêt. Là, devant moi, en civil, elle avait rajeuni, avait adouci ses traits, mais ses yeux restaient rieurs et semblaient même s’amuser de la situation.



Dit avec l’accent du sud, sur un ton aussi amical et avec la rapidité de celle qui a dû prendre son souffle et réciter son texte en montant l’escalier, cette invitation tombait à pic. Je la trouvais même excellente. La compagnie de cette jeune femme n’était pas pour me déplaire, même si dans la journée elle portait ceinturon et matraque et semait ses papiers verts sur les pare-brise de contrevenants comme moi. Bref, si elle aimait jouer les bons Samaritain envers quelques touristes en perdition, après ses heures de boulot, c’était un problème qu’elle devait savoir assumer.


La soirée a été chaleureuse, enjouée. L’ambiance de la petite taverne s’accordait avec les décorations hispanisantes et ce qu’elle servait dans les assiettes. La paella était copieuse et succulente, le vin léger, fruité et frais. Les tapas de l’apéritif emporte-gueule et la sangria gouleyante à souhait.


Après le second verre, Rita m’avait raconté presque toute sa vie, à l’allure d’une mitraillette. Et plus elle parlait, plus son buste se penchait au-dessus de notre table, et plus elle se rapprochait de moi. En dessous, ses pieds, ses genoux exécutaient les mêmes rapprochements vers les miens. Et alors que le service renouvelait l’apéritif, ses pieds s’emmêlaient autour des miens. Ils étaient nus, chaud, doux et très agiles. Le contact m’a d’abord surpris. Mais l’esprit un peu ralenti par les premières vapeurs de l’alcool, je me laissais faire, incitant même la caresse en déplaçant mes pieds vers elle.


Alors que le plat nous était apporté, les yeux pétillant de malice, Rita abandonnait son verre pour approcher sa main de la mienne et au-dessus de la table – qui n’était pas bien large – elle la posait sur la mienne. Là, je la contemplais, l’œil rêveur et soudain intéressé. C’était, à mon souvenir, la première fois qu’une jeune femme me faisait le coup de la main au-dessus de la table. Bref, je me faisais bel et bien draguer et trouvais la chose plaisante et agréable. Pour une fois que je n’avais pas à craindre la moindre rebuffade, le moindre refus. J’allais honteusement en profiter.


Elle mangeait comme elle parlait : vite. D’ailleurs, elle ne mangeait pas, elle engouffrait à grande vitesse, au point que je ne cessais de la contempler. Si j’aime les femmes qui ont de l’humour, j’apprécie encore plus quand elles montrent de l’appétit. Et là, j’étais largement récompensé.


Voilà une soirée qui se présentait sous les meilleurs auspices, même si cette journée s’était achevée sur un report de rendez-vous qui m’avait fait plus que pester et sur une amende méritée. Là, devant le spectacle de Rita face à son assiette, jouant à la « bébête qui monte » sur mes tibias avec ses pieds nus, chauds et indiscrets, alors qu’elle me triturait la main avec la sienne et m’offrait la vue de plus en plus plongeante sur sa gorge… il y avait de quoi fantasmer et se réjouir pour la suite.


Après que j’eus réglé l’addition, elle m’a entraîné vers un bar pour boire le verre de l’amitié… L’ambiance y était aussi chaude que Rita. Elle a dû jouer des coudes pour nous obtenir deux places dans un coin du comptoir. Elle semblait chez elle, ici. En tout cas, à peine étions-nous coincés contre le zinc que le garçon déposait devant elle, avec autorité et sans la questionner, une bouteille assortie de deux verres.



D’un signe de tête, je lui indiquais que je ne connaissais pas, pendant qu’elle me servait une grande rasade d’un liquide verdâtre, presque émeraude. L’odeur était agréable, le goût en bouche suave, mais seulement après avoir évaporé la sensation de brûlure causée par la force de l’alcool.


Serrés l’un contre l’autre, je ne pouvais ignorer les rondeurs des hanches et des cuisses de Rita. Hanches qui roulaient au rythme d’une rumba qui passait en boucle. Je n’avais pas encore fini mon verre que je sursautais : une main ferme, chaude me claquait la fesse, et des doigts, nerveux et agités, l’empaumaient comme pour en évaluer la fermeté. C’était Rita qui, sans honte, me mettait la main aux fesses ! J’en restais bouche bée. Là, c’était réellement la première fois de ma vie que je subissais pareille « agression ». Mais je n’ai rien dit. Et le second verre à peine avalé, Rita se tournait vers moi, avec un large sourire et me collait ses lèvres sur les miennes. Sa langue n’eut pas beaucoup à forcer pour ouvrir ma bouche et elle me roulait un patin d’enfer, aussi chaud que l’alcool qu’elle me faisait ingurgiter. Collés contre mon buste, ses seins amollis semblaient être devenus réactifs à mon contact. Bref, elle n’était pas chaude, la Rita, elle était carrément brûlante… C’était un volcan en éruption qu’il me fallait maintenant calmer, car entre les jeux de pieds et de mains durant le repas, le déhanchement lascif, la main au cul et maintenant le baiser qu’elle m’offrait tendrement appuyé sur sa moelleuse poitrine, si je n’avais pas compris qu’elle était prête pour plus, puisqu’il y avait déjà affinité, c’était que j’étais un fieffé imbécile.


Et sans plus attendre, nous nous sommes retrouvés dans la chambre de l’hôtel du tonton de Rita. Humour, gourmandise à table, Rita me sortait-elle le grand jeu ou cela correspondait-il à sa nature ? Quoiqu’il en soit, elle semblait impatiente de passer à des jeux plus sérieux et promettait d’être aussi gourmande au lit qu’à table… Un vrai régal pour l’amateur que je suis de cette gent féminine qui n’a pas froid aux yeux et en redemande toujours un peu plus…


A peine avions-nous franchi le seuil de la chambre qu’elle ne me laissait pas allumer la plus petite veilleuse et me collait contre la cloison pour appliquer ses lèvres sur ma bouche et reprendre là où elle l’avait laissé son baiser de feu quelques minutes auparavant. Sa langue semblait être tentaculaire. Elle fouaillait dans ma bouche avec vigueur et expérience, pendant que ses mains s’attardaient quelques instants sur mon buste, agaçant au passage la pointe de mes seins, avant de descendre en droite ligne sur ma braguette. En deux gestes précis, elle était dans mon slip et, avec une dextérité hallucinante, elle sortait mon sexe qui se raidissait pour lui appliquer une lente caresse, en signe de prise de connaissance.


Devant cette tornade sexuelle, je n’avais même pas eu le temps d’entamer une exploration de son corps, me contentant de subir l’assaut. Je tentais, vainement, de caresser son dos, ses fesses ou sa poitrine qu’elle me glissait déjà entre les bras et qu’une bouche goulue m’avalait le dard. Oups ! Quelle sensation… Un fourreau chaud, un peu baveux, expert dans l’art de la fellation m’emballait le sexe avec cet art consommé du rythme et de l’avalement. Rita me suçait divinement. La seule possibilité qu’elle me laissait était de mettre ma main dans ses cheveux pour lui attraper la tête et tenter de réfréner ou accélérer le rythme de sa bouche. Et encore… elle restait maîtresse de la situation. C’est elle qui gérait le rythme, appuyait la pénétration de sa bouche. Elle ressortait ma hampe humide de sa bouche en serrant plus ou moins les lèvres pour aller titiller mon gland ou donner de petits coups de langues sur les bourses avant de replonger mon membre de plus en plus dur au fond de sa cavité et aspirer dessus.


Elle devait sentir que mon plaisir montait de plus en plus fort quand elle a interrompu sa fellation, remontant vers ma bouche pour m’offrir ses lèvres humides et gonflées de plaisir de m’avoir sucé.



L’invite était trop belle et j’étais excité comme jamais je ne l’avais été. Rapidement, je me déshabillais pour m’étaler sauvagement sur le lit qui, à mon grand contentement, ne grinçait pas. Alors Rita est venue se coller à moi. Elle aussi s’était déshabillée. Contre moi, je sentais les courbes voluptueuses de son corps chaud. À mon tour de m’occuper d’elle.


Je commençais par lui rendre langoureusement ses longs baisers. Sa bouche était toujours humide de moi, mais elle acceptait avec soumission que je la pénètre. Sa langue se faisait accueillante, me faisant les honneurs de la cavité buccale qu’elle habitait. Par petites lapées, j’allais lui titiller l’arrière des dents, signes prémonitoires de ce que je m’apprêtais à lui faire subir plus bas. En même temps, mes mains pouvaient librement se promener sur son corps. Ses seins, volumineux à souhait, étaient dotés de tétons largement en érection. Dans le noir, je ne pouvais qu’imaginer leurs pointes cylindriques, dures qui tressautaient à chaque passage de mes doigts. Et à chaque passage, les soupirs de Rita se faisaient plus profonds, plus forts.


Sans lâcher l’agacement de la pointe de ses seins, une de mes mains descendait vers son ventre. Au passage, elle le creusait pour m’inciter à aller plus bas. Mes doigts rencontraient une large toison pubienne, dense et frisottée, puis les poils s’interrompaient brutalement pour laisser une vulve nue, douce, satinée. Rita était adepte de l’épilation, ce qui devait mettre en relief le charnu de son abricot sur lequel je distinguais, étalées et fripées, grasses et humides, ses deux lèvres déjà ouvertes qui n’attendaient que moi. Mes doigts glissaient dans cet antre chaud pour aller débusquer le clitoris. Ils n’eurent pas beaucoup de difficultés à le faire sortir de ses replis de chair qui lui servaient de refuge. Déjà il pointait fièrement son petit gland velouté. En quelques coups d’ongle, légers, il redressait encore plus sa tête en quête de plaisir et cette douce manœuvre faisait soupirer Rita. Puis, mes doigts continuaient leur descente vers l’entrée et l’intérieur de sa cavité pour aller entamer un grattage en règle de son point G. L’humidité et la chaleur ambiante, l’exacerbation provoquée par mon intrusion lui arrachaient ses premiers grands émois et, de plaisir, elle m’emprisonnait la main pour calmer la jouissance qui montait dans son ventre. Dès que ma main retrouvait un semblant de liberté, mes doigts jouaient de plus belle en elle, allant et venant, grattant la paroi supérieure pour lui arracher les premiers cris de jouissance qu’elle étouffait dans l’oreiller. En même temps, elle me trempait la main de son excitation qui ruisselait de son pertuis et descendait vers son anus, nouvelle invite à explorer cette partie de son corps.


Avec quelques contorsions, j’allais caresser l’anneau plissé de son anus, humide et déjà ouvert, avant de vriller doucement un pouce raide tout en continuant à masturber l’intérieur de son antre. Le cri qu’elle a émis a bien dû réveiller tout l’hôtel et une partie de la rue. Mais elle ne semblait pas consciente de cet état de fait. Elle ne cessait de réclamer encore plus de caresses, plus profondes et surtout elle insistait pour que je ne m’arrête pas. Et j’accélérais mes caresses, mes intrusions en elle jusqu’à ce que son corps s’arc-boute dans une sorte de tétanie de plaisir et qu’elle reste un instant suspendue en l’air, juste appuyée sur ses épaules et ses talons. Puis, lourdement, elle retombait, le souffle court, le corps secoué de longs spasmes d’une jouissance qui semblait s’éterniser.


A mon tour, j’avais maintenant hâte de connaître aussi cette extase. Mais au lieu d’accepter que je la pénètre, elle m’invitait à venir nicher mon sexe entre ses seins. Les attrapant de chaque côté, elle l’enserrait entre eux et leur donnait un vague mouvement de va-et-vient. Et chaque fois que mon gland s’approchait de sa bouche, elle le lapait avec volupté. Rares sont les femmes expertes dans l’art de distiller cette caresse sublime dite de la « cravate de notaire ». Mais là, excité comme j’étais, j’appréciais la finesse de la peau des seins, le moelleux de la masse mammaire et je prisais les coups de langue qui venaient parachever la provocante caresse. Entre ses seins, sur ses lèvres, pris dans cet étau de chair chaude et palpitante, je me laissais aller à jouir longuement. Elle s’acharnait à pourlécher mon gland qui s’écoulait sur sa bouche, son menton, sur le bout de sa langue et laissait de grandes traces humides entre ses seins tout en continuant son va-et-vient infernal qui continuait à dresser mon sexe et à le raidir.


Alors que j’étais encore raide de désir d’elle, elle me basculait sur le dos pour venir me chevaucher avec frénésie. Je sentais contre mon flanc ses pieds et sa main dirigeait mon sexe vers son entrée intime. Le contact de ses grandes lèvres pendantes qui m’entouraient excitait ma libido et, d’un coup de rein, j’entrais en elle. J’allais me nicher le plus loin possible attendant qu’elle daigne entamer le rythme de la pénétration. Elle a commencé par dandiner ses hanches avant de monter et descendre, rendant mon sexe encore plus dur, plus excité. Alors que j’allais me répandre une nouvelle fois, elle l’empoignait à sa base pour le sortir d’elle et le présenter à l’entrée de son petit trou. Enduit de son humidité intime, mon gland n’avait qu’à légèrement frictionner l’anneau qui s’ouvrait doucement pour commencer à le pénétrer avant de s’écarter largement pour m’avaler. J’entrais dans un univers serré, chaud et, rapidement, Rita entamait une sorte de déhanchement qui me propulsait au plus profond de son ventre. Là, je ne pouvais résister à l’appel du plaisir et après quelques mouvements j’éclatais en un feu d’artifice exaltant, en même temps qu’elle s’écroulait sur ma poitrine et me mordait profondément l’épaule pour ravaler son cri de plaisir.


Nous sommes restés un long moment soudés l’un à l’autre, dans l’impossibilité de bouger, le moindre tressaillement du moindre de nos muscles déclenchait de longs spasmes qui nous secouaient de la tête aux pieds. Ainsi emboîtés l’un dans l’autre, nous reprenions nos souffles et nos esprits, revenant sur terre après un long et merveilleux voyage dans le monde de la copulation sauvage.


Nous sommes-nous endormis ainsi, dans cette position pour le moins audacieuse ? J’avoue aujourd’hui, à ma grande honte, ne plus avoir aucun souvenir de la suite. Ce que je sais, c’est que lorsque je me suis réveillé, le soleil illuminait largement la chambre et que Rita avait disparu. Sur la table de nuit, une feuille portait quelques mots tracés rapidement : « Nuit épuisante et merveilleuse. Merci. Bonne chance pour cette belle journée ! La mienne sera peuplée de ton souvenir…» Posée, bien en évidence sur le mot, la souche du PV !


C’était sa façon de me remercier… C’était bien la première fois de ma vie que je payais de ma personne pour régler une dette au Trésor Public. Mais cela n’avait pas été désagréable, nettement moins que de faire un chèque !

Je me suis empressé de me rendre à mon rendez-vous et, plus tard, j’ai tenté de retrouver Rita, en vain. C’est fou ce que cette ville pouvait compter de rues ! Pressé par le temps, je me suis alors seulement contenté d’accrocher la souche du PV de Rita au pare-soleil de ma voiture, pour en conserver un souvenir tangible. Maintenant, quand je croise une contractuelle, si elle semble être mignonne, j’hésite toujours à mettre une pièce dans le « mange-sous », des fois que la contractuelle ressemble à Rita !