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n° 10507Fiche technique20719 caractères20719
Temps de lecture estimé : 13 mn
11/06/06
Résumé:  2 couples + 1 invitée surprise = une initiation.
Critères:  2couples grp fbi jeunes frousses collègues travail facial fellation anulingus 69 préservati double sandwich fdanus fsodo hdanus hgode hsodo échange partouze init
Auteur : Keepzeen      Envoi mini-message
A la baguette


Bonjour, voici un premier texte qui est purement une fiction… N’y voyez aucune part d’autobiographie.

Je reste bien entendu à l’écoute de toutes les critiques constructives. Merci de votre indulgence.

Une suite verra peut-être le jour…


oO0Oo


A la Baguette



L’histoire que je vais nous raconter s’est passée il y a quelques années.

J’avais à l’époque tout juste 19 ans et bien que n’étant plus vierge depuis mon 17ème anniversaire (j’avais offert ma virginité à un garçon dont je croyais qu’il serait l’homme de toute une vie… Et qui m’a quitté 2 semaines plus tard parce que je refusais de le laisser jouir dans ma bouche) je n’avais pas beaucoup, voire pas du tout, d’expérience des choses du sexe.


Au début de cette histoire, j’étais étudiante en fac, section communication, et pour ne pas dépendre entièrement de mes parents, je travaillais comme vendeuse le week-end et les vacances dans une boulangerie. « A la baguette »,

vous voyez, la boulangerie de quartier devant laquelle vous passez tous les jours… Et bien c’est celle là.


Voilà pour le décor.


Pour les personnages, commençons par… et bien par moi.


Mes parents m’ont donné le prénom de Camille, il parait que j’ai hérité de ma grand-mère paternelle mon type "Irlandais" qui m’a tant complexé durant les 19 premières années de ma vie, toutes les rousses vous le diront.

Enfin, pour mon autoportrait, je suis rousse cheveux mi-longs, les yeux gris (myope avec des lentilles parce que j’oublie toujours mes lunettes quelque part…), je mesure 1m67 pour 55 kg, et pour mon grand désespoir à l’époque, je n’ai pas de poitrine… ou si peu que le port de lingerie n’est que coquetterie.

Donc, en bref, je ne me trouvais pas vraiment désirable et quelconque. Mais depuis, mon regard sur moi-même a changé…


Je travaillais donc dans cette boulangerie depuis environ six mois avec Paul, Christine (Chris), Eric et Sabine. Paul et Eric se sont associés quelques années auparavant, ils avaient fait leur apprentissage ensemble et ne s’étaient jamais perdus de vue si bien que, quand Eric a rencontré Sabine, celle-ci a rapidement présenté Chris, sa meilleure amie, à Paul.


Pour en faire une photographie rapide, Paul et Eric sont tous les deux bruns, bien que Paul commence à se dégarnir, ils ont tous les deux 35 ans, mais là s’arrête leur ressemblance. Paul a les yeux gris, doit mesurer 1.85 m environ et a un physique athlétique alors qu’Eric commence à entretenir un léger embonpoint mal masqué par son mètre 70, mais il a des yeux bruns, rieurs, espiègles, les plus expressifs que je connaisse…

Christine, la femme de Paul, est une femme superbe, brune aux cheveux longs toujours coiffée en queue de cheval (mais non, n’ayez pas l’esprit mal tourné…), la peau mate typique des méditerranéennes, allez, pour vous messieurs qui aimez les chiffres, Christine, c’est 1,70m (sans talons…) pour 65 kg, un petit 90c, et malgré sa grossesse, elle continue à mettre du 38/40. Après cette expérience, elle est devenue ma meilleure amie, presque une grande sœur …

Sabine, c’est la petite fée blonde, avec une coupe à la garçonne, 1,60 m pour 45 kg… on pourrait la croire anorexique … jusqu’à ce que l’on voit sa poitrine… qui doit en faire fantasmer plus d’un. Il se dégage d’elle une sensualité de femme-enfant qui ferait fondre n’importe qui et aussi une autorité et une présence impressionnante.


Et pour terminer, la boulangerie par elle-même n’a rien de bien extraordinaire, mais elle comporte à l’étage un appartement qui sert aux garçons pour leur sieste, mais aussi pour ces dames, moi comprise, de vestiaire. Le magasin se trouve bien sûr en RDC et en sous-sol on retrouve le laboratoire, l’atelier où l’on fabrique les croissants, petits pains, baguettes (et où on fourre les religieuses. Pardon….).

Voilà, le décor est planté.


Donc, comme je vous le disais plus haut, je travaillais depuis environ 6 mois quand un soir, devant sortir avec des copines en boite (et oui, ça m’arrive quand même), je m’aperçois que j’ai oublié toutes mes affaires au magasin. Papiers, permis, argent… donc, pas d’autre solution, j’appelle les copines en leur expliquant la situation et leur disant que je les rejoins un peu plus tard … heureusement j’ai les clefs du magasin.


J’arrive vers 21 h 30 au magasin et je vois de la lumière dans l’appart. Merde, il y a quelqu’un… qui, je n’en sais rien mais je risque de déranger… Mais les copines vont finir par se poser des questions, alors, je sonne, j’attends, je sonne à nouveau…. J’allais sortir les clefs quand la lumière du couloir s’allume…

C’est Chris qui m’ouvre, je lui demande de m’excuser, lui explique mon oubli, lui dis que je ne veux pas déranger et que mon fourre-tout est dans mon tiroir, qu’encore une fois je ne veux pas déranger…


Avec un sourire, elle m’explique qu’ils sont tous les quatre là haut, qu’ils boivent une coupe pour je ne sais plus quel événement, que je ne dérange absolument pas. Elle m’invite à monter récupérer mes affaires et à prendre un verre. Elle me suit dans l’escalier, me fait entrer dans la pièce et ….


Là, je reste sur place, bouche bée… et, je peux le dire maintenant, ma culotte s’est d’un coup retrouvée trempée !


Devant moi, j’avais Paul nu, en train de prendre Sabine, nue, en levrette sous les yeux de son mari Eric, nu également dont les mains lui caressaient le dos, le visage, les seins, les fesses…


Reprenant ma respiration, je me suis retournée vers Chris, et enfin je compris ce qui m’avait interloquée au RDC, ses yeux brillants, sa coiffure, disons légèrement bousculée, son souffle court…

Elle était là, dans son peignoir Kimono de satin qui maintenant s’ouvrait… pour finir par tomber à ses pieds et la laisser nue …


Elle me prit par les épaules, me tourna vers les autres en se collant dans mon dos, je sentais son souffle dans mon cou. J’entendais sa voix mais tout restait incompréhensible, j’étais dans une espèce de brouillard, j’avais envie de m’enfuir, mais mon corps ne m’obéissait plus, je me raccrochais à la voix de Chris.



Devant nous, Eric avait pris sa femme, en remontant ses jambes sur ses épaules, je voyais son sexe sortir presque entièrement du sexe parfaitement lisse et épilé de sa femme, les seins de sabine se promenaient au rythme des coups de reins de son homme et des caresses de Paul… j’étais fascinée par le spectacle !



Paul venait de relayer Eric et celui-ci venait présenter son sexe aux lèvres de Sabine, elle a ouvert la bouche, l’a dévoré comme si sa vie en dépendait…



Sa voix était hypnotique, le spectacle était hypnotique….


Et d’un coup, je m’enfonçais encore plus dans le brouillard.

Devant nous, le spectacle changeait, les places tournaient, comme un jeu de chaises musicales inversé, Sabine s’empalait sur Paul alors que son Eric, profitant de la situation et de la position, se plaçait derrière elle, jouait de ses doigts entre les fesses blanches et musclées de sa femme avant de les remplacer par son gland …

Le feulement de plaisir de Sabine quand Eric la pénétra, restera gravé dans ma mémoire toute ma vie.


Je crois… je suis sûre que c’est là que j’ai pris conscience de mon corps, du courant d’air frais qui courait sur mon ventre, des doigts qui caressaient mes seins et leurs pointes dressées…

Profitant de mon « Absence », Chris avait commencé à me déshabiller, mon sage chemisier était grand ouvert, mon soutien-gorge de dentelle était dégrafé, les doigts de Christine entouraient mes seins, jouaient avec mes tétons, venaient les pincer légèrement alternant avec de divines caresses…


Devant nous, le trio avait allégrement dépassé le 7ème ciel pour atteindre le nirvana… et dans un grand rugissement, Sabine leur déclara sa jouissance et ils se libérèrent tous deux en elle….


Je me retournais vers Chris pour lui poser je ne sais plus quelle question, mais je me retrouvais devant elle, contre elle, seins contre seins, ventre contre ventre, bouche contre bouche, je ne fis rien pour la repousser, pis, quand sa langue s’immisça entre mes lèvres, je les entrouvris et j’avançais ma langue à la rencontre de la sienne. Sans arrêter son baiser, elle fit tomber mon chemisier et mon soutien-gorge, dégrafa mon pantalon et commença à le faire glisser le long de mes fesses…


Ma culotte accompagna mon jean et ce n’est que quand je sentis quelqu’un dans mon dos que je rendis compte que j’étais devenue le centre d’intérêt des deux couples.

Paul était venu se coller dans mon dos, je sentais son sexe sur mes fesses mais après le marathon qu’il venait de faire avec Sabine, il n’avait pas encore récupéré. Sabine était elle, à mes pieds, m’enlevait mes chaussures pour mieux me libérer de mon jean et je le compris après, c’est elle qui a fini de me déshabiller. Eric lui m’étonna beaucoup, il était venu se placer derrière Chris et comme il bandait encore (ou déjà…) il l’avait pénétré comme cela, debout et, en même temps, il me caressait les seins qu’avait abandonné Chris lors de la pénétration…. Mais elle n’avait pas quitté mes lèvres et je recueillais chacun de ses gémissements à la source, jusqu’à la vague finale de sa jouissance, et de la mienne …


Le reste de la soirée fut une découverte de mon corps, du corps de mes patrons et désormais amis…


Je ne sais plus comment je suis arrivée sur le canapé, ai-je marché, m’a t’on porté, je ne peux le dire… Tout ce dont je me souviens, c’est de mon corps caressé par quatre paires de mains, de la bouche de Chris sur mon sexe, de sa langue dans mon sexe, de ses doigts sur mon clitoris. Je revois encore Eric et Sabine se partager mes seins, et Paul m’embrassant, puis me présentant sa verge, que je me mis à lécher, à aspirer, à pomper comme si j’avais fais cela toute ma vie… et soudain, le raz de marée, un orgasme tel que jamais je n’en avais connu.


Quand je repris pied, ils étaient tous les quatre autour de moi, je me serrais contre Chris, la larme à l’œil d’émotion. Elle me prit le visage entre ses mains en m’embrassa tendrement. Elle me murmura des mots doux, me dit que j’étais superbe dans le plaisir, que depuis longtemps ils réfléchissaient à comment faire pour m’inviter dans leurs petites fêtes. Puis Paul, Eric et Sabine vinrent également m’embrasser du bout des lèvres, des baisers presque chastes qui me révélèrent tout le respect qu’ils avaient envers moi, je n’étais pas devenue leur chose, je n’étais plus leur employée, j’étais leur amie, leur égale… Et là, tout devint clair, limpide et, me penchant sur Chris (et oui, toujours et encore Chris) je l’embrassais à pleine bouche, me tournant vers Paul, je l’embrassais également, puis Eric qui me tendait une coupe de champagne, puis Sabine…


Tous ensembles, nus, nous avons discuté, nos verres à la main, puis Chris reprenant les choses en mains me demanda :



Et Sabine d’enchaîner,



Et Chris de reprendre le relais.



Chris m’embrassa à nouveau, de plus en plus fougueusement, je sentis que quelqu’un me prenait la flûte de champagne des doigts, je me laissais emporter, allongée sur le canapé, par Chris. Ses lèvres, sa langue suivaient ses mains qui, sur mon corps, ouvraient le chemin vers mes seins, les emprisonnaient, les malaxaient, en trituraient les pointes, puis laissaient la place à la douce, chaude et humide caresse de sa bouche… J’aperçus sur le côté Sabine qui branlait doucement les garçons, aucun des trois ne nous perdant de vue.


Chris descendit sur mon ventre, elle s’attarda sur mon nombril, le fouilla de la pointe de sa langue, tournant autour, puis reprit sa douce descente. Je sentais son souffle sur ma toison, la torture de ses cheveux sur mon ventre, puis, enfin, ses lèvres se posèrent sur mon sexe brûlant et dégoulinant. J’écartais mes cuisses inconsciemment, je m’ouvrais et m’avançais à sa rencontre… à la rencontre de son souffle, de sa langue, et même de ses dents quand elles mordillaient délicatement mes lèvres, mon clitoris… doucement ses doigts m’effleurèrent, puis se firent plus insistants, formant un duo infernal avec sa langue, et enfin me pénètrant, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. D’un coup, Chris m’abandonna, juste avant l’orgasme, j’en aurais pleuré, mais c’était juste une courte pause, elle vint se positionner sur moi, en 69 et reprit aussitôt son action mais me présentant son entrecuisse…


Jamais je n’avais vue de sexe de femme d’aussi prés et jamais je n’avais pensé en caresser un et encore moins le lécher ! Mais là, c’est tout naturellement que je trouvais ce que je devais faire…. Elle dégoulinait et moi, je lapais ce sexe offert, je promenais ma langue partout ou je le pouvais, je reproduisais ce que je sentais entre mes propres cuisses, même quand Chris commença à me lécher le petit trou… je fis de-même, quand elle rentra trois de ses doigts dans ma chatte, je l’imitais, et enfin, quand elle jouit, je l’accompagnais…


Mais rien ne s’arrêta, elle ne me libéra pas car les garçons n’attendaient que cela, Eric prit place au-dessus de mon visage, Sabine à ses cotés dirigea la bite de son homme vers mon visage, me caressa avec avant de la mettre dans ma bouche. Après quelque va-et-vient, elle la présenta entre les fesses de Chris qui se cambra pour mieux le recevoir, son anus s’ouvrit juste devant mes yeux pour laisser le passage au gland d’Eric qui le pénétra d’un coup…

Sabine me glissa :



De leur coté, Chris et Paul s’occupaient de ma petite chatte, Chris, après avoir enfilé un préservatif à son mari mais je ne vis qu’après, me branlait le clito avec le gland, puis doucement le fit pénétrer dans ma grotte intime….


Dés le début de la pénétration, j’ai joui, il commençait à bouger, j’ai joui de nouveau, il me pilonnait, me défonçait, et je jouissais encore et encore …. Tout ça sous les yeux de Chris, sous ses yeux et ses mains qui continuaient à jouer avec mon clito, et pour couronner le tout, j’avais toujours sous les yeux la bite d’Eric qui enculait Chris…


Et Sabine … où était Sabine ?


Sabine, la plus perverse du quatuor, revenait équipée d’un gode ceinture (gode ceinture que je connaîtrai … intimement plus tard, mais c’est une autre histoire…). Ainsi harnachée, elle vint se placer derrière Eric, juste au-dessus de moi…, je voyais ce sexe de latex tout dégoulinant et brillant de gel… je le voyais s’approcher de mon visage, puis changer de direction pour se glisser entre les fesses d’Eric…



Et sans réfléchir, j’obéis, Eric s’était bloqué, entré jusqu’à la garde dans le cul de Chris, et doucement, mais fermement, elle pénétra l’anus de son mari… et tout cela à moins de 10 cm de mes yeux alors que Eric et Paul reprenaient leur pénétration en rythme …


Ce fut Eric qui jouit le premier, et c’est là que je compris que jamais plus je ne retournerais en arrière. En effet, d’un seul coup, il sortit sa bite du cul de Chris et me la mit en bouche, je me mis à le pomper, le branler, Le gode de Sabine était sorti de l’anus d’Eric, deux de mes doigts en prirent la place et Eric éjacula dans ma bouche, puis ce fut le tour de Paul qui vint précipitamment se vider dans ma bouche et sur mon visage, ma poitrine ….


Je venais de provoquer ce que j’avais toujours refusé….


Les deux filles vinrent partager avec moi ce festin, j’en avais partout, entre les éjaculations de ces messieurs, les orgasmes à répétition des filles et sans compter les miens, j’étais inondée… inondée, fourbue, courbatue mais heureuse comme jamais.


Je me suis endormie là nue, poisseuse, heureuse parmi ceux qui m’avaient révélée à moi-même. Je me suis réveillée 3 heures plus tard dans un lit, Chris à mes cotés la tête posée sur mon épaule Sabine de l’autre côté dormait contre son Eric, Paul lui serrait Chris dans ses bras.

Je me levais délicatement, pour aller faire pipi, j’en profitais pour prendre une douche. Chris m’attendait avec du café frais dans la cuisine, vêtue de son peignoir Kimono en satin du début de soirée.



J’enfilais un peignoir Kimono, en tissu nid d’abeille vert pastel,



Si tu en as envie, laisse nous te guider, découvre avec nous cette facette de ta personnalité. Tu veux bien ?




oO0Oo





A suivre si vous le voulez bien… Dans les prochains épisodes :


Ma première sodomie et ma première double pénétration dans la même soirée.

Ma première partouze 100% lesbienne où j’ai découvert la perversité de Sabine, pour mon plus grand plaisir.

Mon meilleur copain, que j’offre aux filles pour son dépucelage recto-verso…