n° 10514 | Fiche technique | 18943 caractères | 18943Temps de lecture estimé : 12 mn | 13/06/06 |
Résumé: Une femme sexy et délurée séduit un bel inconnu et s'offre un petit moment de plaisir. | ||||
Critères: fh extracon inconnu vacances piscine sauna massage fellation pénétratio humour | ||||
Auteur : Cannelle |
Ah ! les vacances ! Le farniente, le soleil, la chaleur, les corps dénudés… Tout éveille le désir : les longues journées lascives, les yeux qui traînent sur les corps des voisins et voisines :
Tout le monde s’est au moins fait cette réflexion une fois dans sa vie (eh oui ! nous ne sommes que des humains !)
Oui mais voilà ! Beaucoup en parlent et peu passent à l’action…
C’est mal connaître notre Célia… Très beau brin de femme, 1,73m, mince, brune aux yeux verts, 36 ans qu’elle assume vraiment bien, femme libérée et femme de tête, mariée depuis 11 ans… C’est aussi une petite vicieuse qui cache formidablement son jeu.
Son mari, Pierre, est un homme charmant qui passe son temps à satisfaire le moindre de ses caprices et bosse comme un fou pour permettre à sa chère épouse d’être toujours au top. Les vacances, il va pouvoir enfin en profiter…
Célia est au bord de la piscine pour parfaire son bronzage, maillot deux pièces blanc impeccablement blanc (signé La Perla) pour mieux faire ressortir la couleur brune de sa peau et de ses cheveux ondulés. Elle sirote une sangria et se la coule douce. Derrière ses lunettes de soleil Chanel, elle observe très attentivement et détaille tout ce beau petit monde. Pierre, n’étant pas très habitué à l’inactivité, s’est déniché un partenaire pour une partie de tennis bien musclée.
Mais en fait d’observer, elle chasse ! Elle vient de trouver son type d’homme de l’autre côté de la piscine : blond, les yeux bleus (suppose-t-elle… en tout cas des yeux Ray Ban) et bien charpenté comme elle aime à le dire. Ah, petite ombre au tableau, il n’est pas seul, qui plus est avec femme et enfant. Qu’a cela ne tienne, il faut un peu de piment sinon ce n’est pas drôle… Célia aime les défis !
Célia se lève, repousse ses cheveux d’une main experte (parce que je le vaux bien !), se drape de son paréo, prend ses cliques et ses claques, fonce vers le transat libre à côté de sa proie et arrive à destination. Elle incline la tête, déchausse légèrement ses lunettes et, avec son plus beau sourire, elle lance :
Elle marque une pause intentionnelle entre « ce » et « transat » de sa voix la plus suave possible. Réaction positive :
Animal ferré ! A partir de ce moment, Célia déploie ses artifices les plus rôdés… et plus courus aussi. Elle dénoue très lentement son paréo toujours debout à côté de sa victime révélant sa superbe poitrine qu’elle a pris soin de mettre en valeur avec un soutien-gorge pigeonnant, elle s’abaisse pour poser son sac côté homme, ce qui permet à la pauvre victime d’avoir un point de vue plongeant et plutôt appétissant. Elle enfonce le clou en se retournant de manière aérienne, en prenant sa serviette et en l’étalant de manière très lente sur le transat, le point de vue de sa proie étant maintenant son petit brésilien et la courbe très sensuelle de ses fesses (c’est pas pour rien qu’elle fait 10 minutes de fessiers par jour !), elle prend son temps en plus, la serviette doit être bien plate, pas de faux plis, elle bouge et remue son fessier avec délicatesse.
Richard, puisque c’est ainsi que se prénomme sa proie, est médusé : il n’en perd pas une miette et se dit qu’il reporterait bien le bain qu’il projetait de prendre dans la piscine avec la petite famille.
Euh, où ça, qui ça, qui me parle ? Il reprend ses esprits :
La femme hésite et devant l’insistance du gamin, se dirige vers la piscine. C’est alors que Célia sort son arme : un flacon d’huile bronzante Dior ! Imparable, toucher soyeux et caressant, odeur légère mais pénétrante et aspect satiné : cette huile fait briller son corps un peu comme dans les magazines de mode (magazines qui l’aident à dilapider la fortune de son petit mari). Hum ! C’est trop facile ! Elle commence à s’enduire les mains, les longues mains fines aux doigts bien manucurés qu’elle fait tourner de manière si caressante, l’odeur agréable doit parvenir aux narines de notre intéressé. Puis elle remonte les poignets, en passant par les coudes, arrive aux épaules et descend sur le cou et le décolleté, même opération de l’autre côté et tout ce petit manège très lentement avec des gestes calculés précis et légers (style danseuse étoile et non pas tartine qu’on beurre comme le fait le commun des mortels !).
Richard a chaud, eh oui, 25° à l’ombre, ça va encore mais bon, la température augmente de minute en minute.
Célia va maintenant s’attaquer aux choses sérieuses : après avoir démarré par des parties disons… neutres et sans véritable intérêt, elle descend ses mains en partant du cou jusqu’à son soutien-gorge et insiste sur le sillon si sensuel de ses seins. Elle n’oublie pas de chouchouter la naissance de ses seins et passe légèrement sous le tissu du haut de maillot.
Richard ne regarde pas vers la piscine mais il a la tête tournée très discrètement vers sa voisine – les Ray Ban lui permettant de bien observer la délicieuse personne qui a la bonne idée de se caresser à côté de lui (ah, non ! c’est vrai qu’elle se met de l’huile de bronzage, la petite s…). Du moins pense-t-il qu’il est discret.
Célia continue son manège et descend sur le ventre qu’elle a extrêmement plat évidemment (ben, oui, y’a aussi 10 minutes pour les abdos par jour !) et recharge son arme. Le flacon (par le plus grand des hasards) est de forme oblongue et elle ne manque pas de faire glisser et de changer de main de main de façon quelque peu suggestive.
Richard se demande si cette femme est gracieuse et maniérée de manière naturelle et se comporte en toute « innocence », ignorant qu’elle peut mettre le feu à la moitié de la planète (la moitié masculine !) ou si c’est une vraie salope qui ne cherche qu’à l’aguicher. Il n’est pas né de la dernière pluie et penche plutôt pour la deuxième catégorie, un petit sourire ironique et pensif se dessine sur ses lèvres. Son cerveau galope et se fait des films sur la brunette d’à côté, il n’a jamais eu besoin de grand-chose pour l’exciter mais bon, là, c’est pas vraiment l’endroit…
D’un seul coup, la rêverie est interrompue de manière tonitruante :
Et bla et bla et bla… Il atterrit et bafouille
Tout ce brouhaha, les pleurs du petit, le soleil, la chaleur, il ne sait pas si sa femme a capté qu’il avait capté : elle lui lance un regard furibond ainsi qu’à la nana d’à côté « Quelle pute celle-là ! ».
Célia se redresse, s’assoit, attrape ses pieds et ses chevilles puis remonte langoureusement sur ses mollets, ses genoux, le haut de ses cuisses qu’elle a fines (on passera sous silence les 10 minutes…) : une jambe, puis l’autre comme si le temps s’était arrêté et que la tâche la plus importante du monde était de s’auto-imprégner d’huile bronzante.
Maintenant que sa femme n’est plus là, Richard tourne la tête délibérément vers la naïade d’à côté et s’en met plein la vue en ne faisant plus d’effort pour paraître discret. À quoi bon ? on aperçoit une bosse sur son boxer de bain, à moins que ce ne soit un effet d’optique… Il repose alors son bouquin sur le boxer, le tueur ne se sauvera pas plus loin et la sauvageonne d’à côté va enfin découvrir son jeu (aguicheuse ou… grosse salope ?). Maintenant que je te bouffe des yeux, que vas-tu faire, petite bombe ?
Eh bien, elle ne perd pas une minute et attaque :
Elle lui agite le pénis huileux entre ses mains qui l’agrippent de manière toujours aussi « innocente »…
Elle se retourne donc et s’allonge sur le dos, mais elle continue dans la surenchère et dénoue ses liens au cou ainsi que ceux du dos. Pour ce faire, elle soulève son buste et fait en sorte que sa proie ne loupe rien du magnifique spectacle qu’elle lui offre gratis. Ses seins libérés qui ont l’air si fermes, si doux, ni trop gros, ni trop petits, de belles pommes… Hum, Richard en reste baba (sa mâchoire a failli lâcher comme celle des personnages de toons).
« Tu parles, pense-t-il, tu ne facilites rien du tout, ça va finir par se voir, ma petite excitation. »
Il s’empare du flacon et se verse généreusement cette huile sur les mains, savoure l’instant où il va bientôt toucher cette peau offerte, si tentante…
Richard se concentre donc sur sa tâche et commence par les épaules, la nuque qu’elle a très fine, descend sur les omoplates puis descend lascivement encore et encore et tellement doucement. Il arrive dans le bas du dos juste au-dessus du brésilien de la dame.
Pendant ce temps là, l’intéressée se laisse aller et produit de petits sons d’appréciation « Hum », un peu comme une chatte qui ronronne :
Célia glousse :
Célia s’est décidée à passer à l’action, finies les minauderies, les mises en jambes, elle se dit qu’elle doit accélérer la cadence si elle veut pouvoir profiter de son coup de fortune. La charge familiale n’allant pas tarder à débouler, il faut bien qu’elle provoque la situation si elle veut relever son défi avec brio.
Richard cherche désespérément un trait d’esprit ou une remarque fine et suggestive mais son esprit, lui, ne fonctionne plus très bien et se contente de bafouiller un :
Et là, tout va très vite dans sa tête : « Putain, ce qu’elle est chaude celle-là ! faut pas que je laisse passer ma chance ! Allez, tu trouveras bien une excuse bidon à raconter à Carole ! Le jeu en vaut la chandelle, je vais me la faire vite fait, j’ai trop envie, elle n’en saura rien… »
Célia le précède et finit de renouer à la va-vite son soutien-gorge (devant tout ce monde, vaut mieux sauver les apparences…) et lui dit :
Ils entrent tous deux dans le local « Jacuzzi - Salle de Sport - Sauna et Hammam », Célia toujours devant, elle ouvre la porte, un nuage de vapeur s’échappe, la chaleur humide vient la prendre au visage, elle inspecte les lieux : un homme seul.
Elle guide Richard dans toute cette vapeur d’eau, mais avant qu’elle n’ait pu faire quoi que ce soit, Richard l’empoigne, cherche sa bouche et l’embrasse fougueusement jusqu’à même entrechoquer leurs dents, tellement le choc est brutal.
Elle prend son visage à deux mains et lèche ses lèvres délicatement puis les embrasse et vient mettre sa langue dans la bouche de Richard. Ils continuent de s’embrasser et elle prend les mains de Richard qu’elle plaque sur ses seins pendant qu’elle dénoue son soutien-gorge. Lui est fou d’excitation, il caresse ses seins si fermes, si beaux, les malaxe, titille ses tétons gonflés prêts à exploser… Tout ça dans la vapeur d’eau et la chaleur qui exacerbe leur excitation. Le gars d’à côté commence à comprendre à ces bruits ce qui se trame et finit par se casser, il est plutôt horriblement gêné…
Célia continue sa progression et enlève le boxer de son amant, le pousse dans le coin du hammam le plus éloigné de la porte pour être à l’abri des regards au cas où quelqu’un se mettait en tête de faire du hammam à cette heure de la journée, on ne sait jamais !
Elle empoigne la verge de Richard qui n’en peut plus de bander, elle est grosse, pas trop longue comme elle les aime :
Elle lui lèche doucement à petits à coups la bite comme une chatte qui lape du lait, elle le lèche sur le gland, là ou elle sait que c’est très sensible puis le frein. Richard n’y tient plus, il empoigne ses cheveux et lui enfourne sa queue dans la bouche :
À ces mots plus qu’autoritaires, Célia craque (elle a toujours aimé qu’on lui parle comme ça, ça l’excite encore plus) et se déchaîne comme une furie, ouvre bien grand la bouche, recouvre ses dents de ses lèvres et entreprend une bonne pipe comme elle sait les faire. Elle a toujours aimé ça, contrairement à beaucoup de nanas qui rechignent franchement à la tâche. Elle enfonce la bite dans sa bouche très progressivement en serrant d’une certaine manière (ni trop fort ni trop mou) et fait tourner sa langue très habilement en insistant sur le frein comme elle l’a appris à le faire avec ses nombreux amants. Ils ne résistent généralement pas très longtemps à ses ardeurs tant elle est experte, et elle le sait. Elle continue de le sucer goulûment et vigoureusement puis s’arrête net. Richard émet un cri de désapprobation, il attire de nouveau fortement sa tête par les cheveux de sa pute de service vers sa queue. Elle repompe encore plus fort et il émet cette fois-ci un râle de plaisir :
Elle laisse libre-cours alors à son amour des pipes et y va tant et si bien que sa proie est sur le point d’exploser, elle l’excite depuis au moins une heure avec tout son manège, il a envie d’éjaculer, de se lâcher tellement elle est bonne.
Elle sent qu’il faut qu’elle arrête si elle veut aussi avoir sa part du gâteau.
À ces mots plus qu’explicites, elle enlève la bite du bel inconnu de sa bouche et le pousse à s’asseoir sur un siège du hammam. Là-dessus, sans ménagement ni sans entrée en matière, elle s’installe à califourchon sur lui et vient enfoncer sa chatte trempée de mouille sur cette bite qu’elle a tant et si bien sucée. C’est elle qui mène le jeu et donne la cadence, elle commence bien sûr par de fortes poussées de son bas-ventre tant elle a envie qu’on la pénètre, tout son magnifique corps ondule et bouge par de fortes impulsions.
Notre blondinet la serre fort de ses mains sur ses hanches et la suit dans ses mouvements qui lui foutent le feu !
Puis, elle ralentit le mouvement car elle sait que le sexe masculin ne tient pas bien la distance lorsqu’il est très échauffé et décide donc de ménager sa monture pour lui donner de lents mouvements plus sensuels et langoureux. Elle embrasse à pleine bouche et à pleine langue cet homme qu’elle a profondément en elle et qui lui donne du plaisir.
Elle enfourche son partenaire et fait jouer sa lourde chevelure sur ses reins, elle adore le contact de ses cheveux sur sa peau nue, et sent monter la jouissance de manière progressive puis de plus en plus forte dans son vagin. Elle accélère donc le mouvement pour jouir et s’offrir un bel orgasme, sa gourmandise préférée. Son apollon sent également son orgasme proche et peine à se retenir. Elle se démène comme une furie en criant sa jouissance, elle n’en peut plus, c’est trop bon ! Lui éjacule tout ce qu’il a et le sperme jaillit en plusieurs salves.
L’orage est passé, les esprits se sont calmés, les envies assouvies, chacun remet le morceau de tissu qui sert de maillot de bain, Célia embrasse une dernière fois son amant par intérim et lui lance en guise d’au revoir :
Chapitre II à suivre…