n° 10551 | Fiche technique | 18955 caractères | 18955Temps de lecture estimé : 12 mn | 28/06/06 |
Résumé: La fille dont je suis secrètement amoureux se fait entreprendre par trois inconnus dans une boîte de nuit. J'en suis bien entendu fort marri. Heureusement, une jolie camarade saura me consoler. | ||||
Critères: fh fhhh jeunes copains boitenuit fellation fdanus | ||||
Auteur : Goran |
Depuis que je suis arrivé à la fac et que j’ai croisé le chemin de Laetitia, je ne suis plus le même. Cette fille dégage une sensualité extraordinaire, quoiqu’elle fasse et de quelque façon qu’elle s’habille. Ce n’est pourtant pas une beauté hors du commun. Non, elle est jolie certes, très jolie même, mais ce n’est pas cela, c’est plutôt une sorte de rayonnement qui émane d’elle qui rend les mecs tout chose en sa présence.
Elle est assez grande, elle doit approcher le mètre 70 (pour moi, c’est grand parce que je ne fais pas beaucoup plus d’un mètre 75), et, sans être dodue, elle a des formes très… affirmées dirons-nous. Une longue chevelure presque rousse, avec des mèches blondes, et des yeux dorés striés de vert lui donnent un air un peu étrange, un peu sorcière ; pas vieille sorcière, bien sûr, belle sorcière. En tout cas, on peut dire qu’elle ne laisse personne indifférent, même les nanas.
J’ai toujours eu du mal à aborder les filles, je suis plutôt timide, et dès que je m’intéresse à l’une d’elle, je perds tous mes moyens. Alors avec une fille comme ça, vous pensez bien ! J’ai donc utilisé une autre technique : pour me rapprocher d’elle j’ai repéré les gens avec qui elle était le plus souvent, garçons et filles, et je suis rentré progressivement dans le petit groupe de ses aficionados. Mais même si je suis de temps en temps en sa présence, je suis toujours complètement transparent.
J’ai bien essayé de discuter quelquefois avec elle, et même, à une ou deux reprises, nous sommes allés boire un verre à la sortie des cours ; mais bien qu’étant seule avec moi et qu’elle m’ait écouté avec gentillesse, j’ai chaque fois eu le sentiment que son regard me transperçait. J’étais là et en même temps, pour elle, je n’y étais pas.
Mais je ne me décourageais pas pour autant et je ne ratais aucune occasion d’être des mêmes sorties qu’elle, en espérant qu’un jour, peut-être…
Et justement ce soir, une bonne partie du groupe est en route pour une boîte assez spéciale, assez intimiste où nous sommes déjà allés quelquefois. L’ambiance est joyeuse sur le chemin qui sépare le parking de l’entrée de l’établissement et j’essaie de ne pas rester trop loin d’elle, de lui faire sentir discrètement ma présence.
Peu avant d’entrer, je me retourne pour voir si elle n’est pas trop loin, histoire de bien me positionner quand nous prendrons place à une table. Elle est en retard, dix pas en arrière au moins, penchée en train de retirer une de ses chaussures si élégantes, si fines, sans doute pour retirer un petit caillou. Au moment où elle repart, trois types d’allure assez sympa l’abordent. Je ne sais pas ce que lui dit celui qui l’a interpellée, mais elle rigole franchement. Elle continue son chemin en discutant gaiement avec eux, très enjouée. Manifestement, le courant passe.
Il passe si bien, d’ailleurs, qu’une fois entrée dans la boîte, elle les suit, et passe à côté de la table à laquelle nous nous installons sans s’arrêter, en nous faisant un petit signe de la main qui signifie quelque chose comme : "Ne vous occupez pas de moi, continuez entre vous…".
Je la regarde passer, interloqué et ô combien déçu et m’assois sans faire attention, entre mon meilleur copain du moment et une fille que je connais un peu.
Elle, elle s’est assise à une table proche. Deux des types l’encadrent, assis comme elle sur la banquette, et le troisième s’installe en face d’elle, de l’autre côté de la table basse. D’où je suis, je ne perds pas un seul de ses gestes. J’ai beaucoup de mal à m’intéresser à la conversation de mes voisins, mais je fais quand même semblant de rire aux blagues, pas toujours très fines, de mes copains qui semblent bien s’amuser, eux.
Je l’observe sans cesse du coin de l’œil, je ne peux pas m’en empêcher. Leur conversation est très animée et elle semble y prendre beaucoup de plaisir car elle sourit sans cesse et rit souvent à leurs plaisanteries. Et elle boit aussi. Beaucoup. J’espère que ce n’est pas chaque fois de l’alcool, car les verres défilent rapidement. Ils ne regardent pas à la dépense ! Elle est de plus en plus gaie et je les soupçonne de vouloir faire tomber ses défenses.
C’est vrai qu’elle est magnifique avec sa petite robe noire assez courte, que la position assise fait largement remonter sur ses cuisses parfaites. Je comprends qu’ils ne lésinent pas, car elle ferait se damner un bataillon.
Le garçon qui était en face d’elle devait se sentir trop loin, isolé, car il a changé de place et s’est installé derrière elle, derrière le canapé, ce qui lui permet de poser son menton sur le dossier, très près de la tête de Laetitia. Il lui parle doucement à l’oreille tout en lui massant l’épaule de sa main droite. Elle a l’air de se sentir bien, d’apprécier leur compagnie, ce qui a le don de m’exaspérer, c’est le moins qu’on puisse dire.
La conversation prend petit à petit une autre tournure, un peu plus intime, moins de plaisanteries, moins de rires à gorge déployée. D’ailleurs, son voisin de gauche vient de poser sa main sur sa joue droite, lui emprisonnant délicatement le menton et attire son visage vers le sien. À mon grand étonnement, elle ne résiste pas et se laisse embrasser par cet inconnu. Inconnu, car je suis bien certain qu’elle ne les connaissait pas il y a une heure. Je la trouve quand même un peu rapide. Le baiser se fait plus appuyé. Maintenant il lui roule carrément une pelle, et elle ne réagit toujours pas !
Ou plutôt si, elle lui rend son baiser avec ardeur !
Et pendant ce temps, le type derrière elle lui parle toujours à l’oreille, tout en continuant à lui masser l’épaule. Mais le massage descend de plus en plus et la main glisse doucement vers le sein droit. Je me dis que là, elle va lui dire qu’il exagère et repousser la main. Mais non, pas du tout, elle laisse faire et la main disparaît progressivement sous la robe, en continuant manifestement le massage entrepris.
Sa poitrine se soulève largement, comme pour un soupir de contentement, et la main, ainsi encouragée, continue de plus belle sa palpation.
Le troisième larron, assis à sa droite, doit se sentir un peu délaissé. Alors il pose avec précaution sa main sur la cuisse découverte par la robe un peu remontée. Tout d’abord très sagement, près du genou. Encouragé par l’absence de réaction, il s’enhardit et la fait remonter lentement. Elle a des petits mouvements de sa main droite (la gauche est bloquée par l’embrasseur), comme pour dire "arrêtez", mais très faibles, pas du tout convaincants.
La main continue donc à monter et disparaît bientôt sous la robe courte sans provoquer beaucoup de réaction. Pendant ce temps-là, le palpeur lui malaxe outrageusement le sein droit. Je suis atterré par l’attitude de Laetitia, déçu aussi bien sûr, car je ne l’imaginais pas ainsi, pas aussi "fille facile". Et jaloux bien entendu, car je donnerais cher pour être à la place de n’importe lequel des trois.
L’embrasseur lui laisse quelques secondes pour reprendre son souffle et elle essaie de dire quelque chose, mais il la bâillonne aussitôt d’un nouveau baiser. La main continue inexorablement sa progression vers le haut de la cuisse, vers le pli de l’aine où la peau est si douce. Laetitia commence à se trémousser. J’ai l’impression qu’à ce moment elle aimerait bien pouvoir contrôler le déroulement des évènements et peut-être stopper les frais. Mais elle ne contrôle plus grand-chose, alors elle pose sa main sur celle qui est posée sur sa cuisse ; mais rien n’y fait, les doigts continuent de remonter en relevant un peu plus la robe par la même occasion. D’où je suis, j’ai une vue plongeante sur ses cuisses et je vois bien que les doigts du type sont maintenant sur sa culotte et la masturbent doucement.
Ah oui, j’ai oublié de vous présenter ma voisine, Virginie. Jolie fille aussi, dans un genre très différent. Plus discrète sans doute.
Laetitia se tortille et essaie de serrer les jambes, mais ses deux compagnons de droite et de gauche tiennent chacun une jambe de leur main libre et la forcent à garder les cuisses légèrement écartées. J’ai ainsi tout loisir de voir que la main aventureuse essaie maintenant d’entrer dans la culotte. Deux doigts tentent de se glisser sous l’élastique de la cuisse droite, et ils y réussissent ! Elle se tortille de plus belle. Le palpeur ne perd pas son temps non plus. Tranquillement, il baisse la fine épaulette droite de sa robe, ainsi que la bretelle de son soutien-gorge, toujours en lui susurrant des trucs à l’oreille et en lui pétrissant le sein qui ne devrait plus tarder à jaillir de son cocon.
Quelques secondes plus tard, elle a un soubresaut et agrippe fermement la main qui furète dans sa culotte. Je viens de comprendre que le gars est en train de la doigter !
Sans m’en apercevoir, j’ai parlé à voix haute et Virginie, à côté de moi, me demande :
Je reprends mon observation. Le baiser s’est interrompu et les palpations se sont un peu calmées pendant que je parlais à Virginie. Laetitia a les joues en feu, semble-t-il. Conciliabule. Ils ont l’air de lui proposer quelque chose. Je ne comprends pas, ils montrent le fond de la salle. Elle ne comprend pas non plus et se fait expliquer. Puis elle fait un geste de dénégation de la tête. Ça me rassure qu’elle ait l’air de ne pas vouloir ce qu’ils lui proposent (bien que je ne sache absolument pas ce qu’ils lui ont dit, mais ça me paraît de toute façon un bon point).
Ils font mine de ne pas insister et commandent à nouveau à boire. Ils prennent le temps de siroter leur nouvelle boisson, certainement pas du jus de fruit d’après ce que je peux voir. Tous les quatre devisent tranquillement pendant un bon moment ; et au moment où je pense que leur soirée va se poursuivre gentiment, les types recommencent à lui demander quelque chose en montrant le fond de la salle. Je ne comprends rien à leur manège et je demande à Virginie si elle a une idée de ce qu’ils veulent. Elle les observe un instant et me dit :
J’ai un haut-le-cœur !
Laetitia semble maintenant indécise, ce qui me scandalise. Il y a quelques minutes, elle avait refusé la même proposition et voilà que maintenant elle réfléchit, comme si une réponse négative n’allait pas de soi. Sentant qu’il ne fallait pas lui laisser le temps de la réflexion, l’embrasseur se lève et lui prend la main pour l’aider à se lever. Le masturbateur lui prend l’autre main et sous leur traction conjuguée, elle se redresse. Ils l’entraînent vers les fameux salons. Je trouve qu’elle ne fait vraiment pas grand-chose pour résister et je suis complètement démoralisé. Comme ils passent près de nous, sa robe courte virevolte sur ses fesses cambrées et ses cuisses sont découvertes plus que de raison. Bon Dieu, c’est fou ce qu’elle est bandante.
Voyant mon air désespéré, Virginie me demande si je veux en avoir le cœur net.
Et elle me prend la main pour m’entraîner à mon tour vers les fameux salons. Arrivés à proximité de celui dans lequel ils ont disparu, elle met son index sur sa bouche et ouvre sans bruit la porte de la pièce qui le jouxte. J’entre dans ce qui ressemble plus à un grand placard qu’à une pièce. Il fait sombre, mais je comprends pourquoi Virginie m’a amené là : une grande glace sans tain permet de voir tout ce qui se passe dans la pièce à côté.
Et il s’en passe des choses. Laetitia n’a pas vraiment l’air contrariée par la situation. Au moment où nous entrons, elle est debout, les bras levés, devant son embrasseur qui est en train de faire passer sa robe par-dessus sa tête. Elle porte un tanga mauve en dentelle qui met magnifiquement son cul en valeur. Pour le moment, les deux autres se contentent de regarder. J’ai la bouche sèche, mais je ne peux pas détourner les yeux de ce spectacle. Le type place ses mains sur sa croupe et lui prodigue à nouveau un baiser appuyé, profond, langoureux pour tout dire. Ça ne semble pas lui déplaire. Puis il se détache d’elle et appuie sur ses épaules pour l’obliger à s’agenouiller. Elle s’exécute sans se rebeller. Elle m’étonne de plus en plus. Le mec ne perd pas de temps pour ouvrir sa braguette, et là je ferme les yeux. Mais pas pour longtemps, car je suis quand même curieux de savoir jusqu’où elle compte aller.
Quand je les rouvre, elle a pris dans sa jolie bouche ce sexe qu’on lui a "proposé", et elle le suce doucement, avec application, comme une bonne élève. Je voudrais croire qu’elle y est obligée, qu’elle n’a pas le choix. Ce n’est pas possible qu’elle fasse ça de son plein gré, n’est-ce pas ! Et pourtant, je dois me rendre à l’évidence, aucune main n’appuie sur sa nuque pour la maintenir en position, même pas sur son épaule pour l’empêcher de se relever. Elle est entièrement libre ; le type à qui elle prodigue cette voluptueuse caresse s’appuie d’une main au dossier du canapé, et l’autre pend le long de son corps, sa tête est légèrement penchée en arrière et il ferme les yeux, s’abandonnant à cette pipe délicieuse.
Quant à elle, pour maintenir son équilibre, elle appuie sa main gauche sur la cuisse du type, et de sa main droite, elle lui masse lentement les bourses.
Ma gorge est nouée et mon ventre donc ! Ainsi, elle est consentante. Jamais je n’aurais pu penser qu’elle puisse se livrer ainsi. J’en suis malade, littéralement.
Pendant ce temps, celui qui l’a si longuement et si profondément masturbée s’est mis à genoux derrière elle et lui donne des baisers dans le cou tout en lui pétrissant les seins. Ces seins si ronds, si fermes, que j’ai tant rêvé de caresser. Puis une main descend et s’insinue sans formalités dans le tanga et commence à la caresser. Décidément, celui-là, c’est son truc. Elle ondule et cela fait ressortir son fessier. Je sens qu’elle doit se concentrer pour continuer sa fellation, mais elle tient bon.
Le tanga est maintenant descendu d’un cran. Il est presque sur ses genoux et la main fouille furieusement son entrecuisse, alternant les pénétrations du vagin et les caresses dans la raie des fesses. Elle a de plus en plus de difficultés à poursuivre sa mission et sa main droite s’accroche visiblement à la base du pénis qu’elle caresse de sa bouche. Les doigts lui massent l’anus, préparant la pénétration du dernier bastion inviolé. Qui ne tarde pas. Un premier doigt pénètre presque sans effort. Elle a arrêté sa succion. Un second doigt le rejoint. Je sens qu’elle se crispe. Elle a bloqué sa respiration. Sa main semble vouloir griffer la cuisse de l’homme qui lui fait face. Les doigts vont et viennent lentement. Sa poitrine se soulève à nouveau, la douleur est passée. Elle ondule à nouveau de plaisir. Pendant que l’exploration de son anus se poursuit, elle reprend sa fellation à la grande joie du bénéficiaire qui ne tarde pas à jouir. Et cette fois-ci la main se pose sur sa nuque pour qu’elle ne perde rien. Mais aurait-elle voulu en perdre ? Finalement, je n’en suis plus si sûr.
Comme au théâtre, le tableau change. Le masturbateur quitte sa position, on la relève et on la conduit au canapé. Là, on la fait s’allonger à demi, le buste et la tête reposant sur des coussins et l’accoudoir. On lui écarte les cuisses. Elle se laisse faire. C’est l’embrasseur qui reprend la masturbation. Il lui caresse le clitoris tout en la doigtant et elle a vraiment l’air d’apprécier.
Le troisième larron, qui jusque-là était resté sagement à l’écart en se masturbant tranquillement, mais pas trop vite pour ne pas venir, décide que son tour est venu et s’approche. Il repousse les autres et s’allonge sur elle, entre ses jambes déjà écartées. Elle se cambre en arrière, prête à le recevoir.
C’en est trop pour moi. À voix basse, les dents serrées, je prends Virginie à témoin, espérant qu’elle va me conforter dans mon espoir que tout ceci se fait contre sa volonté :
Surpris par la réflexion de Virginie et par le ton de sa voix, je me retourne et mon regard plonge dans ses yeux bleus. Ils sont pleins de tristesse et embués de larmes. Je ne comprends pas et puis soudain, le déclic ! Et bien sûr, je n’avais rien vu.
Mon visage est près du sien. J’hésite un instant, puis je me penche un peu. Elle ferme les yeux. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je m’attends à ce qu’elle me repousse, mais non, au contraire, elle me rend mon baiser, tendrement.
J’avais oublié que les lèvres d’une fille pouvaient être si douces !